Dans le cadre d'un projet Numook avec l'association Lecture Jeunesse, une classe de 4e, sur une année scolaire, a créé une histoire autour du thème de la ville.

Liberté améliorée, Albert 3.0

Maintenant que le monde est libre de cette puce et que la dictature est anéantie, les habitants peuvent enfin apprécier le monde sans contrainte. La population découvre de nouvelles passions ou voyages, ce qui leur était interdit il y a peu encore. Mais le monde n’a plus aucun repère et doit se débrouiller tout seul, nous sommes tout autant bouleversés, nous devons à présent apprendre à vivre dans des conditions qui nous sont inhabituelles.&nbsp; &nbsp;Après cette aventure, nous sommes épuisés . Nous nous reposons, quand soudain nous apercevons un spectacle comme nous n'en avons jamais vu, les gens ont un sourire qui part d’une joue pour atteindre l’autre, et ils courent dans les rues, les grandes rues comme on ne les a jamais imaginées . Lou cria à son frère :&nbsp;"On est libre !"

&nbsp;Six mois plus tôt, j'étais entrain de regarder la télévision tranquillement dans ma chambre lorsque Lou a brusquement ouvert la porte. Elle m’a murmuré quelque chose mais je n’avais pas compris, elle avait peur. Lou m’a tiré le bras et m’a amené au sous-sol, où l’on fait souvent des rassemblements.&nbsp; - Lou, qu’est-ce qu’il y a ?&nbsp;demanda Pablo&nbsp; - Regarde Pablo, ma puce est tombée, annonça Lou - QUOI !!!! MAIS COMMENT AS-TU FAIT ? TU VAS MOURIR ! REMETS-LA ! '' rétorqua Pablo dans la panique - Calme- toi Pablo, tu vois bien qu'il ne se passe rien du tout, j'aurais dû mourir depuis un bon moment déjà... Et puis, ce n'est pas de ma faute, j’avais un bouton de moustique, j'ai gratté et ma puce est tombée, affirma Lou. Ce jour-là, j'étais dans tous mes états... Après les révélations que m'avais faites Lou, je décidai donc d'appeler de toute urgence Papi Ernesto.

Nous habitons dans une ville qui se nomme: Albert. En 2081, celle-ci est constituée de bâtiments bas, végétalisés. Seuls trois buildings de verre et de métal, surplombent cet océan de verdure. Ils portent tous trois le logo de la dictature, représentant une puce avec le slogan:&nbsp; “ Plus de virus avec la puce ! ”.&nbsp; La Basilique d’Albert, située au centre de la ville, s’est effondrée en 2021 suite à un séisme qui a causé la perte de nombreuses statues, vitraux mais seule la Vierge-Marie est restée intacte. Maintenant, cet emplacement est devenu un site historique ! Quant au design des rues, il est très géométrique. Les rues sont très propres avec des pavés parfaitement alignés. Elles possèdent des axes larges et très longs sur lesquels ne circulent que quelques drones de surveillance et de rares Albertins à vélo ou à pieds. Mais malgré tout, les habitants se promènent peu dans la ville...&nbsp;Les alentours, eux,&nbsp;sont colonisés par des panneaux solaires qui sont doucement envahis de lierre. On peut y voir une grande végétation et de nombreux champs de récoltes saisonnières.&nbsp;Voilà à quoi ressemblent nos vies dans la ville d’Albert.

