Les Contes des Mille Et Une Nuits

Un mois plus tard, il arriva devant un château et il y rentra. Il vit un homme sur un trône, il avança et lui expliqua son aventure avec le coffre. -Ah, je vois de quoi vous parler, attendez! Il lui ramena la clé. Et Houssain repartit. Deux mois plus tard, il arriva et dit à l&apos; homme du coffre. -J&apos;ai la clé! Ils ouvrirent le coffre et là, ils virent un magnifique tapis , mais pas n&apos;importe lequel. L&apos;homme au coffre lui expliqua alors l&apos;histoire du tapis. Houssain était émerveillé. -Ce tapis est-il vraiment magique? demanda Houssain -Oui, répondit l&apos;homme. Houssain retourna au château auprès de la princesse et de ses frères. Ali a devant lui une bague en or. Ahmed a devant lui un vase richement décoré. Mais aucun des deux objets n&apos;est magique. Houssain montre à la princesse le pouvoir du tapis et lui en proposa un tour. La princesse aima ce tour en tapis volant mais sans plus.

                                        Histoire de deux soeurs jalouses de leur cadette.

Aladin souleva la pierre... Schéhérazade vit le jour se lever et promit à son mari de lui raconter la suite du conte la nuit suivante. Nuit n°2 Peu avant l&apos;aube, Dinarzade réveilla sa soeur avec vigilance. Schéhérazade se mit alors à raconter la suite du conte. Aladin souleva la pierre... et entra dans la caverne. Le magicien lui cria par derrière : Ramène-moi la lampe en or que tu dois voir devant toi. Alandin obéit et chercha la lampe.

Alors, le roi Perse demanda à l&apos;indien d&apos;aller au marché lui ramener des fruits. Il y alla et lui ramena les fruits. Le roi Perse fut étonné du pouvoir de ce cheval. Il monta sur le cheval et lui dit: &quot;Je veux aller dans le futur pour connaître l&apos;avenir dit le roi de Perse.&quot; Quand il arriva dans le futur il s&apos;apercut que c&apos;était son neveu détesté qui lui succèderait . Alors il revint dans le présent et engagea quelqu&apos;un qui assasinerait son neveu. La personne tua le neveu du roi de Perse. Il alla encore une fois dans le futur et vit une personne d&apos;une autre famille du roi gouverner. Le roi fut encore plus déçu. Il alla voir l&apos;indien qui lui avait offert le cheval et lui dit:

La princesse dit: -Je me marirai avec Ali. Houssain, déçu, dit : - Attendez, j&apos;ai quelque chose d&apos;autre à vous montrer. -Allez-y. - Par contre, j&apos; ai besoin de quelques ingredients. -Allez les chercher ! Houssain commença le gâteau. Quand il eut fini, la princesse en goûta une part. Elle fut si émerveillée qu&apos;elle dit : &quot;Finalement, je me marierai avec Houssain.&quot; Il fut vraiemnt content mais en même temps triste d&apos; avoir joué avec les sentiments de la princesse. Un mois plus tard, il se marièrent tandis qu&apos;Ali et Ahmed se marièrent avec deux coiffeuses. Le sultan dit alors à Scheherazade : savez-vous faire ce gâteau ? - Oui, répondit-elle. - Pouvez vous m&apos; en faire un ? - Oui avec plaisir. La morale : il vaut mieux être simple et être heureux que riche et malheureux.

