Recueil de nouvelles des 4D

Je m’appelle Maïna, Je vais vous parler d’une de mes meilleures amies, elle s‘appelait Zoé. C’était une fille très courageuse … Un jour, sur Instagram, Zoé a gagné un abonné pas comme les autres. Il avait envoyé un message à ma meilleure amie en lui disant “Bonjour Zoé”. Elle avait été très surprise de ce message envoyé par cet inconnu. Zoé n&apos;avait jamais dit son prénom sur les réseaux. Elle lui demanda : “ Bonjour, je pense que vous vous êtes trompé de personne ?” Il lui avait répondu : “Je me vengerai ”. Elle n’avait pas compris mais elle ne se préoccupa pas de ce message. Deux jours s’étaient écoulés sans qu’elle n’ait de nouvelle de ce profil. Cependant, cet inconnu avait changé son avatar. C’était maintenant un singe rouge et il avait ajouté dans sa biographie Instagram le mot ”Zoé”. Quelques temps plus tard - je ne me souviens plus du nombre exact de jours - Zoé avait reçu une lettre. Le fameux singe rouge, le même logo que sur le compte Instagram, était dessiné sur la lettre. De surprise, Zoé l’avait fait tomber. Puis, se reprenant, elle la ramassa, tremblante et la posa sur la table du salon. Elle se demandait si elle devait appeler la police...mais elle voulait découvrir la personne par elle-même. Ma meilleure amie essaya de retrouver l’inconnu du profil pour savoir si la lettre venait bien de lui, mais rien... Elle avait beau chercher, même plus de trace de ce profil ! Instagram avait dû le fermer. Une semaine plus tard, elle se décida enfin à ouvrir la lettre. Elle lut ces mots terribles : “Je me vengerai, tu m’as brisé.” Zoé n’arrivait pas à comprendre ce qui se passait et ce qu’elle avait fait. Ma meilleure amie entendit des pas devant chez elle qui se rapprochaient. Elle se rendit à la fenêtre et aperçut une personne avec un masque de singe rouge, qui mettait un courrier dans sa boite aux lettres. Zoé se précipita jusqu’à sa boite aux lettres, récupéra le courrier et l’ouvrit.

C’était un garçon qui s’appelait Calvin, il avait trente-deux ans. Il menait une vie tranquille mais avait un énorme défaut : il n´avait aucune considération pour les questions d’écologie. Il possédait deux quads et une Range Rover, il mangeait tout le temps au fast-food, il ne faisait jamais le tri, il jetait les déchets n’importe où, faisait tous les ans des voyages lointains en avion. Bref, il ne se préoccupait absolument pas du réchauffement climatique et de l’avenir de sa planète. Un jour, en sortant de son travail, il alla se promener à la plage, et il tomba sur une bouteille en verre dans laquelle il découvrit une lettre et une montre à gousset. Intrigué, Calvin ouvrit la bouteille et lut la lettre : “A vous les humains de 2020, à toi qui as trouvé cette bouteille, Change de comportement, protège la nature et change le monde en essayant de moins polluer. Imagine la planète en 2082 : les mers sont sales et noires, les espèces disparues, les insectes meurent les uns après les autres, les plantes ne se reproduisent plus... Ici, en 2082, les gens portent des masques tout le temps car des nouveaux virus circulent et créent des pandémies planétaires... Cette lettre est mon dernier espoir pour tenter de redonner vie à la terre. Prenez conscience de l’urgence de la situation. Si vous ne réagissez pas, vous pourrez dire adieu à votre planète.” Il observa la montre à gousset et tourna les aiguilles. Il commença à sentir des picotements dans son corps : sa tête se mit à tourner comme s’il allait faire un malaise, il sentait ses poils se hérisser. Il avait envie de vomir et il avait l’impression que ses boyaux allaient sortir de son ventre.

Tout tourbillonnait autour de lui, il regarda partout et se retrouva dans un trou noir, il ne touchait plus le sol. Horrifié, il ferma les yeux et eut l’impression de tomber. Quelques instants plus tard, il ouvrit les yeux, et découvrit qu’il n’était plus sur la plage mais au milieu de la rue, dans une ville étrange avec des odeurs nauséabondes. L’air était saturé de fumée, il avait du mal à respirer, il y avait des bruits de machines infernaux. Soudain il sentit une bourrasque de vent dans son dos qui manqua de le renverser. C’était une voiture volante qui venait de le frôler. Il courut se réfugier sur le trottoir. Des gens venaient dans sa direction mais semblaient ne pas le voir. Ils avaient des têtes déformées, et avaient l’air malade. Il grimpa sur un mur et contempla le nouveau paysage qui s’offrait à lui : des immeubles immenses, des voitures volantes, le ciel gris et noir de fumées, des milliers de gens qui marchent sans but, aucun animal, pas de chat, ni de chien, ni d’oiseaux... Aucun arbre, ni fleurs à l’horizon, tout était sale, gris, sombre, laid... Calvin se mit à courir très vite. Choqué, il hurla de peur. Il était paniqué, ne comprenait rien à ce qui lui arrivait. En tournant la tête de part et d’autre, il aperçut soudain un panneau lumineux au-dessus de lui, où il put lire : “Mercredi 9 mai 2082”... Quelques semaines plus tard, Calvin avait compris que la montre l’avait téléporté dans le monde du futur et que ce monde était désespérément pollué et laid. Il avait tenté plusieurs fois de manipuler cette montre mais sans succès. Il commençait à se résoudre à rester bloqué en 2082. Triste et lassé, il errait dans ce monde sans vie, sans espoir. Un jour, pourtant, ayant trouvé une bouteille et du papier, il se mit à écrire une lettre qui débutait par ces mots : “ A vous les humains de 2020...” Il mit la lettre dans la bouteille et la montre, puis se rendit à la mer pour la jeter dans l’eau.

C’est le grand jour, jour du braquage. Nous sommes six braqueurs. Nous sommes dans la banque avec pour but de repartir avec tout l’argent des coffres forts. Le Directeur de la banque pleure tout le temps car il a un AK quarante-sept sous la gorge. Nous sommes à dix-sept coffres de la fin. Nous avons tout pris mais malheureusement nous n’avons plus de place dans nos sacs donc nous décidons d’en mettre dans les poches et dans nos blousons. Nous prenons l’argent, nous sortons de la banque mais malheureusement nous sommes pris au piège par la police et nous ne pouvons plus partir de la banque. Mais nous trouvons une solution. Nous proposons au policier : “Nous partons de cette banque et nous vous laissons tous les otages”. Les policiers réfléchissent. Le sergent dit : “OK, mais par contre vous avez combien d’argent ?” “Nous avons à peu près quatre milliards de dollars.” “Ah oui quand même !”répond le policier. “Eh bien bonne chance. Je vous préviens qu’on a trois Lamborghini&quot;. Mais malheureusement nous sommes dans le pétrin car en fait ce que nous ne savons pas qu&apos;ils nous ont tendu un piège. En effet, pendant que nous mettons l’argent dans nos sacs, nos voitures ont été mises à la fourrière. Enfin, seulement deux voitures sur trois. Le problème c’est que nous sommes six braqueurs. Comme nous ne savions pas qu&apos;il y avait un policier corrompu parmi nous, nous avons été pris au piège car nous ne nous sommes pas rendus compte qu’il donnait des ordres ! C’était le chef de la police. Du coup, ils entrent dans la Banque et ils nous Braquent... C’est fini pour nous ! Heureusement, trois d’entre nous s’échappent de la banque. Les autres prennent quinze ans de prison.

