Voyages extraordinaires des collégiens de Jules Verne

Parchment

Après avoir repris mes esprits au bout de quelques heures, j’ai décidé de découvrir cette mystérieuse île. J’ai été émerveillée par la beauté de ce lieu, il y a des plantes plus incroyables les unes que les autres, des animaux de toutes les couleurs encore jamais découverts&nbsp;! Mais quelque chose a attiré mon attention. C’étaient des cabanes en bois. Je suis alors montée dans l’une de ces maisonnettes. Arrivée à l’intérieur, j’ai découvert une scène d’horreur&nbsp;: on aurait dit qu’une attaque avait eu lieu, tout était en désordre et presque vide&nbsp;! C’est sûr, les habitants sont partis ou&nbsp;bien … morts&nbsp;!

Voyages extraordinaires des collégiens de Jules Verne (5ème 4)

Mercredi 1er Mars 2050 Ce matin, une silhouette étrange nous est apparue soudainement. Derrière elle, une multitude de personnes se cachaient. Nous avons donc supposé qu’il s’agissait du chef de la tribu, ou plutôt de la cheffe puisque, en s’approchant nous avons réalisé que c’était une femme.

Nous avons fait connaissance avec la femme et après nous avons décidé de partir à la recherche de l’aéroport pour retourner chez nous, à notre époque. La cheffe nous aidés à trouver l’aéroport. Plus tard, nous sommes arrivés devant l’avion 437. Au loin, nous avons aperçu une ombre, il s’agissait du pilote.

«Étant enfant, je vivais une vie tout à fait normale à Caen. J’aimais beaucoup fouiller dans les affaires des autres. Alors, un jour après les cours (j'avais à peu près ton âge), je m’étais mis à explorer mon grenier. Je trouvai une étrange boite recouverte de poussière au fond de la pièce. Intrigué, je l’ouvris lorsque je découvris plusieurs lettres et photos signées «&nbsp;Worm&nbsp;». J’en lus une : «&nbsp;Mon cher Tom, j’espère que tu vas bien, tu n’ as pas répondu à notre dernière lettre… Ce n’est pas grave nous te redonnons notre position. Pologne, Village de Pultusk. Aurevoir mon chéri. Ton père et ta mère, Worm, qui t’aiment.&nbsp;» A ce moment là je ressentis un terrible bouleversement&nbsp;: on m’aurait caché la vérité depuis toutes ces années&nbsp;? Ma famille n’était donc qu’adoptive tout le long de mon enfance? La curiosité me poussa à partir retrouver mes vrais parents !!!

Arrivé au pied de la montagne, je regardai jusqu’au sommet et vis comme elle était grande. Je commençai à l’observer et à repérer s’il y avait un chemin quelque part qui me conduirait de l’autre côté. Au loin, j’aperçus un petit passage qui me semblait compliqué à franchir mais je n’avais pas le choix, il fallait l’emprunter… Je commençai ma route sans savoir ce qui allait m’arriver…

Dimanche 20 mars 2016 Il nous reste environ 10 jours pour arriver en Amérique. Alvaro et moi sommes maintenant de bons amis.

Jeudi 24 mars 2016 Nous avons accosté sur l’île de Corvo. Comme la nuit tombe, nous décidons de dormir sur le bateau. Nous découvrirons l’île demain matin au réveil.

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écrivain : Adam Imbault Romain Pilastre et Farès Maloug

référence du site  : Universal soundbank

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Je lui répondis que j’avais fugué et qu'après cela j’avais eu des regrets. Après cette discussion, il me déposa à destination. Cette fois-ci ce fut une femme qui me conduisit en Pologne, en ne me posant, elle, aucune question. Elle s’arrêta au pied d’une montagne entourée d’une flore étrange. Sur le GPS de la voiture il y avait écrit (en allemand, je suppose) : "Pass auf, verfluchter Berg in der Nähe". Je sortis mon téléphone et utilisai mon appli «&nbsp;traduction&nbsp;». Le texte semblait dire&nbsp;: «&nbsp;Attention montagne «&nbsp;maudite&nbsp;» proche d’ici&nbsp;». Je sortis de la voiture avec mes affaires en entrant dans la forêt...

Même jour, dans l’après-midi Après une bonne heure d’attente, je sens que le bateau démarre. C’est parti pour la Guadeloupe&nbsp;! Tout s’est passé comme prévu. Je suis bien assis, dans les toilettes fermées à clé. Soudain j’entends des voix à travers la porte. En écoutant les conversations, je me rends compte que je suis avec des trafiquants d’armes. Je distingue quelques mots&nbsp;: " fusils d’assauts, AK-47, cargaison d’armes, technologie militaire "

Dimanche 27 mars 2022 Après avoir entendu ceci, j’ai eu très peur donc j’ai quitté le catamaran à bord d’une chaloupe... malheureusement j’ai dérivé en plein soleil pendant trois jours.

Jusqu’à mes quatorze ans, je m’étais toujours demandé qui étaient ces deux personnes sur la commode du salon. De temps en temps, je le demandais à mon père, mais il me répondait&nbsp;: « Je t’expliquerai quand tu seras plus grand ». Ce moment arriva enfin. Le jour de mes quatorze ans, il accepta de me raconter ce qu’il lui était arrivé. Il s’installa dans le salon, sur le canapé avec la fameuse photo dans les mains. Il me proposa de m’asseoir.

Nous reprîmes la route le lendemain en direction de la ville de Cocorico. Pendant le trajet, nous trouvâmes un animal. Nous continuâmes notre route dans le désert pour rejoindre la ville de Cocorico. Sur le chemin, nous fîmes la rencontre d’une créature appelée Bocoblin son nom venait du latin Bocobla signifiant créature. Ses ailes étaient aussi grandes que celles d’un phénix, sa queue ressemblait à celle d’un singe, ses pattes à celles d’un canard sa tête à celles d’ un chat et son buste à celui d’un hibou. J’étais émerveillé, impressionné et un peu apeuré. Il était très grand (2 mètres). Il fut très amical .

Je courus quand je vis soudain qu’elle me suivait. Elle emprunta le même chemin que moi. Quand je vis que les feuilles qui me barraient la route pour sortir n’apparaissaient pas quand elle venait de passer, je commençais à courir, sans penser à mes affaires que j’avais laissées dans ma «&nbsp;cabane&nbsp;». Lorsque j’arrivai à sortir de cette forêt sans pitié, la bête essaya de m’attraper, en vain. J’avais réussi à m’échapper!

Je commençai à marcher quand je vis un panneau qui indiquait«&nbsp;POLOGNE&nbsp;», je rejoignis mes parents dans leur village grâce à un taxi que je payai avec le peu de pièces qui me restaient… Voilà... tu connais mon histoire, les personnes que tu vois sur la photo, ce sont mes parents, tes grands parents...&nbsp;»

C’est alors que la porte de ce qui semblait être un bunker s’ouvrit bruyamment, il y avait dedans de l’or, des voitures de collection et des chars de la Guerre Froide plaqués en or. Après avoir pris quelques objets de valeur, je retournai à ma barque. Puis je repris mon trajet et naviguai jusqu’à la Guadeloupe où je retrouvai mes parents. Nous rentrâmes en France.

J’avais quinze ans. Ma mère était médecin et mon père, ingénieur. Dans ses heures libres, il fabriquait des machines et des robots. Il allait dans son bureau mais ne me laissait jamais entrer. J’étais plutôt curieuse de savoir ce qu’il y cachait… 	 Un jour, alors que mes parents étaient sortis travailler, je suis entrée en cachette dans la pièce secrète de mon père. J’avais un peu peur qu’il ne me surprenne, mais mon envie était plus grande encore que ma peur. Une immense armoire se dressait à côté du bureau, elle m’intriguait, alors j’ essayai de l’ouvrir, mais en vain.

Mercredi 23 mars 2022, à 9h30 Aujourd’hui j’ai fini de préparer mes affaires pour partir en expédition. Après un an d’attente, je décide d’entreprendre une recherche dangereuse : je dois retrouver mes parents car leur avion a disparu mystérieusement près de la Guadeloupe en janvier 2021.

C’est mon ami Tristan qui  m’a convaincu  d’y aller en me disant que sinon personne ne les retrouverait jamais. Les recherches ont été abandonnées depuis six mois. Je suis partagé entre colère, tristesse et excitation. Cet après-midi, je vais essayer d’embarquer clandestinement sur un bateau au port du Havre en me cachant dans les toilettes. J’ai repéré quelques grands catamarans au bout de la jetée pour m’y glisser discrètement. 

Dimanche 2 juin 1280. A Turin Je m’appelle Leonardo. Demain, je vais commencer mon voyage pour aller explorer le continent africain, mon père me l’interdit ce qui me rend mécontent, mais personne ne m’empêchera de réaliser mon rêve. Je volerai des deniers à mon père et j’irai acheter un cheval pour me rendre à Lisbonne où j’embarquerai sur un bateau. J’espère que tout va bien se passer. Après avoir acheté pour un bon prix un cheval noir que j’ai nommé Tornado, je me suis approvisionné en nourriture (pain, fromage, viande sèche…) et en eau pour le voyage. Je tourne en rond depuis deux jours tellement l’idée de partir à l’aventure m’excite et me fait peur à la fois.

