Journée « Si j’étais… » 2021

Alors c’est piquant, doux, rugueux, lisse…?

..même avec l’aide de Robin et Mathéo.

…lorsqu’il est question de se déplacer lorsqu’on a une gêne visuelle, les obstacles sont nombreux. 

Un handicap invisible peut aussi nous empêcher de mémoriser, d’apprendre, de se souvenir…

Comme si plein de choses occupaient notre esprit et ne nous permettaient pas d’être concentrés et attentifs.

Au début, nous étions très attentifs pour écouter Stéphanie et après…

…nous étions accaparés par plein de choses.

Si j’avais un handicap qui me privait de l’usage de la parole…..

….Je devrais faire preuve d’imagination pour communiquer….comme ici avec Marina

Si j’étais ….        en situation de handicap..

Avec cette méthode, nous pouvons lire et écrire…mais….

Dans l’ordre d’apparition de ce livre :

Marina Mançois, mairie de Saint-Maur Hervé Guichard, mairie de Saint-Maur Aurore Puillon, cadre technique Adapei36 Sabrina Mayet, conseillère pédagogique École inclusive Éducation Nationale Boris oberthal, éducateur spécialisé Adapei36 Lucie Bonnin, AMP Adapei36 Marion Labrune, psychomotricienne Adapei36 Robin Tayon, mairie de Saint-Maur Mathéo Forest, stagiaire mairie de Saint-Maur Philippe Jeanneton, APF France Handicap Joachim Ascenso, APF France Handicap Anne-Laure Mesnieres, psychologue Adapei36 Béatrice Penin, Adapei36 Et dans l’ombre : Sonia et Fabrice, bénévoles de l’APF Sylvie Chartier, Adapei36 Marion Dericbourg, Adapei36 Claire-Sophie Sabio-Raouki, directrice du secteur enfance adolescence Adapei36 Double merci à Marion Labrune co-organisatrice de cette journée. Un petit clin d’œil, à notre Ladybug, source d’inspiration. Et enfin merci aux enfants et adultes qui permettent que l’inclusion ne soit pas qu’un mot à la mode, à l’école élémentaire de Saint-Maur.

Depuis septembre 2019, l’école élémentaire « Les Planches » de Saint-Maur, accueille une Classe Externalisée. Six enfants, en situation de handicap y sont scolarisés et réalisent des activités éducatives. Ils sont accompagnés par Lucie Bonnin et Nicolas Comptour (accompagnants éducatifs) et par Stéphanie Coignard (professeur des écoles spécialisée). A l’école, ils partagent de nombreux moments et projets avec les élèves des autres classes. Afin que ces derniers soient les plus sereins et agréables possible, une journée de sensibilisation a été organisée avec les 135 élèves de l’école le mardi 19 octobre. Les enfants ont ainsi participé à dix ateliers ayant pour but de leur faire vivre un court instant la réalité d’une personne en situation de handicap.

Et si, pour me déplacer, je devais utiliser un fauteuil roulant…pas facile de passer une porte, de rouler sur des pavés, de prendre un virage. 

Un handicap peut entraîner des déficits visuels, comme pour les aveugles, et il peut aussi accroître d’autres sens…

Avec Lucie, nous nous sommes concentrés sur notre sens gustatif.

Et quand, notre handicap, entraine une gêne motrice… les gestes du quotidien…ouvrir une bouteille d’eau, écrire son prénom, ouvrir une gourde de compote…ne sont pas simples…

…avec l’aide de professionnels je pourrais apprendre une méthode de communication alternative …ici grâce à Aurore nous nous sommes initiés à la méthode PECS.

Heureusement Philippe et Joachim nous ont donné leurs astuces.

Sabrina, nous a initiés au braille, Un alphabet fait de petits trous dans le papier, inventé par Louis Braille, pour les personnes aveugles…

Certains troubles cognitifs peuvent nous rendre difficile les représentations mentales. Ensuite, même un simple jeu de construction devient un vrai casse-tête, comme si tout était à l’envers, comme si on regardait dans un miroir.

Heureusement, Anne-Laure et Béatrice étaient là pour nous expliquer comment faire.

Parfois, l’aide de Boris est la bienvenue.

Et grâce à Marion, sur notre sens du toucher.

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