Créations poétiques des quatre saisons
Par les 6è VOSGES
Les quatre saisons, Arcimboldo (1563-1573)
Les 6è Vosges vous présentent leurs créations poétiques des quatre saisons.
Ils se sont inspirés de peintres, de compositeurs et de poètes.
Ils ont créé des acrostiches, des cadavres exquis, des haïkus et des calligrammes.
Ils ont également illustré quatre poèmes de poètes renommés, dont vous trouverez en fin de livre les quatre illustrations ayant remporté le plus de succès auprès des élèves de la classe.
Ils se sont inspirés de peintres, de compositeurs et de poètes.
Ils ont créé des acrostiches, des cadavres exquis, des haïkus et des calligrammes.
Ils ont également illustré quatre poèmes de poètes renommés, dont vous trouverez en fin de livre les quatre illustrations ayant remporté le plus de succès auprès des élèves de la classe.
Loading...
1. Les acrostiches de saisonUn acrostiche est un poème ou une strophe où les initiales de chaque vers, lues dans le sens vertical, composent un nom ou un mot-clé.
(Définition du Robert)
(Définition du Robert)
Fenaison à Eragny, Pissarro, 1893
Pour mon anniversaire, le soleil brille !
Roule le vent qui fait voler les feuilles,
Incroyable anniversaire où tout scintille.
Nous regardons les écureuils,
Toutes les filles aux cheveux camomille,
Et tous les oiseaux qui sautillent.
Mais nous sommes allés
Parmi les rayons du soleil d’été,
Sifflant au bord des rivières.
CELIA
Roule le vent qui fait voler les feuilles,
Incroyable anniversaire où tout scintille.
Nous regardons les écureuils,
Toutes les filles aux cheveux camomille,
Et tous les oiseaux qui sautillent.
Mais nous sommes allés
Parmi les rayons du soleil d’été,
Sifflant au bord des rivières.
CELIA
Poussent les fleurs dans les prés,
Roule le vent qui fait voler les feuilles.
Iris, jonquilles, pétales colorés!
Nous regardons les écureuils,
Timidement se pourchasser.
Enivré de soleil, l'hiver est en deuil.
Même quand le vent souffle, il est sucré.
Primevères, coquelicots et roses, vous nous ravissez l'œil.
Sous les buissons multicolores, nous nous sommes allongés.
FATNA
Roule le vent qui fait voler les feuilles.
Iris, jonquilles, pétales colorés!
Nous regardons les écureuils,
Timidement se pourchasser.
Enivré de soleil, l'hiver est en deuil.
Même quand le vent souffle, il est sucré.
Primevères, coquelicots et roses, vous nous ravissez l'œil.
Sous les buissons multicolores, nous nous sommes allongés.
FATNA
Voiliers à Argenteuil, Gustave Caillebotte, 1888