Vous, oui vous, là ! Posez vos téléphones, éteignez la télévision, enlevez vos écouteurs, oubliez Tiktok et Instagram et … ouvrez Nautre livre afin de découvrir Nautre Monde ! 


Nautre Monde

Marble

La tournante La chaise, Tirée par le vent, Essaie de se raccrocher A un néon coloré.

Stars pattern

Rainbow paper border

Quand la sonnerie retentit, Les élèves marchent vers l'impasse pour s'y rejoindre, Et manger une glace sur le port de luminomagiquefantastique.

Blue geometrical pattern

Je pars, je démarre ma nouvelle vie Je pars des mares de boues, je n'en ai plus envie. Je pars de Marly et j'arrive à Tahiti. Je pars de cette ville morose Je pars voir le Mont-Rose! Je pars de cette cité défavorisée Si t'es défavorisé Je pars, je fuis mes heures de cours Je respire, je cours!! Je pars pour que disparaissent mes douleurs. Pour désormais écouler des douces heures. Je pars vers la mer avec son goût amer.

Bunting border

Magnifique chemin de fer Ebloui par un ciel vert De spectaculaires poteaux reflètent l'entrée d'un tunnel. Au loin, Une route colorée par un passage piéton.

Comme une vague, Au crabe rouge par le bruit du vent. Au bord de la plage enchantée par un coucher de soleil, Par les bateaux des touristes.

Craft paper border

Un autre regard sur Nautre Monde ...

Des créations à voir, à écouter, à lire !

Ouvrez vos yeux sur un univers d'originalité : de l'autre côté de l'objectif se trouve un nouveau monde, celui de nos photos du quotidien. 

Purple geometrical pattern

Ils allaient conquérir les fabuleux poissons Que la mer leur offrait comme offrande Avec leurs caravelles et leurs bâtons.

Plusieurs textes ont été écrits à partir du poème "Les Conquérants" de José Maria de Heredia, paru dans Les Trophées en 1893 Comme un vol de gerfauts hors du charnier natal, Fatigués de porter leurs misères hautaines, De Palos de Moguer, routiers et capitaines Partaient, ivres d’un rêve héroïque et brutal. Ils allaient conquérir le fabuleux métal Que Cipango mûrit dans ses mines lointaines, Et les vents alizés inclinaient leurs antennes Aux bords mystérieux du monde Occidental. Chaque soir, espérant des lendemains épiques, L’azur phosphorescent de la mer des Tropiques Enchantait leur sommeil d’un mirage doré&nbsp;; Ou penchés à l’avant des blanches caravelles, Ils regardaient monter en un ciel ignoré Du fond de l’Océan des étoiles nouvelles. José-Marìa De Heredia

Orange geometrical pattern

Chalkboard

Je pars de la ville vois-tu ? Je pars, je quitte les champs. Je pars, j'vais faire une chanson. Je pars ici c'est trop petit Je pars vers les tropiques. Je pars de l'autre côté du monde.

Warp black

<a href="bookcreator://page/4WY5q9qfRuaPDc33rHiBdg">Présentation du livre</a>

<a href="bookcreator://page/9qpfpp9yQU2oV38V8_CeSQ">Le monde de Fenscum</a> <a href="bookcreator://page/gbx2faNTT1SQ5StU99N1dQ">Le monde de Clémna</a> <a href="bookcreator://page/fhsz1lmCTxacOA0Hg1IdwA">Le monde de Leostheru</a> <a href="bookcreator://page/PFF1VOOiRiWToVhBoes6nw">Le monde de Mea-jonn</a> <a href="bookcreator://page/lgMFip5ISfiIRZBgUaLKbw">Le monde de Reythan</a> <a href="bookcreator://page/Qbl3qvoOTTe9_0LdavMQqw">Le monde de Tovilament</a> <a href="bookcreator://page/2gb0MqO4STa2y5YjgsYL0w">Le monde de Caskmyrihlle</a>

Source d'eau Une clairière dans une rivière, Sapin bougeant comme un humain. Un oiseau plongeant dans un château d'eau, Maison d'un toit en soie. Une terre pleine de lumière et de fer.

