Atelier d'écriture réalisé avec Olivier Liron à partir de cartes sur des femmes scientifiques.

Les femmes scientifiques

Bonjour, aujourd’hui je vais vous raconter l’histoire de Marthe Gautier qui a constitué le premier laboratoire de culture cellulaire in vitro en France. Cela lui permit de découvrir le chromosome responsable de la trisomie 21. Marthe Gautier était passionnée par cette maladie qui touchait sa sœur. Apres avoir fini ces études, elle commença à étudier cette maladie pendant 15ans de sa vie de 8 heures du matin à 17 heures du soir. Elle découvrit enfin que cette maladie était disposée sur le 21e chromosome. C’est après cette découverte-là, que sa vie prit une autre tournure. Avec cette nouvelle découverte, n’importe quel homme aurait reçu un prix pour cela, mais elle, non. Tout cela parce qu’elle était une femme. Cette découverte était comme si elle n’avait rien trouver. C’est pourquoi, elle choisit de ne plus parler de ses découvertes au monde. Apres 5 ans de dur travail, elle trouva un médicament pour que les porteurs de cette maladie puissent comprendre et apprendre plus de choses et qu’ils se débrouillent seul dans leur vie. Pendant ce temps, malgré le travail des scientifiques, qui trouvaient que sa découverte n’était pas à la hauteur, aucun d’entre eux n’est arrivé au niveau de la 2e année de recherche de Marthe. Timéo

Nous sommes le 17 juin, c’est le second jour de mon vol en orbite. J’ai pris une douzaine de clichés depuis hier mais seulement 5 sont passables et pourront me servir à l’étude de l’atmosphère. Il y a maintenant une heure qu’une fine brume altère mon champ de vision. Mais je n’y fais pas attention, je dois réussir à ramener toute ces images et aider la Russie à devancer l’Amérique. Je vais terminer ma mission et commencer mes études. «&nbsp;Aller courage Valentina&nbsp;» je ne cesse de me répéter chaque jour. Quand soudain, de grosses turbulences ont commencé à interférer la communication. Je ne plus recevoir la Terre. Je suis seule. Brusquement, un gros bruit retenti, comme une personne qui aurait atterri sur Vostok, mon vaisseau spatial. Je me précipite vers le sas pour sortir et voir s’il y a eu des dégâts, j’enfile mon casque et à peine ai-je sorti ma tête de la fusée que j’aperçois un homme en combinaison, rampant vers moi d’un air paniqué. J’entends vaguement ses cris qui me demandent de l’aide alors je n’hésite pas et je le fais rentrer, après tout un homme seul dans l’espace, c’est plus qu’étonnant. Après une heure à parler, malgré nos deux langues différentes, je commence à comprendre pourquoi et comment il a atterri là. Il vient d’un vaisseau clandestin d’Amérique, et il a été renvoyé par ses supérieurs, et, quand je dis renvoyé c’est éjecté de sa fusée. Demain c’est mon dernier jour de mission, je le ramènerai en Russie. En attendant, je ne vais pas délaisser mon objectif premier et continuer de prendre les photos dont on a besoin pour l’étude de l’atmosphère. J’explique à cet homme comment cela fonctionne, il apprend vite, il a l’air plutôt sincère et de bonne compagnie pour un américain. Troisième jour de la mission, nous sommes le 18 juin et nous allons atterrir. Mon pays m’a réellement manqué, ça fait du bien de sentir l’air pur sur mon visage. Toujours accompagnée de mon acolyte improvisé. J’ai décidé de l’aider à s’intégrer ici et de lui montrer mon travail, il ne veut plus rentrer en Amérique, alors je vais lui offrir une nouvelle vie. Nous sommes des mois plus tard, lui et moi avons commencé nos études dans la même école, la Russie lui plait. Ma mission de mi-juin a permis à la société de voir que le conflit entre nous les russes et les américains n’existe que pour prouver le pouvoir, l’homme que j’ai rencontré est devenu bien plus qu’un simple ami même en étant américain, et je sais qu’à nous deux, nous accomplirons de grandes choses. Valentina Terechkova, première femme dans l’espace. Nila

Williamina, une jeune et brillante mathématicienne, travaillait avec acharnement sur un calcul complexe sur les étoiles dans les couloirs silencieux de l'Université Harvard. Sa passion pour l'astronomie était aussi intense que la brillante lumière des étoiles. Elle cherchait à résoudre les mystères de l'univers. Le projet était supervisé par Edward, un chercheur expérimenté. À Harvard, son esprit analytique et sa détermination étaient légendaires. Il était aimé de tous, mais seul Williamina avait réussi à briser la carapace austère qui l'entourait. Williamina et Edward avaient développé une complicité au fil des longs moments passés ensemble, explorant les profondeurs de l'univers. Leurs discussions étaient bien au-delà des théories et des équations. Ils étaient tous deux fascinés par la grandeur de l'univers et la beauté des étoiles. Ils travaillèrent côte à côte pendant des mois, résolvant des énigmes célestes et repoussant les limites de la connaissance humaine. Au fur et à mesure que leur amour se développait, ils rencontraient un obstacle : la société conservatrice des années 1940 était contre une relation entre deux collègues. Williamina et Edward refusèrent de renoncer à leur amour malgré les pressions extérieures et les regards désapprobateurs. Ils se jurèrent de poursuivre leur lutte pour leur amour et leur éducation. Alors que les étoiles brillaient au-dessus d'eux, Williamina et Edward se lancèrent, l'un après l'autre, dans une quête audacieuse pour découvrir les secrets du cosmos, prêts à affronter tous les obstacles qui se dressaient sur leur chemin. Adam

