Les récits d'Halloween de 4B

Carrie était infirmière. Exténuée par son travail elle décida, un beau matin, de partir quinze jours à la montagne où elle avait loué une chambre dans un hôtel assez isolé.
Une fois arrivée à l’hôtel, Carrie s’installa tranquillement et décida de se promener dans la forêt non loin de là. L’infirmière vit un panneau qui indiquait un lac à 800 mètres, elle décida de prendre ce chemin.
Quelques minutes plus tard, Carrie arriva sur un lac bordé de grands arbres, le lac était calme, apaisant, tout ce que Carrie recherchait. Une légère brise vient caresser ses longs cheveux blonds ondulés, ce petit vent frais faisait pleurer ses jolis yeux verts.
La jeune infirmière aperçut un ponton sur le lac. Elle s’en approcha doucement et arriva au bout de l’avancée.

Vacances Mortelles

La blonde aux yeux verts respira l’air frais quand tout à coup elle sentit deux mains dans son dos qui la poussèrent dans l’eau. Carrie remonta à la surface de l’eau et réussit à s’accrocher au ponton. Elle releva la tête et regarda ses bras un frisson parcourut tout son corps, quand elle vit deux mains gantées sur les siennes.
Carrie releva la tête pour apercevoir le visage de cette personne et vit un homme avec un masque sur le visage. Les yeux de l’agresseur étaient d’un noir à glacer le sang.
L’homme masqué la sortit violemment de l’eau et la jeta encore plus brutalement par terre. Il sortit un marteau de sa poche, Carrie se figea et frissonna de peur quand elle vit le marteau se rapprocher de son visage. Brutalement, le tueur lui asséna des coups à la tête, elle hurla de douleur. L’agresseur lui fracassa le crane et le calme retentit.

L’homme lança le corps sans vie de la jeune infirmière dans l’eau et il s’en alla dans la forêt tout en ayant un sourire satisfait.
Par Emma

Malheur dans le parc

Aujourd'hui je me prépare pour mon huitième meurtre . Oui, cela peut faire peur, mais les crimes étaient comme un jeu pour moi et cela me faisait bien rire de voir à la télévision tous mes homicides sans que les policiers ne retrouvent ma trace pour m'inculper.

Bref, je ne vais pas vous raconter ma vie, passons à des choses plus sérieuses. Avant tous meurtre je dois me renseigner sur la victime . Aujourd'hui , nous avons affaire à un très grand avocat de Paris. Il s'appelle René Louissant.

Pendant, deux semaines, j'ai observé tous ses faits et gestes, ses sorties, ses habitudes, son domicile et sa famille. Dans tout cela, j'ai retenu un lieu, un parc abandonné à deux kilomètres de son domicile et à trois kilomètres du mien.

Chaque meurtre que je commets se passe en fin de journée quand personne ne sort, ce qui m'arrangeait car l'avocat allait au parc vers dix-huit heures. Il me reste encore tout l'après-midi pour perfectionner mon plan.
Mes meurtres se font principalement au couteau car c'est un objet petit et facile à transporter. Ce parc sentait l'odeur des poubelles et
des excréments de tous animaux confondus .

Dans à peu prés 10-20 minutes, la victime va arriver alors, je vais commencer à me préparer. J'enfile donc mes vêtements habituels de meurtre. Ma cagoule noire et mon blouson et j'attends alors ma malheureuse victime à l'entrée du parc .

René arriva dans le parc et
vit une silhouette se dessiner, en se rapprochant de celle-ci, l'ombre était en fait un homme grand et musclé. La victime fit deux pas en arrière et avala sa salive d'un goût amer. René trembla de peur et resta bouche bée devant l'ombre qui se rapprochait de plus en plus, et d'un coup le tueur attrapa sa proie lui trancha la gorge, à ce moment-là René pensa à sa femme et ses enfants qu'il laissait seuls derrière lui.

FIN
Par Louan Schoukroum

Le magasin de poupées

Valérie se trouvait dans un magasin de poupées. Elle était en train de chercher un cadeau pour l’anniversaire de sa petite sœur.
La jeune fille hésita longtemps
entre deux modèles.
Quand l’adolescente releva la tête, elle vit qu’il faisait noir. Le magasin était fermé, le rideau de fer baissé! Alors Valérie essaya de sortir par toutes les issues, mais sans succès.

Tout à coup elle entendit un bruit
étrange qui semblait provenir de la réserve.
Elle s’approcha de la porte, hésita quelques instants, et ouvrit. Les cartons étaient éventrés, les poupées éparpillées au sol. La fille effrayée sentit comme une présence derrière elle, elle se retourna vivement et eut le temps de voir une ombre passer.
Terrorisée, elle s’enferma dans la réserve. Elle s’assit en boule dans un coin de la pièce. Il n’y avait aucun bruit, juste celui des battements de son cœur.
Le temps passa quand soudain elle
entendit la clé tomber au sol.

La jeune fille terrifiée vit la poignée descendre tout doucement puis la porte s’ouvrit. Personne!
Tremblant de tous ses membres Valérie se dirigea vers la porte grande ouverte. C’est alors que surgit une silhouette toute de noir vêtue, un visage pâle, un regard fou.
La dernière chose que cette jeune fille vit fut une main tenant un couteau.
Sa petite sœur ne la revit jamais...

Par Juline Courjaud