La dixième nuit, Shéhérazade conta une autre histoire : celle d&apos;Izora et la création du génie. Il y a fort longtemps, dans un village caché, vivaient un couple et leur fille Izora. Cette petite famille était malheureusement pauvre. La petite Izora était passionnée de dessin. Le jour de son anniverssaire, son père et sa mère renoncèrent à un bon diner de trois pièces d&apos;or pour offrir à leur fille de quoi dessiner. Ils lui donnèrent donc les trois pièces d&apos;or et lui dirent : &quot;Achète-toi ce que tu as envie, quelque chose qui te fera plaisir.&quot; À ces mots Izora courut, vers la boutique la plus proche. Elle arriva alors dans la boutique d&apos;une vieille dame qui avait l&apos;air fort gentille. La dame la regarda et dit : - Que veux-tu chère enfant ? Izora avec le sourire jusqu&apos;aux oreilles et lui répondit : - Je voudrais le plus beau crayon de cette boutique et long rouleau de papyrus. La dame lui donna ce que l&apos;enfant souhaitait : - Voilà pour toi mon enfant, cela fera trois pièces d&apos;or et six poussières. - Vous m&apos;excuserez je n&apos;ai que trois pièces d&apos;or, dit la petite fille deçue car les commerçants de son village étaient un peu durs en affaires. - Ce n&apos;est pas grave, dit la dame, donne-moi ce que tu as. Une dernière chose cependant, ce crayon n&apos;est pas ordinaire, fais-en bonne usage. Tu verras que c&apos;est le seul à avoir une substance qui efface.

&quot;Aladin fut abasourdi par ce que le génie lui dit et demanda s&apos;il a le droit a un troisième voeu. - Oui, tu as le droit a un troisième voeu, le dernier. - Je veux sortir d&apos;ici avec ce tapis. - D&apos;accord, répondit le génie. Aladin sortit de la caverne et se dirigea vers la ville sur son tapis volant. Aladin retrouva ses amis. Mais ses amis, jaloux, le menacèrent de le tuer s&apos;il leur donnait pas le tapis. Aladin jeta la lampe et dit : &quot;Prenez la lampe mais pas le tapis&quot;. Ces amis prirent la lampe et poussèrentAladin pour prendre le tapis. Les amis d&apos;Aladin, après avoir pris le tapis et la lampe s&apos;enfuirent en courant. Après une longue marche dans la ville, Aladin tomba sur le magicien. Aladin poussa le magicien, lui prit la lampe et s&apos;enfuit. Il fit le même procédé pour faire apparaître le génie. Cette fois-ci, le génie apparut un long moment plus tard. Le génie lui dit : &quot;Tu as le droit à un seul voeu.&quot; Aladin lui dit &quot;je veux retrouver ma vie d&apos;avant et que le magicien soit puni. Le génie obéit. Le magicien fut puni et coincé dans la lampe, et Aladin reprit sa vie d&apos;avant.

&quot;Je veux tout annuler dit le roi Perse. -C&apos;est trop tard, dit l&apos;indien. Il fallait réfléchir avant d&apos;exécuter ce que tu as demandé. Il faut tourner sept fois sa langue avant de parler.&quot; Le roi était furieux et il regretta d&apos;avoir exécuté son neveu et d&apos;avoir détruit sa lignée à cause de ce cheval magique. Scheherazade s&apos;interrompit et dit au sultan : &quot;As-tu aimé ce conte ? -Oui , dit le Sultan. C&apos;est un peu comme moi quand je tuais les femmes chaque matin au lever du soleil...&quot; Scheherazade eut un sourire quand elle entendit les parole du Sultan.

Houssain partit à la recherche de la clé. Mais sur la route il eut un petit creux . Au loin, il vit une épicerie. Il s&apos;approcha et vit un gâteau posé sur le rebord. il y gouta mais il était tellement bon qu&apos; il le mangea entier puis il rentra dans l&apos;épicerie. &quot;Bonjour. -Bonjour, que voulez vous ? -Je voudrais la recette de votre gâteau au chocolat ! -Je vais vous donner la recette mais avant je dois vous dire que le gâtea est enchanté et puis que tout ceux qui le gouteront seront émerveillés par tout et n&apos;importe quoi et surtout tomberont &quot;AMOUREUX&quot;. mais avant, vous devez me payer le gâteau que vous avez mangé en entier. Houssain rougit -Oui bien sûr ! Et il paya. L&apos; épicière lui donna la recette et il repartit.

