Portfolio Azimut 2017

Longue vie au Prix Azimut !

Cette image représente la naissance du Golem quand il ouvre ses yeux. J’ai choisi cette scène car c’est là que l’histoire commence à devenir plus intéressante. Le Golem du Ghetto, de Sylvie BAUSSIER Arthur TISON, 5e B LF Kuala Lumpur

C’était un jour comme les autres, Malo retournait de la pêche. Mais ce jour-là il vit le garçon qui savait tout. Ce n’était pas un garçon comme les autres, il venait du futur. Le garçon qui savait tout, de Loïc Le Borgne Je me suis inspiré de ce passage pour dessiner Malo qui rencontre pour la première fois dans l’histoire le garçon qui savait tout. Edoardo PETTINELLI, 6eB LF Jakarta

PORTFOLIO AZIMUT 2017

Bonjour à vous toutes à l&apos;autre bout du monde ! Me voici revenue de mon aventure asiatique depuis un mois et demi à présent. Le temps file, mais les souvenirs de ce voyage restent formidablement présents. Chacun de vos établissements est inscrit dans ma mémoire, avec ses locaux, son environnement, son atmosphère, son ambiance, son CDI et tous les visages croisés. Un grand merci à vous qui rendez possibles de telles rencontres. Merci pour votre implication. Merci pour l&apos;organisation du prix Azimut. Merci de faire lire les élèves. Merci de leur faire partager vos passions. Merci pour votre accueil. Merci pour la préparation des rencontres avec les élèves. Merci d&apos;avoir pris soin de moi durant le temps que j&apos;ai passé avec vous. Merci de m&apos;avoir fait découvrir le lieu où vous vivez. Merci pour tout. Transmettez mon bonjour aux élèves que j&apos;ai rencontrés. Je sais par différents messages déjà reçus de votre part qu&apos;ils gardent un bon souvenir des moments partagés et qu&apos;ils continuent à lire. Tant mieux ! Et bravo à vous pour cela aussi ! Quel bonheur de savoir que nos livres sont lus aussi loin. amicalement Hélène Montardre

VISITE D'AUTEURS AZIMUT 2016-2017

« Dans la ville de Prague, au fil des ans, l’histoire du Golem se fait légende. Le soir au coin du feu on se raconte comment il a sauvé le ghetto de l’expulsion. » Le Golem du Ghetto, de Sylvie BAUSSIER Voici le Golem comme je me le représente. Et vous, comment l&apos;imaginez-vous ? Hagen ALLAN LF Kuala Lumpur

Message aux élèves des écoles françaises de Singapour, Tokyo, Séoul, Bangkok, Kuala Lumpur, Djakarta, Hong-Kong, Hanoi, Ho-chi-Minh, Phnom Penh, Pékin. J&apos;ai appris il y a quelques jours que &quot;Le Garçon qui savait tout&quot; avait remporté le prix Azimut 2017. Très sincèrement, vous n&apos;imaginez pas ma joie. Quel honneur, quelle récompense, surtout lorsque ce sont des jeunes comme vous qui décidez d&apos;élire un roman ! Je suis avant tout ravi pour Malo, Maï et Jehan. D&apos;accord, ce ne sont que des personnages imaginaires, mais je les ai longtemps côtoyés en écrivant ce livre… et vous aussi en le lisant, par la suite. Ce qui nous fait un point commun : nous les connaissons bien, et nous avons aimé les rencontrer. Je suis loin de vous, puisque les noms des villes où vous vivez me semblent presque magiques pour certains – des promesses d&apos;aventures, de voyages, d&apos;ailleurs, d&apos;avenirs. Mais, grâce à ce petit roman, un lien invisible s&apos;est créé entre nous, comme il se forme souvent entre un lecteur et un auteur, qui partagent le même monde imaginaire, et parfois les mêmes rêves, les mêmes craintes, les mêmes pensées, qui vibrent de la même manière pour les mêmes héros. Eh oui, puisque vous avez lu et aimé ce livre, nous sommes désormais liés… comme l&apos;ont été Malo et Jehan, malgré la distance qui les séparait !

