Le thème du voyage pour parcourir le monde, traverser des jardins extraordinaires, découvrir des paysages, des ambiances. L’écriture poétique et narrative, les représentations graphiques, les création

Voyage, voyage !

Je me vois à bord d'un avion avec, dans ma valise, des livres et des vêtements. Je navigue sur les flôts de la Mediterranée. Puis je découvre l'Italie. Je me perds aussi dans les rues de Rome. Je grimpe même au sommet de l'Himalaya. J'aime me promener au milieu des grands chênes, en cueillant du jasmin. Enfin, j'entre dans une cabane en bois. De là, j'admire le coucher du soleil, tout en dégustant des pizzas, en compagnie de mon chat Biscotte. Quel bonheur ! Emma

Sublutetia est un roman d'Eric Sénabre qui a inspiré les écrits des élèves de la partie "monde parallèle : récits".

La montgolfière MCW commence son chemin dans les nuages. Elle survole la tour Eiffel, quand tout à coup, elle est aspirée par une faille spatio-temporelle ! Elle se retrouve dans le monde incroyable de Sublutetia. Soudain, elle est projetée dans un ascenseur et descend de l'étage 0 à l'étage -2, étage des jeux vidéos. Elle arrive dans le monde des mathématiques : elle vient de découvrir les nombres relatifs. Elle doit relever le défi pour terminer son voyage.

Je me vois à bord d'un avion, avec dans ma valise, un appareil photo. Je navigue sur les flôts de l'océan Atlantique. Puis je découvre l'Amérique. Je me perds aussi dans les rues de New York. Je grimpe même au sommet de l'Everest. J'aime me promener au milieu des cerisiers tout en cueillant des tulipes. Enfin, j'entre dans mon igloo. De là, j'admire les icebergs tout en dégustant une raclette en compagnie des ours blancs. Quel bonheur ! Loïs

Je descends, attirée par les parfums d'épices et de miel qui proviennent de jardins extraordinaires.

Voyages dans d'extraordinaires jardins : recettes de jardins poétiques

Il le conduisit tout d'abord vers une plante qui pouvait lui redonner sa forme humaine. Le chacal et Ahmed&nbsp;redevenu humain continuèrent leur route à&nbsp;la recherche de la plante du sultan&nbsp;. Ils arrivèrent aux portes de la ville de Tunis. La chacal prit la parole&nbsp;: - la plante que tu cherches se trouve au marché, sur l’étal d’Ali le magicien. Vas le voir de ma part, il te la donnera contre l’une de tes larmes. Ahmed chercha Ali le magicien et quand il le trouva, il se présenta. Comme le lui avait dit le chacal, le magicien réclama la larme. Le magicien lui dit&nbsp;: - voici la plante. Retourne toi et ferme les yeux. Ahmed entendit une explosion, et, se retrouva comme par magie au palais du Sultan à Bagdad. Il pouvait soigner son maître.

Rim Lu par Charlotte, Emma et Marius Musique de Joane, Lina et Emma

Plan de l'oasis mystérieuse

La chanson de la Loire La Loire n'a pas de chance Car elle n'a pas de souci Elle se la coule douce Du lever au coucher. Elle sort de sa source Toute zen sans faire de bruit Et sans se faire de rochers Sans sortir de son lit, Elle s'en va vers Saint-Nazaire En passant par Nantes.

Notre château Chenonceaux, Jaloux et calme, Immobile et sévère Du haut de toutes ses fenêtres La regarde de travers. Mais la Loire s'en fiche Elle n'a aucun souci Elle se balade doucement Le jour comme la nuit. Elle s'en va vers la mer En passant comme un rêve Au milieu des monastères Des misères du sable de Nantes.&nbsp;

