ANAIS
L’orpheline du clair de lune
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Il était une fois une jeune fille de 14 ans, elle s'appelait Anaïs. Ses parents avaient disparu lors d'une nuit de pleine lune alors qu'ils passaient la nuit dans une chambre située à l'intérieur d'un manoir. Anaïs était orpheline depuis l'âge de 4 ans et avait été recueillie dans un orphelinat de Bayonne. Cela faisait dix ans qu'elle y vivait au milieu d'autres enfants à qui elle ne parlait pas...... car elle avait été choquée par la disparition de ses parents.
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Un jour, lors d'une sortie en forêt avec les enfants de l'orphelinat, elle s'éloigna du groupe. Un vieux monsieur avec une parka noire à capuche s'approcha d'elle et lui dit:« Bonjour Anaïs. Je suis l'ancien jardinier du manoir d'où ont disparu tes parents. Je me souviens bien de ce jour, ce samedi 5 novembre 2007. Je me promenais dans le jardin du manoir, profitant de la luminosité de la pleine lune quand tout à coup, je vis tes parents qui étaient en train d'admirer le ciel depuis la fenêtre de leur chambre, se faire aspirer par un trou noir surgi de nulle part!».
Etonnée, elle le remercia en lui souriant puis, l'homme repartit dans l'ombre des arbres de la forêt.
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Ce soir là, Anaïs réfléchit à ce qu'avait dit le vieil homme et décida de partir à la recherche de ses parents.
Il fallait avant tout, trouver un stratagème pour éviter les caméras et les alarmes de surveillance.
Il fallait avant tout, trouver un stratagème pour éviter les caméras et les alarmes de surveillance.
« Orphanage* » = orphelinat
Dans la nuit, après avoir préparé son sac à dos, elle détacha quelques rideaux pour faire une corde qu'elle accrocha au pied du lit et jeta le reste par la fenêtre. Elle s'en servit pour descendre le long du mur et se sauva en courant à travers le jardin.
Cette nuit là, la lune était si blanche qu'elle éclairait la campagne. Anaïs décida de se rendre dans la forêt où elle avait rencontré le jardinier. La jeune fille passa la nuit à chercher le lieu exact où avait eu lieu la rencontre et, au pied d'un vieux chêne, trouva enfin des empreintes de pas qu'elle décida de suivre!
L'homme se rendit compte qu'elle était épuisée... Il l'invita à entrer et lui prépara un petit déjeuner consistant: un chocolat chaud accompagné de biscuits. Anaïs le dégusta en silence. Le jardinier connaissait pertinemment la raison de la venue de la jeune fille et, lui proposa de l'accompagner jusqu'au fameux manoir...quand Anaïs aurait terminé sa sieste!!!
Anaïs se réveilla en fin de matinée, se leva et, d'un regard, invita le jardinier à l'accompagner jusqu'au manoir. Celui-ci prit les clés de sa camionnette et tous deux se mirent en route!
Anaïs se réveilla en fin de matinée, se leva et, d'un regard, invita le jardinier à l'accompagner jusqu'au manoir. Celui-ci prit les clés de sa camionnette et tous deux se mirent en route!
Celles-ci la menèrent à une maisonnette située en lisière de la forêt!
Elle avait passé toute la nuit à marcher et se trouvait épuisée quand elle vint toquer à la porte de la maisonnette au petit matin. Elle reconnut tout de suite le jardinier qu'elle avait rencontré la veille!
Elle avait passé toute la nuit à marcher et se trouvait épuisée quand elle vint toquer à la porte de la maisonnette au petit matin. Elle reconnut tout de suite le jardinier qu'elle avait rencontré la veille!
Le trajet fut très long. Sur le chemin, le jardinier raconta une légende à Anaïs. Il commença son récit:
«On raconte qu’à chaque nuit de pleine lune, toute personne particulière se fait engloutir par une sorte de fumée obscure surgie de nulle part.»
Arrivée au manoir, Anaïs eut une peur bleue en voyant cet immense bâtiment: il dégageait des ondes de tristesse, il faisait un froid glacial. Elle revécut tous ses mauvais souvenirs et se mit à trembler.
«On raconte qu’à chaque nuit de pleine lune, toute personne particulière se fait engloutir par une sorte de fumée obscure surgie de nulle part.»
Arrivée au manoir, Anaïs eut une peur bleue en voyant cet immense bâtiment: il dégageait des ondes de tristesse, il faisait un froid glacial. Elle revécut tous ses mauvais souvenirs et se mit à trembler.