Le livre sur Malala m&apos;a inspirée dans la création de ce dessin car Malala est une personne très importante pour l&apos;éducation des filles dans le monde. Son histoire est bouleversante et vraie. Faith Melody TAN, 5e B LF Kuala Lumpur

« Un cri de terreur lui répondit. D’instinct, Grenouille se plaqua contre la paroi, doigts crispés dans l’attente du choc. La secousse faillit la couper en deux. Le souffle court, elle baissa les yeux vers Arbas. Le garçon avait dérapé et pendait au bout de sa corde, pâle comme un perce-neige. - Attrape ma main. Ne regarde pas en bas ! ordonna-t-elle.» La grande rivière, d’Anne Rossi J’ai choisi ce passage car je trouve que c’est courageux de la part de Grenouille d’aider Arbas alors qu’ils sont en train d’escalader une montagne. Akihito Raffin, 6A LFI Tokyo

LOÏC LE BORGNE
LAURÉAT 2017
Prix Azimut

« Le 9 Octobre 2012, dans l’après-midi, Malala monte dans le car scolaire pour rentrer chez elle. Le véhicule freine brusquement, les cœurs tremblent. Un homme lance au chauffeur : -C’est bien le bus de l’école Khushal ? -Qui est Malala ? crie un deuxième homme qui vient de monter dans le bus. Les filles crient, certaines sont blessées : -Malala ! Malala !! Regardez ! Sa tête saigne, elle va mourir ! » Malala pour le droit des filles à l’éducation, de Raphaële FRIER, Aurélia FRONTY J’ai décidé d’illustrer ce passage du livre « Malala » car il montre la persévérance de Malala et les difficultés qu’elle a dû affronter dans sa démarche pour l’éducation des filles. Jeanne LAUNE, 5e C LF Kuala Lumpur

« Il y a, au Pakistan, plus de cinq millions d’enfants privés d’école primaire et, comme ailleurs dans le monde, la plupart sont des filles. Cela révolte Malala.» Malala pour le droit des filles à l’éducation, de Raphaële Frier, Aurélia Fronty J’ai choisi ce passage pour son émotion. Malala est presque morte mais elle a sauvé des millions de filles avec son courage. Lara Ota, 6B LFI Tokyo

« Le monde ouvre alors ses yeux sur le sort des filles au Pakistan. De toutes parts, on demande des nouvelles de Malala. On lui envoie des lettres et des cadeaux depuis tout le Royaume-Uni, depuis le Pakistan, et de bien plus loin encore ». Malala, pour le droit des filles à l’éducation, de Raphaële Frier, Aurélia Fronty J&apos;ai choisi ce passage car cela montre la détermination de Malala dans son combat pour l&apos;égalité de l&apos;éducation des filles dans le monde : une tragédie comme cela ne peut pas l&apos;arrêter ; elle est persévérante. Margaux CHAILLOU, 5e C LF Kuala Lumpur

PORTFOLIO AZIMUT 2017 ​Dans le cadre du Prix littéraire Azimut, suite à la lecture de la sélection, nous proposons aux élèves de choisir un extrait d’un des romans lus et de représenter en images (par la technique de leur choix) les passages auxquels ils font référence. Avec l’image, la citation du passage est suivie d’un petit commentaire. Une sélection de cinq productions d&apos;élèves a lieu au sein de chaque établissement ; les planches choisies sont ensuite intégrées au Portfolio Azimut, sans passer par d’autres formes de sélection. ​L’objectif est la création d’un recueil de dessins lié à la lecture des titres du Prix Azimut à diffuser dans les CDI de nos établissements de l&apos;AEFE, zone Asie du Sud-Est. ​

« Des branches ont craqué derrière moi. Je me suis retourné, m’attendant à voir arriver un autre pêcheur. Ou peut-être un renard égaré. Au lieu de ça, un sauvage est sorti des fourrées ». La grande rivière, d&apos;Anne Rossi J’ai choisi ce passage du roman car c’est ici où j’ai réalisé que l’auteur a le même style d’écriture que moi. Et j’ai trouvé cela rigolo. Charleen BEHERAY, 6eB LF Jakarta

« Un enfant, un professeur, un livre et un stylo peuvent changer le monde. » Malala pour le droit des filles à l’éducation, de Raphaële Frier, Aurélia Fronty J’ai choisi cet extrait car pour moi il est très important. Malala a été gravement blessée mais ça ne l’arrête pas, elle continue à protester contre ceux qui s’opposent à elle. Elle montre au monde entier que c’est une femme forte et qu’elle n’abandonnera jamais. Ce qu’elle veut c’est l’éducation pour tous les enfants. Manon Patouillet, 6A LFI Tokyo