Je sortis de la voiture avec mes parents, mon petit frère Mayron et notre berger australien Pilou. Nous allions visiter une maison, qui avait l&apos;air d’être vraiment grande. Nous étions à présent sur le palier de la porte quand l’agent immobilier nous dit : “Cette maison est parfaite pour une famille de quatre personnes, enfin cinq avec votre chien.” Il nous fit signe d’entrer. La maison était en effet très spacieuse. Ma mère se dirigea vers la cuisine toute excitée (elle était fan de pâtisserie), pendant que mon père, lui, se dirigeait à l’étage. Je le suivis avec Mayron pour choisir notre chambre. Je choisis la première à droite ; elle était très grande, assez grande pour une ado de treize ans. Il y avait un petit banc en dessous de la fenêtre, où je pouvais m’asseoir pour lire. J’étais dans mes pensées quand j’entendis la voix de ma mère m’appeler “Lisa ! Descends, la visite est finie !”. J’espérais qu&apos;on allait acheter cette maison car c’était mon coup de cœur. Ma mère appela Mayron mais il ne voulait pas descendre : il faisait une crise car il voulait rester dans SA chambre comme il disait si bien. Je remontai donc pour aller le voir. Il pleurait dans un coin. “Mayron , allez viens avec nous, tu sais on va sûrement acheter cette maison car maman est vraiment satisfaite et papa aussi.”, disais-je. Il ne bougeait pas. &quot;Si tu viens, je t’achète un paquet de bonbons !&quot; Il leva aussitôt la tête, et commença à descendre. J’étais fière de moi car le chantage marchait tout le temps avec lui. Trois semaines plus tard, c’était enfin le jour de l’emménagement. Nous étions très contents d’être les nouveaux propriétaires de la maison. On porta les cartons lourds, à se demander s’il n’y avait pas une météorite dedans. Ma mère ouvrit la porte de la maison, on entra. Soudain je ressentis un léger malaise mais je n’y fis pas trop attention, toute à ma joie de m’installer dans cette belle maison. Je pris un des cartons et me précipitai dans les escaliers. J’avais trop hâte d’être là-haut !

Désespéré, il retourna à son point de départ sans que personne n’ait pu l’aider. En arrivant à destination, il aperçut son reflet dans une flaque d’eau. Il tomba à la renverse sans en croire ses yeux. Il se releva lentement et approcha doucement son visage de la flaque. Il n’osait pas ouvrir les yeux mais s’armant de courage, il se recoiffa et sentit des écailles sur sa peau. Il découvrit qu’il avait trois yeux de couleurs différentes : bleu, rouge et jaune. Sa peau semblait dure et elle était fluorescente. Les souvenirs lui revinrent peu à peu et il se rappela d’où il venait. Sa planète se trouvait à des milliards de kilomètres de Marseille et, alors qu’il se rendait dans une autre galaxie, sa fusée avait percuté une météorite et il avait perdu le contrôle de son vaisseau. Il retourna dans sa navette spatiale pour évaluer les dégâts. Il rebrancha quelques câbles puis essaya de la démarrer. Première tentative ratée. Sans se décourager, il recommença jusqu’à ce qu’il réussisse à démarrer. Il quitta Marseille sans aucun regret car il avait trouvé les habitants de cet endroit fort désagréables.

Quand on est parti de la maison il resta une minute pour que la maison explose on est y’allait au bureau on a mis une prime de 1 millions sur Cali. Un jour on a reçu un coup d’appel par un agent de Cali qui nous disons il sera dans une maison à 15h avec tous ses agents j’ai appelé. Le FBI à 15h on est y’allait devant la maison de Cali est là on fait la guerre contre le Cartel de Cali il se cache dans un mur secret on rentra dans la maison on avait pris un marteau pour casser le mur ou il se cache est on casse le mur on voit Cali est on le capture il resta en prison pendant toute sa vie. Medellin lui a disparu il a eu peur du pouvoir de Cali, mais on a entendu dire qu&apos;ils rôdaient en Colombie, donc moi et Manu ont le chercha mais on ne l’a pas retrouvé  ; la seule façon de savoir où il était sa serait grâce à Cali. Cali nous avait dit qu’il n&apos;était pas en guerre, ce n’était juste pour tuer plus de personne du FBI, tout le monde était tétanisé pour ce ce qu’il nous a dit mais il ne s’avait pas où il était, mais il s’avait que sa mère était malade et il voulait la voir.  C’est la seule chose que Cali nous a dit,  que sa mère habitait  à onze-kilomètre d’ici. Moi et Manu on est parti chez sa mère mais on a découvert que sa famille était très pauvre, mais on aperçoit Medellin , on court jusqu&apos;à la porte de sa mère et on défonce la porte, mais Medelin a tiré et j’ai tiré , j’ai touché le torse de Medelin . on a réussi à arrêter Medelin mais quand Medelin a tiré il a touché Manu dans le ventre,  il perd beaucoup de sang. Je cherche des chose pour le soigner, je trouve des bandages et de l’alcool , je coure vers lui pur lui faire les premiers soins mais je découvre  qu’il est mort. J’appelle le chef de police et lui dis que que Manu est mort  ; le chef croit  que je fais  une mauvaise blague mais il me crois pour le décès de Manu.

L&apos;homme louche Un soir Pierre rentrait du travail mais il y avait encore cet homme louche... Pierre a donc décidé de prendre un taxi pour le semer et dès le lendemain il commencera l’enquête. La nuit passa et pour commencer l’enquête il lui fallait des acolytes. Il a donc demandé à deux de ses amis, Josh et Billy. Normalement le soir même ils devaient aller à un gala donc Billy y a été pour plaider leur absence. Voyant que Billy était au gala, Josh et Pierre avaient prévu un plan, une embuscade simple et efficace. Pierre faisait comme s&apos;il rentrait du travail et il n’a pas fallu beaucoup de temps pour que l’homme louche se pointe. Il se fit encercler par Josh et Pierre. Il regarda autour de lui avec un léger rictus puis il sauta au-dessus d’une barrière. Josh et Pierre avaient eu à peine le temps de grimper la barrière qu’il avait déjà disparu. Le lendemain ils avaient tout raconté à Billy. Billy était déçu que l’homme louche se soit échappé mais dès le soir même ils avaient pour ambition de l’attraper car cette fois-ci ils étaient trois. Ils ont donc attendu le soir. Pierre faisait comme s’il rentrait du travail, pendant que Josh et Billy attendaient au coin de la rue mais cette fois-ci l’homme louche n’était pas là. Pierre est donc allé voir Josh et Billy. Josh l’a plaqué contre le mur, Billy a sorti un pistolet et le pointa vers Pierre. Pierre avait vite compris que l’homme louche était Josh et Billy, et que Billy et le gala c&apos;était du flanc. Billy voulait s’absenter pour le suivre. Josh avait peut-être eu le temps de le prévenir de leur plan. Pierre sorti de ses pensées, il regarda Billy et pan, celui-ci l’exécuta.