J’avais faim, on avait fait une longue route de marche, il m’emmena dans une magnifique maison près des montagnes et je déjeunai chez lui. Lors du repas, je découvris un fruit surprenant qui était orné d’épines, il avait la forme d’un cœur&nbsp;; en le coupant en deux j’aperçus qu’il était orange comme une pêche et rempli de nombreux petits pépins rouges. En ayant goûté ce fruit, je vous dirai qu’il était effroyablement savoureux, il s’appelait orange cor qui veut dire «&nbsp;cœur orange&nbsp;» en latin. Puis je décidai d’aller parcourir la montagne. Je me revêtis alors d’autres habits et je partis. Une fois arrivée, je me rendis compte qu’il y avait une rivière. Je m’approchai et je découvris un animal qui vivait dans les montagnes près de l’eau. Il était beau, timide, inoffensif, doux et farceur.

Lundi 14 mars 2016 Il est 19h00, cette journée était folle! Je vous explique. Alors voilà : nous étions le matin, vers 6h30 et je dormais tranquillement, lorsqu’un bruit sourd m’a réveillé. Le propriétaire du bateau était devant moi, il me hurlait dessus. Je lui ai raconté mon histoire… Il a alors décidé de réaliser mon rêve et de me permettre de faire le tour du monde avec lui. Nous sommes donc partis vers 7h00 direction l’Amérique… Il s’appelle Alvaro Beneharo et il est Espagnol.

Soraya est une jeune femme de vingt-cinq ans. Journaliste, elle est originaire du Portugal. Ses parents sont décédés quand elle avait quatre ans et elle a été recueillie par sa tante qui est décédé quand elle avait dix-neuf ans. Jusqu’à l’âge de ses vingt-cinq ans elle a vécu en colocation chez des amis. Un mois après son anniversaire, elle prend l’avion pour partir au Maroc car elle a doit faire un reportage. Elle s’est endormie pendant le vol. A l’atterrissage, Soraya dort toujours. À son réveil, elle est seule à bord de l’appareil. Elle en descend et se retrouve dans un monde désert, vide et très chaud.

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18 Janvier 1854 Demain, c’est le grand jour&nbsp;! Ma sœur Clara et moi, Paolo, allons embarquer clandestinement sur le paquebot le Palerme dont nous ne connaissons pas la destination exacte. Nous fuyons notre île, la Sicile, car la Mafia nous menace de mort. 19 Janvier 1854 Ce matin à 4 heures, nous sommes arrivés sur le quai et avons escaladé l’échelle menant au pont du bateau. Nous sommes descendus dans la cale, et nous nous sommes cachés derrière un tonneau. C’est ici que j’écris. Quelques heures plus tard, nous avons entendu des voix et des bruits de pas. Soudainement nous avons ressenti une grande vibration sous nos pieds. Nous avons supposé que ce bruit indiquait le départ du bateau.

Bibliographie -&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Vendredi ou la vie sauvage, Michel Tournier -&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Le royaume de Kensuke, Michael Morpugo -&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Le livre des Merveilles, Marco Polo (extraits) -&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Voyage autour du monde, Bougainville (extraits) -&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Journal de bord de Christophe Colomb (extraits) -&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Série des «&nbsp;10 minutes&nbsp;» de Jean-Christophe Tixier -&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Le tour du monde en 80 jours, Jules Verne -&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Deux ans de vacances, Jules Verne -&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Les clients du bon chien jaune, Pierre Mac Orlan -&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;L’île au trésor, R.L.Stevenson -&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Armstrong, l’extraordinaire voyage d’une souris sur la lune, Khulman -&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Edison, Khulman -&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;La traversée, Jean-Christophe Tixier

Vendredi 30 Juillet 1280. Un drôle de fruit. Après trois jours d’exploration, j’ai découvert un fruit qui pousse sur un arbre appelé Kapnut. Son tronc est de couleur marron et ses feuilles de couleur blanche. Le fruit rouge et marron est tellement onctueux qu’il fond en bouche! Je suis vraiment émerveillé par ce si bon fruit: brillant, éclatant, délicieux et si bon! Ce paysage est comme une œuvre d’art et ses feuilles comme des arbres chinois. Ce fruit est si gros qu’il pourrait facilement nourrir dix personnes! Cet arbre meurt l’hiver et revit au printemps selon le livre botanique écrit par des scientifiques.

Maxime Taïdon est un jeune garçon de quinze ans, courageux, issu de parents disparus il y a un an. Il est né à Amiens. Il embarque un beau jour sur un catamaran qui part pour la Guadeloupe. Il ne le sait pas, mais il se trouve sur un bateau de trafiquants d’armes. Rien ne se passe comme prévu, il descend du navire, dérive pendant trois jours sur une chaloupe et arrive sur une île très étrange . . .

Dimanche 13 mars 2016 Il est midi et demi, je suis dans le train direction le port de Bilbao. L’aventure commence!!! Le train est plein, des contrôleurs vérifient que tout le monde a son ticket mais une bonne quinzaine de personnes ne l’ont pas. J’ai faim mais je ne mange pas, je mangerai quand je serai arrivé au port de Bilbao. Je suis fatigué, je vais faire une sieste. Il est 21h00, je reprends l'écriture de mon carnet. Je suis arrivé cette après-midi, je me suis promené dans le port tout en cherchant en même temps où dormir. J’ai trouvé un bateau qui me semblait abandonné. Le bateau est assez grand mais ce qui m’a beaucoup plu c’est qu’il se situe au fond du port, peu visible.

Il nous dit que nous étions dans le désert de Mojo (situé à l’autre bout de la Terre). Il nous indiqua que pour rentrer chez nous, le voyage pourrait durer 80 jours&nbsp;! Nous décidâmes d’attendre le lendemain pour partir.

Alix, 15 ans, issue d’une famille franco-algérienne est une fille curieuse, innocente qui est forte en dessin. Sa mère est médecin, son père ingénieur. Il a fabriqué une une machine à voyager dans le temps. Un jour, Alix utilise en secret son invention et se retrouve propulsée dans le futur. Elle arrive dans une ville de France en 3345 !!! Elle va découvrir un monde bien étrange...

31 juin 1963 Ce matin Arthur m’a proposé qu’on aille à la recherche des végétaux qui se trouvent sur l’île. Après quelques minutes de marche, nous sommes arrivée dans un endroit rempli de plantes et de fleurs, mais un seul fruit a retenu mon attention Tout d’abord, l’arbuste sur lequel les fruits nommés «Mora» poussent ressemble très fortement à un mûrier. En revanche son fruit est de la couleur d’une orange, mais comme la mûre, une multitude d’espèces de ronds tous de tailles différentes le recouvre entièrement. Il possède également une tige sur laquelle se trouvent deux petites feuilles vertes. Et sa couleur est semblable à celle d’un geai bleu. L’odeur de ce merveilleux fruit m’a laissée bouche bée : c’est un mélange de fraise et de vanille vraiment très agréable à sentir. Quant à sa saveur, je ne pourrais vous la décrire tellement il était succulent. Je n’ai jamais goûté un aussi bon fruit, c’est incroyable ! Il y en a une multitude sur cette île, j’ai donc décidé d’en faire une réserve. Demain j’y retournerai munie d’un panier pour m’ approvisionner .

3 Juillet 1963 Cela fait un certain temps que je rencontre diverses bêtes sur cette île mais aujourd'hui, pour la première fois, j’ai croisé son regard noir et hypnotisant, tel une spirale dansant devant mes yeux. C’était ce matin, lors d’une expédition dans la jungle « El diablo rojo ». Celle-ci est dense, avec des nuances de vert allant du pastel au plus foncé. Chaque feuille d'arbres ressemble à des danseuses effectuant une chorégraphie au gré du vent. Mon regard suivait ce ballet éternel lorsque j’ai arrêté soudain net ma flânerie, car, braqués sur moi, deux globes fendus me scrutaient : un mélange de crocodile et d’hibou… J'étais debout, raide comme un piquet, la peur me pétrifiant sur place. Cette bête à l’allure indescriptible continuait de me fixer… Son apparence générale est celle d’un kakapo, oiseau de la nouvelle Zélande ressemblant déjà à un mélange de perroquet et de hibou. Ses deux pattes se finissent par trois griffes et un ergot. Son corps est couvert de poils et de duvet, sa robe est celle d’un chat léopard. D’ailleurs doucement une longue queue se balance derrière ce corps étrange. Quelle drôle de bête ! Sa tête bouge de gauche à droite… Quel étrange animal suis-je moi-même pour elle ? Ses oreilles restent bien droites comme celles du chat, de chaque côté se dessine une corne telle un petit veau. Quelle drôle d’allure !

Une multitude d’autres plantes et animaux se baladent dans toute l’île. Demain je partirai en exploration pour les observer.

Nous reprîmes la route vers Cocorico quand soudain nous aperçûmes un arbre incroyable qui avait des branches détenant un fruit rose qui faisait penser à de la barbe à papa et des bouts piquants comme un cactus. Cet arbre possédait des rameaux triangulaires qui fleurissaient à la tombée de la nuit et une odeur de vanille. il était minuscule et mesurait environ 7cm. Il était à peine plus grand qu’ un rat! Des fruits comestibles d’environ 350 grammes poussaient sur ses branches. Leur chair était de couleur rouge et contenait de très nombreuses graines noires. Certains n’avaient aucun goût et d’autres un goût sucré. Lorsqu’ils poussaient, ils commençaient à ressembler à une marguerite géante. Ensuite, le fruit remplaçait la fleur. Celle-ci contenait plusieurs couleurs : le vert comme le kiwi et le rouge comme la tomate. Quand le fruit finissait de pousser, il se décrochait de l’arbre. C’est un fruit qui ne poussait que dans les pays chauds et il était très rare dans le Nord.