Soudain, le vase se mit à briller encore plus. Je le pris dans mes mains je dis l&apos;énigme. Soudain, le vase se teinta en or . C&apos;était la bonne réponse ! Puis je fis le voeu, que moi et mon équipage devenions riches et que nous rentrions chez nous. Alors nous arrivâmes chez nous les uns après les autre. Un trésor fabuleux nous attendait chez nous. Shéhérazade s&apos;arrêta sur ces mots puis dit : &quot; je connais un conte encore plus merveilleux que celui-là, si vous me laissez vivre un jour de plus, je vous le raconterai. &quot; Le sultan accepta.

Quelques heures plus tard, Aladin s&apos;endormit sur le tapis, quand soudain, il se sentit en train de voler dans les airs. Il se réveilla et vit apparaître une longue fumée de laquelle apparut un génie. Schéhérazade voyant le jour poindre, promit à son mari de lui raconter la suite la nuit prochaine, et le sultan laissa vivre un jour de plus Schéhérazade. Nuit n°3 Le génie lui dit alors : - Tu es mon maître, tu as le droit à 3 voeux. - Un voeu ? Pourquoi ? Lui demanda Aladin. - Tu as le droit à 3 voeux, répéta le génie. Le génie insista, Aladin réfléchit un long moment et se décida. &quot;Je veux que ce tapis m&apos;obéisse et fasse ce que je veux !&quot; Le génie obéit et fit ce qu&apos;Aladin lui demandait. - Tu as encore droit à 2 voeux. - Je veux savoir qui est le magicien qui m&apos;a enfermé ici, et pourquoi il voulait cette lampe ? - Il veut cette lampe parce que quand tu la secoues et fais tomber la lampe un génie apparaît.

Le miroir devint réel et se mit à scintiller de mille feu. Izora l&apos;attrapa et fit sa demande au miroir : - Mon chère miroir, peux-tu me montrer l&apos;endroit où se trouvent mes parents ? Le miroir sans plus attendre montra à la jeune fille ses parents et l&apos;endroit où ils se trouvaient. Izora les vit discuter avec un donneur de nouvelles et comprit la situation... Le lendemain, son père lui annonça qu&apos;elle allait passer quelques jours chez sa grand-mère. Izora prépara le peu d&apos;affaires qu&apos;elle avait. Bien sûr, elle prit avec elle la jupe de danseuse orientale qu&apos;elle avait dessinée la veille. Après avoir préparé ses affaires, elle rejoignit ses parents devant la porte pour leur dire au revoir. - Au revoir ma petite fille chérie, dit sa mère. Izora prit donc la route avec son père à dos de chameau . Une fois arrivés, son père repartit aussitôt. Deux semaines passèrent et Izora rentra chez elle. Arrivée dans son village, elle vit que tout le monde était triste, elle demanda à son père ce qu&apos;il se passait.

- Quand aura lieu la cérémonie de mon union avec votre merveilleuse fille ? demanda Ahmet en étant encore un peu essoufflé. - Jamais! S&apos;écria la princesse. Jamais je n&apos;accepterai d&apos;épouser Ahmet ! - Tais-toi ma fille, lui cria le sultan. - Moi, je suis amoureuse de Bibal, reprit la princesse. - je ne veux pas entendre parler de cette personne, se fâcha le sultan. - C&apos;est entendu, père, demain matin je me preparerai, répondit la princesse. Le lendemain, le mendiant Bilal apprit que Ahmet était en réalité une personne très méchante, et qu&apos;il s&apos;était jeté un sort d&apos;immortalité. Bilal alla voir une ancienne connaissance.

Sur ces mots, Shéhérazade interrompit son récit car elle vit queble soleil se levait. Puis elle s&apos;adressa au sultan : &quot; Mon sultan, laissez-moi vivre un jour de plus et je vous raconterai la fin des aventures extraordinaires de Sindbad le marin.&quot; Le sultan, trop impatient de découvrir la suite, accepta. La nuit suivante Shéhérazade reprit : Sindbad le marin poursuivit son histoire : Un des marins qui nous acompagnait s&apos;écria : - J&apos;ai entendu dire que ce vase est magique et d&apos;après la légende, si nous répondons à l&apos;énigme suivante, notre souhait se réalisera. Voici l&apos;énigme : &quot;Entre ciel et terre, dans un endroit, là où personne ne communiquera plus.&quot; L&apos;équipage entier se mit à réfléchir. Puis je m&apos;écriai : &quot;C&apos;est la mer ! &quot;

A modifier -Quoi setonat t&apos;il est ce que je peu te donner les potions du mage noir et une formule magique . Dit t&apos;il en essayent de le convaincre. -Qel est le nom de la potion? -Tu dois te metrre a croupis,lever les bras en pronosant TES-TAS-TOOOS. -Daccord mais tu me la rendra dans 1 mois. Ahmet ce diriga vers la ceremonie.