Red zig-zag pattern

Le démarrage de la console, Aussi long qu'un voyage Le temps de chargement, Aussi grand que la longueur de l'océan

Parchment

Sources, Remerciements et Auteurs

Watercolor texture 2

Comme un univers voulant copier la mer Fatigué de porter le chagrin des marins Absence d'air, plus d'oxygène, tout ça à cause de LAIR

Déjà, s'éteint ma lampe, Et l'ombre de la rampe, Qui le long du mur rampe, Monte jusqu'au plafond. C'est l'essaim des Djinns qui passe, Et tourbillonne en sifflant ! Les ifs, que leur vol fracasse, Craquent comme un pin brûlant. Leur troupeau, lourd et rapide, Volant dans l'espace vide, Semble un nuage livide Qui porte un éclair au flanc. Ils sont tout près ! — Tenons fermée Cette salle, où nous les narguons. Quel bruit dehors ! Hideuse armée De vampires et de dragons ! La poutre du toit descellée Ploie ainsi qu'une herbe mouillée, Et la vieille porte rouillée Tremble, à déraciner ses gonds !

Cris de l'enfer! voix qui hurle et qui pleure ! L'horrible essaim, poussé par l'aquilon, Sans doute, ô ciel ! s'abat sur ma demeure. Le mur fléchit sous le noir bataillon. La maison crie et chancelle, penchée, Et l'on dirait que, du sol arrachée, Ainsi qu'il chasse une feuille séchée, Le vent la roule avec leur tourbillon. Prophète ! si ta main me sauve De ces impurs démons des soirs, J'irai prosterner mon front chauve Devant tes sacrés encensoirs ! Fais que sur ces portes fidèles Meure leur souffle d'étincelles, Et qu'en vain l'ongle de leurs ailes Grince et crie à ces vitraux noirs ! Ils sont passés ! — Leur cohorte S'envole, et fuit, et leurs pieds Cessent de battre ma porte De leurs coups multipliés.

Les Univers volent dans le ciel couleur miel. Ils vont conquérir les belles étoiles. Que la galaxie cache au fond de son placard.

Blue polka dot pattern

Je pars de la maison Avec mes sons. Je pars avec mes bagages Et ma cage. Je pars avec mon écharpe Et mon chapeau Que je mets sous le capot. Je pars car j'ai envie de balade Je pars car j'aime les vagues. Je pars pour avoir des souvenirs Je pars avec le ventre vide. Je pars vers l'entrée En mangeant des dragées. Je pars en vacances Et on me dit "va-t'en". Je pars au soleil Pour voir les coccinelles.

Comme un décollage d'avion vers l'ennemie, Fatigué de porter les charges nucléaires. L'avion de chasse laissant une brume dans l'air Volait pour faire la guerre à l'Indonésie.

Flash black

Comme un départ imminent vers le ciel rose pâle Hors de notre galaxie lointaine Décolle vers une supernova éloignée Pars conquérir la galaxie isolée. Les astéroïdes enflammés font dévier La fabuleuse fusée noire de la Nasa

Uni vert Comme le bleu usé du système solaire Dans un plat net uni de vert Ce peintre terrestre Océan noir la vague, et toile de verre.

Une multitude d'arcs en ciel Cache un somptueux trésor à ses pieds Un troll les garde secrets. S'inquiète quand il aperçoit un chevalier, voulant s'en emparer.

Venez mourir ! Comme les vagues de la plage Venez donc lire, le vague à l’âme de mes pages Les palmiers sont courbés comme des vieillards Les bords de mer sont devenus de tristes dépotoirs L’érosion a mis à nu les mornes à rhum L’Abyssin a condamné tous les chemins qui mènent à Rome Ma musique s’exprime comme une saudade Les notes et les mots se mettent debout comme des soldats ! REFRAIN Source : Paroles récupérées sur le site <a href="https://lyricstranslate.com/fr/ga%C3%ABl-faye-je-pars-lyrics.html">https://lyricstranslate.com</a>

La guitare vers le volume Tremblait pour l'honnêté Que le son ferait sur elle Avant la mélodie

A travers le hublot du télescope, explosive lumière : le jaune étoilé et le gris soleil dévoilent de nouveaux horizons.

Derrière ces couleurs vives De mots et de livres, Des étagères couleur aussi caramel que les caravelles.

Je pars enfin loin de cette ville faussement idéale Je pars demain retrouver un monde où tout ça n'est pas normal, Je pars sans regrets rejoindre ce monde enchanté Je pars sans rien emporter pour toute l'éternité Je pars de tout mon être vers le soleil, Je pars pour retrouver mon sommeil Je pars m'envelopper dans cette douce chaleur Je pars pour fuir tous les malheurs Je pars sans états d'âmes Je pars les pieds nus sans mes savates Je pars pour découvrir cette savane Je pars vers toi le roi des lieux Je pars vers d'autres cieux Je pars enfin pour toujours et à jamais vers toi le merveilleux.