Nous reprîmes la route vers Cocorico quand soudain nous aperçûmes un arbre incroyable qui avait des branches détenant un fruit rose qui faisait penser à de la barbe à papa et des bouts piquants comme un cactus. Cet arbre possédait des rameaux triangulaires qui fleurissaient à la tombée de la nuit et une odeur de vanille. il était minuscule et mesurait environ 7cm. Il était à peine plus grand qu’ un rat! Des fruits comestibles d’environ 350 grammes poussaient sur ses branches. Leur chair était de couleur rouge et contenait de très nombreuses graines noires. Certains n’avaient aucun goût et d’autres un goût sucré. Lorsqu’ils poussaient, ils commençaient à ressembler à une marguerite géante. Ensuite, le fruit remplaçait la fleur. Celle-ci contenait plusieurs couleurs : le vert comme le kiwi et le rouge comme la tomate. Quand le fruit finissait de pousser, il se décrochait de l’arbre. C’est un fruit qui ne poussait que dans les pays chauds et il était très rare dans le Nord.

Voici un dessin du paquebot sur lequel nous avons embarqué clandestinement

Nous sommes en 2016 en Espagne. Paolo Elho-Aloria est un jeune garçon de quinze ans. Orphelin, il est issu d’une famille de navigateurs. Il est né à Madrid. Paolo décide de fuguer de son orphelinat pour découvrir le monde comme l’ont fait autrefois ses parents. Mais tout ne va pas se passer comme prévu. Il embarque sur un bateau volé au port de Bilbao. Il arrive sur une île mystérieuse…

Le lendemain matin, après avoir dormi dans l’arbre, j’allai me promener près d’un ruisseau dans lequel des arbustes fruitiers sortaient. Je cueillis un des fruits que je j’allais nommer «&nbsp;cerise de ruisseau&nbsp;». Tout d’un coup, j’entendis un cri fort et strident venant de derrière moi. Je sortis mon téléphone, même si je savais qu’il n’avait plus de batterie. Par chance et à ma grande surprise, je n’avais aucune connexion mais assez de batterie pour activer l’appareil photo. Je me retournai et pris une photo de la bête en espérant que celle-ci ne m’avait pas repéré. Quand je regardai la photo j’eus un frisson de peur, la chose était pâle, très pâle, ses os sortaient de sa peau, son physique arrivait à changer.

Vendredi 25 mars 2016 Cette journée était EXTRAORDINAIRE!!! Pendant la découverte de l’île, tout ne s’est pas passé comme prévu. Je me suis réveillé en sursaut à cause d’un bruit sourd. Un animal gigantesque aux grandes ailes me fixait en train de dormir. Cette étrange créature possède un museau semblable à celui d’un loup, la carrure d’un aigle et les pinces d’un crabe, il est si majestueux! Il se tient debout comme un être humain. Il mesure environ 2m50 de haut et 1m de large. Je suis ébahie et émerveillé devant cette merveilleuse créature! Je décide donc de l’appeller le CRABOGRIF!!!

9 février 1854 Aujourd’hui, nous ne sommes pas sortis.

Lorsqu’il s’est retourné, je suis parti en courant car j’étais effrayé. Il me poursuivait et il courait aussi vite que moi. J’ai aperçu un arbre et je suis vite grimpé dessus. L’étrange animal ne m’avait pas vu. J’ai donc profité de ce moment pour l’observer. Il possédait un corps très musclé identique à celui d’un gorille et marchait comme un humain. Sa tête ressemblait à celle d’un chien, ses oreilles à celles d’un lapin et ses pattes s’apparentaient fortement à celles d’un canard. Il possédait une queue de lion. Pendant un instant d’inattention, je suis tombé de l’arbre et me suis recroquevillé. Mais l’animal ne m’a pas attaqué. Il était en fait inoffensif et il m’a léché le visage. J’ai alors décidé de le caresser, il était doux comme de la soie. Au fil des journées qu’il a passées avec moi, j’ai vu qu’il avait appris mon langage et me parlait. Il me disait quelques mots comme: «chasser, merci, suivre et grotte …»

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01 février 1854 Cela fait un moment que nous voyageons. Toute la journée, il nous a semblé que le paquebot tanguait jusqu’à ce qu’une violente secousse nous fasse glisser à l’autre bout de la cale. 02 février 1854 Aujourd’hui rien de nouveau ne s’est produit. 03 février 1854 Le temps passe mais pourtant nous n’avons toujours aucune nouvelle. 06 février 1854 Tout à l’heure, sur le pont, l’équipage s’agitait. Ma sœur et moi nous sommes inquiétés. Pourquoi tout ce bruit ? Cela a t-il un rapport avec les secousses ? Une tempête approche ?

- Papi, raconte-moi une histoire&nbsp;! - D’accord ma puce, je vais te chercher ça mais d’abord, je vais te raconter l’histoire du journal que je vais te lire… Elle remonte à mon enfance. J’avais 12 ans, et j’étais en vacances dans un hôtel 5 étoiles sur l’île de Wapiti, une île très touristique. Il y avait une immense plage, des cabanes dans les arbres et une végétation tropicale. Un beau matin, je jouais à cache-cache avec ma petite sœur Emma qui avait huit ans. J’eus la brillante idée de me cacher dans une grotte sombre et effrayante. J’entendis ma sœur arriver au loin donc je reculai, trébuchai, tombai, me relevai et tombai à nouveau. A ce moment-là, je sentis une pointe en métal sous ma chaussure donc je décidai de la déterrer. Je découvris alors une boîte en métal avec, à l’intérieur, un journal ancien et moisi mais encore lisible. Sur la couverture était gravé le nom de Kate. J’étais si impatient à l’idée de le lire… Je vais donc te lire ce qui y est écrit. Le grand-père, nostalgique, ouvrit ce journal et commença à lire voix haute.

Je me suis installée dans une de ces petites maisonnettes. J’ai ramassé des objets comme une lampe à pétrole, quelques jardinières de fleurs et quelques morceaux de tissus cachés sous du bois pour faire des rideaux afin de décorer et m’installer au mieux. Je vais pouvoir enfin me reposer avant d’entreprendre l’exploration de cette grande île. Je me suis  assise sur une bûche, j’ai sorti de mon sac le livret technique que j’emporte toujours avec moi et dont l’encre s’est effacée pendant le naufrage. Je vais m’en servir pour rédiger mon journal de bord. Je l’ai posé sur mes genoux.  J’ai ramassé un stylo trouvé par terre, et j’ai commencé à écrire mes péripéties.

Le soir du 29 mars Après avoir expliqué mes projets aux Indiens, ils m’ont aidé à construire un bateau pour repartir de l’île et de reprendre mon voyage jusqu’à mes parents. Le chef de la tribu m’a proposé de me donner une barque pour m’y rendre Donc je suis allé en Guadeloupe. Mais avant de partir, les indigènes ont remarqué ma montre qui semblait être particulière.

Ils m’ont alors emmené devant un arbre gigantesque. Devant, était gravé au sol un symbole soviétique datant de la Guerre Froide. Tout d’un coup, je me suis souvenu d’un détail&nbsp;: mon père m’avait dit que cette montre qu’il m’avait offerte avait appartenu autrefois au Tsar de Russie et ensuite à Staline lui-même. Les indigènes me dirent ensuite d’insérer la montre dans une encoche cachée au sol.

Vendredi 23 juillet 1280. La faim sur le navire. A cause des vagues qui secouent le navire, je n’arrive plus à manger ce qui me fait perdre beaucoup d’énergie. A cause de cela je dors plus que d’habitude. Nous ne sommes pas encore arrivés.

2 juillet 1963 Je suis en train de me promener pour découvrir de nouvelles choses et c’est à ce moment précis que je fais une découverte surprenante. C’est un animal encore jamais découvert, il est si coloré (vert, rose, bleu, jaune) qu’il en fait mal aux yeux ! Il possède la même tête qu’un caméléon, ses pattes arrière sont comme celles d’un canard. Sa carapace est ornée d’écailles de couleur rose semblables à celles d’un poisson et de taches noires. Ses pattes avant sont munies de griffes si acérées qu’elles pourraient me découper en deux. Il est aussi grand qu’un enfant de dix ans. Face à lui je suis terrorisée! Je dois absolument fuir ! Mais quelque chose m’empêche de partir : je suis comme hypnotisée. Je décide donc de l’appeler l’ "Hypnoléon".

08 février 1854 Mon frère et moi avons décidé de marcher pour trouver une source d’eau. Plusieurs heures plus tard, j’ai aperçu un lac. J’ai levé les yeux et j’ai vu des montagnes, devant nous. Elles étaient si grandes qu’elles touchaient le ciel&nbsp;! Des arbres en grand nombre qui ressemblaient à des pins se dressaient autour des montagnes . Nous nous sommes réfugiés dans une petite grotte sombre car la nuit tombait, nous avons fait un feu et nous sommes endormis épuisés par les événements.

Mardi 29 mars Je me baladais ce matin dans la jungle quand soudain j'ai aperçu un étrange animal à 4 têtes.

Je l'ai admiré et observé&nbsp;pour savoir ce que c'était mais impossible ! Il est si étrange que je n'ai pas envie de savoir comment c'est possible que cela existe ! Il ressemble à 4 cochons d'Inde tous accrochés ensemble avec une tête de perroquet...

Le soir même je décidai de prendre mon sac et d’y mettre des vêtements de rechange, un peu de nourriture pour le début de la route, un plaid, mon téléphone et, pour survivre pendant le voyage,  je cassai ma tirelire en forme de petit cochon pour récupérer toutes mes économies. A exactement 8:00, mon réveil sonna. Discrètement, je descendis les escaliers sur la pointe des pieds pour ne pas réveiller les personnes que je pensais être mes parents. Je vérifiai que je n’avais rien oublié dans mon sac. Je pris mon manteau, mon sac et partis sans rien marquer sur le frigo pour justifier mon départ. Je commençai à lever mon pouce en signe de stop. A 9 heures, un homme me prit dans sa voiture et m’emmena jusqu’à la frontière Franco-Allemande. Pendant le voyage, le vieillard me demanda pourquoi un enfant de quatorze ans voulait aller jusqu’à la frontière.