- Oooohhhhh, Bilal, que viens-tu faire ici ? lui demanda le magicien. -J&apos;ai besoin d&apos;une épée pour vaincre l&apos;immortalité. - Une épée pour vaincre l&apos;immortalité ? s&apos;étonna le magicien. Et pourquoi faire ?

- Un mage noir va tuer les parents de la princesee du royaume d&apos;azgare. -D&apos;accord, je vais t&apos;aider. Mais, tu te doutes que cela ne sera pas gratuit... répondit le magicien. -Combien veux-tu ? murmura Bilal. -Cent mille dinare, réclama le magicien.

-Quoi ! Mais je n&apos;ai pas cette somme d&apos;argent . -Bon, nous devons trouver une solution. Bilal eut une petite idée. -Je peux te donner cette potion magique en échange de ton épée, dit-il en essayant de le convaincre et en lui présentant la potion. -Et comment fonctionne ton sortilège ? -Tu dois te mettre accroupi, lever les bras en pronosant TES-TAS-TOOOS. - Bon d&apos;accord mais tu me rendras mon épée dans un mois.

Le pêcheur essaya de s&apos;enfuir pour regagner la Terre ferme. Le génie le rattrapa et lui dit : &quot;Ne t&apos;inquiète, je ne veux pas te faire de mal . - Mais ... mais... mais qui êtes-vous ? Et que me voulez-vous ?&quot; Le génie voyant la peur du pêcheur décida de lui parler tranquillement et gentillement. &quot;Je m&apos;appelle le grand génie et je viens d&apos;un autre monde. Je peux exaucer tous tes souhaits à condition que tu m&apos;apportes le corps d&apos;un humain.&quot; Le pêcheur, très choqué par cette demande, questionna le génie. &quot;Pourquoi dois-je t&apos;appporter un corps et à quoi cela te servira ? - Il me faut un corps pour avoir une apparence humaine pour mieux me déplacer. Ce corps, c&apos;est celui du Prince Charpillard qui habite dans un royaume voisin. Je veux cet homme car c&apos;est à cause de lui que je suis enfermé dans ce vase depuis deux cents ans.&quot; Le pêcheur décida de partir à la recherche de ce Prince. Et après cinq jours de marche, il arriva devant le royaume. Il a faim, très soif et il était fatigué.

Il était une fois une princesse qui se nommait Bulma. Ses parents, très cupides, voulaient la marier avec un prince très riche d&apos;un autre royaume. Mais dans ce royaume il y avait trois princes qui voulaient l&apos;épouser. La jeune princesse, elle, ne voulait pas se marier car elle était tombée amoureuse d&apos;un pauvre mendiant. Ses parents, qui ignoraient que leur fille était amoureuse, décidèrent d&apos;organiser un tournoi pour savoir qui des trois princes l&apos;épouserait. Le tournoi fut organisé un mois plus tard . Quand le tournoi commença, les trois princes se battirent entre eux comme des sauvages ! L&apos;un eut le bras blessé en prenant un coup de hache. Il répliqua avec un coup d&apos;épée sur le genou. Puis Ahmet assomma l&apos;un d&apos;entre eux avec un marteau. L&apos;autre se fit éjecter de l&apos;arène par un coup de lance d&apos;Ahmet. Le tournoi prit fin et Ahmet en ressortit vainqueur.