L’ami ! Les choses qu’ils promettent ? Être condamné à glaner Sur sample de guitare sèche, j’veux des gens simples et des sourires Ici c’est rare qu’on nous supporte, qu’on ouvre les portes et les serrures J’veux vivre, sur des rythmiques des mélopées Me libérer de mes chaines car la culture m’a menotté Eh, j’veux que tu viennes, allez, rentre dans mon monde Viens retrouver Colombe mon cœur mort sous les décombres REFRAIN Embrassez-moi, je suis pour l’amour et la paix Le 28 août à DC j’ai fait le rêve de l’appel La peine ma vrai nature, je vis avec Comme l’orphelin du monde, l’enfant seul, le restavec J’vis dans ces rues tristes, le matin hivernal J’suis enfermé dans l’enfer et pour moi c’est infernal Amenez la joie dans mes ténèbres, apocalypse de mes tourments J’ai l’impression d’être au tournant que les personnes autour me mentent

Le néant du monde Qui fera de ma vie un cauchemar Explosera le soleil. L'âme blanche sera ainsi destructive.

Voyager à travers le Paysage qui reflète Les lueurs cubiques D'une luminosité Aussi splendide Qu'un arc en ciel.

Grey polka dot border

intégrer le son de Madame Schaff plus écrire un texte.

J'entre dans l'antre de mon estomac. Petit cliquetis, dès le matin, tu me réjouis Comme un concert qui se déchaîne, s'enchaîne, ustensiles De tous les plaisirs, grâce à vous je me régale dans le Dédale de ma cuisine. Grâce à vous, je croque la vie à pleines dents.

3 Quand soudain la tornade arriva ...

Je pars j'en ai marre de ma mère Je pars retrouver la mer Je pars de ce pays pollué Je pars sous les palmiers Je pars, je démarre une nouvelle vie Je pars pour fuir les mares

Comme un gros poisson au milieu de l'océan Le mât du bateau s'agitait avec les vagues, Le poisson emprisonné par la pollution, Les pirates emportés par les animaux marins.

REFRAIN Je pars, parti pour la vie Je pars, viens avec moi si t’as envie Je pars pour la saison des pluies Je pars, hier demain et aujourd’hui Je pars, parti pour la vie Je pars, viens avec moi si t’as envie Je pars, pour un rayon d’ombre Viens retrouver Colombe mon cœur mort sous les décombres J’veux juste un chapeau de paille, une plage et un transat Oublier les charters, les aéroports dans lesquels on transite J’veux des nuits douces au ciel étoilé, scruter la galaxie Ici y’a pas d’laxisme, on bosse jusqu’à la cataplexie J’veux manger du riz au curry et des mangues juteuses J’veux pas d’leur vache folle qui rit à la fièvre aphteuse Et puis ce soleil qui tannerait ma peau luisante sous la pommade Ici on m’appelle « Negro », y’a pas d’place pour nos peaux mates J’veux qu’mes pommettes, mes zygomatiques s’échauffent toute l’année

Rafale Je pars rejoindre ma vie, Mon âme sauvage s'est enfuie sous le lit. Je pars vers mon pays. La ville de l'eau, Là-haut sur les montagnes de verre. Saut de mon ravage, C'est comme un sol ensoleillé.

Ciel blanc Hiver Neige bleue L'envers Enfer La mer

Flash blue

Le vent qui souffle violemment ... Le vent devenant une Tornade ... La tornade devenant un ouragan ...

Radial blue

Au fond de l'impasse, le couloir sombre Et froid nous emporte dans ce Magnifique floutage.

Entends-tu le cliquetis du gravier et le roulement des vagues? Voilà les mouettes rieuses, elles ricanent, quand La première étoile apparaît dans le ciel.

Comme une caravelle couleur caramel, Je navigue autour du soleil et du ciel, Et là, les vagues font chanter le sable, Je trouve étonnant les pélicans devenus blancs. Ce n'est que le départ, je viens de larguer les amarres

Pour cette entrée sur scène Les micros s'agitent Les projecteurs dansent Et la mélodie s'emballe.

Cliquetis métallique martelant mon esprit, Doigts sur la panoplie de lettres, Mélodie entêtante rythmant mes pensées, Instrument rejetant la feuille encrée, Voix robotique répondant à mes requêtes.

La mousse Sapin Ou pousse Humain Rivière Clairière Le lièvre En vain.