“Je n&apos;imaginais pas que tu vivais quelque chose de si difficile, pourtant je t’ai suivi tous les soirs. J’ai interrogé tous les voisins. J’ai commencé à me poser des questions quand j’ai aperçu ta mère qui avait l’air d’avoir peur. Ne t’inquiète pas, je comprends” “Je voudrais aller voir la police mais j’ai tellement peur qu’il aille plus loin avec ma mère s’il se rend compte que j’en ai parlé à quelqu’un. Mais si tu viens avec moi, j’y arriverai peut-être.” “Alors je viens !” “Merci beaucoup” “Ne t’&apos;inquiète pas, je suis là” 1h après.... La police arrive chez-moi et arrête mon père, il a surement deviné, il insulte sa mère de tous les noms. Il a pris une condamnation à vie pour violence conjugale. Quelques mois plus tard…. Ils arrêtent enfin de déménager, il continue ses études normalement. Sa mère est enfin heureuse.

C’est l’histoire d´une bande de quatre jeunes filles, Jessie, Laura, Alice et Sarah, toutes âgées de 20 ans. Elles étaient amies depuis toujours, et s´entendaient très bien. Un été, elles décidèrent de partir en vacances pendant un mois en Italie, dans la ville de Venise. Mais un soir, alors qu’elles étaient allées à une soirée masquée, Jessie disparut mystérieusement. Ses amies la cherchèrent toute la nuit, demandèrent aux invités qui étaient encore à la soirée s’ils l’avaient vue, mais elle restait introuvable. Désespérées et paniquées elles retournèrent à leur hôtel à l’aube en espérant son retour, et qu’elle leur raconte tout ce qui lui était arrivé, comme par exemple une rencontre amoureuse, pourquoi pas. A leur réveil, Jessie n’étant pas revenue à l’hôtel, ses trois amies décidèrent d’appeler la police. La police enregistra la disparition de Jessie. Les jours passaient, toujours pas de nouvelles de Jessie. Elles lancèrent aussi un avis de recherche sur les réseaux sociaux. Les policiers pensaient à un enlèvement… Jessie n’était toujours pas revenue à l’hôtel et le mois de vacances arrivait à sa fin. Les trois filles décidèrent de rentrer à Paris. Au moment où Sarah alla chercher l’argent pour repartir, elles se rendirent compte que l’argent avait disparu. Il n’en restait même pas la moitié. Heureusement, il y en avait juste assez pour rentrer. En arrivant chez elles, Alice vit un bout de papier sur la commode du salon avec noté dessus : “Désolée” signé “J”. Alice comprit tout de suite que c’était Jessie qui avait écrit ce message. Elle appela les deux autres filles et le leur montra. Les trois filles étaient rassurées de savoir Jessie en vie mais elles se posaient quand même tout un tas de questions : est-ce que Jessie s’était faite enlever à cause de l’argent ? Pourquoi l’avait-elle pris ? Quelqu’un lui avait-il demandé de prendre l’argent qu’elles avaient économisé ? Les jours passaient mais les filles restaient sans nouvelles de Jessie. Un jour, dans la rue lors d’une sortie avec Sarah et Laura, Alice aperçut une femme, qui ressemblait comme deux gouttes d’eau à Jessie.

Elle se promenait au bras d’un homme. Alice interpella le couple qui prit peur et partit presque en courant. Alice les rattrapa et, même si elle pensait connaître la réponse, leur demanda : “Comment vous appelez-vous ?” Le couple ne répondit pas tout de suite et Alice reposa la question. La jeune femme répondit avec peur et hésitation : Jessie : “Je m’appelle Jessie.” Alice : ”Donc je suppose que tu nous connais bien ...” Jessie : ”Oui.” Alice : ”Tu pourrais m’expliquer pourquoi tu es partie si soudainement quand on était en Italie, on t’a cherchée partout, tu te rends compte ?” Jessie : ”Je ne peux pas vous expliquer, vous m’en voudriez encore plus” Alice : ”Explique quand même !” Jessie : ”Je n’ai jamais été enlevée ou quoi, c’est moi qui ai tout mis en place avec cet homme, il s’appelle Tom, c’est lui qui m’a aidée à tout mettre en place car, dans ma famille, j’ai de gros problèmes d’argent, et vu que vous aviez économisé pour partir en Italie, j’avais fait les comptes de la somme que je pouvais prendre et vous en laisser assez pour rentrer en France. Le soir de la soirée masqués, je suis rentré à l’hôtel et j’ai pris la somme. Après cela, je suis repartie en France pour tout donner à mes parents et pour qu’après tout ça, vous ne me voyiez plus pour pas que vous m’en vouliez plus que ça.” Alice : ”Nan mais je rêve, t’aurais pu nous le dire on t’aurait donné de l’argent au lieu de faire tout ce bric-à-brac !” Sarah : “En revanche, ce qui serait bien c’est que tu nous rembourses l’argent que tu nous as pris.” Jessie : “Malheureusement j’ai déjà tout donné à mes parents.”

J’ai discuté pendant une heure avec lui. Au début il est resté très évasif, mais il s’est excusé de son attitude. Il m’a aussi dit qu&apos;il n’aimait pas recevoir du monde chez lui car sa chambre était très mal rangée. Je n’ai bien évidemment pas trop compris cette excuse “bidon”. Je sentais qu’il y avait quelque chose qui n&apos;allait pas et je devais éclaircir cette histoire. Je me suis donc mis à le suivre tous les jours en sortant des cours bien décidé à comprendre son comportement étrange. Un jour j’ai vu une femme, qui devait être sa mère, en compagnie d’un homme qui ressemblait beaucoup à Rayan. Il la tenait par le bras et ils semblaient en couple. Rayan m’avait pourtant dit que son père était décédé. Je trouvais tout ça de plus en plus étrange. J’ai donc sonné chez leur voisine et lui ai demandé qui vivait à côté de chez elle. Elle me répondit que c’était M. et Mme D. avec leur fils Rayan. C’était vraiment bizarre. Rayan m’a menti. Comme je sentais que je ne devais pas le brusquer, je voulais y aller mollo. “Rayan je dois te parler ! -Vas-y, je t’écoute ! -Je voudrais mettre les choses au clair, on doit tout se dire !” -Je n’ai rien à dire !... -Pourquoi tu ne veux pas que je vienne chez toi ? -Pour des raisons personnelles... -Sache que si tu veux parler je suis là, pour t’épauler... Après cette conversation, rien n’a changé et on a continué à rentrer ensemble tous les soirs. Rayan me dit que son père est décédé pourtant je l’ai vu. Il ne veut pas que j’aille chez lui pourtant il est déjà venu chez moi et nous sommes amis. Je me pose tellement de questions que je n’en dors plus la nuit. Je fais comme si de rien n’était avec Rayan. Je veux qu&apos;il me dise la vérité par lui-même dès qu&apos;il sera prêt à en parler. Le soir en sortant du collège, je continue à l’espionner dès qu’il pense que je suis rentré. Je vis de nouveau la mère de Rayan toujours avec le même homme. Elle a l’air triste et paniquée. L&apos;homme ne la touche pas mais elle n’a pas l’air à l’aise. Le lendemain....