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1/ <a href="bookcreator://page/XDrX7R9jRRGoGgqcu9qDQg">En 2081</a> 2/ <a href="bookcreator://page/g_x464GjQpqMjyysC4cFYA">La dictature</a> 3/ <a href="bookcreator://page/UctnibKFRPaHsEcWCxXJtA">La résistance</a> 4/<a href="bookcreator://page/Bwe03tGsRzOgxhP0bxU0lA"> Le laboratoire</a> 5/<a href="bookcreator://page/o3gA83QUQhuRCp_2hpFjNQ"> 6 mois plus tôt...</a> 6/<a href="bookcreator://page/Tsv3a1bNTmGg9fEF-Nz18A"> La liberté</a> 7/<a href="bookcreator://page/XGNnkoGDTTuQoXm8A9-g_A"> Une nouvelle vie</a>

Après toutes ses aventures, nous décidons de partager plus largement notre victoire contre la dictature dans un bar 3.0, autrement dit un bar de tous âges dans lequel nous sommes servis par des robots. Nous nous installons avec Papi Ernesto autour d'une table volante et commandons des cocktails informatiques capables de changer de saveur à l'aide d'une télécommande à volonté ! Quelques minutes plus tard, un couple s'installa à côté de notre table et commanda également des cocktails. Ils sont de dos alors nous pouvons à peine apercevoir leur visage. Grand-père est juste à côté d'eux et lorsqu'il entendit leur voix : - Oh mon dieu! C'est... C'est.... s'enthousiasme Ernesto. Surpris, je demande donc : - Qui a t-il Grand-Père ? Et Lou, ayant compris ce qui se passait, suggère : - Regarde Pablo, c'est la même tache de naissance que Papi dans le cou du monsieur en face ! Nous étions tous confus, nous étions tous surpris par ce qu'il se passait. Malgré le fait que les émotions nous envahissaient, ce que nous prenions pour sûr au sujet de la famille Sanchez, change , Grand-père prend tout son courage et, les larmes aux yeux, interpelle le couple: - Excusez-moi... êtes vous... ? L'homme se retourna et lorsqu'il aperçut le visage de papi, il commence, lui aussi, à avoir les larmes aux yeux : - Bonjour papa.

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Sur ces mots, les soldats à la solde de la dictature nous emmènent dans le plus grand building d'Albert, là où se trouve le siège d'Angela, la dictatrice. Nous avons si peur ! Qu'est-ce qu'ils vont nous faire ? Beaucoup de doutes nous envahissent. - Nous sommes arrivés, veuillez me suivre, informa un homme de la dictature. A ce moment précis, nous n'avons guerre le choix, on doit se soumettre aux ordres, nous sommes entourés de soldats. Après des heures d'attente dans une pièce vide, sans même une once de lumière, un bruit étrange retentit. Par surprise, nous apercevons Grand-père et toute la résistance: - Vous pensiez vraiment qu'on allait vous laisser vous débrouiller tous seuls, les enfants ! - PAPI ERNESTO ! Nous sommes si heureux de te voir, de vous voir ! Mais attends, comment nous as-tu retrouvés ? s'étonne Lou. Bzzzzz - Je te raconterais tout à la maison, mais là, il faut qu'on s'en aille, les gardes vont arriver ! '' Sur la route pour rentrer à la maison j'étais très pensif, j'ai eu un déclic qui me déclenche un souvenir...

Après cette discussion avec Elena, Papi Ernesto décide de parler de la puce : - Bon les tchots, je vais vous expliquer quelque chose de très important. Écoutez attentivement, je ne répéterai pas deux fois. Au début, la puce était , soit disant, un remède pour la population. Ensuite, au fil du temps, le gouvernement s’en est servi pour nous manipuler et grâce à ça, la dictature a pu contrôler notre avenir à notre insue. Depuis des années, ils ont pu s’en servir et garder le calme dans la population. Mais vous, mes enfants, vous êtes différents, vous êtes têtus, vous allez à l'encontre de la puce qui est normalement censée vous faire respecter les lois et vous faites toujours le bien autour de vous comparés à ses soldats de pacotilles. Je lui réponds : Mais papi, pourquoi nous allons à l’encontre de la puce ? Qu'est-ce qu'on a de si spécial à part notre caractère? Ernesto chuchote pour que le secret ne soit entendu que de nous : "Eh bien ! c’est parce qu' en vérité, elle n’exerce rien sur nous, ça nous met juste la pression. Je n’ai pas pu le dire plutôt car en public cela est interdit. Le gouvernement a des espions absolument partout même dans les coins les plus reculés.” Nous étions choqués par cette révélation, tout n'était que mensonges ! Lou rétorque : "QUOI ! Mais comment ça ? Elle n'a aucun effet sur notre vie ? Depuis toute petite, j'ai toujours cru qu'elle nous protégeait du virus mortel dans l'atmosphère ! Il faut prévenir tout le monde, vous ne pensez pas ?” Elena réagit de suite : ''Cela provoquerait une panique générale ! On en reparlera plus tard, vous voulez bien ? Je dois retourner auprès de ma mère.'' Puis après cette rude journée, pleine de stress et de vérité, nous sommes allés nous coucher. Pendant toute la nuit, nous avons remis en question notre vie.