4 juillet 1963 La bête me guette depuis deux, trois jours… Elle me fait vraiment très peur ! Où que j’aille, je sens le regard qu’’elle porte sur moi, j’ai un mauvais pressentiment...

5 juillet 1963 Kate n'écrira plus jamais dans ce carnet. C'est maintenant moi, Arthur, qui vais y écrire les dernières pages. Aujourd’hui quelque chose d’horrible s’est passé dans la jungle EL DIABLO ROJO. La bête qui suivait Kate l’a retrouvée et l’a dévorée devant mes yeux sur le chemin de la cabane. C’était le pire accident de ma vie&nbsp;! C’était tellement triste&nbsp;! Kate était vraiment gentille avec moi&nbsp;! Elle était si rigolote, généreuse, amicale et intelligente. Je suis inconsolable à un point tel que vous ne pouvez pas imaginer !

Ici s'achève le carnet de Clara et Paolo retrouvé au fond d'une grotte, le 18 octobre 1943 lors de ma visite de l'île à la recherche de pierres précieuses et minerais.

Je suppose que Clara est morte noyée en voulant rejoindre son frère. Professeur Richards, faculté de géologie de Milan

Kate Williams est une jeune fille âgée de 16 ans, elle vient d’Angleterre plus précisément de Londres. Sa mère est ingénieure et son père pilote. C’est une fille très brave mais la plupart du temps inconsciente. Elle adore tester les inventions de ses parents car depuis toute petite, elle est plongée dans cet univers. Un jour, elle décide de tester avec eux une de leurs inventions : la reconstitution d’un prototype d’avion dessiné par Leonard De Vinci. Mais tout ne va pas se passer comme prévu. Car malheureusement son aéroplane n’est pas assez résistant… Vous imaginez donc la suite …

Mercredi 4 Août 1280. La fin. Après avoir trouvé tous les matériaux nécessaires, j’ai fini ce matin de construire mon radeau. Il a l’air résistant et réussit à flotter. Avant de partir, je fais des provisions de Kapnut, le fruit que j’ai découvert, parce que je ne sais pas combien de temps va durer mon retour. Ces mots sont les derniers de ce journal. J’ai décidé de laisser mon carnet de voyage ici. Si jamais un voyageur s’échoue ici un jour, il pourra connaître tout ce qui se trouve sur l’île et profiter de mon expérience. Je vais le poser sous une pierre, dans la cabane où j’ai habité ces quelques jours. Léonardo

17 Janvier 1854 Cet après-midi, la mafia nous a menacés car nous refusons de travailler pour eux. Nous décidons de fuir au plus vite. Nous rassemblons quelques vivres et de l’eau en prévision de notre voyage.

Lundi 26 juillet 1280. le Naufrage. Dans la nuit, j’ai entendu un bruit sourd comme si le bateau avait heurté une roche. Les cris des marins parvenaient à mes oreilles, ils semblaient agités. J’ai alors compris que quelque chose d’inhabituel était en train d’arriver… Secoué dans tous les sens, j’ai fini par m’évanouir, assommé par une poutre du bateau écroulée sur moi.

29 juin 1963 Je commence à écrire ce journal car il m’arrive quelque chose d’incroyable...Hier comme c’était une belle après-midi d’été, mes parents et moi avons décidé de tester d’anciens avions de Clément Ader (L’Éole, le Zéphyr et l’Aquilon) au-dessus de l’Océan Atlantique Sud, mais en plein vol l’hélice de mon avion s’est détachée peu à peu et celui-ci a commencé à descendre de plus en plus. J’ai crié à l’aide en espérant que mes parents m’entendent mais personne ne m’a répondu. Après avoir traversé les nuages, j’ai aperçu une île au loin. L’ avion a commencé à faire des zigzag et à devenir de plus en plus rapide. La vitesse de cet engin en plein crash aurait pu me tuer si je n’avais pas sauté de l’appareil en feu avant de perdre connaissance. Quelques minutes plus tard, je me suis réveillée sur la plage après m’être fait pincer par un crabe.

Lundi 17 juillet 2022

Je m’appelle Soraya Ferreira, j’ai 25 ans et je suis journaliste. J’ai décidé d’écrire ce journal de bord car il m’arrive quelque chose d’incroyable&nbsp;! Comme je suis journaliste, j’ai été envoyée pour un reportage au Maroc. J’ai pris l’avion numéro 437 à destination de Casablanca et j’étais tellement fatiguée que je me suis endormie pendant le vol. Lorsque je me suis réveillée, il faisait nuit et il n’y avait plus personne à bord de l’appareil je me suis mise à trembler, crier, appeler mais  personne ne répondait ou n’était là. Comme il faisait sombre j’ai donc décidé de rester seule dans l’appareil toute la nuit.

Mardi 18 juillet 2022 				Mardi 32 février 2050 Il est 9h30 Je viens de me réveiller le ventre vide et assoiffée. J’ai décidé de prendre le matériel nécessaire pour aller explorer les environs et pour chercher de la nourriture et de l’eau et je compte partir d’ici une heure.

Le même jour, plus tard 	En cherchant de l’eau et de la nourriture, j’ai aperçu une pharmacie où&nbsp;le panneau indiquait «&nbsp;mardi 32 février 2050&nbsp;»... je n’ai pas compris ce qui se passait et j’ai décidé de continuer à explorer les lieux. J’ai déambulé dans ce qui était une ville auparavant mais qui est aujourd’hui presque entièrement recouvert de sable. Les lieux sont déserts, il y a des maisons troglodytes abandonnées. Pas un bruit, pas un chat. Le ciel est d’une couleur jaune à cause du sable qui vole, emporté par le vent. Je suis étonnée car je ne reconnais plus du tout les lieux que je connais pourtant très bien&nbsp;!

24 Janvier 1854 Cela fait cinq jours que nous sommes partis, nous avons faim et soif. Nos provisions sont écoulées. Les heures nous paraissent interminables. Le roulis du navire nous empêche de dormir. Le temps est glacial depuis ces deux derniers jours.

Samedi 12 mars 2016 à 17h30 La décision est prise, je m’en vais cette nuit à trois heures du matin. Je n’en peux plus de cet orphelinat. Mes parents me manquent. Comme eux l’envie de voyager m’ inspire. Avec les deux cents euros qu’ils m’ont laissés à leur mort, je vais prendre le train direction le port de Bilbao. Je compte voler ce soir à l’orphelinat des provisions, des couvertures et des vêtements. Je profiterai que les éducateurs soient endormis pour me faufiler dans la réserve et dérober ce dont j’ai besoin.

La première partie de la plante ressemblait à une ortie vert foncé, qui dégageait une brume verte et noire venant des nombreux bourgeons je suppose «&nbsp;venimeux&nbsp;» à cause de leur aspect plutôt fané. La deuxième partie de la plante me fait penser à la tige d’une rose avec des épines vert clair. Au bout de la tige il y avait une sorte de fleur de lotus rose et blanche. Elle dégageait une odeur semblable à celle de la pivoine. Puis j’ai remarqué que quand ces deux parties de la plante étaient mélangées et écrasées grâce à un pilon rudimentaire, cela créait un mélange parfait pour l’utiliser comme remède qui soigne les blessures, renforce la peau et réduit les maladies

Puis nous reprîmes la route. Sur le chemin, nous vîmes plusieurs types de plantes surprenantes comme la Octane et la Fennec qui ressemblait à un champignon. Avec mon frère et ma sœur, nous marchions dans le désert, quand soudain, une petite voix, venant de nulle part, chuchota et répéta plusieurs fois mon prénom !

En continuant mes recherches, j’ai aperçu une silhouette de femme qui avançait au loin et qui rôdait dans les environs... J’ai essayé de l’approcher mais elle était effrayée et s’enfuyait quand je m’avançais. Peu à peu, je suis parvenue jusqu’à elle

Nous nous sommes assises à côté d’un feu et nous avons discuté. Elle m’a demandé comment j’étais arrivée ici. Je lui ai répondu que j’avais atterri là sans comprendre ni comment ni pourquoi. J’ai rajouté que j’avais pris l’avion numéro 437 car je suis journaliste et que j’avais été envoyée au Maroc pour un reportage. Elle m’a tout de suite arrêtée et m’a demandé, visiblement choquée&nbsp;:

Mercredi 21 juillet 1280. L’embarcation. Enfin arrivé à Lisbonne, je suis parti à la recherche d’un bateau sur le port. J’ai vu un navire au loin sur lequel était inscrit le nom de «Neptune». J’ai attendu le coucher du soleil pour me faufiler dedans. J’entends des voix dire : « On lève l’ancre dans environ deux heures pour l’Afrique»

Sur le chemin, j’entendis des bruits qui me semblaient assez suspects. Je me retournai quand soudain j’aperçus une bête avec des yeux noirs immenses, énormes même. Elle possédait des dents pointues comme des couteaux et des griffes qui ressemblaient à des crochets de pirates. Cette créature était vêtue d’une peau si fine que l’on voyait tous ses os et son squelette à travers lui. Je restai immobile devant elle, horrifié. Je commençai à entendre un léger grognement puis il se mit à me hurler dessus. A ce moment-là, je réagis et me mis à courir très loin dans la jungle. Après dix minutes à courir, je m’arrêtai et regardai derrière moi pour voir si elle me suivait pas. Je repris mon souffle en voyant une étrange plante, je commençai à avancer quand soudainement je la vis manger un écureuil.