Ecrit et lu par Cécilia, musique de Charlotte, Emma et Lilou

Il était une fois Sasuké, qui était un jeune garçon âgé de 11ans, courageux, intelligent et imaginatif. Il vivait en Amazonie dans un petit village au coeur d'une immense forêt. Un jour, il arriva qu’il s’écarta un peu trop de chez lui en voulant aller se promener. Au bout d’un moment, il ne reconnut pas l’endroit, il décida de faire demi-tour et d’essayer de refaire le même chemin qu’à l’aller pour retourner chez lui, mais, plus il avançait plus il se perdait. Il faisait maintenant nuit&nbsp;: Sasuké cherchait encore. Il était complètement perdu, il ne savait plus où aller. Il décida de faire une pause et d’attendre que le soleil se lève pour y voir un peu mieux. En s’appuyant contre un arbre il fut très surpris en voyant un petit trou d’eau, qu’il n’avait jamais vu auparavant, avec une magnifique cascade. Plus loin il y avait une partie de la forêt encore plus dense qu’à l’habitude&nbsp;: les arbres étaient immenses, des primates y étaient accrochés et des oiseaux volaient entre les branches. Sasuké se serait cru au paradis tellement ce spectacle végétal était merveilleux. Il voulu aller se baigner. Il rentra dans l’eau prudemment mais à peine avait il mis ses pieds dans l’eau qu’il fut tiré au fond. Il essaya de se débattre et réussit enfin à sortir. Il se posa contre un rocher, sa jambe gauche lui faisait terriblement mal. Il y jeta un coup d’œil et découvrit sa jambe en sang. Il se demanda ce qui avait pu lui provoquer cette blessure. C’est à ce moment qu’il vit des crocodiles au bord de l’eau. Du coup, il décida de s’écarter pour éviter de les affronter une deuxième fois.

Shpat&nbsp;: Titre: Flame And Go / Auteur: CyberSDF Source: https://soundcloud.com/cybersdf Licence: https://creativecommons.org/licenses/by/3.0/deed.fr Téléchargement (10MB): <a href="https://auboutdufil.com/?id=583">https://auboutdufil.com/?id=583</a> Issra Titre: Ilotana / Auteur: Zero Project Source: https://www.zero-project.gr Licence: https://creativecommons.org/licenses/by/4.0/deed.fr Téléchargement (6MB): <a href="https://auboutdufil.com/?id=530">https://auboutdufil.com/?id=530</a> Benelzak Titre&nbsp;: ambiance forêt / Auteur : Joseph Sardin Source&nbsp;: <a href="https://lasonotheque.org/">https://lasonotheque.org/</a> Licence&nbsp;: <a href="https://lasonotheque.org/droit.html">Gratuit et Libre de droit</a> (<a href="https://lasonotheque.org/url?url=https://creativecommons.org/publicdomain/zero/1.0/deed.fr">licence CC0 1.0 universel</a> de creative commons) Rim Titre: Long Time Expected / Auteur: Zweeback Source: https://zweeback.bandcamp.com/releases Licence: http://creativecommons.org/licenses/by-nc-sa/3.0/deed.fr Téléchargement (6MB): <a href="https://auboutdufil.com/?id=479">https://auboutdufil.com/?id=479</a>

Durant l'été, en vacances sur l'île d'Okinawa, Charlotte et son amie Jane sont en pleine partie de cartes face à Shiro et Rio. Ayant été battus de nombreuses fois, les deux adversaires n'ont plus d'argent à miser, mais veulent pourtant une dernière chance. Leur vient alors l'idée de mette en jeu deux tickets de train qu'ils possèdent ! Les filles acceptent et remportent une nouvelle fois la partie ! Leurs tickets en poche, Charlotte et Jane sont très contenntes d'elles, elles partent alors se reposer) à leur campement et préparer leurs affaies pour leur périple du lendemain. Après une courte nuit, les voilà en gare, attendant le monorail. Le journée est magnifique, le soleil illumine de tout son éclat le ciel, si bleu, si pur. Les yeux remplis d'étoiles devant le train qui vient d'entrer en gare, son métal gris et rouge brillant sous les rayons du soleil. Une fois installées confortablement, les filles contemplent l'intérieur très luxueux de cette formidable machine à voyager. Après plusieurs dizaines de kilomètres, soudain, le ciel s'assombrit. C'est encore le matin et pourtant on se croirait en pleine nuit ! Charlotte et Jane se rendent alors compte qu'elles sont toutes seules dans ce wagon et qu'un lourd silence s'est installé, tandis que le train ralentit. Elles se regardent avec un mélange de surprise et d'inquiétude. Tout à coup, avec un claquement sec, un immense éclair se forme vers l'avant du train et le bruit sourd du tonnerre résonne sur le métal du wagon. Au même moment le jour revient et Charlotte remarque qu'à l'extérieur tout a changé : un étrange décor a subitement remplacé le paysage habituel.

Remerciements M. Arlan Azoulai, intervenant des Ateliers d'Arts de Vichy, qui a accompagné les élèves de 5è dans la réalisation de leurs jardins ! Les enseignants : Mme Bruyand (FLE), Mme Jaby (mathématiques), Mme Muller (éducation musicale), Mme Theunissen (enseignement spécialisé), Mme Velasquez (lettres classiques), Mme Villa (documentation). Mme Pietriga, Principale du collège Maurice Constantin-Weyer, pour l'intérêt qu'elle a toujours manifesté et son indéfectible soutien.