Rayan arrive en retard en classe, ce qui n’est pas dans ses habitudes. En plus d&apos;être en retard je crois qu’il pleure, car en rentrant dans la classe il sèche ses larmes. A la récré, Rayan doit tout m’expliquer de A à Z. A l’intercours il s’enferme dans les toilettes et éclate en sanglots. “Rayan ouvre la porte, c’est moi, c’est Ismaël ? Explique-moi ce qui se passe à la fin mer** alors !” Pas de réponse. “Allez dépêche, sors de là, je ne rigole pas. Ne fais fait pas de connerie ! Je te préviens, allez sors, on va prendre l’air dehors ! S’il te plaît !” Il ouvre la porte. Les larmes continuaient à couler le long de ses joues. “Allez viens ! Ça va bien se passer. Raconte-moi tout ce qui se passe ! Je vois bien que derrière ce sourire il y a de la tristesse, de la haine, de la colère.” “ C’est très compliqué à raconter … En plus, j’ai peur.” “Peur de quoi ?” “Je vais tout te raconter depuis le début” “Prend ton temps, je t’écoute” “ Mon père n’est pas réellement mort, je cache son existence car j’ai honte de lui. Il bat ma mère depuis mes 4 ans. Ça a commencé par des petites gifles mais là, depuis quelques temps, ça dégénère complètement. Hier, il a pris une assiette et il la lui a jetée à la figure. Elle a plein de bleu sur le visage. Chaque soir dès que je rentre chez moi, j’entends les cris de souffrance de ma mère. Je ne voulais pas que tu viennes chez-moi car même quand il y a des gens il trouve le moyen de la frapper. Je ne voulais pas que tu voies ça. Je suis désolé de m&apos;être braqué. J’espère que tu comprends. Il a levé la main sur moi aussi plusieurs fois. C’est pour ça que j’ai pleuré ce matin. Je change de collège sans arrêt car dès que les voisins ont des soupçons nous déménageons.”

10 Juin 3070, Marseille. Il se réveilla avec un léger mal de tête. Il était seul et l’endroit dans lequel il se trouvait lui semblait vaguement familier. Il ne savait ni comment il s’appelait, ni comment il était arrivé là. La pièce dans laquelle il se trouvait, était en désordre et il sentit une grosse bosse sur son front. Il regarda par la fenêtre et vit une grande plage bordée de grands bâtiments. Le ciel était d’une couleur bleutée. Une sensation de faim se mit à lui tordre l’estomac et le poussa à sortir et à s’aventurer dehors. Il vit soudain une créature étrange. Elle se déplaçait sur ses quatre pattes et son corps était recouvert d’un magnifique pelage marron clair. Il était persuadé qu’elle allait pouvoir l’aider car elle possédait sûrement des informations très importantes. Il se mit donc à courir en sa direction. En le voyant arriver à toute allure, la créature prit la fuite dans la direction opposée en poussant des cris très bizarres. Il se mit donc à sa poursuite. Au bout de quelques minutes, il aperçut un groupe de créatures différentes. Celles-là se tenaient sur deux pattes, n’avaient de pelage que sur le haut de leur corps et n’avaient pas la même couleur. Ils se tenaient devant de grands bâtiments. Il poussa un cri de soulagement qui attira l’attention du groupe. Ils se retournèrent pour voir d’où venait le cri. À ce moment-là, tout le monde se mit à paniquer et à hurler. Les créatures criaient, couraient dans tous les sens. On aurait dit qu’il leur faisait peur. Il essaya de leur dire quelque chose mais personne ne voulait lui répondre. La panique le gagnant lui aussi, il chercha à se cacher. Il se réfugia dans une cave qui semblait abandonnée. Il attendit patiemment que le calme revienne. Au bout d’un certain temps, il sortit discrètement de sa cachette en espérant que le vent de panique se soit calmé. La rue était totalement vide. Il partit donc explorer la ville sans savoir où il allait.

Il y a 400 ans, un homme-démon s’appelant Muzan avait le pouvoir de transformer les humains en démons en leur injectant son sang dans le corps. Kagami était un enfant âgé de 14 ans qui savait chasser les démons. En effet, il avait appris à combattre les démons depuis l’âge de 9 ans. Muzan avait tué son père qui était un chasseur de démons exceptionnel. Kagami l’adorait et avait été très éprouvé de la perte brutale de son père, alors, suite à ce drame, Kagami commença à parler tout seul et à crier à chaque fois qu’il faisait nuit, mais cela ne gênait personne. Il était toujours le Kagami que tout le monde connaissait. Sa mère l’avait confié à un maître de combat qui lui avait appris l’art de son père. Le seul objectif de Kagami était désormais de tuer Muzan pour venger son père. Kagami venait de revenir d’une mission, qui consistait à faire du repérage afin de trouver Muzan. Quand il arriva près de son village, il découvrit avec effroi beaucoup de villageois gisant sans vie. Il ressentit une angoisse immense. Il reconnaissait l’œuvre maléfique de Muzan. Il alla vers chez lui pour voir si sa famille était encore vivante et vit Muzan près de sa maison, Kagami sourit, il décida de courir et d’en finir avec lui. Il courut avec rage, il dégaina son sabre avec joie. Il lui porta un coup à l’épaule gauche, Muzan perdit son bras gauche mais les démons ont la capacité de se régénérer. Muzan décida de fuir pour l’instant mais Kagami pris de rage, le poursuivit et le rattrapa. Les deux commencèrent un combat à mort. Ils enchainèrent les coups, le sang coulait. Muzan trancha le bras droit de Kagami avec sa main, Kagami hurla de douleur. Muzan trancha son pied gauche pour l’immobiliser. Muzan continua le massacre en torturant Kagami. Mais cela n’amusait plus Muzan, alors il partit chercher les membres de la famille de Kagami pour les tuer devant lui. Kagami, ne pouvant plus bouger, pleura de rage. Muzan revint avec sa famille, il les tua devant lui un par un. Kagami n’en pouvant plus de les entendre crier de douleur et de les voir souffrir sans pouvoir les sauver, il sourit avant de sauter sur Muzan pour lui porter un dernier coup fatal. Muzan tomba raide mort. Kagami, épuisé par la torture, s’évanouit d’un coup.