Tom Worm est un jeune garçon de quatorze ans qui vit avec ses parents à Caen. Il adore la mode et l’aventure. Un jour en fouillant dans son grenier, il tombe sur une boîte contenant une photo et plusieurs lettres. Une après-midi où il livrait des journaux et du courrier pour gagner de l’argent de poche, il trouve une lettre provenant de Pologne qui lui est adressée. En la lisant, il découvre la terrible vérité que lui ont cachée ses parents : il a été adopté! Il s’engage alors dans un voyage pour aller les rejoindre en stop. Après quelques jours de voyage il arrive devant une mystérieuse montagne qui crée beaucoup de rumeurs dans la région...

Quand nous arrivâmes à la ville de Cocorico, nous vîmes que la technologie y était moins avancée qu’à Futurama. Nous aperçûmes soudain nos parents au loin! Nous courûmes les retrouver et eux coururent vers nous. Nous nous dirigeâmes vers notre maison et nous leur racontâmes toute cette histoire. Ils nous expliquèrent pourquoi ils s’étaient fait enlever&nbsp;: le gouvernement voulait le téléporteur mais ils n’avaient pas accepté, et avaient été kidnappés. Ils avaient réussi à s’échapper pour venir nous rechercher. Nous rentrâmes chez nous, heureux d’avoir retrouvé nos parents.

Bonjour, je m’appelle Alix. Aujourd’hui j’ai quarante-cinq ans. Je viens d’apprendre que je suis atteinte d’une grave maladie et que je vais peu à peu perdre la mémoire. J’ai peur d’oublier mon passé, voilà pourquoi j’ai décidé d’écrire un moment très particulier de ma vie. Il y a trente ans, il m’est arrivé quelque chose d’incroyable. Je vais vous le raconter…

07 février 1854 Clara et moi nous sommes faufilés sur le pont quand l’équipage est parti manger à l’intérieur du bateau. Soudain, une vague gigantesque nous a submergés. Nous sommes tombés dans l’eau. Clara a aperçu un tonneau vide dans l’eau qui était tombé du paquebot à cause de la tempête. Elle s’y est accrochée, nous nous sommes glissés à l’intérieur et avons dérivé. Nous nous sommes réveillés sur une immense étendue de sable, éblouis par le soleil. Je crois que nous nous sommes évanouis pendant le naufrage. Nous nous sommes rendus compte que nous étions en réalité dans un gigantesque désert. Au loin nous avons aperçu un bosquet au milieu d’un oasis.

Je ne savais pas si j'étais en danger, la peur mais surtout la curiosité ancraient mes pieds dans le sol. Je me suis rendue compte alors que j’entendais des petits bruits… Petits bruits qui se sont amplifiés, petits bruits qui ont résonné, petits bruits qui venaient de cette bête : les petits ronronnements de la bête ! Je me souviens avoir entendu plus jeune l’histoire de la jungle El Diablo Rojo habitée par le fameux « Stix Félix Férus » Est-ce lui qui se trouvait devant moi? Soudain un bruit derrière moi m’a obligée à me retourner brusquement : c’était Arthur ! J'ai fait volte face… La bête n’était plus là !

Dimanche 9 juillet 1280. La catastrophe en forêt. Un drame a eu lieu pendant la nuit. Une tempête m’a réveillé, a cassé mon abri de fortune et blessé Tornado. Un arbre s’est écroulé sur notre cabane. J’ai miraculeusement échappé à la mort mais en s’effondrant, notre cabane s’est renversée sur mon ami le cheval qui boite maintenant. Je vais devoir rester encore quelques jours, ce qui me retardera beaucoup.

Je me rendis dans un magasin pour m’acheter à manger. En sortant, je croisai deux jeunes ados qui étaient entièrement habillés de vêtements argentés. Je leur demandai pourquoi ils étaient habillés ainsi, ils me répondirent : «Cela dépend de notre âge, nous sommes habillés en argent car lorsqu‘on est adolescent nos vêtements sont argentés et quand on est majeurs, on est habillés en or.&nbsp;» Je fus fascinée par cette tradition. Nous fîmes connaissance mais, pour respecter cette coutume, il fallait que je m‘habille en argent. Je n’avais pas de vêtements de cette couleur alors ils m’en prêtèrent pour la journée.

14 février 1854 au soir Ce matin mon frère est parti se baigner. Malheureusement, il n’est pas encore revenu... je suis terrifiée à l’idée qu’il se soit noyé. Les courants étaient particulièrement forts aujourd’hui. Je vais veiller toute la nuit en attendant son retour. 15 février 1854 au matin Mon frère n’est toujours pas revenu je vais donc le chercher au bord de la plage. J'espère qu'il ne s'est rien passé de grave.

Cela fait deux ans que nous sommes rentrés à Madrid. Alvaro a décidé de m’adopter. Il vient d’acheter avec ses économies un nouveau bateau plus moderne sur lequel nous habiterons et avec lequel nous voyagerons à travers le monde. Tous les ans nous irons sur cette île merveilleuse, c’est promis!!!

EPILOGUE

En arrivant, je ne savais pas où j’étais, j’étais allongée sur un lit et des photos de moi étaient accrochées sur les murs. Deux personnes vinrent vers moi, j’avais l’impression de les connaître. Je ne me souvenais plus comment je m’appelais. Ces gens avaient l’air inquiets et en même temps joyeux de me retrouver. Je ne comprenais pas pourquoi. J’avais peur, ce qu’ils disaient me semblait confus&nbsp;: ils m’appelaient par un surnom «&nbsp;Leïna&nbsp;». J’avais très mal à la tête et je voyais flou. Je m’évanouis à nouveau. Lorsque	je me réveillai, je me souvenais de tout&nbsp;: les deux personnes étaient mes parents. Je leur fis un gros câlin tout en pleurant. Ils me dirent que j’avais dormi pendant deux semaines et que j’avais eu une amnésie. 	 Voilà mon histoire. 						FIN

Sommaire Ils sont neuf. Neuf enfants ou adolescents qui, un jour, ont choisi ou ont été obligés de tout abandonner pour vivre un voyage extraordinaire. Chacun d'entre eux nous raconte ici son histoire...

<a href="bookcreator://page/MzPZa15ASaaUKuoB6rf1qw">Texte 1 : </a>

<a href="bookcreator://page/Z4dumiw9TBG9EBQmjhtwLw">Texte 2 : </a>

<a href="bookcreator://page/8kgMhHhFS2yalEV6gLuayA">Texte 3 :</a>

<a href="bookcreator://page/7Q18R1aeS9eTlvJS2wqUjg">Texte 4 :</a>

Une aventure entre amour et drame (Juliette, Lina, Manon, Ellie)

L'histoire de Tom Worm (Lougna, Ali, Maëlys,Yohan)

Le fabuleux voyage de Maxime Taïdon (Ahmed, Léo)

Un vol très particulier (Léandra, Malory, Sarah)

Alors que j’allais repartir, j’aperçus un bouton rouge sur le côté de l’armoire, j’appuyai dessus et la porte s’ouvrit. Une lumière rouge surgit alors à l’intérieur du meuble. Je me sentis attirée par cette lumière, comme absorbée… et soudain, sans même m’en apercevoir, je me retrouvai à nouveau à l’intérieur de l’armoire. J’entendis alors un fort claquement : les portes venaient de se refermer derrière moi. Des mouvements brusques me secouèrent et je me retrouvai dans le noir car la lumière rouge avait soudainement disparu! Je me sentis alors toute légère, comme en apesanteur et j’avais mal au cœur. La peur me poussa à fermer les yeux. Soudain, la lumière rouge réapparut et les portes s’écartèrent lentement. Lorsque je rouvris les yeux, je m’aperçus que je me trouvais dans une sorte d’usine à robots. Je sortis de l‘armoire, j‘étais stupéfaite car je n’avais jamais rien vu de tel auparavant. L’armoire était intacte. Je venais de comprendre ce que faisais mon père pendant ses heures inoccupées! Je pensais que c’était qu’un rêve mais j’avais tort! Je courais partout sans savoir où aller!!!

Sa taille était aussi grande que celle d’un enfant, sa tige avait l’apparence d’un sceptre, ses feuilles, elles, étaient encore plus vertes qu’une salade, ses dents étaient aussi grosses que celles d’un requin et quant à sa tête, elle était énorme telle une roue de tracteur! Mon corps étant paralysé ne m’ obéissait plus, sûrement parce qu’il voulait éviter de faire des gestes brusques qui pourraient réveiller cette créature. Alors je me mis à retenir mon souffle et à marcher sur la pointe des pieds pour passer.

Références des morceaux de musique et des bruitages libres de droit Au bout du fil (auboutdufil.com) : - Sacrifice de Eli Lortomy - Inaccessible love de CyberSDF - All the regrets de Loik Brédolèse - Whispering Iceland de Zéro Project - The Epic Hero de Keys of Moon - Star Collide de Josh Ward - Paris la nuit de A virtual friend freepd.com : - Bar Brawl de Bryan Teoh voicy.network : - "Thunder Sound 4" de kskofficial

universalsounbank.com : - "Cascade 1" - "Créature démoniaque 4" - "Marmotte 1" - "barque-ramer" - "Compressor" - "Forêt asiatique" - "mer calme 1" - "mer avec des vagues agitées"

Ils s’appelaient MIA et LUKAS. J’appris que leur père était aussi ingénieur en technologie. Je me demandai s’ils pouvaient m’aider avec mon problème de voyage dans le temps. Je ne les connaissais pas très bien mais je n’avais pas le choix, si je voulais rentrer chez moi je devais leur demander de l’aide. Je leur racontai mon histoire, au début mon récit leur parut vraiment étrange mais ils finirent par me croire. MIA était très enthousiaste à l’idée de m’aider. Nous marchâmes pendant quelques minutes puis nous arrivâmes devant une maison qui était différente des autres demeures que j’avais pu voir dans cette ville, elle était plus petite et elle était toute noire et blanche. En entrant, je remarquai qu’il y avait un monsieur qui était vraiment très grand et qui me regardait étrangement. Puis son regard se tourna vers MIA et LUKAS, il les regardait furieusement.