Les deux filles, interloquées, s'approchent d'une des vitres : le ciel est d'un blanc de neige, de nombreuses météorites orangées le traversent à une vitesse incroyable. Ce qui pourrait ressembler de loin à des fleurs ou à des plantes exotiques sont en réalité des yeux sur des tiges rouge sang... A cette vue Jane et Charlotte ont un mouvement de recul, s'agrippant l'une à l'autre. Mais leur regard est aussitôt attiré vers un volcan, au loin, qui est en éruption et duquel s'écoule une lave d'un vert éclatant, rappelant l'émeraude. Sur le blanc du ciel ce paysage est fantastique ! Le train continue sa route, toujours au ralenti, comme pour laisser aux filles le temps de s'imprégner de ces merveilles. Charlotte et Jane réussissent à dévérouiller la vitre et, en se penchant légèrement, elles se rendent compte qu'il n'y a plus de rail ; le train flotte au-dessus du sol ! Encore plus stupéfaites, les deux amies restent figées devant ce qu'elles voient : ce monde est tellement différent, l'être humain n'a pas l'air d'avoir sa place en ces lieux que peuplent des insectes d'une taille démesurée... Enfin, au bout d'un temps que les filles ne sauraient préciser, le train arrive dans une ville-montagne aux reflets ocre où les habitations sont troglodytes. Elles découvrent en contrebas des pyramides inversées, aux couleurs vives alternant avec un noir de charbon... Quel monde étonnant ! Charlotte et Jane sont sous le choc et ne réagissent pas quand dans un bruit doux le train plonge vers le sol, s'arrête et ouvre ses portes comme pour les inviter à sortir. Où sont-elles donc ? Que va-t-il leur arriver maintenant ?

Le jardin de Mariama Une tasse de café moulu, Une dose de jonquilles jaunes et odorantes, Trois cuillères à soupe de nectar de liquide sucré, Une pincée de noix de muscade, Deux cuillères à café d'une tige de fleur bleu myosotis Un soupçon d'amande riche en huile. Mélanger le tout et laisser mijoter à feu doux. Et voilà mon jardin est prêt à être dégusté ! Venez vous y promener !

Le jardin de Khatira Un tasse de miel d’abeilles Une dose de perce-neige blanches Trois cuillères à soupe de sciure de bois d’un bateau Une pincée de piment Deux cuillères à café d’écorce de citronnier Un soupçon de citron jaune. Mélanger le tout et laisser mijoter à feu doux. Et voilà ! Mon jardin est prêt à être dégusté ! Venez vous y promener !

Regarde, Dénis&nbsp;! Des bateaux&nbsp;! Il y a des gens dedans&nbsp;! s'écrie mon ami. Ils nous font des signes&nbsp;! En effet leurs bras s'agitent et nous entendons des cris que nous ne comprenons pas. Est-ce parce qu'ils sont encore trop loin ou parce que c'est une autre langue&nbsp;? Nous nous regardons, Dénis et moi, et je ne peux m'empêcher de lui souffler&nbsp;: Et s'ils sont en colère&nbsp;? Qu'allons-nous faire&nbsp;? A vous maintenant de faire le voyage dans ce pays merveilleux, pour imaginer les aventures de nos deux héros...&nbsp;

Je me vois à bord d'une polo noire avec, dans ma valise, ma Switch Lite. Je navigue sur les flots de l'immense océan Atlantique. Puis je découvre le Japon surpeuplé. Je me perds aussi dans les rues de New York et ses immenses gratte-ciel. Je grimpe même au sommet du Mont Blanc. J'aime me promener au milieu des bananiers, en cueillant des roses rouges. Enfin j'entre dans un Manoir. De là, j'admire le Mont Fuji, tout en dégustant des Ramens, en compagnie du grand tigre. Nicolas

Je me vois à bord d'un bus scolaire bleu avec, dans ma valise, un jeu de cartes. Je navigue sur les flots de l'Océan Indien. Puis je découvre l'Allemagne. Je me perds aussi dans les rues de Montréal. Je grimpe même au sommet de l'Everest. J'aime me promener au milieu des magnolias, en cueillant des jacinthes. Enfin j'entre dans un chalet en bois. De là, j'admire un lac, au lever du matin, tout en dégustant de la poutine, en compagnie d'un colvert, c'est Gilbert. Quel bonheur ! Lorenzo