Houssain rentra dans la boutique et demanda au vendeur un de ses plus beaux tapis. - Pour quel événement ? demanda le marchand curieux. - C&apos;est pour une merveilleuse princesse, répondit-il. - Je sais ce qu&apos;il vous faut. Le marchand ramena un coffre et le mit sur la table. - Mais, je t&apos; ai demandé un tapis, pas un coffre ! s&apos;écria Houssain. - Attendez, je vais chercher une clé pour ouvrir ce coffre. Quelques minutes plus tard, le marchand revint. - Je n&apos;ai pas trouvé la clé mais il y a un double de la clé. Vous devez partir à sa recherche. - Cette histoire est folle mais j&apos;accepte cette mission. Houssain prit la carte et s&apos;en alla.

Le jour de la cérémonie, la princesse mit le feu au palais. Tout le monde s&apos;enfuit mais Ahmet en profita pour voler le trésor du sultan. Mais il se fit interrompre par Bilal : - Je t&apos;ai enfin trouvé Ahmet. Je vais te tuer, lui cria Bilal. - C&apos;est impossible ! Ricana Ahmet. Je suis immortel. - Même avec ça ? Lui dit Bilal en lui montrant son épée. - Quoi ? Comment est-ce possible ? dit-il en étant soudain inquiet. Bilal tua Ahmet en lui coupant la tête puis secourut la princessse prisonnière des flammes. Le lendemain, le roi reçut un clou et une lettre de sa fille dans laquelle il était écrit : &quot;Père, j'ai fugué avec Bilal. C'est lui que j'aime et qui m'a sauvée de flammes et de ce mariage impossible. Maintenant, on est très heureux et nous allons quitter le pays jusqu'à la fin de notre vie. À moins que tu acceptes que je vive avec Bilal malgré sa pauvreté." Le clou ensorcela le roi qui renvoya une lettre avec écrit : &quot;Ma fille j'accepte tes conditions. Je ne peux pas vivre sans toi. Je veux que tu viennes vivre avce ton époux Bilal dans mon chateau jusqu'à la fin des temps." Après avoir hésité, la princesse finit par accepter. Et leur amour dura éternellement et fut magique jusqu&apos;à la fin des temps.

Les deux plus grandes soeurs se marièrent avec le chef de cuisine et le boulanger . Mais le mariage de la cadette était prévu la semaine prochaine . Les deux soeurs ne sont pas d&apos;accord avec ce mariage car tout le monde avait toujours préferer la cadette à elles. Elles déciderent de stopper ce mariage en allant voir le plus grand magicien du royaume , le magicien Amar . Le lendemain à minuit , les deux soeurs sortirent du palais discrètement . Le sultan Khosrouschah regardant par le balcon vit les deux soeurs sortirent du palais . Par curiosité , le Sultan decendit de sa chambre pour aller les suivres . Le Sultan s&apos;arreta et se cacha derrière un arbre et il vit les deux soeurs rentrer dans une cabane.

Les deux plus grandes soeurs se marièrent avec le chef de cuisine et le boulanger tandis que le mariage de la cadette était prévu la semaine prochaine. Les deux soeurs n&apos;étaient pas d&apos;accord avec ce mariage car tout le monde avait toujours préféré la cadette à elles deux. Elles décidèrent de tout faire pour empêcher ce mariage en allant voir le plus grand magicien du royaume, le magicien Amar. Aussitôt dit, aussitôt fait. Le lendemain à minuit, les deux soeurs sortirent du palais discrètement et pénétrèrent dans la forêt qui bordait le royaume. Le sultan, qui les avait aperçues, descendit de sa chambre pour les suivre. Lorsqu&apos;elles s&apos;arrêtèrent, il se cacha derrière un arbre et vit les deux soeurs entrer dans une cabane. Khosrouschah, étant curieux, regarda par la fenêtre de cette cabane qui était entrouverte et écouta leur conversation. &quot;Bonsoir cher magicien, dirent-elles. Nous avons besoin de tes services. Nous aimerions que tu nous conctoctes deux potions qui rendent belles et une potion qui tue.&quot;

Aladin retrouva enfin sa famille et leur dit : &quot;Ce n&apos;est pas en ayant toutes les richesses du monde que nous sommes heureux. Les meilleures richesses que nous avons dans la vie sont la famille. Il faut se contenter de ce qu&apos;on a et pas toujours en vouloir plus.&quot; Schéhérazade termina ce conte. Le sultan était tellement ébloui par ce conte qu&apos;il en demanda un suivant. Schéhérazade lui promit dans lui en raconter un encore meilleur la nuit prochaine.