En1886 aux Etats Unis, vivait Nettie Stevens, une jeune femme passionnée par labiologie et la génétique. Tous les jours, en sortant de l'université WestfieldState University où elle enseignait, elle s'installait dans son laboratoire isolé pour s'adonner avec passion à ses recherches biologiques. À seulement 25 ans, elle vouait ses nuits a de longues expériences. En plus de son travail (faiblement rémunéré), sa passion lui prenait tout son temps libre. Nettie n'avait qu'un objectif dans sa vie: devenir une scientifique révolutionnaire ! Chaque nuit, effort après effort, Nettie progressait, apprenait, se rapprocher de son rêve de gloire.&nbsp; Une nuit... dans la pénombre de son laboratoire... alors qu'elle étudiait les cellules et les chromosomes d'un coléoptère masculin, un tout petit chromosome différent des autres l'interpella. Elle l'observa attentivement, minutieusement... elle découvrit le chromosome Y, la différence génétique entre le masculin et le féminin. Voilà de quoi révolutionner l'humanité ! Non sans résistances et moqueries, elle partagea ses résultats avec la communauté scientifique qui dû se résoudre à l'évidence, une femme avait raison. Quelques mois plus tard, Nettie Stevens devint célèbre pour ses travaux sur les chromosomes et son influence dans le domaine de la biologie. Elle devint une belle source d'inspiration et fit un grand pas dans le monde des sciences.&nbsp; Chaque jour, les hommes et les femmes se demandent en quoi ils sont différents, entre attirance et répulsion, amour et haine. Nettie par son travail acharné a montré tous ce qui nous rapproche, 45 chromosomes en même temps que tout ce qui nous sépare : un tout petit Y. En l'honneur de ce petit chromosome si influent, on l'appelle désormais NettY avec un Y. Alma

Nous sommes le 27 septembre 1601, un messager vient dans mon domaine pendant mon dîner, sa majesté la Reine demande à me voir d'urgence, elle vient de perdre les eaux. J’emmène avec moi deux assistantes, nous montons dans ma calèche et allons en vitesse au château de Fontainebleau, la résidence de ma Reine.&nbsp; J’espère ne pas arriver trop tard, je fais tout mon possible. Une fois arrivée, remplie de stress nous vidons ma calèche, je m'empresse de monter dans la chambre de ma Reine pendant que mes assistantes montent mon matériel. La Reine va mal cela fait trop longtemps qu'elle aurait dû accoucher. Je réfléchis, je repense à toutes les choses que j'ai appris pour arriver ici aujourd'hui et tout le long et dur parcours que j'ai fait en tant que femme. Trois heures plus tard, le futur Roi Louis VIII vient de naître, j'ai réalisé un exploit et en plus de cela je viens de sauver la vie de ma reine ainsi que celle de notre Roi. Je suis remplie de joie, de bonheur et de fierté, fierté dans mon parcours, dans ma réussite malgré que je sois une femme. Antoine

Anna Mani, la femme météorologue qui a vécu en Inde principalement dans des bidonvilles dans les années 1948. Anna Mani était une femme qui s'intéressait énormément à la météo depuis toute petite. Elle aimait regarder les nuages, sentir le vent et aussi elle aimait prédire le temps, pour aider les agriculteurs de son bidonville pour leur récoltent. Anna Mani a étudié la météorologie. Malgré les défis et les moqueries sur le fait qu’elle n’allait jamais réussir sur cette voie, Anna Mani était déterminée à réussir. &nbsp; En 1948, Anna Mani a été embauché comme météorologie en Inde. Elle était responsable des données météorologiques, son travail était très important pour aider les agriculteurs, les pêcheurs et les autres qui ont avaient besoin des conditions météorologiques pour leurs moyens. &nbsp; Anna Mani était énormément passionnée par son travail, elle a fait de nombreuses avancées dans les domaines de la météorologie, notamment la sonde.&nbsp; Au fil des années, Anna est devenue une figure respectée dans le domaine de la météorologie. Son travail a été reconnu par de nombreuses récompenses et distinctions. Elle a continué à travailler comme météorologue pendant de nombreuses années, laissant un héritage durable dans le domaine. Yassine

Hedy Lamarr était une célèbre actrice mais aussi très belle, elle a été nommée "la femme la plus belle" pendant son époque et elle a pu prouver que même en étant belle on peut être intelligente. Lundi 18 juin 1942 elle a inventé le wifi dans son salon avec un tout petit homme. Cela a été très compliqué mais elle l'a fait pour ne pas se faire tuer par les nazis parce qu'elle était juive. Mais quand elle a voulu présenter son invention elle n'a pas eu les mérites mais ce tout petit homme lui les a eus. 58 ans plus tard, elle décide de dévoiler son invention dans un grand journal "the wall street journal", elle a 85 ans et sa vie est courte. De plus, on lui diagnostique une maladie cardiaque ce qui peut donc lui créer un infarctus. Son article a été publié, elle n'a rien à faire à part attendre. Le 19 janvier 2000 elle apprend que personne ne l'a croit et elle reçoit des menaces, c'est juste le soir où elle entend un coup de feu et que son cœur s'arrête. Margot

Lise Meitner, née en 1878 en Autriche. Elle a grandi dans une époque où les femmes avaient peu de possibilités, mais Lise a toujours été passionnée par la science. Au lycée, elle excellait dans toutes les matières, en particulier en physique. Malheureusement, l'université n'acceptait pas les femmes à l'époque. Mais cela n'a pas découragé Lise. Elle a travaillé dur et a réussi à obtenir son diplôme. Sa persévérance lui a valu une place de chercheuse à l'Institut de radioactivité de l'université de Vienne. Lise était fascinée par les rayonnements et les atomes. Sa curiosité la conduisit à travailler aux côtés d'un grand chimiste, Otto Hahn. Ensemble, ils découvrirent une nouvelle forme de radiation, la radioactivité beta. Leur collaboration fut reconnue et ils devinrent rapidement des pionniers dans le domaine. Lise continua à travailler avec Otto Hahn. Ensemble, ils firent une autre découverte révolutionnaire : la fission nucléaire. Leur découverte avait le potentiel de créer des armes puissantes, mais Lise était en désaccord avec l'utilisation de la science à des fins destructrices. Elle choisit alors de se retirer du projet et de s'éloigner de la recherche nucléaire. Cependant, son travail a jeté les bases de la création de l'énergie nucléaire pacifique. Lise Meitner a consacré sa vie à la science, malgré les obstacles qu'elle a dû surmonter en tant que femme juive à une époque difficile. Son dévouement et sa passion ont ouvert la voie à de nombreuses scientifiques femmes qui ont suivi ses traces. Loane

