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Déambulations poétiques4B



Une simple ville comme une autre,
Dont je sens l'odeur visqueuse des rues,
Dont je sens la texture infecte des bâtiments
Dont je contemple la vibration des rues,
C'est là où je vis.
Les voitures roulant sans fin,
Les moteurs ronronnant tous les matins,
Les Klaxons criaillant toute la journée,
Le calme de la soirée,
Le silence de la nuit,
C'est là où je vis.
Dans une simple rue remplie d'habitations
Se trouve une image incroyablement différente
Visible à des kilomètres.
Elle me frappe de sa vision éblouissante,
Elle me regarde comme un miroir,
De sa peau verte à son rouge à lèvres fondant,
Tout dans cette oeuvre est différent.
C'est une ville magnifique, unique.
Sous un nouvel oeil je la vois
Éclatante et souriante,
Dans la paume de ma main,
Je sens son sang coulée à travers les rues,
C'est là où je vis.
Devon
Dont je sens l'odeur visqueuse des rues,
Dont je sens la texture infecte des bâtiments
Dont je contemple la vibration des rues,
C'est là où je vis.
Les voitures roulant sans fin,
Les moteurs ronronnant tous les matins,
Les Klaxons criaillant toute la journée,
Le calme de la soirée,
Le silence de la nuit,
C'est là où je vis.
Dans une simple rue remplie d'habitations
Se trouve une image incroyablement différente
Visible à des kilomètres.
Elle me frappe de sa vision éblouissante,
Elle me regarde comme un miroir,
De sa peau verte à son rouge à lèvres fondant,
Tout dans cette oeuvre est différent.
C'est une ville magnifique, unique.
Sous un nouvel oeil je la vois
Éclatante et souriante,
Dans la paume de ma main,
Je sens son sang coulée à travers les rues,
C'est là où je vis.
Devon

C'est une ville blanche au coeur pur,
Elle sourit aux touristes
Mais n'offre rien aux habitants.
La nuit, quand l'azur du ciel s'assombrit
La ville se transforme en luciole
Elle brille de mille feux
Ses lampadaires aiguillent nos voitures
Perdues dans le relou de la brume figée.
Le jour, on entend les bruits assourdissants des voitures
Qui s'écoule à l'intérieur de la ville
Comme l'eau dans le Nil.
Mais si l'on se rapproche de plus près,
On entend les conversations des passants
Qui nous racontent les mille et une histoires
Et même le roucoulement des pigeons
Qui viennent réclamer de la nourriture aux visiteurs.
Dans cette ville blanchissante et uniforme
Se cache un homme à la fois blanc et bleu
Il est posté sur un mur
Et regarde les passants avec un air réconfortant.
Cet homme égaye le quotidien des personnes qui croisent son regard
Et brise la blancheur monotone de cette ville.
Cette ville n'est ni triste ni heureuse,
Elle ne dégage aucun émotion et ressemble en tout point aux autres villes.
Mais grâce à la joie que dégage cet homme
La ville blanche devient unique.
Sylvain
Elle sourit aux touristes
Mais n'offre rien aux habitants.
La nuit, quand l'azur du ciel s'assombrit
La ville se transforme en luciole
Elle brille de mille feux
Ses lampadaires aiguillent nos voitures
Perdues dans le relou de la brume figée.
Le jour, on entend les bruits assourdissants des voitures
Qui s'écoule à l'intérieur de la ville
Comme l'eau dans le Nil.
Mais si l'on se rapproche de plus près,
On entend les conversations des passants
Qui nous racontent les mille et une histoires
Et même le roucoulement des pigeons
Qui viennent réclamer de la nourriture aux visiteurs.
Dans cette ville blanchissante et uniforme
Se cache un homme à la fois blanc et bleu
Il est posté sur un mur
Et regarde les passants avec un air réconfortant.
Cet homme égaye le quotidien des personnes qui croisent son regard
Et brise la blancheur monotone de cette ville.
Cette ville n'est ni triste ni heureuse,
Elle ne dégage aucun émotion et ressemble en tout point aux autres villes.
Mais grâce à la joie que dégage cet homme
La ville blanche devient unique.
Sylvain


Il était une fois une ville, une ville parmi les villes
Aux murs tout blancs pourtant remplis de vie.
Une ville qui paraît vide et ténébreuse, mais luisante et remplie de vie
Là où les habitants jouent et sourient
Mais passent à toute allure, comme si le temps les chassait.
En marchant dans la rue, en pensant ne rien entendre, il fut choqué
En entendant le chant des pigeons et non des oiseaux,
Les voitures blanches comme neige faisaient rugir leur moteur,
Le pas des gens léger comme une plume mais lourds comme une pierre.
Sur les murs blancs des arts colorés, il y montre un oeil
Un oeil qui voit et qui a vu et qui verra
Il a vu la construction de la ville, les habitants la peupler
Il a vue les habitants la faisant vivre
Jusqu'à sa destruction.
Ce que les gens pensaient n'être qu'une ville de néant et de vide
Était en réalité une ville remplie de couleurs et de vie.
Mohamed
Aux murs tout blancs pourtant remplis de vie.
Une ville qui paraît vide et ténébreuse, mais luisante et remplie de vie
Là où les habitants jouent et sourient
Mais passent à toute allure, comme si le temps les chassait.
En marchant dans la rue, en pensant ne rien entendre, il fut choqué
En entendant le chant des pigeons et non des oiseaux,
Les voitures blanches comme neige faisaient rugir leur moteur,
Le pas des gens léger comme une plume mais lourds comme une pierre.
Sur les murs blancs des arts colorés, il y montre un oeil
Un oeil qui voit et qui a vu et qui verra
Il a vu la construction de la ville, les habitants la peupler
Il a vue les habitants la faisant vivre
Jusqu'à sa destruction.
Ce que les gens pensaient n'être qu'une ville de néant et de vide
Était en réalité une ville remplie de couleurs et de vie.
Mohamed

Dans ma ville blanche
Un matin je me réveillai dans un quartier
Et je vis que tout était blanc
Les maisons étaient blanc-cassé
Puis l'hiver apparut au gré du vent
Et prit les drapeaux blancs
Annonçant le début d'une mélodie
Les bruits des klaxons devinrent
Calmes et silencieux
Et toute la ville devint fantôme
Tout devint mystérieux
Jusqu'à ce qu'un panda vienne d'un mur
Et efface tous les bruits pour les transformer en sons envoûtants
Qui créèrent des couleurs, des musiques qui réanimèrent les maisons
Et tout devint quelque chose.
Elijah
Un matin je me réveillai dans un quartier
Et je vis que tout était blanc
Les maisons étaient blanc-cassé
Puis l'hiver apparut au gré du vent
Et prit les drapeaux blancs
Annonçant le début d'une mélodie
Les bruits des klaxons devinrent
Calmes et silencieux
Et toute la ville devint fantôme
Tout devint mystérieux
Jusqu'à ce qu'un panda vienne d'un mur
Et efface tous les bruits pour les transformer en sons envoûtants
Qui créèrent des couleurs, des musiques qui réanimèrent les maisons
Et tout devint quelque chose.
Elijah