Sindbadlemarin L&apos;île trembla puis commencais a ce deplacer vers l&apos;île suivant, qui était enfaite sa chérie. Elle trembla tellement que nous tombâmes a l&apos;eau. Nous essayâmes de nager jusqu&apos;a notre navire mais nous n y arrivâmes pas. Soudain nous vîmes des gros yeux globuleux, une petite bouche et un petit museau. Un matelot cria : &quot; qu&apos;est ce que cette créature ? Un autre lui repondit : - C&apos;est une tortue géante !! &quot; Effectivement ,la créature étais belle est bien une tortue géante. Elle ouvrit sa gueule puis nous avala en même temps qu&apos;un mystérieux vase blanc brillant . Nous atterîmes dans l&apos;estomac de la tortue, où nous trouvâmes.... Sur ces mot shéhérazade s&apos;arreta car elle vit le soleil se lever, puis s&apos;adressa au sultan :&quot;Mon sultan laisser moi vivre un jour de plus&quot;.Le Sultan trop impatien de découvrire la suite accepta. La nuit suivente shéhérazade continua:&quot; Chére Roi ,le marin sindbade reprtit : ou nous trouvâmes plein d&apos;objet mystérieux Puis un matelot s&apos;écria :&quot; j&apos;ai entendu dire que se vase étais magique et que d&apos;après la légendes si nous répondon à lénigme suivante notre veux se réalisera : entre siel et terre dans un endroit la ou personne ne parlerait plus. L&apos;équipage entieer réfléchissa puis Sindbad s&apos;écria : - c&apos;est la mer ! Puis le vase se mit a brillait encors plus . Puis Sindbad surpris et étonné pris le vase puis fit le voeux que lui et son equipage retourne chez eux et soient riche .

L&apos;île trembla puis commença à se déplacer et à se rapprocher de l&apos;île suivante. Nous ne comprenions pas ce qui nous arrivait ! C&apos;était incroyable ! L&apos;île trembla tellement que nous tombâmes à l&apos;eau. Nous essayâmes de nager jusqu&apos;à notre navire, mais nous n&apos;y arrivâmes pas. Soudain, nous vîmes des gros yeux globuleux, une petite bouche et un petit museau sortir de l&apos;eau. Un matelot cria : &quot; Qu&apos;est-ce c&apos;est que cette créature ? Un autre lui répondit : &quot; On dirait une tortue géante ! &quot; Effectivement, la créature était belle et bien une tortue géante. Elle ouvrit sa gueule puis nous avala en même temps qu&apos;un mystérieux vase blanc brillant. Nous attérîmes dans l&apos;estomac de la créature, où nous trouvâmes plein d&apos;objets mystérieux .

Après une longue marche, Aladin tomba nez à nez avec une porte, et l&apos;ouvrit. Aladin entra dans la pièce et découvrit le trésor magique dont le magicien lui avait parlé. Aladin se mit à la recherche de la lampe et vit deux lampes sur une pyramide de pièces d&apos;or et les prit les deux. Après les avoir pris, Aladin rebroussa son chemin jusqu&apos;à la pierre. Aladin vit apparaître au loin le magicien qui lui fit un sourire maléfique. Les pierres sur lesquels marchait Aladin se cassèrent une par une. Le magicien lui cria &quot;Passe-moi la lampe&quot; Aladin lui donna la lampe et garda l&apos;autre. Aladin lui cria : &quot;Tire-moi hors de la grotte avant que je ne tombe !&quot; Mais le magicien après avoir pris la lampe disparut Après des jours et des jours dans la caverne, alors qu&apos;il commençait à désespérer, Aladin trouva un tapis par terre et s&apos;assit dessus.

