Premios Literarios de la Fundación Sara Sánchez Coma
Edicion XV
2024
Edicion XV
2024
Les pierres...
Stones...
Piedras...
Pedres...
Stones...
Piedras...
Pedres...
- Este año, el concurso de Premios Literarios de la Fundación Sara Sánchez Coma, llega a su decimoquinta. Como en los años anteriores, podrán participar los alumnos de:Sixième
- Quatrième
- Seconde
- Este año tambie están invitados a participar los alumnos de 1ÈRE BFI
- Redacción: en prosa, o a la mejor poesía
- Idioma: en castellano, catalán, francés o inglés
- Tema: "Las piedras"
- Formato: Din A4, de 25 a 30 lineas por página, tipo de letra Arial 12 y entrega en archivo Word. Todas las páginas deberán ir numeradas menos la portada.
Les gagnants du concours 2024
- Toutes les pierres - Antoine BOURDET 6ème1
- La Découverte de Rubis et les étoiles filantes - Anne Dujardin 6ème6
- Mon coeur à Céleste - Emma Diez de 4ème5
- L'histoire des pierres - Amaya Lafforgue-Hubert de 4-6
- Le rocher d'en face - Elise Kalfon, Sasha de la Fuente, Inés Almeida et Pépi Hervelin-Herrou de 4ème6
- Les Pedres mar i muntanya - Dana Sabatier 4eme7
Les gagnants du concours 2024
- Toutes les pierres - Antoine BOURDET 6ème1
- La Découverte de Rubis et les étoiles filantes - Anne Dujardin 6ème6
- Mon coeur à Céleste - Emma Diez de 4ème5
- L'histoire des pierres - Amaya Lafforgue-Hubert de 4-6
- Le rocher d'en face - Elise Kalfon, Sasha de la Fuente, Inés Almeida et Pépi Hervelin-Herrou de 4ème6
- Les Pedres mar i muntanya - Dana Sabatier 4eme7
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TOUTES LES PIERRESIl a le cœur rempli
De pierres et de problèmes
Et sa surface naturelle
Est terne et rugueuse
Ses pensées sont
Comme des ricochets
Rapides et rebondissantes
Mais il les garde pour lui
Il reste fidèle à lui-même
Il marque chaque jour
D’une pierre blanche
Pour bien en profiter
Tous les jours
Sur le chemin de l’école
Il traîne un caillou dans sa chaussure
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Mais son cœur explose de joie Comme un petit claque-doigt
À chaque fois qu’il pense à toi.
Antoine BOURDET 6ème1
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La Découverte de Rubis et les étoiles filantes
Chapitre I:
Rubis était une fille rousse avec des taches de rousseur de 10 ans, qui vivait avec sa mère dans un chalet en bois très simple dans les montagnes suisses. Sa mère, Adélaïde, était veuve. Son mari était parti à la guerre mais n’était jamais revenu. Rubis et Adélaïde, quand elles apprirent la nouvelle, furent très tristes et pour la première fois dans leur vie, elles sentirent une immense perte qui leur causait de la douleur et une tristesse inconnue dans leurs cœurs.
Chapitre I:
Rubis était une fille rousse avec des taches de rousseur de 10 ans, qui vivait avec sa mère dans un chalet en bois très simple dans les montagnes suisses. Sa mère, Adélaïde, était veuve. Son mari était parti à la guerre mais n’était jamais revenu. Rubis et Adélaïde, quand elles apprirent la nouvelle, furent très tristes et pour la première fois dans leur vie, elles sentirent une immense perte qui leur causait de la douleur et une tristesse inconnue dans leurs cœurs.
Le père de Rubis était astronome, il étudiait les astres, les étoiles et les étoiles filantes. Chaque nuit, Rubis et lui allaient voir les étoiles sur leur arbre préféré, un chêne majestueux qui se trouvait dans les bois à côté de la maison de Rubis. Cet endroit semblait sorti d’un conte de fées, avec le sol recouvert de mousse et quelques champignons se trouvant par-ci, par-là… Tout cela était la magie de la nature. Rubis et son père s’asseyaient sur une branche qui était assez résistante et le père de Rubis expliquait à celle-ci toutes ses connaissances sur les étoiles filantes; ce thème fascinait Rubis car voir une étoile qui va à toute vitesse dans le ciel sombre est une grande chance.
À la mort de son père, Rubis persévéra et se rendit tous les soirs au chêne majestueux même si elle pleurait à chaque fois, en voyant la branche où normalement son père et elle s’asseyaient, main dans la main à regarder le ciel étoilé et à attendre et attendre, pour voir si une étoile filante passait. Un soir, dans la tête de Rubis, une phrase de son père apparut. Son père lui disait à chaque fois, quand elle était déçue de ne pas voir une étoile filante, lui chuchotant à l’oreille: “Ne t’inquiète pas, Rubis”. “Ne sois pas déçue”. “On continuera à venir ici et je suis sûr que quand je ne serai plus là, tu continueras à venir ici et à admirer le ciel.” Rubis, qui avait toujours le livre d’astronomie de son père dans la poche de son blouson, l’ouvrit et commença à feuilleter le livre à toute vitesse, et elle s'arrêta enfin sur le chapitre qu’elle cherchait, celui des étoiles filantes.
Elle lut ce chapitre et fut surprise d'apprendre que les étoiles filantes étaient en fait des pierres et qu’en traversant l'atmosphère elles étaient recouvertes de feu car en allant à cette vitesse époustouflante elles se recouvraient de feu et c’est pour cela qu’on peut les voir depuis la Terre. Le chapitre des étoiles filantes était en fait le dernier du livre d’astronomie de son père, mais Rubis s'aperçut qu’il y avait des pages vierges. Elle s’assit au pied du chêne et sursauta. Les pages qui étaient vierges commencèrent à se remplir de mots, de phrases… Lorsque Rubis commença à lire le texte qui se formait, elle cria de stupeur.
Chapitre II:
Rubis ne savait pas quoi faire. Était-elle en train de rêver ? Est-ce qu’elle était en train de dormir dans son lit douillet ? Non, elle se sentait bien réveillée mais elle décida de se faire une pincette au bras. Cela lui fit un peu mal, ce qui voulait dire qu’elle était là, dans la forêt, à côté du grand chêne dont elle caressa l'écorce pour se tranquilliser. Elle relut pour la seconde fois le texte qui avait fini par se former. Il y avait écrit:
Rubis ne savait pas quoi faire. Était-elle en train de rêver ? Est-ce qu’elle était en train de dormir dans son lit douillet ? Non, elle se sentait bien réveillée mais elle décida de se faire une pincette au bras. Cela lui fit un peu mal, ce qui voulait dire qu’elle était là, dans la forêt, à côté du grand chêne dont elle caressa l'écorce pour se tranquilliser. Elle relut pour la seconde fois le texte qui avait fini par se former. Il y avait écrit: