Contes des 6e1

Productions écrites des 6e1

Les contes

Contes des 6e1

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Le Message Secret

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Il était une fois, un petit garçon nommé Jack, il vivait avec sa grand-mère après l’abandon de son père.
À l’anniversaire de ses douze ans, sa grand-mère lui donna une lettre écrite par son père. En haut de la lettre il y avait marqué : « trouve-moi ».
Mais le problème c’est que le reste était écrit en latin.
Sa première mission était donc de trouver quelqu’un pour traduire la lettre. Le lendemain, il prit la route. Il marcha des jours, en toquant à toutes les portes qui était sur son chemin, jusqu’à ce qu’un petit oiseau vienne à sa rescousse pour l’aider à traduire sa lettre.
Après quelques jours de recherche, Jack découvrit que son père se trouvait sur un autre continent lointain. Il partit donc directement à sa recherche mais avant, il devait trouver un moyen pour se déplacer.

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Il pensa à prendre l’avion mais cela était au-dessus de son budget. Alors il repartit chez sa tante pour prendre le vieux radeau de son père.
Le jour du départ, Jack et son acolyte Kiwi l’oiseau prirent le large avec la pagaie magique de Kiwi. Le souci c’est qu’ils n’avaient pas de provisions, mais Jack avait tout prévu et avait ramené une canne à pêche. Quelques heures après leur départ, ils commencèrent à avoir faim, ils sortirent la canne à pêche et pêchèrent une bonne heure. Soudain, la canne devint de plus en plus lourde, C’ETAIT UN TRESOR ! Mais ce qu’il ne savait pas c’est que derrière eux il y avait un gros bateau qui, lui aussi, cherchait le trésor. Ils virent un pirate descendre du bateau. Jack comprit qu’il venait vers eux, alors ils prirent la fuite. Mais Alexandre le pirate les rattrapa et leur firent un accord : soit ils lui donnent le coffre et il les dépose à leur destination ou bien ils ne lui
donnent pas le coffre et les jette aux requins.
Pour Jack le choix était vite fait. Mais une fois sur le bateau d’Alexandre, Jack se fit pousser dans la mer gelée. Il s’était évanoui et quand il se réveilla, à sa grande surprise, c’était le continent sur lequel il devait arriver. Il prit directement la route vers le mont Potalaka car dans la lettre de son père c’est ce qui était marqué.

Sur sa route, il demanda aux gens s’ils connaissaient une personne du nom de Frédérique Huet, mais dès qu’ils entendaient ses paroles, ils lui conseillaient de faire attention, ce que Jack ne comprenait pas au début. Un monsieur lui expliqua que son père était très redoutable, mais cela n’arrêta pas Jack dans sa course et il continua à marcher jusqu’à une petite grotte où il pouvait dormir. La nuit tomba et Jack entendit des ronflements, il se rapprocha du fond de la grotte et vit un énorme ours couché sur le sol. Jack courut vers ses affaires et partit le plus loin possible. Il passa donc la nuit à essayer d’arriver au sommet du Mont Potalaka.
Au petit matin, il vit une maison et décida de toquer à la porte pour demander un peu de nourriture. Une vieille dame ouvrit la porte et Jack lui expliqua. Elle le laissa entrer. Jack s’assit sur le canapé et mangea les cookies que la dame lui avait donnait. Jack lui dit qu’il ne pourra pas rester très longtemps car il avait du chemin. La dame lui demanda où est-ce qu’il allait et il lui dit qu’il devait d’atteindre le sommet de la montagne. Elle fut surprise et lui dit qu’il faisait très froid et qu’un homme très dangereux habitait là-bas. Jack lui dit que c’était peut-être son père et qu’il devait le retrouver. Elle lui demanda pourquoi et il lui dit que son père l’avait abandonné.

La dame lui donna un blouson pour le froid et lui dit que, s’il voulait atteindre le sommet avant la tombée de la nuit, il devait partir tout de suite. Elle lui donna une boussole en lui disant de partir tout le temps vers le nord.
Il prit la route. Cela était rude, la neige le bloquait, mais il ne se décourageait pas. Il faisait de plus en plus froid, mais Jack savait que s’il faisait froid c’était parce qu’il se rapprochait du sommet. Après quelques minutes de marche, la tempête se calma.
Les animaux commencèrent à sortir de leurs cachettes. Mais cela ne découragea pas Jack qui reprit sa marche.
La nuit commença à tomber et Jack vit un énorme palais et devant, toutes les personnes qu’il avait croisées sur son chemin auparavant. Il comprit qu’il était arrivé là où vivait son père.
Tout le monde s’écarta pour laisser Jack ouvrir la porte où se cachait son père. Il l’ouvrit et vit un grand monsieur qui lui ressemblait, il sauta dans ses bras et Jack lui demanda pourquoi il l’avait abandonné et il répondit : « pour voir si tu étais digne d’être mon fils et tu nous l’as tous prouvé aujourd’hui.

