606Kukum

Le choix d'Aymane La Winchester, pages 49-50

Le choix d'Inès Les Passes-Dangereuses, p.59

Même si vivre dans la nature est très difficile, ils y sont attachés et n’y renonceraient pour rien au monde.&#160;

Nous avons choisi ce passage avec Mélaine car nous trouvions que ce passage représentait le savoir-faire des Innus. La nature leur offre tout ce dont ils ont besoin pour vivre et ils ont su la mettre à leur profit

A la fin du chapitre, on sent un air de nostalgie dans ce que dit Almanda, on peut voir que ses souvenirs lui manquent et que les choses ont changé dans le mauvais sens

Ils ont perdu ce savoir-faire si riche qu’ils avaient.&#160;

Paper texture

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J’ai choisi cet extrait car il s’agit d’un texte touchant.&nbsp;Je trouve que la mère a raison dans ses paroles, que les livres ont chacun leur histoire personnelle même si les histoires sont racontées d’une manière similaire ou de façon inhabituelle.&nbsp;J’ai aussi apprécié la dernière phrase&nbsp;: «&nbsp;Parfois il faut du temps pour qu’on récolte les fruits d’un arbre.&nbsp;Parfois, c’est toute une vie qu’il faut attendre.&nbsp;» Pour moi cette phrase donne une bonne leçon de vie&nbsp;; peu importe le temps qu’il faut, il ne faut jamais se décourager et toujours aller de l’avant.

La lecture et le dessin de Juliette Les Draveurs, page 225

J'ai essayé de dessiner la pensée d’Almanda lorsqu’elle découvre ce lac détruit par le bois ainsi que la forêt. Le haut de la photo est son souvenir avec beaucoup de verdure et de sapins et un lac en bonne santé; ce qui est en bas représente ce qu’elle voit après quelques semaines de déforestation.&nbsp;

La lecture de Pauline Orpheline, p.17

La lecture et les mots de Lou, Orpheline, p.18

Un projet pédagogique en classe de Première

La lecture d'Audrenn Engagement, p.43-44

C'est la forêt qui se trouve près de chez moi, et depuis que j'habite là, elle n'a cessé de rétrécir, ce qui m'a fait penser à Kukum (même si cette forêt est très loin de ressembler à l'immense forêt dans laquelle se trouvait Almanda ).

Lecture et dessin de Lorenzo, "Nishk", p.13-14

La lecture et l'illustration de Claire, (professeure) La nausée, p.218-219

Lecture et aquarelle par Céline, Avant, p. 151

Je n'ai pas réussi à me décider entre les deux.

Bien qu'ils soient complètement différents puisqu'un parle de la lecture et le deuxième des fêtes de fin d'année il sont tous les deux beaux à leurs manières.

La lecture et le dessin de Fanny, Péribonka, p.47

Le choix d'Eugénie et de Mélaine, Sucres, p.161-162

D'un côté, celui sur la lecture montre que l'histoire en elle-même importe peu, c'est la façon dont on la voit et dont on l'interprète qui est vraiment importante. Il montre également que certaines passions sautent plusieurs générations voire sont complètement différentes de celle du reste de notre famille. Les deux dernières phrases sont magnifiques et très justes : "parfois, il faut du temps pour qu'on récolte les fruits d'un arbre. Parfois, c'est toute une vie qu'il faut attendre".

De l'autre côté, c'est l'universalité des fêtes de fin d'année qui m'a fait choisir ce passage : peu importe d'où l'on vient, Noël et le nouvel an sont des fêtes faites pour tous. C'est le moment de se regrouper, d'échanger et de partager que ce soit en famille ou entre amis.

La lecture et le dessin de Marie La Winchester, page 52

Le choix de Théo, Chemin de fer, p.234

La traduction de Lucien (en Langue des signes française) Nishk, p.13

Lecture et photographie par Capucine et Lisa Cercle, p.281

Cobh (Queentown), Irlande, 1880 p.290

Le choix d'Aurore, la montagne sacrée, p.93-94

Il raconte le passé, comment les gens travaillaient dur, très dur, que les gens étaient contents d’un rien (trésor = des légumes fades).

J’ai choisi cet extrait car il raconte l’enfance.&#160;&#160;

On peut comprendre que l’héroïne n’a pas eu une vie bourgeoise (elle vivait dans une cabane, avec une seule fenêtre)

J’aime beaucoup, cette manière de décrire la nature, je trouve l’extrait simple à comprendre.

La lecture de Coline et Maelwenn Réveillon, p.168

La lecture et le dessin de Méline (feutres) , L'Indien, p.34-35

J'admire le fort caractère d'Almanda et je trouve que c'est l'un des extraits où il est bien montré.

Malgré le fait que devant se trouvent deux hommes qui viennent de lui annoncer qu'ils détruiront sa maison, elle ne se laisse pas faire. Elle n'a pas peur de les affronter, seule.

La lecture et le dessin de Julie Nishk, p.14-15

La lecture de Barbara, illustrée par son jeune frère, Soïg. Engagement, p.44

Si j'ai choisi cet extrait, c'est pace que j'aime le fait qu'on voit à quel point la colonisation a changé la vie de ces personnes. Les colonisateurs se sont occupés des enfants et leur ont appris des choses fausses sur leurs aînés, pour les éloigner de leurs origines. Je trouve que cela nous montre bien comment cette langue a disparu.

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