Murs, mousse, Herbe, pousse, Et pomme De thym. Oiseaux De terre Renard De mer.

Plusieurs textes ont été écrits à partie du poème "Les Djinns", de Victor Hugo, paru dans le recueil Les Orientales, en 1929

Murs, ville Et port, Asile De mort, Mer grise Où brise La brise, Tout dort. Dans la plaine Naît un bruit. C'est l'haleine De la nuit. Elle brame Comme une âme Qu'une flamme Toujours suit ! La voix plus haute Semble un grelot.

D'un nain qui saute C'est le galop. Il fuit, s'élance, Puis en cadence Sur un pied danse Au bout d'un flot. La rumeur approche. L'écho la redit. C'est comme la cloche D'un couvent maudit ; Comme un bruit de foule, Qui tonne et qui roule, Et tantôt s'écroule, Et tantôt grandit, Dieu ! la voix sépulcrale Des Djinns !... Quel bruit ils font ! Fuyons sous la spirale De l'escalier profond.

L'air est plein d'un bruit de chaînes, Et dans les forêts prochaines Frissonnent tous les grands chênes, Sous leur vol de feu pliés ! De leurs ailes lointaines Le battement décroît, Si confus dans les plaines, Si faible, que l'on croit Ouïr la sauterelle Crier d'une voix grêle, Ou pétiller la grêle Sur le plomb d'un vieux toit. D'étranges syllabes Nous viennent encor ; Ainsi, des Arabes Quand sonne le cor, Un chant sur la grève Par instants s'élève Et l'enfant qui rêve Fait des rêves d'or.

Les Djinns funèbres, Fils du trépas, Dans les ténèbres Pressent leurs pas ; Leur essaim gronde ; Ainsi, profonde, Murmure une onde Qu'on ne voit pas. Ce bruit vague Qui s'endort, C'est la vague Sur le bord ; C'est la plainte, Presque éteinte, D'une sainte Pour un mort. On doute La nuit...

J'écoute : — Tout fuit, Tout passe ; L'espace Efface Le bruit.

Nos sources d'inspiration (bibliographie) Les recueils de poésies illustrés Le Prévert, dirigé par Héliane Bernard et Alexandre Faure, Mango jeunesse, 1997. L'Heure du hérisson, et autres poèmes piquants, Eric Dauzon et Béatrice Guihéneuf, Les enfants terribles, 1996. Le tireur de langue, Jean-Marie Henry et Roland Roure, Rue du Monde, 2000. Naturellement, Jean-Marie Henry et Yan Thomas, Rue du monde, 1999. Dis-moi un poème qui espère, Jean-Marie Henry, Alain Serres et Laurent Corvaisier, Rue du monde, 2004. Chats pouch, Daniel Py et Pouch, éditions Pippa, 2018 Zoofolies, Brigitte Vaultier et Kerso, éditions du Ricochet, 2004 Les poèmes qui ont servi de base au travail de création poétique "Les Conquérants", Les trophées, José-Maria de Heredia, 1893. "Les Djinns", Les Orientales, Victor Hugo, 1829. La chanson qui a servi de base au travail de création poétique "Je pars", Gaël Faye, parue dans l'album Pili pili sur un croissant au beurre, 2013

Les branches ombrées dessinent un dédale, la verdure traverse le monstre végétal. Les nuages observent en silence cette hypnotisante vision.

Pas, trot Galop Hennir Carotte Obstacle

Je pars pour les étoiles, Naviguant sur la toile de l'est. Je pars vers la lumière céleste, Là-bas, les aurores valent de l'or. Je pars des fontaines de la haine, Je fais un pacte avec l'espace. Au revoir, les vagabonds, Je prends la vague de l'espérance Avec l'élégance d'un diamant. Ces pensées sont mes diadèmes. Le séisme emporte tout, Je me réveille dans ce monde gris, La griffe de la réalité plantée sur moi, Mais je me rendors et je repars…

Les danseurs Sur la terre fissurée, Des asticots endormis Comme des peluches argentées.

Le monde de Clémna

Comme un nuage léger de blanc qui fait rêver. Sous cette lumière douce Toutes ces vagues remplies de tendresse.

Je pars, ma vie est sale. Je pars, j'ai laissé mon sac Incrusté dans la salle. Je pars, laissez-moi rentrer chez moi, Pour un univers fait de Jeux et de youtubeurs. Je cours, car les cours ne m'intéressent pas. Les profs n'ont plus d'humour Et pas beaucoup d'amour. Je pars où je veux aller depuis si longtemps. Je pars pour quitter mes Ennemis qui me posent des mines.