Alors que Sasuké cherchait toujours comment rentrer chez lui, il entendit un bruit derrière, il s’approcha tout doucement et poussa un cri de stupeur quand un jaguar apparut devant lui. Il recula et se cogna la tête contre un arbre, ce qui le fit tomber. L’animal s’approchait de plus en plus. Sasuké se releva, se mit à courir mais le jaguar se mit à le poursuivre. Après une course infernale, Sasuké s’arrêta, essoufflé, n’entendant plus aucun bruit derrière lui. Il regarda autours de lui, rien. Il marcha encore quelques mètres avant de s’écrouler par terre, mort de fatigue. Sasuké se réveilla, et poussa un cri en découvrant le jaguar à seulement quelques mètres de lui. Sasuké se releva et recula mais le jaguar ne bougeait pas. Il regardait fixement Sasuké sans chercher à l’ attaquer. L’animal bougea enfin. Sasuké se recula mais le jaguar fit seulement demi-tour en lui faisant signe de le suivre. Sasuké hésita, marchant derrière lui tout en gardant quelques mètres de distance entre eux. Après un long moment, le jaguar s’arrêta. Sasuké releva la tête&nbsp;: il n’en croyait pas ses yeux&nbsp;! Devant lui se trouvait son petit village sur pilotis. Sasuké resta bouche bée quelques instants avant de se tourner vers l’animal. Il lui souffla un petit "merci" à peine audible avant que le jaguar ne fasse demi tour et retourne dans la forêt. A vous d'imaginer la suite ! Ecrit et lu par Eloïse. Musique par Jérôme

La chanson du Rhin Le Rhin a de la chance Il n’a pas de souci Il est tranquille Et il sort de sa source tout glacé, tout gelé. Il quitte la verte Suisse

Pour la fraîche mer du Nord. Le Rhin a de la chance Il n’a pas de souci

Et quand, majestueux Il coule le long de ses quais Le palais le jalouse. Mais il est tranquille Le jour comme la nuit Il s’en va vers le Nord Il s’en va vers la mer.

Ecrit et lu par Laura et Rodérick. Musique de Lucas

La vieille locomotive Après notre week-end au bord de la mer, Dénis et moi partons à la gare pour prendre le train qui nous ramène chez nous en Auvergne. Arrivés à la gare, sur le quai, nous voyons une vieille locomotive avec seulement deux wagons, tout aussi vieux. Nous nous demandons si c'est notre train, tellement il semble différent des autres. Sur le tableau d'affichage, c'est pourtant bien inscrit notre destination, alors nous montons à bord. L'intérieur est superbe, avec un mobilier en bois tout neuf, des décorations en métal très jolies et des arabesques dorées couvrant les parois&nbsp;: c'est vraiment étonnant pour un train qui paraît si ancien&nbsp;! Cependant la cloche retentit et le train démarre, sans bruit, roulant tout doucement, dans un silence inhabituel et particulièrement inattendu pour cette si vieille machine... Après une heure de voyage, on arrive dans un tunnel et les lumières intérieures s'allument, dans d'élégantes appliques dorées, en forme de tulipes renversées. D'un seul coup un bruit aigu se fait entendre et nous sentons que le train accélère&nbsp;! Il se met même à basculer de droite à gauche sur les rails et nous sommes tellement secoués sur nos sièges que nous nous y agrippons de toutes nos forces, paniqués&nbsp;! Le tunnel semble ne devoir jamais finir... Brusquement, les lumières s'éteignent. Dans une obscurité complète, le train s'arrête d'un seul coup, nous faisant tomber de nos sièges, sonnés.

Je plonge ensuite dans les merveilleux souterrains de Sublutetia...

Mondes parallèles : récits

Je me vois à bord d'une voiture avec, dans ma valise, des vêtements. Je navigue sur les flôts de la Seine. Puis je découvre le Canada. Je me perds aussi dans les rues du Québec. Je grimpe même au sommet des Pyrénées. J'aime me promener au milieu des sapins, en cueillant des roses. Enfin, j'entre dans mon tipi. De là, j'admire la forêt, tout en dégustant une pizza, en compagnie des hibous et des bisons. Quel bonheur ! Anaïs

Un monde extraordinaire....