Lundi 28 mars 2022 Aujourd’hui, comme j’étais reposé, j’ai pu observer davantage l’île et ses paysages. L’habitat de mes hôtes est composé de sortes de petites cabanes dans les arbres faites tout en bois. Elles sont à peine visibles car elles sont très bien camouflées dans la végétation. Elles sont reliées entres elles par des ponts suspendus au-dessus du vide. En regardant aux alentours, je ne paraissais pas le bienvenu... Je me faisais dévisager de la tête au pied par curiosité car ils n’avaient visiblement jamais vu d’hommes blancs.

1er Juillet 1963 Aujourd’hui je suis retournée à ce merveilleux endroit. Je me baladais à la recherche de ressources lorsque je suis tombée en trébuchant sur une racine plutôt épaisse qui était liée à une plante que je n’avais encore jamais vue. Celle-ci est de taille moyenne - comme une guitare - et sa tête ressemble au bourgeon d’une rose. Elle possède une moustache noire sur chacune de ses feuilles! Ceci m’a fait rire car elle ressemble à mon père, c’est pourquoi je l’ai appelée « plant- mystache&nbsp;» qui se traduit en plante-moustache. Par curiosité, j’ai voulu la toucher mais dès que ma main est entrée en contact avec cette plante, une moustache est apparue sur mon visage&nbsp;! Heureusement, elle est tombée au bout d’une dizaine de minutes. La plante n’a pas de feuilles mais elle possède de longues tiges. Sur celles-ci se trouvent ces drôles de têtes moustachues mais sur d’autres, on remarque des tiges en forme de ressort ou bien d’un serpent en train de ramper. Ça a été une découverte surprenante et amusante qui m’a mise de bonne humeur le reste de la journée !

J'ai aujourd'hui découvert un fruit étrange dans ce désert. Ce fruit pousse dans un arbre dont le feuillage est d’un vert clair tel un manguier au printemps. Elle mesure la taille d’ une balle de golf mais la forme d’ une goyave en pleine maturité.

Quand il est encore petit, il est recouvert d’une peau dure couleur violet sombre, mais à l’âge de maturité il est de couleur marron sombre. Son goût à la fin est aussi sucré qu’un ananas ,aussi doux qu’un litchi et aussi acidulé qu’un citron. C’est le mangoustan.

Jeudi 22 Juillet 1280. La maladie. Hier soir, je me suis endormi malgré le bruit des orages. Et ce matin, en me réveillant j’ai vu que j’étais au milieu de la mer. L’orage est passé mais je crois que j’ai le mal de mer car je n’ai jamais navigué avant aujourd’hui.

Il y a de cela quelques mois, il nous est arrivé une aventure incroyable qui nous marquera à vie. Je m’appelle Axel Warm et aujourd’hui je vais vous raconter mon histoire. Le jour de l’anniversaire de ma grand-mère, nous devions aller chez nos grand-parents avec le téléporteur que nos père et mère&nbsp;avaient conçu. Une fois que nous fûmes à l’intérieur, la machine commença à faire des bruits étranges et à émettre de la fumée car elle n’était pas assez puissante pour nous guider là où l’on voulait aller. En effet, elle n’était conçue que pour trois personnes à l’origine mais nous étions cinq à l’intérieur&nbsp;!

Clara, 16 ans, et son frère Paolo 15 ans, sont orphelins et n’ont jamais connu leurs parents. Ils sont nés à Palerme en Sicile. Un jour, un gang leur propose de travailler pour eux mais ils refusent et se font poursuivre par le clan. Ils fuient en embarquant sur un bateau à destination de l’Océanie. Une terrible tempête détruit le bateau, Paolo et Clara s’échouent sur une île...

10 février 1854 Ce matin, nous sommes sortis de la grotte mais nous avons observé au sol devant l’entrée des petites traces de pattes étranges comme celles d’une feuille d’érable ! Nous avons décidé de nous séparer&nbsp;: je suis parti explorer ce qu’il y avait de l’autre côté de la rive, et j’ai laissé ma sœur découvrir un autre endroit. Je venais de traverser la rive lorsque j’ai entendu un bruit étrange ! Je suis aller voir. Je me suis approché un petit peu et j’ai découvert une terrible créature imaginaire, je reconnais plusieurs animaux en un. Il est grand, il a une tête comme celle d’un lapin. Il a une queue aussi longue qu’un bateau. Je décide de surnommer cet animal «rapin&nbsp;» car il possède une queue de rat et une tête de lapin. Il a une carapace si grande si belle si propre ! Sur celle-ci, il y a des rayures de zèbre cela me fait très peur mais aussi rêver car il y a peut-être d’autres espèces dans son genre!!! Il possède des ailes d’aigle et quatre pattes toutes petites, un peu comme celles d’un pigeon : deux pattes avant et deux pattes arrière.

Mort de fatigue et en manque d’eau et de nourriture, je me suis endormi sur la chaloupe… Quand je me suis réveillé, la barque était arrivée sur une île recouverte d’une jungle. J'étais si faible que j’ai eu du mal à sortir de mon embarcation.

Samedi 26 mars 2016 Aujourd’hui, comme prévu, avec Alvaro, j’ai continué l’exploration de cette mystérieuse île. Au loin vers la forêt, nous avons aperçu une drôle d’espèce de plante qui se déplace sur ses tiges comme sur des jambes! C’est magique!!! Elle est grande d’à peu près 3m de haut et très fine, 3cm de diamètre environ, comme une longue brindille de couleur bleue, jaune et verte. Ses grandes dents pointues comme celles d’un requin et noires comme l’encre sont effrayantes! Avec des recherches nous allons inventer son nom, elle se nommera RAMILLA, c’est une plante plutôt inconnue pour nous, je suis émerveillé devant cette fabuleuse et incroyable plante! Nous allons poursuivre cette superbe aventure demain.

Jeudi 2 mars 2050 Une fois dans l’avion, nous avons remarqué que nous étions seules. Le voyage était très risqué mais après à peine trente minutes écoulées nous sommes arrivées en France saines et sauves.

Je lui racontai ensuite toute mon histoire et il décida de m’aider. Il proposa de m’héberger chez lui. Je n’étais pas très sûre de pouvoir lui faire confiance. Et s’il me voulait du mal? Et s’il m’enlevait et que je ne pouvais plus jamais rentrer chez moi? Mais si justement, il était le seul à pouvoir m’aider? 	 Je décidai de prendre ce risque et de le suivre, il était plutôt agréable à vivre et me fis visiter sa ville. Elle était incroyablement belle, vraiment très belle! De grands monuments se dressaient dans toutes les rues de cette ville, il y avait des robots-marchands de nourriture qui vendaient des aliments qui semblaient vraiment insolites et délicieux.

Mardi 27 juillet 1280. La découverte d’un animal. Quand je me suis réveillé, je voyais flou et ma tête était très douloureuse. J’étais allongé sur le sable et je me suis souvenu du naufrage. Je me suis rendu compte que j’avais échoué sur l’île et que j’étais tout seul! Je me suis demandé où étaient passés mes compagnons. Alors j’ai vu une montagne au loin, j’ai décidé d’y grimper. Après deux heures de marche, j’ai enfin atteint le sommet. De ce point de vue, je voyais toute l’île. Elle était si belle, si vaste et si grande et regorgeait de si immenses arbres! Je me suis assis sur le sommet de cette montagne pour observer ce beau paysage, lorsque tout à coup, j’ai entendu un cri effrayant, semblable à celui d’un ours. Surpris, je me suis caché derrière un énorme rocher. Quelques instants plus tard, plus aucun bruit. Je suis donc sorti de ma cachette, j’ai levé les yeux et j’ai vu cet étrange animal en face de moi.

11 février 1854 Ce matin j’ai trouvé quelques baies que nous avons avalées pour le petit déjeuner, puis nous avons décidé de continuer notre exploration. Ma sœur et moi avons longé la rivière qui traversait l’immense vallée. Le silence régnait sur ce paysage recouvert d’une épaisse couche de neige blanche. Soudain, mon regard a été attiré par ce qui m’a semblé être un petit arbre qui bougeait. Ma sœur s’est approchée et a laissé échapper un cri strident. Quand, à mon tour, je me suis approché, je me suis aperçu que ce n’était pas un arbre mais un petit animal tapi dans la neige.