Deux jours plus tard, Kagami se réveilla brutalement. Il ne sentait plus son corps et ne pouvait plus bouger. Il tenta de se redresser mais n’avait plus de forces. Il commença à voir clair, il vit qu’il était dans une cage, il vit plein de villageois autour de lui, alors il s’égosilla en demandant aux villageois pourquoi il était enfermé. Un des villageois s&apos;approcha et lui dit qu’il avait été arrêté car il avait tué sa famille et les villageois. Kagami commença à rire pendant un long moment, cela terrifiait les villageois, puis tout d’un coup, Kagami ferma les yeux avant d’arrêter brusquement de rire. Alors un des villageois s’approcha et demanda à Kagami pourquoi il ne parlait plus, mais il n’eut aucune réponse de la part de Kagami, car ce dernier avait succombé à ses blessures. Le corps de Kagami fut enterré sans cérémonie dans le cimetière à l’écart du village. Quelques mois plus tard, Goyo, un lointain cousin de Kagami, se rendit au cimetière, comme chaque dimanche, pour aller déposer des fleurs sur la tombe de sa mère morte au moment du massacre. Goyo déposa ses fleurs et repartit en direction du village. Soudain, il sentit un petit tremblement sous ses pieds. La terre bougeait. Il observa attentivement le phénomène et vit que ce tremblement formait une ligne jusqu’à la tombe de Kagami. Il remonta la ligne et retourna auprès de la tombe. Quelque chose en était sorti, c’était la main de Kagami. Un frisson glacial parcourut le corps de Goyo...

Il regarda l’heure affichée sur le tableau de bord et n’en crut pas ses yeux. Il était dix heures moins le quart. Il sortit du parking et se dirigea vers l’autoroute. Sa radio venait de l’informer qu’il y avait des bouchons sur la route qu’il devait prendre. Arrivé sur l’autoroute, il était déjà dix heures et il lui restait encore un quart d’heure de route. Son patron l’appela et lui dit, sans chercher à expliquer pourquoi, qu’il était licencié. Hugo rentra chez lui et alla se coucher en espérant qu’il se réveille de ce cauchemar. Quelques semaines plus tard, Hugo, qui ne gagnait plus d’argent car il ne travaillait plus, ne pouvait plus s’acheter de quoi se nourrir alors il revendait des objets de chez lui. A un moment, il trouva le livre qu’il avait rangé dans sa table de nuit et quelque chose l’intrigua. Il se dit : “ J’ai l’impression que depuis que j’ai ce livre, il ne m’arrive que des mauvaises choses. J&apos;ai perdu mon meilleur ami, je me suis fait virer et voilà que maintenant je dois vendre mes meubles pour pouvoir manger !”. Il se souvint alors que la dame qui lui avait vendu le livre ne voulait pas le toucher. Il eut un frisson et voulut se débarrasser du livre au plus vite. Il pensa à le vendre mais se dit que ce serait peut-être égoïste de sa part. Il décida alors de détruire l’ouvrage en le mettant au feu. Comme on était dimanche, le vide grenier était ouvert et il voulut retourner voir la dame qui lui avait vendu le livre pour le détruire avec elle pour se débarrasser pour de bon du roman. Il chercha le stand de la vendeuse du livre. Une fois qu’il l’eut trouvé, Hugo sortit le livre et le montra à la dame. Elle poussa un cri d’étonnement et lui fit signe de parler moins fort. La dame lui demanda de venir derrière le stand pour qu’ils parlent plus discrètement et sans éveiller les soupçons. La dame lui expliqua qu’elle aussi était une victime du livre et elle lui donna rendez-vous le lendemain dans la forêt de l’autre côté de la ville à onze heures précises avec le livre et de quoi le faire brûler. Hugo rentra chez lui. Le lendemain, Hugo avait hâte qu’il soit onze heures pour pouvoir se débarrasser de ce malheur. Il était déjà dix heures trente et il estima préférable de partir maintenant pour pouvoir arriver à l’heure. Il marcha alors en direction de la forêt.

Une demi-heure plus tard, il était arrivé. La dame était déjà là, en train d’attendre comme si elle attendait le soleil dans ce ciel extrêmement nuageux. Il plaça alors le roman au milieu d’un tas de bois. La vendeuse sortit de son panier une grande bouteille remplie d’essence. Elle aspergea le livre et jeta une allumette. Le livre s’enflamma et d’un coup quelque chose en sortit, ça ressemblait à un fantôme enflammé avec des cornes qui ornait son visage. Ils se regardèrent et se comprirent. Il fallait s’enfuir. Ils prirent leurs jambes à leur cou et essayèrent de le semer mais il n’y avait rien à faire. Un mur de flammes se dressa devant eux et forma une espèce d’arène de flammes. Ils s’arrêtèrent net et regardèrent le fantôme qui riait à la vue de leur peur. Le fantôme disparut et les flammes aussi. Ils allèrent voir le livre qui s’était recomposé, ils penchèrent la tête au-dessus de celui-ci et comme-ci de rien n’était, il les aspira et ils devinrent une nouvelle page du livre. C&apos;est à ce moment-là qu’ils comprirent pourquoi le livre comptait un si petit nombre de pages.

Tous les dimanches, Hugo allait au vide grenier. C’était un homme de vingt-sept ans, brun aux yeux verts qui adorait la lecture. Ce jour-là, il trouva quelque chose qui l’intéressait. C&apos;était un livre en cuir rouge avec une reliure en or dont le titre était “le démon rouge”. Il demanda alors à la dame qui tenait le stand combien il coûtait. Elle répondit qu’elle le vendait deux euros. Hugo parut surpris mais tout de même satisfait du prix et dit qu’il voulait bien l’acheter. Pour lui donner le livre, la dame attrapa un torchon et le prit en le tendant à Hugo qui se demanda pourquoi elle n’avait pas l’air de vouloir le toucher. Content de son achat, Hugo prit le livre et partit en direction de chez lui. A peine était-il parti que quelqu’un le bouscula et il tomba presque. Le livre lui glissa des mains et il chuta dans un bruit sourd. Il se releva rapidement et courut alors de peur que les gens se moquent de lui. Arrivé chez lui, il voulut sortir sa clé de la poche droite de son pantalon mais par malheur, il ne la trouva pas, il refit alors tout le chemin en sens inverse mais il n’obtint aucune trace de sa clé. Il repartit désespéré, les mains dans les poches. En fourrant sa main dans sa poche gauche, il senti quelque chose de métallique. Il sortit l’objet et découvrit sa clé. Il était tellement dégouté qu’il poussa un soupir. Le livre à la main, il rentra de nouveau chez lui et ouvrit la porte pour de bon. Après cette promenade imprévue, il posa le livre sur le meuble d’entrée et se rendit dans sa cuisine pour préparer son déjeuner. Il mangea et alla se reposer. Il embarqua le livre avec lui pour commencer à le lire. En arrivant dans sa chambre, il se jeta sur son lit et le sommeil le gagna.