Un jour, mon frère et moi sommes allés au centre commercial des 4 chemins. Nous avons pris l’ascenseur pour descendre au parking. Au moment de retourner à la voiture, nous avons aperçu une porte entre-ouverte. d’où s’échappait une lumière très vive. A notre arrivée, nous ne l’avions pas remarquée&nbsp;! Intrigués, nous l’avons franchie. De l’autre côté de la porte se trouvait un paysage féérique. Devant nous, se présentaient deux grandes colonnes de béton égayées par des guirlandes de fleurs. Pour y accéder, il fallait passer sur un petit pont. Le ciel était mauve avec des nuages blancs éclatants. Au coucher du soleil, le ciel devient rose orangé. Les nuages disparaissaient et laissaient place à de petits points blancs&nbsp;: les étoiles. Après avoir passé le pont, nous avons fait le tour des colonnes et, au loin, nous avons aperçu un gigantesque cône, couvert de végétaux, en suspension dans le ciel&nbsp;. De ce cône coulait une cascade qui alimentait tout le village qu’il surplombait. La particularité de la cascade était sa couleur&nbsp;; elle était des sept nuances de l’arc-en-ciel. Dans le village, chaque maison avait sa couleur. Toutes les habitations autour de nous avaient un toit plat tapissé de fleurs. Sauf une qui avait des façades bleu turquoise qui se reflétait dans la cascade et sur son toit, se dressait une magnifique glycine blanche.

&nbsp;Il était une fois Aziz qui était grand, très intelligent, beau, mais pauvre, sans abri et sans famille.&nbsp;Il vivait dans un petit village en plein désert. Aziz avait besoin de travailler. Un jour, il rencontra un chamelier qui menait une caravane à travers le désert. Cet homme lui dit : - Je te&nbsp;reconnais : tu&nbsp;es le fils&nbsp;d'Ahmed&nbsp;! Aziz répondit :&nbsp; - Non, je&nbsp;n’ai pas de famille.&nbsp; - Si, je me souviens de ta&nbsp;naissance !&nbsp;assura&nbsp;l’homme. - Je me souviens ni de vous, ni de mon père.&nbsp; L’homme se gratta la tête et dit :&nbsp;« J’ai vu ton père il y a deux&nbsp;jours, il&nbsp;m’a dit qu’il allait&nbsp;à&nbsp;Meknès.&nbsp; &nbsp;Aziz était abasourdi&nbsp;: il avait une famille&nbsp;! Il décida alors de partir à la recherche de son père. En route, ses pas le menèrent jusqu’à un endroit extraordinaire. Il n’en croyait pas à ses yeux&nbsp;: il voyait beaucoup de végétaux et une eau bleu très clair qu’il crut pouvoir boire, mais, en s’approchant, il vit un poisson étrange, tout hérissé de piquants, qui le fixait de ses gros yeux globuleux. D'un bond, il recula.&nbsp;

La chanson du Rhône Le Rhône a de la chance Il n’a pas de souci Il s’agite, il danse Le jour comme la nuit. Et il descend des Alpes Très vite en faisant du bruit En faisant des bulles de glace. Il s’en va vers la mer En passant par la ville lumière.

Le Rhône a de la chance Il n’a pas de souci Et quand il se promène Le long du ponton de bois Le musée gallo romain Le regarde, agréable Et tranquille, parfois. Mais le Rhône s’en balance Il n’a pas de souci Il s’en va pépère Le jours comme la nuit Et s’en va vers port-Saint-Louis Et s’en va vers la mer. Ecrit et lu par Ruddy

Musique de Léa, Eloïse, Maéva

...pour découvrir le monde merveilleux des mathématiques.

Mondes parallèles : voyages au pays des mathématiques

Pendant son&nbsp;voyage, il&nbsp;s’arrêta dans une oasis pas très loin de Damas . Quand il&nbsp;arriva, il&nbsp;vit&nbsp;de grands chameaux&nbsp;, des palmiers et au loin le ciel bleu . Il passa la journée dans l’oasis puis à la nuit tombée, il partit à la recherche de cette plante. Tout à coup, une hyène apparut, et se mit à le poursuivre. Epouvanté, il se mit à courir et tomba dans un trou très profond. Un sombre tunnel s’ouvrait devant lui. Il entra et se mit à marcher des heures durant. Il finit par trouver une plante, qu’il mangea aussitôt tant il avait faim. Il se transforma en serpent et reprit sa progression. Il remonta à la surface par un petit trou, car sous la forme d'un serpent, c'était chose facile !&nbsp;Il lui fallait se rapprocher de l'oasis et des hommes.&nbsp;Il serpenta en&nbsp;direction des dromadaires qu'il vit au loin.&nbsp;En chemin,&nbsp;il se sentit trop petit, car les palmiers près desquels il passait,&nbsp;étaient énormes.&nbsp;Il dut contourner un petit plan d’eau qui lui sembla aussi grand que la mer Méditerranée.&nbsp;Bientôt, il heurta la patte d'un chacal qui lui dit :&nbsp; -&nbsp;je sais qui tu es, je connais ton histoire.&nbsp;Suis-moi.&nbsp;&nbsp;