Ce numook a été écrit et illustré par les élèves de 5ème 4&nbsp;du collège Jules Verne de Rivery : Océane, Capucine, Ellie, Lalie, Sarah, Juliette, Manon, Lou, Léandra, Fortune, Maëlys S., Sirine, Maëlys J., Lina, Lougna, Malory, Ahmed, Jessy, Léo, Yohan, Ali, Farès, Rudy, Raphaël T, Raphaël D, Adam, Andreas, Romain Accompagnés par leurs enseignant(e)s&nbsp;: -&nbsp;&nbsp;&nbsp;écriture des textes ( Mme PAUZET et &nbsp;Mme LOCQ) -&nbsp;&nbsp;&nbsp;illustrations (M.BOUCLY) -&nbsp;&nbsp;&nbsp;sons et musiques (Mme ALDEBERT) -&nbsp;&nbsp;&nbsp;créations en langues vivantes (Mme SIMON, Mme GERVAIS, Mme HEUEL et M.ALHO GUERREIRO) Remerciements&nbsp;: Merci à la bibliothèque Pierre Garnier de Camon et plus spécialement Amandine LHERMITTE Merci à l’auteur Jean-Christophe TIXIER pour la rencontre avec les élèves Merci à toute l’équipe Numook Jeunesse et particulièrement à Marine DOINEL Merci à madame AUTHOUART et madame POMPIER, principale et principale adjointe du collège qui ont permis la réalisation de ce projet

" -Alex… Alex…Alex…" Je regardai autour de moi mais il n’y avait personne. « Ce n’est pas possible, je suis fou ! » me dis-je. La petite voix surgit de nouveau. « Je suis là, à tes pieds&nbsp;!»Je baissai la tête, et découvris, scintillant de mille feux, une fleur que je n’avais jamais vue avant. -Ah! Une plante qui parle ! s’exclama ma sœur. J’étais émerveillé par sa beauté ! Ses pétales de couleur rouge vif comme le feu avec des contours jaunes ressemblant au soleil nous éblouissaient. - Elle a des yeux qui ressemblent à des amandes ! , me dis-je étonné. Elle possédait une très longue tige, vert foncé et très jolie comme ses deux petites feuilles. - N’aie pas peur, me dit-elle. Je suis une plante inoffensive. Je m’appelle Rosaline et je suis une plante appelée DOMINUS.» Puis nous nous dîmes aurevoir.

13 février 1854 Nous avons continué notre chemin pendant plusieurs kilomètres jusqu’à une petite clairière entourée de lianes. Au milieu trônait un saule pleureur possédant des fruits rouges comme une fraise et ronds comme une clémentine : sur ses branches poussent de longues tiges feuillues ornées du fruit rouge. Ce fruit au goût acide est étonnement bon, si bon que lorsqu’on mord dedans on veut en manger une multitude. Le fruit brille grâce à sa couleur rouge éclatante. Nous avons décidé de l’appeler : « Fraga Citrus Clementina ».

Nous nous évanouîmes car soudain un choc extrêmement violent nous secoua. Quelques heures plus tard, je me réveillai et je vis que nous étions dans un endroit inconnu. Je vérifiai que tout le monde allait bien mais je ne trouvai pas nos parents. Ma sœur commença à pleurer et mon frère à réfléchir à une solution pour les retrouver mais il n’en trouva pas. Nous décidâmes d’explorer les alentours.

Nous marchâmes jusqu’à trouver un bâtiment. Deux heures plus tard, nous vîmes une station-service. Nous rentrâmes à l’intérieur, elle était très jolie car il y avait plusieurs leds de couleurs. Nous allâmes discuter avec le gérant de cette station,&nbsp;mais il ne parlait pas notre langue. Nous essayâmes de communiquer avec des gestes mais ils ne comprenaient pas ce qu’on essayait de lui dire. Je sortis mon Iphone 981 et je lançai Google traduction 2.0.

- Tu as pris quel numéro d’avion&nbsp;? Le 437&nbsp;? J’avais pris ce même numéro d’avion il y a 30ans&nbsp;! Tu viens d’être projetée dans le futur&nbsp;! Nous sommes en 2050. Cela fait deux ans maintenant que je suis ici moi-même. -Ah&nbsp;! Je comprends maintenant la date écrite sur la pharmacie&nbsp;!

J’étais tellement surprise par cette nouvelle que j’ai failli m’évanouir&nbsp;! Où étaient passés le pilote et les autres passagers? Comment allais-je pouvoir rentrer chez moi&nbsp;? Cela allait-il être possible ou est-ce que j’allais devoir vivre dans ce désert toute ma vie&nbsp;? Le plus urgent, c’était de chercher de quoi se nourrir.

Nous avons donc continué d’avancer pour trouver de la nourriture et de l’eau. Plus loin nous avons cru apercevoir de la végétation.&nbsp;Nous nous sommes approchées et nous avons vu un lac entouré d’une oasis. Au pied d’un arbre se trouvaient de la nourriture (quelques fruits, des sacs de blé et du pain). Juste à coté il y avait une cabane constituée de bois. A l’intérieur se trouvaient des couettes et des oreillers composés de feuilles ainsi que des vêtement de tissu. Nous avons donc décidé de nous reposer ici car la nuit commence à tomber.

Une fois arrivé très loin d’elle je repensais à cette plante, elle était tellement grande, jamais je n’aurais cru voir ça de toute ma vie ! Alors je fis quelques recherches sur ce spécimen et j’appris qu’elle avait pour nom «&nbsp;Pygocentus naterreri&nbsp;».

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Cet animal que j’ai nommé «Montismeleon Cervidae», Montis pour la montagne, meleon pour le caméléon et Cervidae pour le cerf a la forme d’une souris des montagnes aussi appelée «marmotte». Il vit au creux des arbres et possède deux cornes de cerf placées sur le haut de la tête que j’ai d’abord prises pour un arbuste ayant perdu ses feuilles. Elles sont grandes, élégantes et remarquables. Sur ses flancs apparaissent des rayures noires et légèrement biseautées. En m’approchant, j’ai entendu son souffle. Il m’a paru comme le son d’un train à vapeur entrant dans une gare, comme une casserole sur le point de déborder ou encore comme le souffle chaud sortant des naseaux d’un lion ! Sa queue est enroulée comme la coquille d’un escargot et pourvue de petites écailles vertes semblables à celles du caméléon. Aussi, quelle a été ma surprise quand je me suis aperçu que celles-ci avaient tendance à changer de couleur ! En revanche son cri est si doux et si calme que je ne saurais le décrire. Quelle merveille !

J’ai alors aperçu des personnes qui parlaient une langue étrange. Ces humains ressemblaient à des indiens. Ils étaient nus et maigres, leur attitude était assez calme. Ils n’avaient absolument pas peur de moi mais il semblaient étonnés. J’ai passé toute mon après-midi avec eux, ils m’ont nourri de pain et de céréales. Comme ils ont vu que j’étais fatigué, ils m’ont proposé de dormir avec eux dans leurs cabanes perchées. Comme j’étais épuisé, ils m’ont porté puis m’ont fait monter sur une échelle de bois et m’ont installé sur un matelas de feuilles et de pailles.

<a href="bookcreator://page/BLtkCOxBTI63a42Jgtc1Yw">Texte 5 :</a>

<a href="bookcreator://page/tdW4qMzKRbuXdaQ_z9dyIw">Texte 6 :</a>

<a href="bookcreator://page/rxd59h7QQ2On7fbCN2-iwg">Texte 7 :</a>

L'histoire d'Alix (Fortune, Sirine, Maëlys)

La grande aventure du téléporteur (Adam, Farès, Romain)

Aventure en mer (Jessy, Rudy, Raphaël)

<a href="bookcreator://page/FpKfqqYWSAClp5Ig4pEp0w">Texte 8 :</a>

<a href="bookcreator://page/ibdswM0eT_6Fy3eXF5Z-yg"> texte 9 :</a>

Mon tour du monde (Océane, Capucine)

Carla et Paolo (Lou, Lalie, Andreas, Raphaël)

Quand nous arrivâmes sur place à Cocorico nous constatâmes que ce n’était pas une ville comme les autres. En effet, elle était très moderne. Une pyramide imposante tournant&nbsp;sur elle-même se dressait au milieu de la cité. Sur celle-ci étaient installés des panneaux solaires produisant de l’électricité pour toute la ville. Nous allâmes parler aux habitants de la cité. Leurs vêtements étaient étonnants : de la tête aux pieds, ces personnes étaient habillées en gris métallique.

Leonardo est un adolescent de 16 ans né en Italie à Turin en 1264. Il vit avec son père, un marchand plutôt riche qui connaît Marco Polo. Leonardo a lu, lui aussi, le Livre des merveilles qui l’a fasciné et lui a donné envie de voyager sur un autre continent, l’Afrique. Il vole de l’argent à son père, fugue et achète un cheval pour se rendre à Lisbonne. Là, il embarque sur une caravelle de marchands portugais en direction du sud. Pendant le voyage, une grosse tempête surgit et le bateau fait naufrage. Leonardo se retrouve seul survivant sur une île inconnue.

L’après-midi après avoir mangé avec les indigènes En marchant dans la Jungle de l’île j’ai entendu un cri. J’ai levé la tête vers l’arbre d’où venait le son puis j’ai aperçu une mouche de la taille d’une fourmi,

avec des ailes d’oiseaux et des pattes de grenouilles… J’étais tellement surpris et émerveillé, et aussi apeuré de rencontrer cet insecte inconnu ! Il est si petit, si laid, si étrange et si peureux&nbsp;! Quand je me suis approché, il est parti à la vitesse de l’éclair !

En ce qui concernait son apparence, il était bleu ciel avec une fourrure aussi douce que de la laine, des yeux en amandes de couleur noire, une queue aussi grande que la tour Eiffel et des oreilles aussi longues que celles d’un lapin. Ses bras étaient semblables à ceux d’un pingouin, le bas de son corps ressemblait à celui d’un ours. Ce qui m’impressionnait chez lui c’est qu’il changeait de couleur sous l’eau et sur les montagnes afin qu’on ne le remarque pas. Je vous dirais maintenant qu’il sait nager sous l’eau dès la naissance, je vous dirais aussi qu’il sait résister au courant de l’eau, et je vous dirais enfin qu’il sait respirer sous l’eau comme sur terre. Il se nourrit de fruits tels que l’ananas, la pastèque, les oranges, les pommes et les grenadines. Il se prénomme le NOTRE PINGLEPUS.