Rose née à Dakar dans une maison précaire, la seule fille de sa famille. Son rêve le plus cher était de vivre en France. Pour y parvenir elle mettra toutes les chances de son cote. Longtemps plus tard après une grande réflexion elle décida de quitter sa famille pour partir en Espagne en bateau, une fois là-bas, elle découvre un nouveau monde, qui pour elle n’était pas réel. Avant ca ,elle n’avait pas réellement de projet de vie, mais avec cette découverte elle comprit exactement ce qu’elle voulait faire :aider la création de ce monde qui prenait à peine forme .Elle alla chercher une bibliothèque elle se souvenait qu’il y en avait une à Dakar alors il y en avait forcément une ici. Arrivée dans ce bâtiment spectaculaire, elle demanda de l’aide avec un espagnol moyen où est-ce qu’elle pouvait trouver des livres sur le nouveau monde? Une fois tous les livres sur la table, il y en avait un qui l’attirait plus que les autres un certains ouvrage sur le «&nbsp;Web&nbsp;». Après ça, elle prit connaissance d’une fameuse école spécialisées dans le nouveau monde, elle y alla et passa un concours plutôt simple grâce aux tas de Livres qu’elle avait lu avant ça puis elle fut a sa grande sélectionnée. Raphaël

Rosalind Franklin, une jeune femme très douée à l’école et plus particulièrement en science se passionna depuis toujours pour la biologie. Les années passèrent et Rosalind entra au King’s College, à Londres pour travailler en biologie. C’était une des meilleures universités du pays pour travailler dans les sciences, le projet sur lequel elle allait travailler était sur la structure de certaines fibres biologiques dont l’ADN. Rosalind était la première femme à travailler sur un projet aussi important, elle était très excitée à l’idée de manipuler et de faire de multiples expériences. Elle dû travailler avec d’autres biologistes pour que les recherches soit plus rapide et plus précises. Ils étaient donc 3 à travailler à ce poste&nbsp;: James Waston, Clark Olander et Rosalind. Les premières semaines défilaient à une vitesse folle, Clark et Rosalind s’entendait à merveille et James lui était plus solitaire et ne parlait pratiquement jamais sauf pour partager ses résultats. Les résultats devenaient de plus en plus concluants surtout pour Clark, il était beaucoup plus en avance que les deux autres biologistes et avait pratiquement trouvé les résultats de toutes les recherches réunies. Puis le lendemain soudainement, Olander était absent à cause d’une maladie ou d’un virus qu’il avait attrapé dans la journée d’hier. Il ne savait d’où venait cette subite maladie qui le rendait extrêmement faible, il avait surtout des nausées, des migraines et des courbatures dans tout le corps. Les jours, puis les semaines passèrent avec de moins en moins de nouvelles de Clark jusqu’au jour de sa mort. La maladie ou le fameux virus l’avait finalement tué et toute ses recherches avaient été rendues confidentielles. &nbsp;Dans le laboratoire désormais, tout était devenu très calme, James ne parlait jamais ou du moins très peu et uniquement pour partager ses résultats à Rosalind.&nbsp; Cela faisait maintenant 5 mois que les recherches avaient débutés et à son tour Rosalind était malade, exactement les mêmes symptômes que Clark. Elle demanda à James si lui aussi était malade et il répondit avec une simple «&nbsp;oui moi aussi&nbsp;» sans plus ni moins. C’était quand même très étrange car il ne semblait absolument pas malade contrairement à Rosalind. Ce jour là était très long, Rosalind se sentait plus faible de jours en jours mais elle ne voulait pas rater un seul jour de travail, elle avait travaillé tellement dur pour en arriver là alors une «&nbsp;petite maladie&nbsp;» n’allait certainement pas l’arrêter et de plus elle commençait et finaliser ses recherches. Elle ne s’arrêtait plus, même lors de la pause du midi elle continuait ses recherches car elle le sentait, c’était aujourd’hui qu’elle allait trouver les résultats.&nbsp; James lui était partit en pose et Rosalind était donc seule dans le laboratoire. Et là, après des mois et des mois de recherches et malgré sa maladie elle touchait enfin à son but&nbsp;: l’ADN à double hélice. Elle était stupéfaite, cette nouvelle allait changer le monde de la science et c’était grâce à elle en partie&nbsp;! Elle sauta de joie dans tout le laboratoire puis trébucha malencontreusement sur le sol en heurtent les affaires de James qui était maintenant étalées sur le sol. Elle ramassa rapidement toutes les feuilles de travail mais l’une d’elle attira l’attention de Rosalind, la feuille ne semblait absolument pas être une feuille de travail mais ressemblait plutôt à un plan ou une liste avec plusieurs schémas. En lisant plus en détail Rosalind compris qu’il s’agissait d’une recette pour fabriquer de la muscarine, un poison mortel. Elle continuait de lire la fiche et trouva des noms écrit dont celui de Clark mais le sien aussi, Rosalind était terrifiée elle comprit tout de suite d’où la «&nbsp;maladie&nbsp;» et Olander et la sienne venait, James les avait empoisonnés. Pile quand Clark commencer à trouver des résultats concluants il était tombé malade et lorsqu’elle aussi était proche du but elle était tombée malade. Il n’y avait plus aucuns doutes, James essayer de tuer les autres biologistes pour essayer de récupérer toute la gloire seulement pour lui. Si les autres biologistes mouraient, ils ne pourraient jamais recevoir le prix Nobel tant convoité par tous les scientifiques. Rosalind rangea rapidement la feuille de James dans ses affaires pour avoir une preuve si les choses se passaient mal plus tard ou pour avoir ne serait ce une preuve contre lui. Puis elle se remit au travail pour ne pas éveiller les soupçons de James sur sa découverte. Le lendemain au laboratoire, Rosalind continuait ses recherches comme si de rien était car James pouvait et était dangereux. Mais avant d’aller le dénoncer elle voulait absolument conclure ses recherches et partir loin de son collègue. La journée se déroulait comme à son habitude, toujours autant calme jusqu’à ce que James s’agite dans la salle, il semblait chercher quelque chose de très important car il devenait nerveux. Il fouillait de partout, dans chaque recoin du laboratoire. Rosalind devenait à son tour nerveuse car elle avait une idée de ce qu’il cherchait, c’était très certainement l’horrible feuille quelle avait récupéré hier et elle l’avait actuellement dans son sac, tout près d’elle mais aussi de James qui devenait de plus en plus impatiens. Après de longues minutes James lui avait finalement demandé si elle n’avait pas vu une fiche de «&nbsp;travail&nbsp;» qui était «&nbsp;cruciale&nbsp;». Elle lui répondit que non et qu’elle n’avait jamais vu cette fiche de sa vie, en essayant bien sur de mentir comme elle pouvait. Elle partit vite de la salle après cette courte discussion qu’il l’avait totalement déstabilisé. Pendant environ 10min elle était en dehors de la salle pour reprendre des couleurs, car elle était déjà malade alors en plus de la nouvelle plutôt la terrifiante nouvelle quelle avait appris hier et maintenant la discussion avec James l’avait retournée. Rosalind était finalement entrain de revenir dans le laboratoire, en rentrant...&nbsp;son sang était glacé. Elle vit James, entourer de feuilles éparpillées tout autour de lui, son sac qui avait été jeté par terre et surtout James, son visage était rouge sang, une expression furieuse que Rosalind n’avait jamais vu sur son visage et surtout. Il tenait entre ses main la feuille qu’elle avait récupéré hier sur son empoisonnement. Méline