Ahmed un jeune médecin travaillait pour un sultan à Bagdad.&nbsp;Il était gentil, n’était pas patient, était courageux et était coléreux.&nbsp; Un jour à cause de sa colère, il perdit la plante qui pouvait guérir le sultan. Comme il n’était pas patient il partit vite à la recherche de cette plante.

Le jardin du bonheur Une tasse à café de miel d’abeille Une dose de pivoines colorées Trois cuillères à soupe de tiges de perce-neige Une pincée d’épices Deux cuillères à café de citron Un soupçon de feuilles d’eucalyptus Mélanger le tout et laisser mijoter à feux doux Et voilà! mon jardin est prêt à être dégusté ! Gwendoline

Mon jardin tout vert Une tasse de caramel brun et brillant, Une dose de pâquerette blanche fraîche, trois cuillères à soupe de tige de rose rouge, Deux cuillères à café de pétales blanc, Une pincée de girofle desséché, Un soupçon de citron vert. Mélanger le tout et laisser mijoter à feu doux, Et voilà ! Mon jardin est prêt à être dégusté , Venez vous y promener ! Issra

Mon voyage me porte maintenant au dessus des fleuves de France pour une traversée poétique.

Sawo Titre: Samba Brazil /Auteur: Zezinho Fernandes Source: https://jazzgoa.bandcamp.com/album/zezinho-fernandes Licence: https://creativecommons.org/licenses/by/3.0/deed.fr Téléchargement (11MB): <a href="https://auboutdufil.com/?id=591">https://auboutdufil.com/?id=591</a> Ziad Titre&nbsp;: réveil des oiseaux - AmBBird /Auteur : Joseph Sardin Source&nbsp;: <a href="https://lasonotheque.org/detail-1906-reveil-des-oiseaux-4.html">https://lasonotheque.org/detail-1906-reveil-des-oiseaux-4.html</a> Titre&nbsp;: grillon champêtre mâle – ANMLinsc https://lasonotheque.org/detail-1020-grillon-champetre-male.html Licence&nbsp;: <a href="https://lasonotheque.org/droit.html">Gratuit et Libre de droit</a> (<a href="https://lasonotheque.org/url?url=https://creativecommons.org/publicdomain/zero/1.0/deed.fr">licence CC0 1.0 universel</a> de creative commons) Musique autre : réalisée par les élèves avec Soundtrap, licence libre de droit. Crédits photographiques In : "Recettes de jardins poétiques" : collection personnelle de (c) Mme Laurence Villa. In : "Voyage au pays des mathématiques " : Source : Pixabay Licence Licence : Libre pour usage commercial, Pas d'attribution requise Tout contenu publié pourra être retiré sur demande de l'auteur.

Il était une fois un jeune homme, Ismaël, qui était curieux mais peureux, intelligent, gentil mais rusé. Il avait tout juste 17 ans et il était cuisinier du Prince de Bagdad. Un jour, son père tomba gravement malade. Ismaël, très inquiet, trouva un livre de recettes de cuisine dans lequel il était mentionné une fleur qui avait pour particularité de soigner toutes les maladies&nbsp;! Cette plante incroyable se trouvait, d’après l’auteur du livre, au coeur du Brésil, en pleine fôrêt, dans un endroit qu’on appelait «&nbsp;Paradis des Perroquets&nbsp;».

Ismaël s’embarqua aussitôt. La traversée dura deux longs mois. Dès qu’il posa le pied par terre, il se mit à chercher un guide. Mais Ismaël ne parlait pas la langue des Indiens du Brésil&nbsp;! Alors qu’il était de plus en plus désespéré, il rencontra une indienne qui parlait parfaitement le portugais. Il lui raconta ses malheurs&nbsp;: Winona, c’était son non, connaissait l’endroit. Elle le guida à travers la forêt. Quand Ismaël parvint au Paradis des Perroquet il fut très étonné. Il vit des colibris. Plus loin, c’était un lac qui était mystérieux. Là-bas des fleurs rouges et des singes marron&nbsp;! Il se serait cru au Paradis, tellement ce spectacle végétal était magnifique, tellement il était émerveillé&nbsp;! A ce moment-là, il tomba nez à nez avec un renard, Ismaël eut peur car il avait la phobie des renards. Alors il prit la fuite.