Sources Tous les textes, toutes les photographies et tous les sons publiés dans ce livre numérique sont le fruit d'un travail personnel de création des élèves. La mise en voix (et en son parfois) des textes a été également faite par les élèves de la classe. Plusieurs illustrations utilisées ont été choisies parmi celles qui sont proposées dans la partie Emoji de Book Creator. Les seuls textes cités sont le poème "Les conquérants" de José-Maria de Heredia, le poème "Les Djinns" de Victor Hugo et la chanson de Gaël Faye, dont se sont inspirés les élèves pour certains de leur textes, et dont nous avons mis les références et les liens indispensables sur les pages concernées. Tout contenu publié pourra être retiré sur demande de l’auteur.

Le train de la Voie Lactée

Tel un enchanteur créant un tour de passe-passe, Vous découvrirez tous les secrets de l'espace. Vos cœurs seront emprisonnés par la magie, Métamorphoseront vos yeux en galaxie...

Infinie Entre l'ombre et la lumière Dans ce tunnel sans fin Le train roule vers le trou noir Une lueur d'espoir persiste.

1 Les vents déchainés 2 Attaquèrent le vieux village

Le Montagnard Comme un alpiniste accroché à son épée Un randonneur donne l'heure dans les hauteurs blanches. Escaladant un rocher doré Il finit par se réchauffer près d'un ange.

Blue polka dot border

De grands navigateurs dans la mer déchaînée, De l'immense bateau, ils larguent les amarres, Le soir, la nuit tombée, en voyant les Baléares, Une terre apparaître, ils accostèrent.

Et l'aventure continue dans le ...

La télé vers la fin Pleurait pour son remplacement Car l'ordinateur prendrait sa place Avant qu'elle ne s'allume

Sur la mer déchainée La pluie ne cesse de renforcer La vague arrivant chargée sur la plage Vide ses composants sur un champ bientôt noyé.

Je pars Je prends mon passeport pour trouver un nouveau décor Je pars pour rencontrer la mer Je pars pour retrouver ce goût amer Je pars pour fuir cet enfer et pour retrouver sept terres Je pars pour fuir mes frayeurs comme ces dealers qui font croire qu'ils vendent des fleurs Je pars je nie pour retrouver tous ces ennemis Je pars pour trouver des accords éviter les désaccords Je pars trainer devient une habitude je monte pour prendre de l'altitude.

Ouvrez votre imagination sur un univers d'originalité : de l'autre côté de la page se trouve une nouvelle histoire, celle de nos textes inventés à partir d'un son, d'un poème, d'une chanson et d'un paysage.

Ouvrez vos oreilles sur un univers d'originalité : de l'autre côté du micro se trouve une nouvelle mélodie, celle de nos voix qui lisent nos textes, et des sons qui en sont nés.

Le randonneur fait l'honneur avec une hauteur, Comme les Alpes grises en forme de harpe, Comme un nuage d'une fille sage.

Pop art blue

Half tone purple

Remerciements Nous tenons tout particulièrement à remercier les Bibliothécaires de la Bibliothèque de Marly, Isabelle Erpelding et Valérie Gatto, pour leur accueil à la bibliothèque et le prêt (prolongé ... ) des livres. Merci également à Mme Sarrah Bochet, professeur de musique au Conservatoire, pour son intervention très enrichissante en classe autour de la création de sons et des jeux sonores. Merci également à toute l'équipe de Lecture Jeunesse pour son accompagnement régulier au cours de la création. Nous avons découvert et appris à maîtriser un outil très intéressant avec Book Creator et pensons nous en resservir pour d'autres créations plus personnelles.

Ciel blanc Hiver Neige bleue L'envers En fer La mer

Comme un spationaute entouré de galaxies, Les étoiles filantes brillaient dans nos yeux, Dans l'espace les planètes se dispersaient dans l'air, Pouvions-nous partir avec un loumpaloumpa ?

Warp blue

Nos sources d'inspiration (bibliographie) - Suite Directement ou indirectement, tous les livres empruntés au CDI ou à la Bibliothèque de Marly ont participé au processus de création ... Découvrez-les dans la ligne de bus littéraire que nous avons créée à cette adresse ... : Cliquez <a href="https://view.genial.ly/6039370d7c38720d95f671f8/interactive-content-lignes-de-bus-litteraires-college-la-louviere-de-marly-57">ICI</a> &lt;======== Les livres de notre classe se trouvent principalement sur la L2, la ligne qui dessert en partie notre ville.

