Dans la capitale de l’Hexagone, à travers une fenêtre du quatrième étage, Iris, une grande fille brune de 15 ans, lisait attentivement sur le fauteuil usagé. En effet, elle adorait lire mais peut être pas autant qu’écouter pendant des heures La Traviata de Verdi!

Dans le sombre appartement, seuls les rayons du soleil posaient de la lumière sur les douces pages de son livre préféré, offert par sa mère qui avait souvent négligé Iris pour son travail aux Etats-Unis. Celle-ci travaillait avec des sportifs et c’est cela qui avait donné envie à Iris de devenir championne de tennis. 

Dans la capitale de l’Hexagone, à travers une fenêtre du quatrième étage, Iris, une grande fille brune de 15 ans, lisait attentivement sur le fauteuil usagé. En effet, elle adorait lire mais peut être pas autant qu’écouter pendant des heures La Traviata de Verdi!

Dans le sombre appartement, seuls les rayons du soleil posaient de la lumière sur les douces pages de son livre préféré, offert par sa mère qui avait souvent négligé Iris pour son travail aux Etats-Unis. Celle-ci travaillait avec des sportifs et c’est cela qui avait donné envie à Iris de devenir championne de tennis. 

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Jason était un adolescent de 16 ans qui semblait normal, il aimait faire du skate, adorait les jeux vidéos… seulement il avait une phobie un peu étrange : il avait une peur bleue des cacahuètes, suite à un traumatisme lié à l’enfance. Son père s’était étouffé avec une cacahuète et avait frôlé la mort devant lui, quand il avait 6 ans. Il ne s’en souvenait pas très bien. Ses parents fêtaient le nouvel an. Son père se servit une cacahuète et l’avala d’un coup.

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Il eut soudain du mal à respirer et sa mère réagit tout de suite. Elle le sauva mais Jason, malgré des séances chez le psychologue n’arrivait pas à enlever ce terrible souvenir, qui se transforma vite en une phobie. Ses parents s’étaient séparés d’un commun accord après ses 6 ans et il passait ses vacances aux Etats-Unis où était parti vivre son père. 
C'est là que se déroulera notre histoire.

Cette année-là, les vacances de nos héros ne se passèrent pas exactement comme prévu. Au Food truck de la plage, un camion rouge et jaune dirigé par Mr. Brian, une trentaine de personnes patientaient pour manger les hot dog, le plat le plus réputé de la ville. Iris et Jason faisaient la queue :

" - I can't believe it ! Do you realise that you took all the ketchup ?
- Yes, of course ! But, please, stop yelling ! Calm down.
- Give me the ketchup
- There. Excuse me; I don’t live here.
- Are you on vacation ?
- My dad lives here but I'm on vacation.
- My grand-mother lives here too but I live in France
- Oh great ! I only went there once but we can speak French car je suis québécois.
- Oh, c’est super ! Je comptais aller sur la plage, tu viens ?
- Oui, je ne t’ai pas demandé ton prénom. Moi, c’est Jason et toi ?
- Iris. "

" - I can't believe it ! Do you realise that you took all the ketchup ?
- Yes, of course ! But, please, stop yelling ! Calm down.
- Give me the ketchup
- There. Excuse me; I don’t live here.
- Are you on vacation ?
- My dad lives here but I'm on vacation.
- My grand-mother lives here too but I live in France
- Oh great ! I only went there once but we can speak French car je suis québécois.
- Oh, c’est super ! Je comptais aller sur la plage, tu viens ?
- Oui, je ne t’ai pas demandé ton prénom. Moi, c’est Jason et toi ?
- Iris. "

Ils s’éloignèrent avec leur hot-dog et gagnèrent la plage. Elle s’assit sur le sable face à la mer, à côté de Jason.
Cela faisait déjà plusieurs heures qu’Iris et Jason s’étaient posés sur la plage. Ils avaient fini leur hot dog depuis longtemps mais ils n’avaient pourtant pas terminé de se servir de leurs bouches. En effet, ils avaient plein de choses à se dire.

Et la discussion s’annonçait mouvementée :
" Mais alors, Miss Parfaite qu’est-ce que tu sais faire d’aussi extraordinaire ? la taquina Jason
- Figure-toi que je suis capable de manger quarante cacahuètes en une minute.
- AH NON ! PAS LES CACAHUETES !
- Ben quoi ? pas les cacahuètes ?
- C’est-à-dire qu’elles me font peur… "

Iris ne put s’empêcher de laisser s’échapper un petit rire mais elle se montra néanmoins compréhensive et relança la conversation sur un autre sujet.
Quand ils eurent fini, Jason lui demanda s’ils se reverraient le lendemain. Iris lui proposa de l’accompagner chez elle. Devant la porte, ils restèrent un long instant à se regarder dans les yeux. Puis elle rentra enfin. Le ciel avait viré à une teinte plus sombre, laissant le soleil s’éteindre en même temps que la solitude d’Iris. Quant à Jason, il décida de rentrer chez lui. Il ne parvenait pas à enlever le sourire niais que la jeune fille avait fait apparaître sur ses lèvres.

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