<a href="bookcreator://page/7c_9yUf_Rli9zzfCfHurtA">sommaire</a>

- C'est n'importe quoi ! s'exclament les habitants. - Ce sont des preuves de rien du tout, ça ! Catastrophe ! Les habitants ne croient pas ce que nous leur racontons. Mais enfin, des gens se regroupent et une émeute se forme sur la place et les habitants demandent des explications . Nous décidons d’enlever notre puce pour prouver qu'elle ne sert à rien. Et d'un coup, ils se sont tous mis à crier: - Tu es malade ! Remets ta puce, tu vas mourir! Je leur ai donc dit: - La dictatrice, Angela, nous ment depuis le début et la puce ne sert à rien, elle n'a aucun effet sur un certain virus. Les habitants sont choqués, déstabilisés par les évènements. Après plusieurs heures de bavardages avec le peuple, tout le monde est rentré chez soi. Très tôt le lendemain, nos têtes et nos paroles sont affichées dans la presse, les médias, les spots publicitaires, dans toute la ville ! Le bouche à oreille a fait son travail... Angela, par contre, était folle de rage. En effet, suite aux annonces faites par notre équipe, la dictatrice a perdu ses fonctions et est condamnée pour mensonges envers un public selon la règle 487 963.

Aveuglés et apeurés, nous n'avons qu'une hâte, c’est de l’enlever pour voir ce que nous cache ce bandeau de velours. Il y a beaucoup de bruits et des voix qui me paraissent familières. Cette voix me fait penser à celle de mon grand-père, ça me rassure mais à la fois c’est inquiétant. N'ayant aucun repère visuel, cela accroît notre anxiété. Lorsque nous sommes arrivés, nous avons été poussés et jetés au sol, sans savoir ce qu’il y a autour de nous. Pour essayer de savoir où nous sommes, je tâte le sol : un plancher un peu granuleux. Je ressens une brise de vent comme dans une cave, tout ceci m’amène à croire que je suis dans un sorte de sous-sol. Après une bonne vingtaine de minutes d’incompréhension, on nous enlève le bandeau, éblouis, nous reprenons nos esprits tout doucement, notre vision est trouble mais nous pouvons apercevoir des silhouettes, c’est ... Grand-père ! Directement nous bondissons de joie. Mais papi Ernesto nous interrompt pour nous expliquer la situation. En refusant notre orientation, nous nous sommes mis le gouvernement à dos, ils veulent nous enlever pour nous éliminer sous ordre de la dictatrice.