En se réveillant, il vit sur son radio réveil qu’il était déjà dix-sept heure quarante-cinq et qu’il ne lui restait qu’un quart d’heure pour se préparer à aller chez son ami qui l’avait invité à prendre l’apéritif chez lui. Il courut alors dans la salle de bain pour mettre sa chemise et son jean puis courut au rez-de-chaussée pour enfiler ses chaussures. Quand il fut tout à fait prêt, il ouvrit la porte et sortit avec une bouteille de vin rouge à la main. Après une demi-heure de route, il arriva enfin devant la maison de son ami il chercha alors une place pour se garer le plus près possible de chez son ami. Après dix minutes, il trouva enfin un endroit de stationnement. Il jeta un coup d’oeil au cadran de sa montre et il lut dix-huit heure trente. Il courut pour rattraper son retard. Quand il se retrouva devant la porte, il sonna et attendit que quelqu’un lui ouvre. Peu de temps après son ami lui ouvrit et lui dit de partir car il en avait marre et il lui claqua la porte au nez. Hugo repartit les larmes aux yeux car il savait qu’il venait de perdre son meilleur ami. Il décida alors de rentrer chez lui et alla se coucher. Le lendemain en se réveillant, il s’étira, comme à son habitude, prit le roman et l’ouvrit. A peine l’avait-il ouvert qu’il entendit sa sonnerie de téléphone. C&apos;était son patron. Il décrocha et entendit son patron avec la voix qu’il prenait quand il était énervé. Hugo lui demanda s’il allait bien mais le patron ne répondit pas et changea directement de sujet. Il lui posa la question s’il était presque arrivé à la réunion très importante prévue à dix heures. Hugo hésita mais répondit tout de même qu’il arrivait bientôt. Hugo raccrocha et regarda le radio réveil posé sur sa table de nuit et n’en crut pas ses yeux. La réunion avait lieu dans une demi-heure et il était encore dans son lit en pyjama avec les cheveux tout ébouriffés. Il se leva et courut à la salle de bain, se déshabilla et entra dans la douche le plus vite qu’il ne lui était possible et en sortit deux minutes après avec les restes de savon qu’il n’avait pas eu le temps de rincer. Il se sécha et enfila ses sous vêtement, sa chemise et son costard qu’il réservait pour les réunions. Il dévala les escaliers et mit ses chaussures. Il sortit, monta dans sa voiture et la démarra.

Un jour, comme je traversais une vallée voisine de l&apos;Isle-Adam, je sentis tout d&apos;un coup un choc agréable, cette émotion curieuse que l&apos;on éprouve lorsqu&apos;on recon­naît, après une longue absence, des personnes ou des lieux que l&apos;on a aimés. Bien que je ne fusse jamais venue dans cette région, je connaissais parfaitement le paysage qui s&apos;étendait à ma droite. Des cimes de peupliers dominaient une masse de tilleuls. A travers le feuillage i encore léger de ceux-ci, on devinait une maison. Alors, je sus que j&apos;avais trouvé le château de mes rêves. Je n&apos;ignorais pas que cent mètres plus loin, un chemin étroit couperait la route. Le chemin était là. Je le pris. Il me conduisit devant une barrière blanche. De là partait l&apos;allée que j&apos;avais si souvent suivie. Sous les arbres, j&apos;admirai le tapis aux couleurs douces que formaient les pervenches, les primevères et les anémones. Lorsque je débouchai de la voûte des tilleuls, je vis la pelouse verte et le petit perron, au sommet duquel était la porte de chêne clair. Je sortis de ma voiture, montai rapidement les marches et sonnai. J&apos;avais grand-peur que personne ne répondit, mais, presque tout de suite, un domestique parut. C&apos;était un homme au visage triste, fort vieux et vêtu d&apos;un veston noir. En me voyant, il parut très sur­pris, et me regarda avec attention, sans parler. - Je vais, lui dis-je, vous demander une faveur un peu étrange. Je ne connais pas les propriétaires de cette maison, mais je serais heureuse s&apos;ils pouvaient m&apos;autoriser à la visiter. - Le château est à louer, Madame, dit-il comme à regret, et je suis ici pour le faire visiter. - A louer? dis-je. Quelle chance inespérée !... Comment !es pro­priétaires eux-mêmes n&apos;habitent-ils pas une maison si belle ? - Les propriétaires l&apos;habitaient, Madame. Ils l&apos;ont quittée depuis que la maison est hantée. - Hantée? dis-je. Voilà qui ne m&apos;arrêtera guère. Je ne savais pas que, dans les provinces françaises, on croyait encore aux reve­nants...

- Je n&apos;y croirais pas, Madame, dit-il sérieusement, si je n&apos;avais moi-même si souvent rencontré dans le parc, la nuit, le fantôme qui a mis mes maîtres en fuite. - Quelle histoire ! dis-je en essayant de sourire. - Une histoire, dit le vieillard d&apos;un air de reproche, dont vous au moins, Madame, ne devriez pas rire, puisque ce fantôme, c&apos;était vous.

Je suis un policer Jean, je piste un tueur en Série. Chaque fois il appelle avant d’aller chez sa victim, il vient dans la nuit pour tuer des personnes. Une nuit je patrouille, je vois une personne avec un téléphone qui appelle une autre personne. Dès la fin de son appel, il part vers une maison, il s’arrête derrière avec une arme, je descends de ma voiture avec une arme moi aussi. Je vais devant la maison et je frappe à la porte, un homme m’ouvre, je lui dis de venir avec moi, la personne me demande pourquoi. Je lui dis qu’il y a un tueur en série derrière sa maison. Un mois plus tard, Manu, l’homme en question, a quitté sa fonction de journaliste et est devenu mon coéquipier, ont chercha l’homme qui étais derrière chez lui une personne nous avait dit une piste pour retrouver l’homme en question ça nous à mener vers le cartel de Cali. Le cartel le plus dangereux de Colombie avant le cartel de Medellin, c’est deux cartels s’affronte pour le cartel le plus dangereux de la Colombie. Une nuit j’étais avec mon coéquipier ont patrouille vers une forêt est tout d’un coup on entend un coup de feu ont se cache est l&apos;ont vu le chef du cartel de Cali qui tue un homme de politique est là on prend des photos est ont les envois des photos au FBI. On dit au FBI de venir en Colombie mais pas de réponse sauf ont envoie un enregistrement d’appel. On retourne dans un hôtel a trois étoiles. Le lendemain ont retourné dans la forêt est on se fais capturer cars il y avait des camera dans la forêt, le chef du cartel de Cali était le tueur en série qui était derrière la maison de mon coéquipier. Il nous a dit qu&apos;il aura une personne importante dans deux heures, deux heures plus tard une personne arrive dans le noir cette personne est Cali il nous expliqua qui va devenir le plus puissant cartel de Colombie, quand il partit quelque minute plus tard on entend des coups de feu. Quand la porte s’ouvra on voie le FBI il nous dit qu’ils ont reçu notre message. Cali est partit dans sa voiture il a mis des bombes dans toute la maison les bombes exploses dans dix minutes.