Histoire écrite par : Chahd Khamal et Mathis Von Husen

La mystérieuse tâche

Il était une fois, une jeune fille qui se nommait Rosalie. Elle vivait dans une modeste demeure seule avec sa mère. Elle était très pauvre. Un jour en sortant de sa douche, elle aperçut une étrange tâche qui était semblable à une lune. Elle essayait sans cesse de l’enlever, mais rien n’y faisait. La tâche ne partait pas. Prise de peur, elle alla voir sa mère. Lorsque sa mère vit la tâche, elle hurla : « Oh ! Non pas ma fille ! Oh Dieu ! Protège-nous ! » Rosalie eut très peur de sa réaction et demanda :
« Qui y a-t-il mère ? Suis-je dangereuse ? Si je t’amène le malheur, alors je devrais m’en aller ! » dit-elle en pleurant.
Plus tard dans la nuit, Rosalie décida d’aller voir sa mère qui lui annonça que Rosalie était une princesse de la lune. La vraie fille de Luna, la reine de la Lune. Le matin, elle décida de s’en aller à la recherche de ses vrais parents.
Une fois arrivée, elle vit que dans l’eau, il y avait des sables mouvants.

Après des heures, elle n’était qu’au quart de la mer. Sans s’y attendre, une créature lui attrapa les jambes et la tira si vite, qu’en trois secondes, elle arriva au bord de l’eau. La créature sortit de l’eau et Rosalie vit que cette créature était un mélange entre une pieuvre et une fille.
Le personnage s’appelait Kara, elle avait dix-sept ans. Elle était très gentille et voulait aider Rosalie.
Rosalie devait maintenant traverser tout le désert et trouver le château où vivaient normalement ses parents. Une fois arrivée, elle trouva un château immense et devant, elle vit un vieil homme. Elle lui demanda :
« Bonjour monsieur. Qui vit dans ce château ? Comment y entrer ? »
Il lui dit de sauter dans l’énorme trou qui était une sorte d’égouts et il lui dit que la clé y serait. Ils avançaient vers le trou et le vieux la poussa dedans.
Une fois dedans, elle courut aussi vite que possible et finit par trouver la clé. Elle ouvrit la porte et vit une reine extrêmement belle avec la même tâche sur l’épaule. La reine courut vers Rosalie et l’enlaça. C’était sa mère, sa vraie mère. Rosalie rencontra toute sa famille et tout le monde fut très heureux.
Par Chama El Ghrari Chama, Chadia El Fayad

La pleine lune

Il était une fois dans un pays lointain très lointain, un royaume, un royaume pas comme les autres, un royaume de la nuit. Dans ce royaume régnait un roi qui avait une fille nommée Mouna. Mais il perdit la vie peu après la naissance de sa fille. Elle dut régner très jeune. Les habitants de ce royaume ne supportait pas la lumière. Il vivait la nuit et dormait le jour. Il y avait un royaume parallèle à eux ; c’est-à-dire qu’il ne supportait pas la nuit. Une guerre régnait entre eux depuis plusieurs années. Mouna décida de refaire cette guerre, car elle avait beaucoup de fierté et qu’elle devait gagner. Une fois sur le champ de bataille, Mouna voyait tout ce qu’il se passait. Au loin, elle vit le roi, son adversaire. Elle tomba immédiatement amoureuse, et bien sûr pour le roi c’était réciproque. Il avait une chevelure brillante blonde, et des yeux châtain.

Mouna partit le voir et lui dit : « Oh mon roi vous êtes si joli ! » Il répondit : « Oh ma reine pas autant que vous ! Je souhaite me marier avec vous ! » Elle répondit soudainement : « Mais comment nous allons faire ? Nos deux mondes parallèles nous empêchent de le faire ! » Le roi dit : « nous allons tous les deux fusionner nos mondes et en recréer un nouveau où tout le monde vivraient en harmonie. »
Ce qu’il fit en faisant un baiser digne d’un amour éternel et leur monde se fusionnèrent. Et ils vécurent heureux depuis ce jour et eurent beaucoup d’enfants.

Par Asmaa Khoumrany et Agathe Moreau