Bolt red

Mur, fruit Et puis La nuit Je dis Fleur et Meurs Vidé De mon Sang bleu

Warp red

Watercolor texture 3

Les gouttes de pluies, S'enflamment et dansent, Dans les rues désertes.

Les souvenirs Je pars à la bonne heure Pour le bonheur. Je pars en laissant ma vie à Pise Dans cette ville grise. Je pars sans cette humeur morose, Dans laquelle je glisse des mots roses. Je pars pour la chaleur des terres Qui déterre mes souvenirs. Je pars pour retrouver la mer, Fuyant l’amer de ce monde, Sans me faire haïr.

Sur les rails de la montagne, nous cherchons un arc-en- Ciel. Est-il derrière les nuages ? En nous aventurant, entre les Failles. Et les sommets, enfin l'arc-en-ciel apparaît, multicolore et lumineux.

Purple polka dot border

Paper stack border

l'aventure continue dans le ...

Plusieurs textes ont été écrits à partir des paroles de la <a href="https://www.youtube.com/watch?v=E2HWKGObM8Q">chanson de Gaël Faye, "Je pars"</a> (Droits réservés) Je pars, ma vie est trop maussade Je pars j’ai laissé une feuille incrustée de mots sales Je pars laissez-moi donc ma douleur Je pars pour un monde fait de lumière et de couleurs Je pars car le ciel est bas et gris Les vieux n’ont plus d’sagesse, ils sont racistes et aigris Je pars, je m’envole vers le rire des enfants Je pars même s’ils m’en veulent j’ai trop souffert dans mes tourments Je pars, j’ai déjà fait mes valises Je pars car nos modes de vies d’ici me scandalisent Je pars la vie m’transperce de part en part Je pars car faut être fort et moi j’ai perdu mes remparts Je pars, y’aura ni promesses ni nouvelles Je pars, fallait du cran, j’ai activé la manivelle Par un beau matin je pars je laisse le flambeau Je trouverai mon Abyssinie, moi l’Arthur Rimbaud

Sur ce pont dans le vide se cache-t-il un trou menant vers l'univers ? Du passage piéton, je pars de l'autre côté ! De la tapisserie salle deux, une feuille apparaît.

L'UNIVERS DES MOTS

Je pars, j'abandonne cette ville. Je pars pour recommencer ma vie. Je pars, quitter ces gens qui aiment tout jeter. Je pars voir si je peux trouver une jetée. Je pars vivre dans les prairies. Je pars sans être raidie.

<a href="bookcreator://page/kDimF0PZTaa4b51iX3tuDQ">Le monde de Kaublin</a> <a href="bookcreator://page/v7bE921WTpiprPycu3jZ8w">Le monde de Carel</a> <a href="bookcreator://page/tMrlpnbGTTiA0wbJEBgZMw">Le monde de Miapiare</a> <a href="bookcreator://page/wmT2UvrkRMuP_XCGF8ynHg">Le monde de Cluméani</a> <a href="bookcreator://page/7IWt9RzERyiuxaWdDYjDqg">Le monde de Costininaci</a> <a href="bookcreator://page/gfPdWmKpTpC4_09gpTPfNA">Le monde de Marconecam</a> <a href="bookcreator://page/g36Ret9SR_iIznItPIwxiw">Le monde de Leutchasn</a>

<a href="bookcreator://page/8yikUIezQeybyb3WiYDd4Q">Sources, Remerciements et Auteurs</a>

Château Dorée Du bois En fleurs Le ciel De verre De terre Soleil

Elle commande cœur Pis ma tête braque à couleur, Ej me perds dans les livres Les premiers cœurs de la lune, Les branches demain soir Les yeux d'océan qui se font chavirer, Antiquité.

Sous les vagues, des livres émergent de l'océan. La mer dévore tous les romans en un seul croc. La cascade me met la tête à l'envers, A côté du restaurant, illumine ses plats merveilleux.

Parties vers l'espace comme un tour de passe passe Les vagues font revivre les plages et les poissons Pourvu que les marins ne croquent pas le poison Au bord de la galaxie d'un rêve de magie Ils observent sur terre le ciel à l'infini Le soleil le reflète de sa couleur miel

Le Puits Maison Et pluie Buisson Le ciel Appelle La pelle Au fond Du Tronc Dance of Dance of Dance of Dance of Dance of

Name

Safari may block some audio or video from playing automatically and ‘read to me’ will skip these. You can configure this in Safari’s preferences.