Un jour, à l’âge de cinq ans, Camille tomba malade. Ses parents l’emmenèrent à l’hôpital, là où il fut pris en charge par le médecin Jean. Pendant qu’il l’examinait, ses parents attendaient en salle d’attente juste devant le cabinet du médecin. Une fois que le médecin l’eut examiné, il sortit de la pièce sans un mot. Puis il revint quelques minutes plus tard accompagné d’infirmiers ainsi que d’autres médecins qui regardèrent attentivement Camille. Les parents de Camille se mirent à stresser. Ils imaginèrent toutes sortes de maladies, comme le cancer. Après cinq heures d’attente, la porte du cabinet s‘ouvrit, ils sursautèrent puis virent à nouveau le médecin sortir. Cette fois il vint vers eux. Le médecin et les parents de Camille se mirent à l’écart. Ils lui demandèrent, au bord de la panique : “Docteur, dites-nous que ce n’est pas grave, s’il vous plait ! ” Le médecin répondit : ”Ne vous inquiétez pas pour la maladie de votre fils, mais j’ai aussi une autre nouvelle. Commençons par le commencement c’est-à-dire la maladie de Camille. Votre fils a juste une bonne grippe intestinale, ce qui n‘est pas grave, elle s‘est juste développée rapidement d’où les symptômes qui sont apparus du jour au lendemain.” Les parents de Camille, n’y tenant plus, interrompirent le médecin en s’écriant : Non ! Dépêchez-vous ! Dites-nous ce qu’il en est de la mauvaise nouvelle, nous n’avons pas que cela à faire !” “Monsieur, madame, j’aimerais d’abord que vous vous calmiez et que vous vous asseyiez sur les chaises qui sont derrière vous. “commença le médecin. Les parents lui répondirent : ”Très bien, nous sommes prêts”. .

Le médecin continua : “Comment vous annoncer cela ? En fait votre fils n’est pas votre fils, je suis désolé. Nous avons fait une prise ADN avec vos résultats quand vous avez eu votre accident de voiture et ils sont négatifs. - Comment est-possible ? Je suis tombée enceinte, j’ai accouché bref vous connaissez la suite ? Comme toutes les femmes enceintes en somme !” s‘écria la mère énervée. Le médecin reprit sans se préoccuper de la peur panique qui s&apos;emparait deux : “Cela doit être un échange de bébé mais heureusement aujourd’hui grâce à la prise de sang et la recherche ADN, nous allons pouvoir remettre Camille à sa vraie famille et vous rendre votre véritable enfant.” Les parents regardèrent le médecin avec un regard fuyant. Redoutaient-ils ce que le médecin aurait pu découvrir ? “Mais... Camille est notre enfant et il restera le nôtre ?! ” demandèrent les parents. Après quelques minutes de conversation, le médecin repartit dans son cabinet pour chercher le document qui prouvait que ce n’était pas leur enfant. Mais en même temps, il tomba sur un document avec l’ADN de l’enfant porté disparu il y a cinq ans. Cet ADN lui rappelait celui de Camille. Et Camille avait cinq ans. Le médecin reprit l’ADN de Camille puis, comme il avait des doutes, il compara les deux ADN et constata que c’était les mêmes. Il s’approcha des parents de Camille. Ceux-ci lurent dans son regard que le médecin avait tout découvert. Ils partirent en courant chercher Camille dans le cabinet et se dirigèrent vers la sortie. Mais la sécurité surgit juste devant eux ! En effet quand le médecin avait compris que c’était les mêmes enfants, il avait appelé la police avec discrétion. Le commissariat n’était pas loin donc ils étaient venus assez vite. Quand les parents voleurs d’enfants entendirent la sirène des policiers, ils comprirent que c&apos;était fini pour eux

Au collège, à la rentrée un nouvel élève est arrivé dans ma classe. Il s´appelle Rayan et je suis un peu jaloux de lui. Il est très fort en maths, c’est le plus doué au foot et il n’a aucun bouton sur la figure. Toutes les filles du collège n’ont d’yeux que pour lui, il est ultra beau, j‘aimerais trop lui ressembler. Très vite, il a voulu devenir pote avec Bryan, Mustafa et moi. Comme il avait l’air très sympa, les copains m’ont convaincu de l’accepter dans la bande. Une semaine plus tard on est devenus presque inséparables. Comme j’avais prévu de passer une soirée avec Bryan et Mustafa, j’ai envoyé un message à Rayan pour lui en parler. Il m’a répondu de suite et nous avons passé une soirée à jouer aux jeux-vidéos. Le lendemain, je lui ai demandé si je pouvais venir chez lui pour jouer à la Play. Étrangement, Rayan s’est braqué et m’a répondu d’un ton agressif : “NON !&quot;. J’ai été surpris de sa réaction, mais je me suis dit qu’il était sans doute de mauvais poil. Cependant, par la suite, il a eu des réactions bizarres à de nombreuses reprises. Un jour il venait vers nous tout cool, et le lendemain plus personne. A chaque fois qu’on lui demandait de venir chez lui, il se renfermait et nous envoyait balader. Comme j’étais très intrigué par son attitude, un jour, après l’école, j’ai suivi Rayan jusque chez lui et je suis resté au moins trente minutes à regarder par-dessus la haie de son jardin. Comme je n’ai rien vu, je suis reparti. Les jours suivants, c’était comme si Rayan avait deviné que je l’avais suivi. Il ne m’a pas adressé la parole de la semaine. Pour tirer les choses au clair, j’ai décidé de lui parler à part et de lui demander des explications sur sa réaction.

J’ouvris la porte de ma chambre et posai le carton par terre. J’étais très heureuse d’être là. Je redescendis pour aider Mayron car il ne fallait pas oublier qu’il n’avait que quatre ans. Mon père apporta mon lit dans ma chambre, puis il le monta au milieu de la pièce pour me laisser le choix de le mettre ou je voulais. Pendant ce temps, j’organisai la chambre de Mayron. Une fois fini, je retournais dans ma chambre pour la décorer. J&apos;étais aux anges, ma chambre était magnifique. Ma mère nous appela pour nous mettre à table, elle avait très bien décoré le salon et la cuisine, elle avait les yeux qui brillaient. Deux semaines plus tard, un dimanche, je me réveillai en sursaut d’un affreux cauchemar. J’étais en sueur et toute tremblante. Il était neuf heure trente. Je sortis de mon lit pour aller dans la salle de bain me laver le visage. Je remarquai qu’il manquait une serviette pour se sécher les mains. Ma mère l’avait sûrement mise à laver, alors je descendis à la cuisine pour prendre mon petit déjeuner. Il y avait tout ce que j’aimais sur la table. Après cela, je montai dans ma chambre pour lire, mais mon livre n’était plus là ! Je le cherchai par tout : sous mon lit, dans mon armoire … Mais il n’était nulle part. “Maman ! Sais-tu où est mon livre ? -Non pas du tout, tu as cherché sous ton lit ? -Oui, partout”. Je descendis les escaliers, dépitée. &quot;Ne t’inquiète pas Lisa, tu vas le retrouver.” Après le repas, je montai dans la salle de bain comme d’habitude pour me brosser les dents. Mais impossible de trouver ma brosse à dent ! J&apos;appelai ma mère mais comme elle ne répondait pas, je me mis à hurler en haut de l’escalier, pensant qu’elle ne m’entendait pas. Comme je restais toujours sans réponse, je descendis énervée en appelant “ “Maman !”. Soudain je m’arrêtai. Je sentis ma gorge se serrer. Je n’entendais plus rien dans la maison. Il y régnait un silence de mort. Pourtant, mes parents m’auraient prévenues s’ils partaient ! Je sortis de la maison pour voir si la voiture était dans le garage, mais, le garage n’était plus là ! J&apos;avais l’impression de devenir folle ! Je fis le tour de la maison, en courant, rien, rien du tout !! Je rentrai de nouveau à l’intérieur, et là le cauchemar ! Coucou