« Il fait le tour de l’île rapidement. Ce n’est pas difficile ! Elle est minuscule. Et là, sous un énorme rocher, il découvre une ouverture ». Persée et la Gorgone, d&apos;Hélène Montardre J’ai trouvé que c’était le passage non illustré qui représente le mieux l’histoire. Audrey Liu , CM2 PA LF Shanghaï

« Elle est la seule à retirer son foulard à l’intérieur du bus. L’homme sort un pistolet et tire sur Malala. A trois reprises ». Malala pour le droit des filles à l’éducation, de Raphaële FRIER, Aurélia FRONTY Cet extrait tragique de l’album m’a frappé : cet instant a bouleversé la vie de Malala et personne ne peut l’oublier ! Iman BERTRAND, 6eA LF Jakarta

« Il faudrait bien qu’ils s’y fassent : leur route était inextricablement mêlée à celle de la rivière ». La Grande rivière, d&apos;Anne Rossi Ce passage m’a beaucoup plu car on ne sait pas ce qui va se passer, si les deux personnages suivent la rivière. Chloé Fang , 6e PA LF Shanghaï

« Et maintenant il observait et s’étonnait. Il avait cru que les juifs du ghetto et les chrétiens des autres quartiers étaient ennemis. Pourtant, certains en ce moment où la justice éclatait se souriaient, se saluaient. Ensemble, ils se réjouissaient. Le golem trouva soudain que malgré leurs vêtements différents, malgré l’éloignement de leurs maisons, ils se ressemblaient. C’est sans doute tous ceux-là qu’il avait pour mission de protéger ». Le Golem du Ghetto, de Sylvie BAUSSIER J’ai voulu illustrer ce passage du livre puisque je trouve qu’il explique bien l’histoire et la situation ; le lecteur peut comprendre pourquoi le golem a été créé. On peut aussi imaginer la suite de l’histoire. Chloé GODEC, 6eB LF Jakarta

Prix Azimut Message aux élèves des écoles françaises de Singapour, Tokyo, Séoul, Bangkok, Kuala Lumpur, Djakarta, Hong-Kong, Hanoi, Ho-chi-Minh, Phnom Penh, Pékin. J&apos;ai appris il y a quelques jours que &quot;Le Garçon qui savait tout&quot; avait remporté le prix Azimut 2017. Très sincèrement, vous n&apos;imaginez pas ma joie. Quel honneur, quelle récompense, surtout lorsque ce sont des jeunes comme vous qui décidez d&apos;élire un roman ! Je suis avant tout ravi pour Malo, Maï et Jehan. D&apos;accord, ce ne sont que des personnages imaginaires, mais je les ai longtemps côtoyés en écrivant ce livre… et vous aussi en le lisant, par la suite. Ce qui nous fait un point commun : nous les connaissons bien, et nous avons aimé les rencontrer. Je suis loin de vous, puisque les noms des villes où vous vivez me semblent presque magiques pour certains – des promesses d&apos;aventures, de voyages, d&apos;ailleurs, d&apos;avenirs. Mais, grâce à ce petit roman, un lien invisible s&apos;est créé entre nous, comme il se forme souvent entre un lecteur et un auteur, qui partagent le même monde imaginaire, et parfois les mêmes rêves, les mêmes craintes, les mêmes pensées, qui vibrent de la même manière pour les mêmes héros.

Lisez, encore et encore, pour vous instruire mais aussi pour le plaisir. J&apos;aime les littératures de l&apos;imaginaire parce qu&apos;elles élargissent notre monde, libèrent nos esprits, ouvrent des portes vers des ailleurs, des futurs possibles. Elles nous permettent de prendre du recul pour observer notre époque, pour contempler notre petite planète bleue d&apos;un peu plus loin. Les littératures de l&apos;imaginaire sont puissantes : grâce à elles, on s&apos;amuse bien, mais on devient aussi, je crois, un peu plus sages. Merci à vous tous, chers lecteurs, à l&apos;autre bout de notre petite planète, je suis très fier de voir que Malo, Maï, Jehan et les autres ont franchi les océans, les montagnes, pour toucher vos jeunes cœurs. Je ne vous oublierai pas. Merci également aux adultes impliqués dans ce prix. J&apos;espère tous vous croiser un jour, quelque part dans le Monde… ou grâce à nos futurs nanocapteurs… Mais à condition, vous l&apos;aurez deviné, de pouvoir me déconnecter lorsque j&apos;en aurai envie ! Amitiés à tous Loïc Le Borgne PS/ Merci aussi à Mowgli et au Livre de la jungle, je leur devais tout de même cette petite citation, puisqu&apos;ils m&apos;ont trotté dans la tête quand j&apos;écrivais ce roman.