Parchment

Voyages, Voyages !

Collège Maurice Constantin-Weyer

Nous ne savons pas combien de temps s'est ensuite écoulé, car nous avons perdu connaissance et, quand nous revenons à nous, Dénis et moi, nous sommes assis à l'extérieur, contre le train, dans une douce lumière dorée, sur un tapis de mousse d'un vert très foncé, toute douce et chaude. Devant nous se déploie un paysage étonnant, comme la carte postale d'un coucher de soleil&nbsp;! Derrière nous, pas très loin, on peut encore apercevoir le tunnel, énorme bouche toute noire... Nos regards sont irrésistiblement attirés par le panorama tout baigné de la lumière du soleil. Cependant nous ne voyons pas de ciel au-dessus de nous. Autour de nous volettent des papillons aux ailes violettes et des oiseaux d'un blanc nacré. Des arbres se dressent à perte de vue, entre lesquels coule une rivière toute tranquille. Des feuilles de nénuphars immenses flottent doucement sur ces eaux d'un bleu profond mais brillant. Mais d'où vient cette lumière qui enveloppe tout&nbsp;? Nous regardons vers le haut à nouveau&nbsp;; Dénis me montre un endroit moins lumineux et nous avons l'impression qu'il y a comme de petites lampes, ou plutôt de minuscules lucioles, encastrées par milliers dans le plafond qui surplombe ce coin de nature bizarre. Nous nous levons et faisons quelques pas&nbsp;; plus nous nous éloignons du train, plus nous comprenons que nous sommes arrivés dans un véritable monde. Nous voyons toujours des arbres immenses, par dizaines ou par centaines, au delà de la rivière, mais, en nous approchant un peu plus, nous apercevons des cabanes dans leurs branches. Et des échelles suspendues entre les arbres... Ce monde est habité, à n'en pas douter, mais nous ne voyons personne dans ces maisons étonnantes. Soudain, mon regard est attiré vers la droite et j'attrape le bras de mon compagnon&nbsp;:

Portrait de Charlotte, la voyageuse

Portrait de Marius, le découvreur

Portrait de Rim la baroudeuse

Plus loin se dressaient beaucoup d’arbres&nbsp;: des bananiers, des citronniers et des palmiers. Aziz s’approcha pour cueillir une banane.&nbsp;Il se serait cru au marché tant les fruits étaient en abondance. Il se promena pendant un très long moment, contemplant chaque arbre avec ses magnifiques fruits, profitant de la fraîcheur de l’ombre des arbres. Ce merveilleux jardin débouchait sur une oasis. Il retourna malgré tout sur ses pas, de peur de se perdre.&nbsp;Il s’arrêta près du point d’eau et vit le poisson remonter à la surface et même sortir la tête de l'eau. Ouvrant grand sa bouche pleine de minuscules dents pareilles à des aiguilles, il se mit à lui parler&nbsp;! Aziz, pétrifié par la surprise, captivé par la belle voix douce qui sortait de cette gueule n'eut même pas le réflexe de s'enfuir. Le poisson lui dit :&nbsp; - Homme, que fais-tu ici ?&nbsp; Aziz&nbsp;lui répondit :&nbsp;&nbsp; - Je veux traverser pour aller&nbsp;à&nbsp;Meknès.&nbsp; - Je vois que tu es un homme de bien. Suis-moi et un pont&nbsp;se&nbsp;formera derrière moi !» Le&nbsp;pont se forma et Aziz pu avancer pour aller&nbsp;à&nbsp;Meknès.&nbsp;

Saurez-vous comme Emma imaginer la suite ?

A ce moment-là, il tomba nez à nez avec un singe araignée. Ismaël était impressionné par sa taille. Il prit la fuite et grimpa à une liane. Il eu vraiment peur. Toujours suivi de Winona, il remit pied à terre. Au bout de quelques pas, il vit un ours à lunettes, mais, derrière la bête féroce, il vit la fleur qui pouvait sauver son père...

