J’entrai dans le grand bâtiment et regardai autour de moi lorsque tout à coup, de la lave jaillit du sol. Je courus de toutes mes forces pour y échapper, je montais sans arrêt des étages avant de tomber épuisé, je n’avais plus la force de courir et la lave me rattrapait. J’étais perdu, je me disais que mon heure était arrivée lorsque je vis mon père. Il me releva et me poussa vers la lave, je criai, pourquoi avait-il fait ça ? C’était mon père après tout ! Avec un regard froid, il me dit : « Tu n’avais aucune chance de t’en sortir de toute façon, désolé mon fils, maintenant rejoins moi au ciel. »

Le lendemain, je me réveillai. John, dont c’était l’anniversaire hier, dormait encore. On lui laissa le temps de se reposer mais au bout d’un moment, on alla vérifier dans sa chambre si tout allait bien. Il semblait dormir paisiblement. On l’appela trois fois pour qu’il se réveille, mais aucune réponse de sa part. On décida de lui enlever sa couverture : en la retirant, on constata des brûlures au troisième degré. Autour de son cou, son rubis pendant, détaché : la fermeture avait fondu.

On le transporta à l’hôpital mais il était déjà mort : le médecin ne savait pas de quoi. Cela faisait deux fois qu’un membre de la famille mourait à vingt-cinq ans et cela commençait à devenir inquiétant…

J’entrai dans le grand bâtiment et regardai autour de moi lorsque tout à coup, de la lave jaillit du sol. Je courus de toutes mes forces pour y échapper, je montais sans arrêt des étages avant de tomber épuisé, je n’avais plus la force de courir et la lave me rattrapait. J’étais perdu, je me disais que mon heure était arrivée lorsque je vis mon père. Il me releva et me poussa vers la lave, je criai, pourquoi avait-il fait ça ? C’était mon père après tout ! Avec un regard froid, il me dit : « Tu n’avais aucune chance de t’en sortir de toute façon, désolé mon fils, maintenant rejoins moi au ciel. »

Le lendemain, je me réveillai. John, dont c’était l’anniversaire hier, dormait encore. On lui laissa le temps de se reposer mais au bout d’un moment, on alla vérifier dans sa chambre si tout allait bien. Il semblait dormir paisiblement. On l’appela trois fois pour qu’il se réveille, mais aucune réponse de sa part. On décida de lui enlever sa couverture : en la retirant, on constata des brûlures au troisième degré. Autour de son cou, son rubis pendant, détaché : la fermeture avait fondu.

La nuit mystérieuse

La nuit mystérieuse

La nuit mystérieuse

La nuit mystérieuse

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La famille était désormais modeste. Et aujourd'hui c'était l'anniversaire de Théo Bergerac. Théo était grand de taille, il avait des cheveux lisses et des yeux bleus, il était très charmant.

La décoration de l'anniversaire était simple mais belle car il avait du goût. Au moment où il dût couper son gâteau, il eut un mauvais pressentiment : il repensait à ses ancêtres qui étaient morts à 25 ans le soir même de leur anniversaire. Son cœur palpitait fort mais malgré ses mauvaises pensées, il coupa le gâteau avec un beau sourire.

Quand il rentra dans sa chambre pour aller dormir, il entendit quelqu'un toquer à la porte : inquiet, il ouvrit et vit une vieille dame qui se tenait devant lui. Il se rappela soudain que cette dame avait été présente durant son anniversaire. Elle lui fit un sourire et lui dit :
"Bonne nuit, fais de beaux rêves.
-Merci, au revoir", répondit Théo, qui ne comprenait rien.

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Il alla dormir, apeuré. Soudain, il se trouva dans une chambre secrète remplie de monstres de grande taille avec des épines. Théo trouva un katana sur le sol et le prit pour se défendre : il coupa le bras d'un des trois monstres, puis vit ce bras repousser en moins d'une minute. Le monstre lui dit en ricanant : "il faudrait que tu coupes ma tête pour me tuer."

Théo réussit à tuer les deux premiers monstres mais alors qu'il essayait de s'attaquer au troisième, celui-ci étrangla Théo. Le lendemain matin, sa famille le retrouva mort : les traces de mains sur la gorge ne semblaient pas humaines.

Nous sommes en 1950, dans la ville de Paris, précisément dans le 16ème arrondissement. La famille Bergerac s'apprête à fêter l’anniversaire d’un de ses membres : Christopher. Comme tous les 25 ans, un garçon de la famille meurt mystérieusement dans son sommeil. Christopher appréhende ce jour mais il a un plan pour ne pas s'endormir.

Le magnifique soleil de printemps et le chant des oiseaux réveillèrent le jeune homme. Après s’être extrait de son lit, il alla faire sa toilette dans une pièce étroite où se trouvait une bassine d’eau non claire. Ensuite, il alla saluer son père et sa fratrie, puis se rendit dans la cuisine pour y déposer un baiser sur la joue droite de sa mère qui était en train de préparer le petit déjeuner avec le peu de nourriture qu’ils possédaient. 
Pendant le petit déjeuner, Christopher parle du plan qu’il a conçu pour ne pas mourir : « D’ici 4 bonnes heures je ne serai plus avec vous, je ferai le tour des voyantes du coins et même celles de toute le France pour trouver une solution à cette malédiction, commença t-il
- Tu vas terriblement nous manquer mon petit Chris mais je sais que c’est pour ton bien, annonça sa mère
- Je te recommande d’emporter avec toi le bijou familial, il te protégera et te portera chance, ajouta son père. »