Un jour d’été une jeune fille Clara Lazen part pour aller à l'école. Elle prend le bus, arrive à l'école elle se rend dans sa classe de physique une matière qui ne l'intéresse pas. Mais aujourd'hui Ils avaient prévu quelque chose de spécial, Ils allaient fabriquer des maquettes de molécules. Ça lui remonte le moral car elle aime construire des choses. Pendant le cours le professeur va passer dans les rangs pour voir le travail des élèves. Quand vient le tour de Clara, le professeur est très surpris car la molécule qu'elle a fait est bizarre. A la fin du cours le professeur lui demande s’il peut garder sa maquette, elle accepte. &nbsp;Ce fut le seul cours intéressant de la journée. Les cours finis, elle rentre chez elle et raconte ce qui c'était passé à ses parents qui tous les deux travaillent dans l’art. Une semaine après l'événement ce fut le bazar à l'école. Il y avait des journalistes partout. Arrivée dans sa classe Clara fut appelée par son prof de physique qui lui demanda de venir avec lui. Elle était confuse mais elle le suivit. Arrivée dans une pièce avec plein de gens, elle demanda à son prof ce qui se passait. Il lui répondit qu’elle avait trouvé une nouvelle molécule et qu’elle allait gagner le prix de la plus jeune scientifique et serait interrogée par plusieurs journalistes. Rentrée chez elle, elle annonça la nouvelle à ses parents qui furent très contents pour elle.&nbsp; Le lendemain elle reprit sa vie d’écolière comme si ne rien c'était passé.&nbsp; Mathias

Encore dans ses livres, Willie est a la bibliothèque pour sa thèse. Elle sait que sa thèse peut faire changer les choses. Willie aura fini sa thèse dans quelques mois, ces trois ans de travaille acharner pour avoir son doctorat lui ont forger un mental d’acier Être une femme noire et scientifique au Etats-Unis est compliquée plusieurs personnes ont voulu l’a saboté mais son tuteur l’a toujours soutenu. Son tuteur est un professeur de physique qui a tout de suite cru en elle. Grace a lui elle a pu avoir excès a des labos et même a des outils spéciaux. Beaucoup d’autre doctorant étaient jaloux voir même haineux envers Willie. Aucune femme noire n’avait encore réussi à obtenir un doctorat en physique. Il était inconcevable que Willie réussisse. Pourtant Willie n’avait jamais été aussi proche de l’avoir que n’importe qui d’autre. Durant les quelques mois avant sa thèse, Willie perfectionnait ses recherches pour avoir toutes ses chances. Elle se doutait bien que celons les jurys tout pouvais échouer, mais elle avait confiance en elle est en sa thèse. Le jour est venu pour Willie de présenter sa thèse. Son tuteur l’encourage a ses côtés. On l’appela à rentrer dans la salle. Sa présentation commença, le jury était composé essentiellement d’homme ce qui ne l’étonna pas. Willie, pleine de confiance présenta son sujet au jury. Apres cela, les questions commencèrent. Les jurys voulurent la piéger mais Willie connaissait parfaitement son sujet. Apres sa thèse passé, Willie n’avait pas peur. A l’arrivée des résultats elle était entourée de sa famille. Son tuteur ne pouvait pas être au près d’elle ce jour la mais il regardait les résultats lui aussi. Quand les résultats étaient enfin en ligne, une vague d’émotion frappa Willie et sa famille. Elle se rendit enfin compte que ses trois ans de racisme et de sexisme étaient enfin finis et qu’elle avait réussie. Elle était la première femme noire à obtenir un doctorat en physique. Bien sur elle reçut un message de son tuteur. Apres cela Willie vécue avec encore plus de force et éduqua ses enfants dans la confiance . Lucie