Et si vous imaginiez la suite ? Lorenzo et Jérôme

Carte du jardin de tous les dangers

&nbsp;Il était une fois Cassim qui était médecin. Il était plutôt débrouillard, courageux et malin. Il vivait à Bagdad. Un jour, il arriva que sa mère tomba malade. Triste, il alla se promener au port. Il entendit deux hommes parler d’une plante violette qui soignait toutes les maladies. Cette plante se trouvait de l’autre côté de l’océan. Il décida de partir dès l’aube à la quête de cette plante pour sauver sa mère.

Il embarqua comme cuisiner sur une Caravelle. Après des mois de traversée, il arriva de l’autre côté de l’océan.

Quand Cassim parvint au jardin luxuriant, il eut une impression étrange&nbsp;: il faisait très sombre à cause des grands acajous. Plus loin, c’était un lac. La-bas, des loutres nageaient, Cassim se serait cru dans un rêve tellement ce spectacle végétal était gigantesque. Cassim partit sans attendre à la recherche de la plante. Su son chemin, il rencontra un vieux sage. Il lui raconta son histoire et le vieux sage lui donna une plume magique.

Que va-t-il arriver au héros d'après vous ?

Je me vois à bord d'un bateau avec, dans ma valise, mon téléphone. Je navigue surles flôts de la Méditerranée. Puis je découvre le Brésil. Je me perds aussi dans les rues de New York. Je grimpe au sommet du mont Blanc. J'aime me promener au milieu des cerisiers en cueillant des tulipes. Enfin, j'entre dans ma villa. De là, j'admire la mer tout en dégustant une paëlla en compagnie de mon chat. Quel bonheur ! Maeva

Aujourd'hui, moi, la petite montgolfière MCW, je veux faire le tour du monde. Je pars en voyage. Voici mon portrait !

les nombres relatifs

Classer des nombres relatifs

Classement des nombres relatifs.

Les nombres relatifs 

Multiplications par 10,100,1000 

La droite graduée

Avant-propos Le projet Numook a été l'occasion de travailler en projet avec plusieurs classes : des élèves de 5è, d'Ulis et de FLE. Travailler ensemble, mélanger les disciplines...sans mélanger les élèves, malheureusement, crise sanitaire oblige. La thématique du voyage nous a permis de parcourir le monde, à travers ses jardins, de découvrir des paysages, des ambiances. Ce thème a été le support d'apprentissages multiples et variés. Les élèves ont ainsi appris à mieux lire des photographies, en les décrivant et en les analysant. Ils ont aussi créé des musiques et des textes, poétiques et narratifs. Un atelier artistique encadré par un intervenant extérieur leur a donné l'occasion de s'exprimer aussi par des techniques picturales, tout en couleurs ! Ce "voyage immobile" a été riche de trouvailles, d'échanges, de partage : nous espérons que vous voyagerez aussi, comme nous, à travers les créations de nos élèves. L'équipe pédagogique.

Musique en couverture de Samy, Liam et Aubin.

Chanson de la Garonne La Garonne a de la chance Elle n’a pas de souci. Mais pleine de fureur de rage Le Jour comme la nuit Elle sort de sa source. Toute agitée et habile A se faire de la mousse Sans sortir de sont lit Elle s’en va vers la mer En passant part Toulouse. Saint-Sernin jalouse Immobile et sévère Du haut de toute ses briques La regarde de travers.

Mais la Garonne s’en balance Elle n’a par de souci Mais écume de rage Le jour comme la nuit. ET s'en va vers Bordeaux Et s’en va vers la mer En passant comme un rêve au milieu des endroits Des misères de Toulouse. Ecrit et lu par Tristan, Yousna et Jordy

Sommaire - Quand je rêve de voyage <a href="bookcreator://page/nzSNjJepRv2mnS0ZLxb8uA">4</a> - Voyages en poésie d'après "Chanson de la Seine" de Jacques Prévert <a href="bookcreator://page/Z0iI3cjoQT25ziQPF-nX-w">18</a> - Voyages dans d'extraordinaires jardins, contes et plans de jardins imaginaires, <a href="bookcreator://page/zMVjJVOBQGG0gd944Xe5KQ">25</a> recettes de jardins poétiques. <a href="bookcreator://page/45Ak2KlFT_mRss_dKpd2Ew">43</a> - Mondes parallèles récit narratif <a href="bookcreator://page/PysBCR6SRsSzw39pghupow">49</a> voyage au pays des mathématiques <a href="bookcreator://page/T2s8pNOiQUi3LlZTOTN6gA">60</a>

Voyages dans d'extraordinaires jardins : contes et plans

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