L' EFFRAYANT WEEKEND DE JEANNE

L'EFFRAYANT WEEKEND END DE JEANNE.

Agathe

Juline

Il est 8h30 la journée commence par des matières générales : Français, Math, Anglais...

Quelques heures plus tard: la journée était terminée; je ne l'avais pas vu passer!

Une fois rentrée chez moi. Je commençais mes devoirs.

Après avoir fini mes devoirs je regardais la télé pour me détendre.

Je me préparais pour une bonne nuit.

Le mardi, vers 7h, je fus réveillée par ma mère.

Je pensais passer une journée comme les autres...

C'est le vendredi que tout bascula! alors que je rangeai la salle d'arts plastiques, j'entendis une clé fermer la porte! Oh non, je n'osai y croire! Je me précipitai mais j'étais bel et bien en...fer...mée!

Qu'allais-je faire? Passer tout le week-end ici?? Oh non! J'étais vraiment inquiète.

??????

Je ne pouvais pas communiquer avec l'extérieur :je n'avais pas mon portable!

Tout à coup, la lumière s'éteignit! Une coupure de courant?

Maintenant, il faisait vraiment sombre dans la salle... mon cœur battait la chamade.

Je n'avais rien sur moi pour me rassurer et m'éclairer un petit peu...

Je n'avais même pas la petite torche qu'on m'avait offerte à Noël! Quel dommage!

La nuit tombait, je tressaillis...

Mais bientôt, la lune éclaira la pièce d'une lueur blafarde.

J'en profitai pour dessiner afin de tromper mon angoisse grandissante. Cela m'occuperait sans doute l'esprit!

C'est les rayons du soleil qui me réveillèrent.Je réalisai que j'étais toujours coincée dans la salle d'arts plastiques.

Je n'avais plus d'espoir pour sortir d'ici avant lundi... le collège semblait abandonné; j'avais faim et soif. La journée fut longue!

A nouveau, il faisait nuit dehors . La salle était à nouveau plongée dans la pénombre. Je frissonnai.

Je contemplais mes dessins quand...

tout à coup je crus entendre un bruit sourd dans la pièce à côté! Je tremblais. Je collai mon oreille au mur... avais-je rêvé?

Peut-être était-ce juste le bois d'une armoire qui avait craqué?

Je vis alors l'ombre d'une silhouette dans un coin.

J'essayais de me cacher en m'allongeant sur le sol.

Je ne voulais pas que la silhouette m'approche!