Durant mon enfance, je ne voyais pas souvent mon père. Je ne savais pas exactement ce qu'il faisait comme métier car il n'avait jamais eu le temps de m'expliquer en quoi cela consistait. Il n’était jamais là, toujours parti en expédition et jamais à la maison. Ma mère me disait que c'était en bateau sur les océans et les mers qu’il travaillait mais je ne comprenais pas. C'est pour cela que j'ai voulu travailler dans le même domaine que mon père, j’ai voulu comprendre la raison de toute ces absences. C'était un après-midi pluvieux dans le petit laboratoire de cartographie où je travaillais avec un de mes collègues. Les radars avec lesquels nous travaillons n'étaient pas de grande qualité mais cela suffisait pour pouvoir continuer le travail et pouvoir faire des découvertes extraordinaires. Nous étudions les fonds de l'océan Atlantique, chaque détail était examiné mais soudainement quelque chose attira toute mon attention&nbsp;; une chaîne de montagne sous-marine, là, sous l'eau. C’était très étrange, personne n’avait encore vu ça. Alors nous avons commencé nos recherches, dans tous les endroits où nous pouvions trouver une trace de ce que nous venions de trouver, dans des vieux journaux ou encore des récents. Après plus d’une après-midi passée à chercher la moindre prise de parole au sujet de montagne sous-marine sans succès, nous comprenions que cette découverte que nous venons d'effectuer est importante pour nous mais aussi pour la compréhension de la structure de notre monde. J'étais très intrigué, j'ai passé des jours entiers à examiner, à chercher, à rechercher et à essayer de comprendre. Raphaël B

Il était une fois une jeune femme qui était passionnée des sciences, mais pour une femme cela est très compliqué de se faire une place dans ce milieu. Yvonne Choquet-Bruhat va devoir faire des sacrifices pour réaliser son rêve. Aujourd'hui était une journée comme les autres, j’étudie des problèmes scientifiques que personne n'a jamais résolu. Aujourd'hui était mon jour depuis ce matin j’avais que des bonnes nouvelles. J’ai enfin résolu un problème de physique que je travaille depuis un très long moment. J'ai décidé de partir faire ça avec ma meilleure amie. On a danser, bu. Le lendemain matin j'avais la gueule de bois, j’ai dû quand même aller au travail mais pendant la soirée ma pote elle m'avait dit d'en parler pour que ma découverte soit dite au public. Je suis parti voir Jean-Pierre qui était un collègue de travail. Parce que sincèrement je n’avais aucune idée de comment faire pour que ma découverte soit publiée. Ce qui m’a étonné en parlant avec lui est qui était passionné par ce que je disais, il prenait même des notes. Sincèrement je ne me doutais de rien mais ça aurait dû me mettre la puce à l'oreille car ce qu'il m'a fait n'était vraiment pas gentil de sa part. Après quelques jours on me disait que Jean-Pierre avait fait une magnifique des couverts qui concernait un problème de pesanteur. Cela me paraissait très familier donc je décide d’avoir plus d'informations sur le sujet si je ne me fais pas des fausses idées. Mais la triste nouvelle est que c'est bien et belle ma résolution qui a été volée par lui. J’étais désespérée, je ne savais même pas quoi faire, dire, j’étais juste dépitée. Au moment ou tu te dis que tes efforts ne te rendront jamais ces fruits et bien là j’ai eu une idée c’est dans registres notre conversation. Je sais pertinemment que sais illégal dans registres quelqu'un à son insu mais bon il fait bien une chose illégal lui aussi, alors dent pour dent, yeux pour yeux. Je partis le voir et on a commencé une discussion normale puis petit à petit entrer dans le sujet du pourquoi du comment il dit à tout le monde que c’est lui qui a résolu le problème. Il me disait que c’était faux que tout le monde avait mal compris et qui disait bien que c’était mon qui avait résolu ce problème. Au fond de moi j’étais morte de rire, sa tête était de plus en plus rouge avec de la sueur. Par la suite je partis voir notre patron est lui est tout explique en détail et lui fait écouter le fameux audio qui est illégal. Là, il convoque Jean-Pierre pour qu'il s’explique réellement. Comme par hasard il n'a pas aimé que je trouve avant lui car ça fait quatre ans qu'il est dessus et que ma petite personne a réussi à le résoudre en un an. Sarah

A la mort de son père en 1810 lorsqu'elle avait 11 ans, Mary reçoit la collection de fossiles de son père qu'elle entretiendra avec des fossiles qu'elle trouve et qui ne se vendent pas. A l'âge de 12 ans, alors encore en deuil de son père, et en vacances sur les côtes britanniques, elle tente de se changer les idées en faisant un château de sable sur la plage Monmouth beach de sa ville natale mais au bout d'une vingtaine de centimètres, elle tombe sur une roche très dure et compacte. L'envie lui prit de vouloir déterrer cette pierre étrange et intrigante. Pour ce faire, elle commence à trouver un bord de cette plaque rocheuse qui est plus grande que ce qu'elle pensait. Une fois le bord trouvé, elle creuse encore afin d'obtenir une bonne prise pour pouvoir extirper cette roche de dessous le sable. Une fois sortie du sol elle remarque une force bizarre, d'une autre couleur que le reste de la plaque rocheuse ainsi qu'en relief. Il ne s'agit d’aucun fossile qu'elle connait. Elle se renseigne et remarque que personne ne connait cette forme de fossile. Elle demande à des scientifiques plus experts qui lui annoncent qu'elle vient de trouver une nouvelle espèce de dinosaure qu'ils nomment "ichthyosaures". Les découvertes de ce nouveau dinosaure s'enchainent et les scientifiques concluent que les fossiles de Mary Anning est un jeune ou bébé ichthyosaures. 10 ans plus tard alors qu'elle ferait une randonnée sur un chemin qu'elle aurait choisi à sa guise. Elle passera au pied d'une grande plaque rocheuse sur laquelle comme 10 ans auparavant se trouvait un fossile d'un dinosaure d'une quinzaine de mètres qui semblait être aquatique dû aux os de ses pattes similaires aux nageoires des autres reptiles aquatiques. Après toutes ces recherches et découvertes Mary Anning sera connue mondialement dans le domaine de l'archéologie en tant que grande figure de son temps. Jérémy