- Maintenant, il faut prévenir tout le monde que notre dictatrice est une manipulatrice, constate Lou. En effet, depuis déjà 14 ans, Angela contrôle toute la population depuis son palais qui est ultra protégé : nous, les deux ados intrépides, nous nous sommes enfuis afin de transmettre ce message aux habitants de la ville. Nous sommes déterminés à révéler le secret et à libérer la ville. Il est 19 heures, comme des têtes brûlées nous parcourons discrètement la ville et arrivons à la place végétalisée où se trouve le responsable du bouche à oreille pour diffuser notre découverte sur Angela aux habitants. C’est un homme grand et en costard qui attire l’attention. Il a les cheveux bouclé et est assez jeune. Il est insignifiant et semble très faible. Nous nous approchons du bouche à oreille, nous lui serrons la main comme si de rien n’était et discutons normalement. Entre deux paroles, je glisse ces mots : - Je suis Pablo et je viens de découvrir la vérité. La dictatrice nous ment depuis le début, la puce ne sert à rien. Faites circuler le message, si vous ne me croyez pas, regardez ses documents qui le prouvent. En une heure, les habitants font circuler le message. Malgré les preuves, personne n’y croit !

Lou aimerait devenir créatrice de mode 3.0 et j'aimerais devenir sapeur pompier. Nous sommes arrivés à destination lorsque un homme grand, chauve s'avance vers nous et nous indique le chemin à suivre. Lorsque Lou et moi nous apercevons la machine des métiers, nous sommes époustouflés par sa beauté ! Nous sommes tout excités jusqu'à ce que la machine choisisse pour Pablo: vendeur de clones et pour Lou: sélectrice de météo. - Je refuse mon métier, c'est inadmissible ! Je n'ai aucune envie de sélectionner la météo ! '' dit Lou frustrée. Avec la même stupeur, j'ajoute : " jamais je ne deviendrais vendeur de clones, c'est hors de question ! " L'homme sans cheveux réplique de suite: - Sous ordre de la dictatrice Angela, règle 584 321 instaurée par celle-ci, vous êtes condamnés tous les deux, suite à votre refus d'orientation, à l'emprisonnement à vie. En un instant, nous nous retrouvons avec un bandeau, on peut à peine voir où nous allons. Des hommes du gouvernement ont débarqué à toute vitesse et nous emmènent dans un tunnel sombre où l'on ne voit à peine le fond.

Plan de la ville d’Albert- office du tourisme de la ville d’albert Photos utilisés provenant de: Canva, Photos libre de droit, images locale Shéma séisme: lelivrescolaire.fr

Casse-Noisette de Mélanie Guyard Les enfants d'Evernigth de Mélanie Guyard Soufflevent de Mélanie Guyard La peste écarlate de Jack London Les 5 terres de Mélanie Guyard Dans la combi de Thomas Pesquet de Marion Montaigne

Liberté Améliorée: Albert en 2081 Dans 60 ans, comment Albert s'est-elle développée ? Eh bien, cette petite ville aux airs accueillants est désormais dirigée par une dictature sévère où liberté est un mot qui n'a plus sa place. La dictatrice Angela, une femme au pouvoir considérable, a décidé que chaque habitant de cette ville doit subir dès la naissance, l'implantation d'une puce qui protège d'une maladie mortelle se trouvant dans l'atmosphère. Nos deux héros, Lou et Pablo, vont vivre de folles aventures lors de leur fuite dans Albert. Mais arriveront-ils à trouver leur place dans cette société ?

Le matin, lorsque nous nous réveillons, notre grand-père nous présente son groupe de résistants. Soudain nous entendons les soldats du gouvernement qui sont à notre recherche car, oui, nous sommes des fugitifs ! Le groupe réagit directement et nous dit dans la précipitation : '' Cachez-vous là dedans vite !! '' Nous nous sommes cachés dans une toute petite trappe, étroite avec un aspect vieillot, rouillé. En nous retournant, un accès s'ouvre vers une sorte de tunnel.