Toute la décoration du salon avait DISPARUE !!!!! Je pleurai, apeurée, mais ce n’était pas un cauchemar, je courus jusqu’à ma chambre et j’ouvris la porte. Ma chambre était vide, il n’y avait plus rien. Je dévalai les escaliers quatre à quatre pour chercher de l’aide auprès d’un voisin. Je me précipitai vers la maison voisine et je frappai de toutes mes forces. Aucune réponse. Je recommençai, en vain. Je courus vers l’autre maison voisine, toujours rien. Je me mis à sangloter. Tout devenait flou, incompréhensif et horrible. Je ne savais plus quoi faire, tout avait disparu. Tout à coup je crus entendre un bruit, je tournai la tête vers notre maison, mais HORREUR ! La maison n’était plus là !!!! Je me mis à hurler de toutes mes forces, encore et encore. Je tournai en rond, dans tous les sens, je me sentais devenir folle. Je continuais à courir, presque sans souffle, regardant autour de moi, voir s’il n’y avait personne. Mais rien. J&apos;avais l’impression que tout était contre moi. Je regardais vers le ciel, il bougeait ! Je frottais mes yeux, et je regardais une nouvelle fois, je ne rêvais pas, le ciel bougeait vraiment. Il tournait et tournait encore. Je décidai de m’assoir au milieu de nulle part, espérant que la mort vienne vers moi, je fermai les yeux et soudain, trou noir. “C&apos;est bon Lucy, tu peux enlever ton casque de réalité virtuelle !” “OUF, c’était trop flippant, j’avais l’impression que c’était moi mais heureusement ce n’est pas vrai”

“Rendez-vous à la plage “ Singe Rouge”.” Zoé avait très peur, elle hésita. Elle réfléchit beaucoup et se mit à imaginer les pires choses. Et s’il la torturait, ou la kidnappait ? Cependant elle avait envie de découvrir qui se cachait derrière cet écran. Elle chercha sur Internet pour savoir où se trouvait “La plage singe rouge”. Elle vérifia sur Google Maps. Cette plage était à une heure de chez elle. Elle hésita beaucoup mais, malgré tout, elle se rendit à ce rendez-vous. Zoé se mit en route. Une heure après, elle arriva enfin à la plage singe rouge. Elle avança sur le sable et vit des traces de pas bien nettes. Zoé suivit ces traces avec terreur. Au bout du chemin elle vit un homme avec un masque de singe rouge. Zoé était terrorisée mais elle continuait à avancer. Arrivée devant cet homme, elle le regardait. L’homme enleva son masque de singe rouge, Zoé était pétrifiée ! L’homme lui dit : “ Hey Zoé, tu me reconnais ?” Zoe répondit : “ E-...Éric ?! C’est toi derrière ces messages et lettres... ? Éric était son ex-petit copain. Il lui rétorqua : ” Oui c’était moi. Tu te rappelles quand tu m’as quitté pour un autre garçon ?!” Zoé : ” Tu étais violent avec moi...j’ai souffert pendant des années...” Il lui dit : “ Sale menteuse !! Je peux enfin me venger.” Éric se rapproche de Zoé, elle se mit à courir mais il la rattrapa et sortit un couteau et lui planta dans le cœur... Voilà l’histoire de ma meilleure amie... J’entends quelqu’un frapper à ma porte. J’ouvre la porte et vois ma meilleure amie devant ma porte, elle a les vêtements déchirés, elle a la peau moisie, un trou dans le cœur. Je suis choquée et j’ai très peur... Moi : ” T-...Est encore vivante ?! ” Zoé ne me répond pas. Et elle me dit : “ Donne-moi ton cœur ! J&apos;ai faim... ! ”

Il y a deux ans. dit-elle, quand je fus si malade, ,je remarquai que je faisais toutes les nuits le même rêve. Je nie promenais dans la campagne: j&apos;apercevais de loin une maison blanche, basse et longue, qu&apos;entourait un bosquet de tilleuls. A gauche de la maison, un pré bordé de peupliers rompait agréablement la symétrie du décor, et la cime de ces arbres, que l&apos;on voyait de loin, se balançait au-dessus des tilleuls. Dans mon rêve, j&apos;étais attirée par cette maison et j&apos;allais vers elle. Une barrière peinte en blanc fermait l&apos;entrée. Ensuite on suivait une allée dont la courbe avait beaucoup de grâce. Cette allée était bordée d&apos;arbres sous lesquels je trouvais les fleurs du printemps : des pri­mevères, des pervenches et des anémones, qui se fanaient dès que je les cueillais. Quand on débouchait de cette allée, on se trouvait à quelques pas de la maison. Devant celle-ci s&apos;étendait une grande pelouse, tondue comme les gazons anglais et presque nue. Seule y courait une bande de fleurs violettes. La maison, bâtie de pierre blanche, portait un toit d&apos;ardoises. La porte, une porte de chêne clair aux panneaux sculptés, était au som­met d&apos;un petit perron. Je souhaitais visiter cette maison, mais per­sonne ne répondait à mes appels. J&apos;étais profondément désappointée, je sonnais, je criais, et enfin je me réveillais. Tel était mon rêve et il se répéta, pendant de longs mois, avec une précision et une fidélité telles que je finis par penser que j&apos;avais certainement, dans mon enfance, vu ce parc et ce château. Pourtant je ne pouvais, à l&apos;état de veille, en retrouver le souvenir, et cette recherche devint pour moi une obsession si forte qu&apos;un été, ayant appris à conduire moi-même une petite voiture, je décidai de passer mes vacances sur les routes de France, à la recherche de la maison de mon rêve. Je ne vous raconterai pas mes voyages. J&apos;explorai la Normandie, la Touraine, le Poitou; je ne trouvai rien et n&apos;en fus pas étonnée. En octobre je rentrai à Paris et., pendant tout l&apos;hiver, continuai à rêver de la maison blanche. Au printemps dernier, je recommençai mes promenades aux environs de Paris.

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