Le téléphone sonnait, cela faisait déjà plus de trois fois mais je ne bougeais pas n'ayant plus d'espoir d'une quelconque offre de publication pour ma découverte d'optimisation de la conception d'avion à partir de mes études sur les plumes d'oiseaux. J'étais plongée dans le New-York times, un article me passionnait, me terrifiait aussi. Il racontait le crash mystérieux d'un avion dans l'océan pacifique. Cette histoire éveilla tellement ma curiosité que je décidais de mener mon enquête personnelle. Grâce aux photo obtenu du réacteur repêché dans la mer je trouvais un indice révélateur. Moi qui avais si longtemps étudié les oiseaux pour améliorer la technologie de l'aviation je reconnus immédiatement que l'endommagement du réacteur était dû à un choc avec un volatile. Je me dépêchais ainsi d'envoyer un mail à la compagnie d’Air France pour leur faire part de ma conclusion. J'avais raison, me répondirent t-ils. Ce petit exploit me permit de trouver rapidement un travail dans le domaine de la sécurité et d'être reconnu pour mon travail. Quelques semaines après une multitude de journaux me contactait pour publier mes découvertes sur l'incroyable pouvoir des plumes d'oiseaux et sur ce que cela pouvait apporter à l'aviation d'aujourd'hui. Samuel

&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; &nbsp;&nbsp;&nbsp;Un jour, elle découvre le facteur de croissance nerveux et décident de le tester sur des humains. Rita habitait une petite maison de campagne qui était vraiment flippante, avec des ronces et des statues d’hommes. Sa maison était assez isolée pour faire c’est test. En 1980, le 12 mai plus précisément, elle kidnappe sa première victime, et commence à faire c’est premier test sur lui, qui se passera dans son laboratoire aménager dans sa chambre. Tout le monde avez entendu parler d’elle, les gens disaient que c’était une sorcière, c’est donc pour ça qu’elle habitait dans une maison au fond des bois. Quand elle kidnappa sa première victime, personne n’osait aller la chercher par peur, de tomber nez a nez avec elle. L’homme, que Rita kidnappa, avait un problème au système nerveux. Le 15 mai, 3 jours après que Rita avait kidnappé sa victime, de la fumée sortez de sa cheminée. Tout le monde commençait à s’inquiéter par peur pour l’homme. Les forces de police allaient intervenir pour essayer de récupérer l’homme, quand tout à coup, ils aperçoivent une ombre au loin. C’était l’homme kidnappé par Rita. Il était totalement déboussolé et ne savait pas où il était. Les forces de Police l’on vite récupérer et l’on menait à l’hôpital pour voir quelles séquelles il avait eues. Les médecin et docteurs ont passé plusieurs test et analyses sur l’homme jusqu’à constater qu'il n'a plus sa maladie. Les enquêteurs allèrent donc chercher Rita pour voir comment a-t-elle fait, pour le soigner, ils découverts donc que Rita savait comment isoler le facteur de croissance nerveux. Quelque année plus tard, Rita poursuivit une carrière académique, et elle travaillera ensuite au Etats-Unis. Trente-quatre ans plus tard, Rita obtient le prix Nobel de médecine. Tiago

MARIPOSA Depuis petite Anna Maria Sibylla Mérian était fasciné par les papillons et tout ce qu’il les concerné. Puis un jour elle fut transportée dans un grand jardin. Il y avait un grand lac, beaucoup d’arbres, de fleurs… Mais surtout, il y avait énormément de papillons tous avais une couleur différente, comme si ces couleurs désigner leur personnalité. Anna Maria, ébloui par la beauté de cela elle voulut s’approcher d’un papillon rose, qui commença soudainement à briller, peu de secondes après, il commença à parler et à présenter qui il était, et son territoire. Malgré son choc, elle comprit, donc que ce papillon était le fils du roi de ce jardin, nommé « Mariposa ». Il lui parler un peu de l’histoire de ce grand jardin, de son père et plein d’autres informations qui pourrait l’intéresser à propos de cet endroit. Après quelques minutes de discussion, elle partit à la découverte de cet environnement mystérieux, elle découvrit d’autres petites bêtes comme des libellules, des grenouilles, ou encore des chenilles. Ces insectes étaient malheureusement très compliqués à trouver car elles étaient très rares à trouver dans cet espace vert, puisqu’elle se trouver dans un endroit assez compliqué à déniché. Elle était arrivée ici avec un petit sac ou dedans se trouver une gourde et un petit carnet accompagné de stylo. Passionné de dessin elle dessina c’est merveilleux insectes pour en garder un souvenir. En continuant sa visite, elle découvrit une feuille et dessus une chose étrange, si trouvait. Elle la dessine aussi pour pouvoir l’étudier en rentrant chez elle. Après avoir marché quelques temps, elle revint sur la place initiale. Après avoir observé les choses qui entourait la grande place, êtes-vous plus intéressé au plus important, les papillons. En les observant, de plus près, elle découvrit sur chacun d’eux une lettre, certains avaient la même, mais d’autres on avait des différentes. C’est comme si cette lettre désigné une catégorie ou peut-être pour différencier les familles. D’ailleurs elle en dessina quelques un pour pouvoir aussi les étudier plus tard. Quand tout se passer à merveille pour elle, Anna Maria entendit une alarme très puissante. Elle vit tout à coup tous les papillons se réfugier dans une grotte en pierre. Mais malheureusement pour elle, elle n’était pas assez petite pour pouvoir y rentrer. Prise par la panique elle courut à toute vitesse, vers l’endroit où se trouver les grenouilles. Un peu plus loin elle trouva une grotte pour pouvoir s’y cacher. Par la peur et par l’angoisse que cet évènement lui apporter, elle ferma les yeux pour pouvoir échapper à une éventuelle crise d’angoisse. Quand elle réouvrit les yeux, elle remarqua que l’alarme n’était autre que son réveil qui sonnait. Pour se remettre de son rêve assez éprouvant, elle décida d’aller boire pour se calmer. Mais en allant dans sa salle de bain, elle découvrit un sac qu’elle n’avait pourtant jamais vu. Prise par la curiosité elle l’ouvra et y découvre le fameux carnet, du rêve. En ouvrant elle apercevra tous les dessins qu’elle a pu faire. Et pourra donc continuer les recherches de la chose étrange sur la feuille, mais malheureusement elle ne pourra jamais poursuivre l’étude des papillons et leurs lettres car dans la vie réelle ces lettres n’existent pas. Quelques années plus tard, l’extraordinaire découverte qu’elle aura pu faire dans son rêve et qu’elle avait dessinée sur cette feuille l’aura emmenée beaucoup plus loin que ce qu’elle aurait pensé. Car cette découverte n’était autre qu’un cocon, et bientôt la naissance d’un papillon. Chloé