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Car, oui, c’est interdit de refuser l'orientation dictée par la puce, ceci est puni de bagne. Papi nous explique donc que lui et ses compagnons se trouvant autour de nous sont des sortes de résistants qui luttent pour sortir le monde de l’emprise du gouvernement .&nbsp;Mais ce n’est pas tout, notre grand-père nous présente une fille du même âge que nous, elle a aussi refusé son orientation mais pas pour les mêmes raisons que nous, elle voulait être médecin pour sauver sa mère gravement malade. Elle nous dit: - J’ai prié tous les jours pour que la roue des métiers me mette médecin, pour avoir assez de connaissances en médecine, pour sauver ma mère”. Pablo reprend: - Je suis désolé, ça me touche beaucoup. Puis-je connaitre ton nom? La fille, gênée d'avoir oublié de se présenter, bégaie timidement : "Oh euh... Je m'appelle Elena mais ne t'inquiète pas, j'ai décidé de ne pas m'apitoyer sur mon sort et que, au contraire, je ferais de mon mieux pour aider ma mère.”&nbsp;&nbsp; &nbsp;Après son explication, nous nous&nbsp;sommes retrouvés bouleversés. Une pulsion parcourt mon corps et je prends la parole : - La dictature est à l’origine de tous les problèmes. Il n'est pas normal de devoir décider nos choix à notre place, nous devons lutter pour ça, on doit se battre contre la dictature!&nbsp; Mon but est de comprendre l’origine et le passé que nous avons refusé d'écouter. &nbsp;Lors de mon refus, j’ai ressenti de l’incompréhension, ce monde est injuste et on ne décide pas de notre sort.&nbsp; Ce ressenti se transforme en révélation de ... je ne sais quoi dire, je suis bouche bée.

- Papi !!! Lou n'a plus de puce!! dit Pablo en paniquant. - Calme-toi Pablo. Lou, donne-moi ta puce pour que j’essaye de la remettre, répliqua Ernesto J'étais époustouflé par le sang froid de grand-père, ce qui m'a le plus étonné, c'est qu'il n'a pas paniqué lorsque je lui ai annoncé que Lou n'avait plus de puce. Après quelques minutes, la puce de Lou était remise. - Papi, je n'étais pas censée mourir ? questionna Lou. - Ne t'inquiète pas Lou, le virus n'agit que si tu inhales une grande quantité d'air sans la puce, maintenant elle te protège, ne t'en fais pas, affirma Ernesto. Tous les doutes levés, Lou et moi retournons dans nos chambres mais lorsque je me suis dirigé vers la mienne, j'ai entendu Grand-père murmuré : - Ceci confirme mon hypothèse... Maintenant, tout s'explique.

&nbsp;Nos deux héros sont ravis de voir que le travail de l’armée révolutionnaire qu’ils soutiennent&nbsp; ont porté leurs fruits, mais ils sont&nbsp; encore plus heureux quand ils revoient&nbsp; leurs camarades de combat, les membres restants de la révolution. Ils prennent tous ensemble un long repas tous ensemble pour célébrer leurs victoires, mais surtout pour fêter la fin d’une longue période qui restera gravée à jamais dans leur mémoire &nbsp; et dans les futurs livres d'historiens qui ne seront plus écrits par un gouvernement corrompu ni par un dictateur .&nbsp; est-ce une fin digne de ce nom qui s'offre à eux. Mais qui dit que c’est fini car oui qui dit que la dictature est finie ?On ne sait pas si il y a encore d’anciens dangereux soldat du régime qui vont faire gémir des idées dans de jeunes cerveaux encore susceptible .

Remerciements : Merci aux élèves de 4e Mafalda, qui, même si un projet long est éprouvant, ont maintenu le cap. Merci à Céline Lemoine et Emilie Vacquette qui nous ont suivis et nous ont souvent dit oui à tout ce que l'on pouvait demander. Merci à Mélanie Guyard qui a été notre guide dans cette aventure, notre inspiration. Merci à Clément Lefèvre qui nous a ouvert l'horizon des possibles en nous libérant de toutes nos peurs en illustrations. Merci à toute l'équipe pédagogique de Charles de Foucauld qui a alimenté notre histoire avec des connaissances variées.