Axel Warm, onze ans, vit à Londres 2.0 avec sa sœur de cinq ans et son frère de seize ans. Ses parents ingénieurs ont créé un téléporteur, une machine qui permet de se déplacer rapidement et très loin. Il adore les jeux vidéo. Un jour où il devait aller chez ses grand-parents, le téléporteur dysfonctionne et sépare les enfants des parents. L’objectif de son voyage sera de les retrouver.

25 janvier 1854, le soir Nous avons découvert ce matin au fond de la cale, cachées derrière des couvertures et des cordes, quelques caisses en bois. Nous espérions y trouver un peu d’eau et de nourriture. Nous avions remarqué depuis quelques jours une odeur étrange, comme une odeur de poudre à canon qui nous a permis de découvrir ces caisses. Nous avons bien fait car nous nous sommes aperçus que la profondeur de celles-ci était anormalement haute. Sous la nourriture, il avait un double fond qui cachait de la drogue. A ce moment-là, nous avons eu très peur car nous avons réalisé que nous étions dans un bateau hors-la-loi. Nous avons maintenant envie de quitter ce paquebot au plus vite! Mais nous sommes coincés dans la cale. Heureusement, nous avons maintenant un stock de nourriture et de l’eau à volonté. J’ai pris des pommes et du pain, ma sœur a trouvé de l’eau.

Il les interpella pour leur parler, il ne semblait pas très content. Quelques minutes plus tard, MIA et LUKAS sortirent tout tristes et ils me dirent que c’était interdit d’emmener des personnes dans la demeure du monsieur. Il s’appelait SPENCER. j’allais lui parler et lui raconter mon histoire, il comprit et voulut m’aider. SPENCER était très sérieux et il ne souriait presque jamais. Il m’emmena dans une très grande pièce au sous-sol où étaient placées plusieurs grandes machines. J’avais peur mais je n’avais pas le choix, je voulais vraiment rentrer chez moi. J’entrai dans la machine avec crainte. Spencer démarra l’appareil, il y eut de nombreux mouvements brusques qui me faisaient très mal. Les mouvements étaient tellement violents que je me cognai la tête et m’évanouis.

Après avoir vécu cet événement, je découvris des plantes qui à cause de leurs fruits me semblèrent les plus belles. La plante donnait un fruit nommé «fruits rouges semblables au fruit du dragon». Ce fruit était comme une fraise ou une framboise pour la forme mais de la grosseur d’une pomme avec des pics pointus de couleur verte. Il ressemblait à une grosse tête ou à un gros ventre bossu ! Il possédait une forme circulaire et poussait comme nos figues de Barbarie. Quand ils sont venus à maturité, ils prennent une couleur rose et une odeur de poire de melon et de kiwi mélangés. On ne les sent guère de loin mais leur goût de kiwi très sucré est si doux qu’il n’y a point de fruit ou de nourriture meilleure !

30 juin 1963 La nuit a été difficile cette cabane est humide et froide. Sa façade est composée de planches de bois assemblées et se dresse au sommet d’un arbre sur lequel on monte par une échelle. Au pied de la cabane pousse une dizaine de plantes tropicales toutes aussi belles les unes que les autres. Cette nuit, j’ai entendu comme des bruits de pas à l’extérieur, j’ai été intriguée donc je suis descendue sans regarder où je mettais les pieds. Quand tout à coup, je suis tombée dans un trou noir et profond.

J’ai attendu des heures avant d’apercevoir soudain un garçon. J’ai crié pour qu’il me vienne en aide mais il est parti. Quand il est revenu quelques minutes plus tard muni d’une corde, il m’a fait remonter et nous avons discuté très longtemps au bord d’un feu. Durant cette conversation, il m’a appris qu’il s’appelait Arthur Jacq, et qu'il avait dix-sept ans. C’est un jeune botaniste français qui a les cheveux marron et les yeux bleus. De taille, il est un peu plus grand que moi.

Lundi 3 juin 1280 . Quand le soleil s’est levé, j’ai commencé mon périple vers le Cap-Vert avec Tornado. Pendant le voyage, je me souvenais que quand j’étais petit, j’admirais Marco Polo et son livre des Merveilles et que j’aurais tant voulu faire ce voyage à ses côtés! Si tout se passe bien, j’atteindrai le Royaume de France d’ici un mois.

Samedi 8 juillet 1280. L’arrivée au Royaume de France. Ce soir, je suis arrivé au coucher du soleil. Le ciel était à la fois beau et inquiétant : orangé et gris à cause des nuages qui commençaient à se rassembler au loin. Je me demandais s’il n’allait pas faire de l’orage. Avant la nuit, je suis allé chercher du bois pour me construire un abri dans la forêt. Après cette journée épuisante, je vais me coucher.

Ils portaient des chaussures très modernes leur permettant de courir plus rapidement. Nous leur demandâmes où nous étions mais tous nous répondirent que nous n’étions pas dans la ville de Cocorico mais dans la ville de Futurama. Ils nous indiquèrent qu’elle était située à 100km au nord de Futurama. Nous primes un drone taxi pour nous rendre à un hôtel. Le lendemain, nous vîmes nos parents se faire enlever par deux personnes habillées en noir à l’air menaçant. Nous courûmes après les deux individus mais rien à faire, nous ne réussîmes pas à les rattraper car ils se déplaçaient en drones.

16 juillet 1963 Je n’en peux plus, sans Kate tout est différent... les journées sont interminables, je me sens vide. Sans elle, je ne peux plus continuer... je vais me laisser mourir à l’endroit où on s’est rencontrés.

Le grand père referma alors le livre de Kate et alla coucher sa petite fille endormie .

Nous avons décidé de nous y rendre pour aller chercher de la nourriture. Une plante a attiré mon regard. Celle-ci est de taille gigantesque, mesure deux mètres de hauteur et de largeur.

 Elle est terrifiante et mange tout ce qui se trouve dans les parages. Elle a comme des dents de requin. La base de son corps est comme un cou de girafe.

La plante est si grande qu’elle pourrait toucher les nuages. Mais elle fut finalement très amicale et nous donna ses provisions. Elle porte des motifs sur la base de son corps qui ressemblent à des tatouages.

 Elle a une tête comme une carapace de tortue

La nuit tomba je trouvai un arbre creux aux feuilles violette qui s’illuminaient à la lumière de la lune... Je rentrai dedans grâce à une espèce de trou à peine assez large pour que je puisse me glisser dedans. Je sortis mes affaires et je m’endormis sur mon sac de couchage en pensant à toutes les découvertes que j’avais faites. Le lendemain, j’essayai de m’échapper de la forêt et ensuite la contourner, mais en vain&nbsp;; je trouvai un passage, je commençai à courir mais en une fraction de seconde, des branches sortirent des arbres et formèrent un mur en feuille… Je me baladais dans la forêt, qui, a priori, ne voulait pas me laisser sortir, quand tout d’un coup, j’aperçus une plante en deux parties, qui, étrangement m’intriguait…

En marchant sur l’île pour chercher de la nourriture, j’ai observé des plantes inconnues, des arbres gigantesques, des fruits étranges et colorés. J’ai pu apercevoir des animaux inconnus&nbsp;: des sortes d’araignées. En manque de nourriture, je n’ai pas pris le temps de les observer mais je le ferai plus tard.

Quinze minutes plus tard, je voulus retourner dans la machine pour rentrer chez moi, mais arrivée sur place, elle avait disparu.	J’étais désespérée, je ne voyais rien. 	 Il n’y avait personne à l’usine de robots et il faisait tellement noir qu’on n’y voyait rien. J’étais si fatiguée que je m’assoupis sur place. Quand le jour se leva, un homme se tenait devant moi, il était plutôt grand, habillé d’un costume doré et à la place de son bras droit il portait une prothèse électronique, D’une voix très grave qui m’impressionna, il me demanda : «-Que fais-tu ici jeune fille et quel est ton prénom?» Je lui répondis : «-Je suis perdue et je m’appelle Alix.»

Samedi 31 juillet 1280. La construction du radeau. Il y a quelques jours, j’ai vu des débris du bateau échoués sur la plage donc j’ai eu l’idée de les récupérer pour fabriquer un radeau et retourner chez moi. Je n’ai pas assez de matériaux donc je vais couper des arbres pour avoir du bois et essayer de trouver des plantes en guise de cordes pour les fixer. Il faudra aussi des tissus pour réaliser les voiles.

Dimanche 27 mars 2016 Ce midi, il nous est encore arrivé quelque chose d’INCROYABLE! Nous étions en train de manger les fruits que la nature a conçus quand tout à coup, une plante a pris la mangue de mes mains. Elle s’est penchée en se balançant sur sa tige et s’est mise à la manger grossièrement avec sa bouche remplie de dents. J’étais tétanisé de peur et d’incompréhension puis Alvaro s’est mis soudain à rire. Quand j’ai pris le temps de regarder cette mystérieuse plante, j’ai vu qu’elle n’était pas méchante. J’ai décidé de l’appeler PICUSE car elle m’avait «piqué» mon fruit! Vendredi 12 août 2016 Cela fait cinq mois que nous sommes sur cette île, nous allons la quitter pour poursuivre ce tour du monde car nous rêvons d’aventure. Cette expérience restera inoubliable, gravée à jamais dans notre mémoire !!!

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