Entre les deux guerres mondiales, Anita Conti, une jeune femme ordinaire de la banlieue parisienne, fut confrontée à des temps difficiles. Employée comme secrétaire dans une entreprise de photographie, elle se retrouva sans emploi lorsque celle-ci fit faillite après seulement un an. Les temps étaient durs et les perspectives sombres. Le 14 juin 1940, alors que l'occupation nazie plongeait Paris dans l'angoisse, Anita prit une décision cruciale : fuir la ville pour sauver sa peau. Sans réfléchir, elle rassembla ses affaires et prit le premier train en direction des côtes françaises, laissant derrière elle son passé avec un soupçon de nostalgie. À Bordeaux, Anita se retrouva à chercher un nouveau départ. Attirée par la cartographie depuis son enfance, elle décida d'explorer cette passion avec ardeur. Les vastes océans qui s'étendaient devant elle semblaient offrir un nouvel espoir. Au cours d'une de ses expéditions en mer, Anita fit une découverte troublante. Par inadvertance, elle réalisa l'étendue de la surpêche et de la destruction des océans par l'homme. Les prises excessives des pêcheurs menaçaient l'équilibre fragile des écosystèmes marins. Consciente de l'urgence de la situation, Anita décida d'agir. Utilisant ses compétences en cartographie, elle entreprit de sensibiliser les autres à la préservation des océans. Son engagement pour la protection marine devint sa nouvelle mission dans la vie. Ainsi, d'un simple changement de vie à Bordeaux à son rôle de défenseure des océans, Anita Conti trouva sa voie dans un monde en perdition. Eliot

Bonjour, je m’appelle Nellie, Nellie BLY. Je suis née à Cochran’s Nills en Pennsylvanie, le 5 mai 1864. J’ai toujours été passionnée par le journalisme, l’imprimerie, la presse tout ceci dès mon plus jeune âge. Cela vient peut-être du fait que j’habitais en face d’une fabrique de journaux. De plus, mon père était écrivain donc je lui empruntais sa machine à écrire et j’inventais mes propres histoires. Je me suis sans doute inspirée de lui, de son parcourt pour créer le mien par la suite. J’ai eu une scolarité très hétérogène, des matières m’étaient peut-être plus destinées où bien le fait que je n'aimais pas mon professeur de physique qui était vraiment désagréable envers tous ces élèves. J’ai donc abandonné cette matière par la suite. Pour donner suite à ce parcourt compliqué, j’ai décidé de me rediriger vers des études de journalisme mon rêve d’enfance. Mes objectifs étaient de pouvoir relever, explorer, raconter des sujets qui me tiennent à cœur comme les conditions de vie des personnes âgées, handicapées ou encore psychologiquement atteintes dans des asiles et des maisons de retraite. Par la suite, je me suis rapproché de la psychologie et plus particulièrement des asiles psychiatriques j’ai mené mon enquête et j’ai découvert des conditions de traitement des patients déplorables&nbsp;: on leur donnait de la nourriture premier prix, deux repas par jour seulement, que 4 services de chambres par semaines et enfin un état sanitaire de certains patients et de l’établissement pittoresque. J’ai écrit un article sur ce vécu mais il n’est jamais paru car les maisons d’éditions où j’ai proposé mon œuvre ont refusé de la publier. Alors, je l’ai diffusée moi-même, à l’aide de mes connaissances. Ce journal bien évidemment clandestin et est «&nbsp;sorti’&nbsp;» en 1887. À la suite de ces évènements j’ai décidé d’aller voyager pour écrire un journal de bord dans de multiples pays et ainsi donc découvrir des traditions, des mœurs. J’ai accompli cette aventure après un tour du monde en seulement 72 jours. Gabriel

C’était un jeudi matin, comme chaque jour j’allais au laboratoire. Je prenais mon café quotidien qui me permettait de me réveiller et de commencer mes recherches. Quelques mois auparavant, mon équipe et moi avions réussi à avoir un radiotélescope. Cela faisait des semaines que nous étudions les signaux captés par le radiotélescope. Lorsqu’un jour comme un autre, je regardais les enregistrements captés mais un signal pas comme les autres apparu. Celui-ci n’était pas normal, du moins il ne le semblait pas. Je m’empressai d’appeler mon équipe pour qu’il puisse constater cela, aucun d’entre eux n’avais vu un tel signal auparavant. Nous nous retrouvons sept ans plus tard, lorsque j’appris que mon coéquipier Antony Hewish reçu le prix Nobel de physique pour avoir découvert le pulsar. Je fus surprise et déçue du fait que je ne sois mentionnée nulle part, dans aucun journal, sur aucune chaine TV. J’avais pourtant joué un grand rôle dans cette découverte. Axel