« De toute façon, il n’a plus le choix, il doit agir ». Persée et la Gorgone, d&apos;Hélène Montardre J’avais hâte que Persée affronte la Gorgone. Léna DELLACHERIE, CM2 PA LF Shanghaï

« Je veux l’éducation pour tous les enfants, même ceux des talibans, même ceux de l’homme qui a tiré sur moi. » Malala, pour le droit des filles à l’éducation, de Raphaële Frier, Aurélia Fronty C’est la phrase qui m’a le plus marquée dans le livre. Je trouve que Malala est très courageuse. Eugénie GRATTON, CM2 PA LF Shanghaï

«Dans un coin, il y a trois vielles femmes. Leurs longs cheveux blancs dissimulent leur visage. Leurs bras sont squelettiques et leur peau tellement ridée que Persée se demande si elles étaient toujours en vie. Et soudain, dans un bel ensemble, les trois vielles femmes rejettent les cheveux en arrière et lèvent leur visage vers lui en criant : -Bouh ! » Persée et la Gorgone, d&apos;Hélène Montardre J’ai trouvé ce passage intéressant car je pensais que ça allait être amusant à dessiner. Victor GANDER, 6eB LF Jakarta

« Il se précipite, brandit son épée et … han ! l’abat de toutes ses forces sur le cou de la Gorgone.» Persée et la Gorgone, d’Hélève Montardre J’ai choisi ce passage car Persée prend son courage à deux mains pour accomplir sa quête et faire une action insolite, infaisable pour un mortel. Sovann Bonini, 6C LFI Tokyo

« J’ai cru qu’il plaisantait. Mais non : quelques secondes plus tard, il m’a montré une branche autour de laquelle était enroulé le serpent.» Le garçon qui savait tout, de Loïc Le Borgne J’ai choisi cet extrait car je trouve cette scène très importante ; Malo ne croyait pas entièrement tout ce que disait Jehan mais à ce moment, il commença à lui faire confiance. De plus, j’ai trouvé cette scène intéressante à dessiner et j’aime dessiner les serpents. Thomas Newman, 6A LFI Tokyo

Les professeurs d&apos;Arts Plastiques, les enseignants de Français et/ou les collègues de FLS/FLE sont souvent partie prenante de ce projet, coordonné par les professeurs-documentalistes, tous travaillant avec les élèves sur les textes (extraits, personnalisations, commentaires) et les images. ​Le CDI du Lycée français de Jakarta a coordonné le projet et s’est occupé de la mise en pages, ainsi que de la réalisation numérique. Les lycées français de Kuala Lumpur, Shanghaï et Tokyo ont aussi participé à la présente édition du Portfolio Azimut, par l&apos;intermédiaire de leurs documentalistes. Mes remerciements à Stéphanie Ng, Élise Doux, Aurélie Simon et aux enseignants d&apos;Arts plastiques pour leurs précieux apports. Et surtout bravo à nos lecteurs-illustrateurs en herbe ! Nous vous donnons rendez-vous à la prochaine édition du Portfolio Azimut, en espérant de vous voir nombreux ! Fiorella Mainguy documentaliste CDI Jakarta

« Caché derrière un rocher, Persée mit son bouclier devant ses yeux pour que Méduse ne puisse pas le transformer en pierre. Il s’avança prudemment vers Méduse qui dormait profondément. Il sortit son glaise de son fourreau, et d’un coup, trancha la gorge de Méduse. » Persée et la Gorgone, d&apos;Hélène Montardre J’ai choisi ce passage parce qu’il y a beaucoup d’action et de suspense. Clément Bouras, 6e PA LF Shanghaï

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