En 2081, Albert est sous l'emprise d'une dictature dirigée par la dictatrice Angela. Celle-ci exige beaucoup des habitants, plusieurs règles ont été instaurées pour '' le bien '' des habitants mais d'après grand-père, ses règles ne sont pas là pour nous protéger mais plutôt pour restreindre notre liberté. Il existe de nombreuses lois comme celle qui interdit de sortir après 00h00 pour ne pas déranger les robots de ménage. Ce sont des robots qui nettoient la ville de fond en comble mais Papi Ernesto dit qu'ils ne viennent que les dimanches.. La pire loi de toutes est celle de l'implantation de la puce dès la naissance. Tous les habitants sont passés par là, nous avons tous une puce implantée dans la nuque qui est censée nous protéger d'un virus mortel ! Maintenant, notre heure est venue, dans quelques heures nous allons avoir, Lou et moi, le passage avec la machine des métiers. Cette invention détermine notre futur métier. Ce passage à la machine se fait uniquement à l'âge de 14 ans, pour que les étudiants aient le temps de se préparer à leurs futurs travaux. Entre le robot et l'ordinateur de bureau, la seule partie que l'on active est un gros levier en fer sur le côté. Elle se trouve dans l'un des plus grands building de la ville. Lou et moi étions entrain de nous préparer pour connaître notre avenir quand soudain: - Les enfants, le taxi volant est arrivé, venez vite ! crie Ernesto - ON ARRIVE ! s'exclament les deux enfants.

Nous nous engageons par le tunnel pour nous enfuir. Au bout se trouve un pièce qui semble être abandonnée. Nous y entrons et il s'avère que c'était un ancien laboratoire utilisé lors des premiers implants de puce. - Regarde Pablo, toutes ces puces et tous ces papiers volants sont vraiment dans un piteux état ! observe Lou - Oh... Approche, Lou, s'exclame Pablo, je crois avoir trouvé un document important, regarde. Après quelques secondes de lecture, nous nous apercevons que cet institut regorge d'expériences faites et qui n'ont jamais abouti. Tous les documents étaient en fait des preuves qui certifient que la puce est inoffensive et qu'elle ne protège d'aucun virus de l'extérieur. Des bruits de pas, des gardes se rapprochent à toute vitesse. Dans la précipitation, nous prenons le plus de preuves que nous pouvons transporter jusqu'à ce qu'une voix dans notre dos nous dit: - Vous êtes coincé, bande de fripons ! affirme un garde.