&nbsp; Après avoir crée le célèbre langage de programmation «&nbsp;Cobol&nbsp;» en 1959, la jeune femme gagna alors énormément d’argents. N’ayant plus aucune famille, elle s’installe alors dans un immense château à Monaco avec ses plusieurs chiens afin de vivre une vie paisible. Alors une routine s’installa, à 8h30 elle part en randonnée avec ses quatre chiens, revenu à 10h c’est l’heure de la toilette quotidienne, les quatre chiens étaient lavés par les quatre majordomes car oui chaque chien avait son majordome, les majordomes étaient très fidèles à madame Hopper. 12h30 le diner était servi, les repas étaient principalement composés de viandes et de petits légumes. Après avoir bien digéré le repas grâce a une bonne sieste, à 15h15 le cours d’agility commence, ces chiens sont des chiens de compétition et il est impératif de s’entrainer au moins 2 heures par jour car la prochaine compétition étant dans 2 semaines. Grace à ses plusieurs espions elle sait alors le parcours exact de la prochaine compétition, elle était capable de tout pour que ses chiens gagnent ce championnat. Le cours se finit alors à 17h15 et une pose d’une heure s’impose alors. Le temps d’affection entre les chiens et madame Hopper a lieu de 18h à 20h30, pendant ce temps là les majordomes préparaient le repas pour les chiens, chaque repars étaient adaptés aux différentes races, dont un caniche, un cavalier king charles et deux teckels. 21h le repas est donc servi et ils vont alors dormir aux alentours des 22h. Tout cette routine pour un objectif&nbsp;: gagner ce championnat quoiqu’il arrive. 2 semaines passèrent, c’est le jour J, madame Hopper était fin prête, ces chiens ne tenait plus en place. Arrivé sur place les aboiements étaient plus que sonores, les tours passaient au fur et à&nbsp;mesures, enfin le dernier tour arriva, le tour de Grace Hopper et de ses chiens. Garry et Tanny les deux Teckels passèrent en premiers, une seule erreur a été noté lors du parcours, ensuite ce fût le tour du cavalier king charles, Soleil et ce fût un sens faute&nbsp;! Pour finir, Lady, le caniche commença alors le parcours mais malheureusement, la chienne se pris alors les pattes dans le cercle et se cassa les deux pattes arrière. Madame Hopper courra vers Lady livide et au bord de la crise d’angoisse. L’ambulance arrive donc et emporta Lady. Une semaine, une semaine que Lady était à l’hôpital canin, une semaine que madame Hopper était sous tension, elle passait toutes ses nuits au côté de Lady qui souffrait à cause de ses deux pattes arrière, mais heureusement elle allait tout de même bien malgré son vieil âge. De retour au château, madame Hopper se fit la raison d’arrêter les concours d’agility et de laisser ces chiens prendre leurs retraites tranquillement, elle compte alors de se remettre à créer différents programmes car elle se remémore sa jeunesse. Elle vécu alors ses dernières années à créer des programmes aux côtés de ces quatre chiens, Garry, Tanny, Soleil et Lady. Anne-Clémence

En 370, Hypatie, une jeune fille surdouée, se rend à Alexandrie afin de devenir enseignante. Elle a peur, c'est vrai. Après tout, c'est une femme dans un monde où elles ne sont même pas citoyennes. Mais elle est déterminée et elle sait qu'elle a les compétences et la discipline nécessaire. Hypatie est très pieuse, elle a confiance en le ciel pour lui porter chance et réussite. À son arrivée, elle fut troublée par le peu de considération. Personne ne la voyait, elle était invisible. Les seules interactions sociales dont elle était la cible étaient des remarques ou des conseils de la part des quelques esclaves affranchis qui trainaient dans les rues. "Couvre toi, imprudente !", " Une femme,ici ?". Les mois passèrent, Hypatie avait du mal à s'intégrer. Malgré tout, elle s'était trouvé un mentor, du nom de Pollux. En effet, il était le seule homme à croire en elle et en son intelligence. Il l'avait pris sous son aile et désormais, il fallait la respecter ou avoir à faire à Pollux. Il étais un grand professeur d'algèbre et avait une place important au Sénat. Grâce à lui, elle pu obtenir ses premiers élèves. Malheureusement, ses élèves n'étaient que des petits garçons et pouffaient ou rougissaient à chaque fois qu'ils étaient en classe. Ils n'étaient pas habitués à voir une autre femme que leur mère alors ils oscillaient entre l'intimidation et la moquerie. Peu à peu, les progrès des petits garçons grâce aux leçons d'Hypatie se firent remarquer. Leurs pères se réunissaient parfois pour discuter de l'aptitude d'une jeune femme venue d'ailleurs à éduquer leurs fils. "C'est ridicule !" disaient certain, "C'est vouer notre descendance à l'échec et à la bêtise !" disaient d'autre. Seul Pollux, assis au fond de la pièce, regardait le tableau dans une fatigue profonde. Les années s'étaient écoulées et Hypatie avait enfin été reconnue. Elle avait fondé la première école néoplaticienne d'Alexandrie dont elle était à la tête. Pollux avait quitté la Terre depuis une décennie environ, et dans le nouveau décor de la ville, les Chrétiens fanatiques s'étaient répandus. Hypatie était très tolérante à l'égard des Chrétiens. Une nuit, alors qu'elle s'était assoupie à la lueur de sa bougie, un cri retentit dans Alexandrie. C'était celui d'une femme intelligente qui avait illuminé son époque de son savoir et de ses innovations. Celui d'une femme assassinée par des Chrétiens fanatiques par haine et dont son grand ami Pollux ne reverrai jamais le visage. Téa

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