Il y avait jadis un mendiant qui possédait une excellente mémoire. Un jour, il alla pour manger dans une auberge, mais il ne possédait aucun argent. Il proposa alors à l&apos;aubergiste Mustapha de le faire dormir et de le nourrir dans son auberge tous les jours en échange de contes. Mustapha hésita et lui répondit : &quot;Bon, puisque je suis très généreux, j&apos;accepte ta proposition. Et en plus, je me sens seul dans mon travail. Tes histoires me divertiront. -Merci maitre. -Tu peux m&apos;appeler Mustapha . -D&apos;accord. -Mais j&apos;ai une condition. -Dis moi laquelle, dit le mendiant. -Ma condition est que tu devras payer tout ce que tu as consommé le jour où tu n&apos;auras plus d&apos;histoires en tête.&quot; Pas très confiant, le mendiant accepta. Le premier jour le mendiant fut bien nourri. Avant de dormir, il se mit à lui raconter le conte du &quot;clou enchanté.&quot;

Les talismans brillent et lancent des boules de feu qui détruisent tous les génies qui ne peuvent plus bouger! Mais ils n&apos;ont touché que les clones! Les génies font semblant d&apos;être touchés et deviennent invisibles! Les génies les prennent à revers et s&apos;emparent des corps. Puis ils se mirent en route vers leur mission secrète... &lt;&lt;Ma chère soeur, j&apos;ai beaucoup apprécié ce conte. Pouvez-vous continuer ce conte à condition que le Sultan vous laisse la vie sauve pour demain ? -Oui, moi aussi j&apos;ai beaucoup aimé! &gt;&gt; Le Sultan ayant apprécié le conte, laissa la vie sauve à Shéherazade.

Il demanda à voir le prince. Mais quand ce prince arriva à la porte, il se rendit compte que c&apos;était un bon ami d&apos;enfance. &quot;Bonjour mon ami, te souviens-tu de moi ? Un génie m&apos;a demandé de venir te chercher pour prendre ton corps. - Ne t&apos;inquiète pas, lui répondit le prince, j&apos;ai un stratagème pour m&apos;en sortir. On va y aller tous les deux.&quot; En route, le prince avait réussi à se procurer deux talismans, un pour lui et l&apos;autre pour son ancien ami le pêcheur. Ces talismans leur ont donné des supers-pourvoirs! Grâce à cela, ils se sentent le courage d&apos;affronter le génie. Le prince et le pêcheur vont essayer ensemble de battre ce génie maléfique. Le génie ne pas réussit à s&apos;imprégnier des corps car, grâce au talisman, ils étaient trop puissants. Mais c&apos;est alors que le génie se mit à mutliplier le pêcheur et le génie. Et tous ces clones entourèrent le pêcheur et le prince et ce cercle se rapetissait un peu plus chaque seconde. &quot;Que se passe-t-il mon ami pêcheur ? -Je... ne sais ils...nous... encerclent ! -On ne pourra pas en sortir. On est pris en sandwich !&quot;

Le magicien leur donna les deux premières potions que les soeurs burent sans plus attendre. Le sultan était toujours là qui observait la scène lorsque soudain il vit les deux soeurs s&apos;effondrer par terre. Le sultan se précipita dans la cabane et cria sur le magicien : &quot;Qu&apos;avez-vous fait à ces pauvres innocentes ?&quot; Le magicien lui expliqua alors que celles-ci voulaient en fait tuer sa bien-aimée car elles étaient jalouses du bonheur de leur soeur cadette. Le sultan, plus que surpris, remercia le magicien pour sa fidélité. Et pour le récompenser, il lui donna les quelques pièces d&apos;or qu&apos;il avait dans sa poche. A son tour, le magicien remercia le sultan qui rentra au palais. Le lendemain, le sultan révéla à tout son royaume que les deux soeurs étaient jalouses de leur cadette et que celles-ci étaient mortes en buvant le poison qu&apos;elles avaient prévu de faire boire à leur propre soeur. Shéhérazade termina son conte sur ces mots. Dinarzade et le sultan l&apos;avaient adoré. Tous les deux demandèrent immédiatement un autre conte. Et c&apos;était reparti pour une nouvelle nuit...