réapprend à prendre leur décision, choisir leur métier&nbsp; convaincre tout le monde, + ceux qui travaillaient pour la dictature&nbsp; Maintenant que le monde est libre de cette puce et de la dictature, ils peuvent&nbsp; enfin apprécier le&nbsp; monde sans dictature . La population découvre de nouvelles passions ou voyages ce&nbsp; qui leur aurait été interdit il y a peu. Le monde n’a donc plus aucun repère et doit se débrouiller tout&nbsp; seul, nos deux héros en sont tout autant bouleversés et doivent à présent&nbsp; apprendre à vivre dans des&nbsp; conditions qui leurs sont inhabituelles.&nbsp; &nbsp;Nous sommes épuisés . Il&nbsp; se frotte les yeux et regarde de nouveau par sa fenêtre mais la&nbsp; scène est la même alors il court&nbsp; et dévale les marches pour atteindre le salon et il voit sa sœur qui&nbsp; est sur le point de baisser la poigné de porte pour voir ce&nbsp; qu’ils restent du combat de la veille, il se&nbsp; réveille vers 14h et après un long blanc, il attrape ses chaussures tout en bondissant du lit, il se dirige&nbsp; vers la fenêtre, ouvrit le volet puis contempla un spectacle comme il ne l’avait jamais vu, les gens on&nbsp; un sourire qui part d’une joue pour atteindre l’autre, et ils courent dans les rues, les&nbsp; grandes rues comme elle ne les a jamais&nbsp; imaginer&nbsp; . Lou cria donc à son frère :&nbsp; &nbsp;Hey Kevin !&nbsp; Ça à fonctionné regarde ! Tout en pointant la fenêtre qui menait sur la semaine après la fin de la dictature, nos héros ont expérimentés plusieurs loisirs comme le&nbsp; voyage et la littérature. Quant au reste du monde, l'évolution se fait difficilement mais avance petit à petit vers un monde libre !!! Maintenant que Albert est une ville sûre , de nouveaux habitants peuvent venir occuper la ville car de nouveaux emplois se créent grâce à la libération de la ville . De plus de nouveaux habitats ce créer et donc peut accueillir de nouvelles génération et donc créer une nouvelles économies , une nouvelle société , un nouveau régime politique égalitaire. Nos deux héros sont ravis de voir que le travail de l’armée révolutionnaire qu’ils soutiennent&nbsp; ont porté leurs fruits, mais ils sont&nbsp; encore plus heureux quand ils revoient&nbsp; leurs camarades de combat, les membres restants de la révolution. Ils prennent tous ensemble un long repas tous ensemble pour célébrer leurs victoires, mais surtout pour fêter la fin d’une longue période qui restera gravée à jamais dans leur mémoire &nbsp; et dans les futurs livres d'historiens qui ne seront plus écrits par un gouvernement corrompu ni par un dictateur .&nbsp; est-ce une fin digne de ce nom qui s'offre à eux. Mais qui dit que c’est fini car oui qui dit que la dictature est finie ?On ne sait pas si il y a encore d’anciens dangereux soldat du régime qui vont faire gémir des idées dans de jeunes cerveaux encore susceptible . Merci d'avoir lu ce chapitre qui est le dernier d’une longue péripétie .

Maintenant que Albert est une ville sûre , de nouveaux habitants peuvent venir occuper la ville car de nouveaux emplois se créent grâce à la libération. De plus de nouveaux habitats se construisent et peuvent accueillir de nouvelles générations et donc créer une nouvelles économie , une nouvelle société , un nouveau régime politique égalitaire. Nous sommes ravis de voir que le travail de l’armée révolutionnaire que nous soutenons a porté ses fruits, mais nous sommes encore plus heureux quand nous recevons nos camarades de combat, les membres de la révolution. Nous prenons tous ensemble un long repas pour célébrer notre victoire, mais surtout pour fêter la fin d’une longue période qui restera gravée à jamais dans nos mémoires et dans les futurs livres d'historiens qui ne seront plus écrits par un gouvernement corrompu ni par un dictateur.

Avant de raconter notre histoire, laissez-nous vous décrire nos vies: Nous sommes frère et sœur, Pablo et Lou Sanchez. Nous allons bientôt fêter notre 14ème anniversaire. Lou possède une chevelure lisse, brune qui tombe sur ses épaules et Pablo a également les cheveux de la sorte. La couleur de nos yeux est le marron. Nous sommes assez grands et nous mesurons environ 1m70. Notre salle de sport privée nous permet d’avoir un corps athlétique en pratiquant le sport très régulièrement. Cette salle se nomme Ernesto Sanchez, comme notre grand-père. Il s’occupe de nous depuis notre plus tendre enfance suite à la disparition inexpliquée de nos parents. Ernesto a arrêté sa carrière sportive depuis ce terrible incident, son plus grand plaisir, maintenant, est de grignoter. De plus, grand père est devenu un vrai cuisto ! Ses petites lunettes rondes se posent sur le bout de son nez et sa chevelure qui s'éclaircit peu à peu laisse apparaître une tâche de naissance sur la droite de sa tête qui ressemble presque à un nuage . Il a également, en haut de la nuque sur sa colonne vertébrale, une petite cicatrice sous laquelle se trouve un corps étranger qui semble être une puce.

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