Imaginés et racontés par les élèves de 5èmeG du collège Diderot

C&apos;est sur ces mots que le mendiant termina son conte. L&apos;histoire avait plu à l&apos;aubergiste et il lui dit que s&apos;il lui lisait des histoires comme celle-ci, il le laisserait vivre avec lui tous les jours et il pourrait travailler avec lui. Le mendiant prononça sa fameuse phrase qu&apos;il disait à chaque personne qui lui donnait une pièce de monnaie. &quot;Que Dieu te bénisse.&quot; L&apos;aubergiste fut surpris par la bonté de ce mendiant. Le lendemain le mendiant fut nourri en échange du conte &quot;Les trois princes amoureux&quot;.

- Ta mère et moi avions prévu de t&apos;emmener chez ta grand-mère afin que tu puisses fuir la famine qui s&apos;abat sur notre village. Mais malheureusement, cette période n&apos;en finit pas. Nous voilà donc dans une misérable situation. Izora sachant qu&apos;elle pouvait sauver tout le monde parla du secret du crayon à tout le monde puis se mit à dessiner plusieurs plats et remplit la table de différents délices. Tout le village la remercia et promit à ses parents une récompense quand il serait en meilleur situation. Mais le lendemain, en jetant un coup d&apos;œil sur son tabouret, Izoar vit que son crayon avait disparu ! Elle se réveilla en sursaut, prit son miroir et lui posa la fameuse question...

En revenant, Izora vit le soleil se coucher. Elle se dépécha de rentrer chez elle. Elle rentra et déposa le pain sur la table. Une fois la chose faite, elle se dirigea dans sa chambre. Izora regarda par le trou qu&apos;il lui servait de fenêtre et attendit que la soleil se positionnât entre les deux collines. &quot;Oui enfin ! se dit Izora.&quot; Elle prit le crayon puis elle commença à dessiner un pain au miel, elle en rafollait depuis qu&apos;elle était toute petite. Elle eut un moment d&apos;inattention, puis elle regarda son desssin et constata avec stupéfaction que le pain était devenu réel. Izora en fut émerveillée. Elle goûta au pain sans aucune hésitation et le trouva meilleur que celui de sa jeunesse. Aussi joyeuse qu&apos;émerveillée, elle dessina un gâteau d&apos;anniversaire à deux étages, puis une soupe de noix, un poulet bien cuit, et une magnifique jupe de danseuse orientale. Heureuse de son travail, elle courut dans le salon retrouver ses parents. Elle voulait leur montrer ce fait magique mais arrivée dans la pièce elle ne vit personne, ce qui l&apos;attrista un peu. Elle retourna dans sa chambre et reprit son activité. Mais, inquiète pour ses parents, elle décida de les retrouver. Pour cela, elle dessina un miroir et écrivit une description à côté : &quot;Miroir magique permettant de retrouver quelqu'un ou quelque chose."

- Merci mille fois ! dit Izora pressée de rentrer chez elle. - Attends, fit la dame. J&apos;allais oublier ! Il y a des règles que tu dois respecter. Tu dois attendre que le soleil se couche et se situe entre les deux collines au nord du village. À ce moment précis, tu auras environ deux heures et vingt-six minutes pour dessiner ce que tu voudras et l&apos; extraordinaire se produira... Shéhérazade s&apos;arrêta juste à ce moment-là et promit au sultan de lui raconter la suite le lendemain soir. Et le lendemain soir, elle reprit là où elle s&apos;était arrêtée. Izora remercia la dame en lui promettant un repas copieux les jours prochains. Le soir même, elle raconta à ses parents ce qu&apos;il s&apos;était produit dans la boutique de la dame, mais elle se garda de raconter le secret du crayon. Son père et sa mère la regardèrent et dirent : - Nous savons que tu aimes dessiner plus que tout, alors essaie-le ! Izora répondit: - Je vais attendre un peu, comme ça, cela me laissera le temps de réfléchir à ce que je vais dessiner. - Tu as raison, lui répondit sa mère. - En attendant, je vais chez la voisine lui demander un peu de pain au noix, dit l&apos;enfant.

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