L'art une autre façon de se découvrir

Dotted paper

Ce film me représente car il illustre mon enfance. Etant petite, j'ai voulu ressembler à l'héroïne, alors j'ai laissé pousser mes cheveux, comme elle, et il y a eu un jour où j'ai tout coupé d'un coup. Ce film m'a permis de rêver d'un avenir qui ressemble à un film Disney... Ce qui n'a évidemment pas été le cas. Même maintenant, je le regarde encore car il me rappelle la période d'insouciance qu'était mon enfance. D'autre part, l'héroïne pourrait représenter un idéal pour moi car elle arrive à prendre son envol et à se rebeller contre sa mère.

Watercolor texture 2

Article de presse sur Tortues à l'infini Le livre dont je vais vous parler aujourd'hui se nomme, Tortues à l'infini, l'auteur de ce livre est John Green, édité par GALLIMARD. Selon moi les mots clefs qui correspondent à ce livre sont Psychologie, amitié, adolescence, amour, maladie et enquête . Ce roman parle d'une jeune fille de 16 ans se nommant Aza Holmes qui tout au cours de l'histoire essaie d'être une bonne détective, une bonne amie, une bonne fille pour sa mère, tout en étant prise dans la spirale vertigineuse de ses pensées obsessionnelles qu'elle supporte depuis sa plus tendre enfance. Durant ses aventures elle est suivi par sa meilleure amie Daisy et aussi improbable que cela puisse être les deux jeune filles se sont liées d'amitié avec Davis Pickett le fils du célèbre milliardaire Rusell Pickett qui durant l'histoire

est en fuite. Aza en premier lieu n'avait pas l'intention de tenter de résoudre l'énigme de ce milliardaire en fuite mais une récompense de cent mille dollars est en jeu et sa meilleure et plus fidèle amie Daisy a très envie de mener l'enquête. Et au fur et à mesure que l'histoire avance une tout autre histoire se forme entre Davis et Aza qui deviennent de plus en plus proches.

Craft paper border

v é r i t é - n i n h o

Quand j'ai écouté pour la première fois cette musique c'était le 3 décembre, chez moi, le soir. Je l'écoute le matin et le soir, pendant mes trajets au collège ou d'autres trajets, je l'écoute souvent seul avec mes écouteurs.

Quand j'écoute cette musique, je m'imagine vivre cette musique, elle me permet de m'évader, de penser à autre chose, elle ne m'aide pas à surmonter le quotidien mais est pratique pour ne plus penser à rien.

La musique me met dans un état de bonne humeur, elle me rend heureux. Les paroles disent la vérité car elles parlent de la vie réelle.

Isra Sarah Mahé m'a appris que pour bien lire à l'oral il faut toujours se préparer mentalement et faire des exercices pour se sentir à l'aise. Elle nous a énormément conseillés, chacun par rapport à ses difficultés. J'ai bien aimé travailler avec elle car c'est très apaisant et le fait qu'elle m'ait expliqué mes erreurs me servira toujours. Après la rencontre avec H. Lindenberg, j'ai réalisé qu'écrire un livre prend énormément de temps et est stressant car il faut que l'écrivain pense au lecteur, à comment imaginer les scènes... J'ai aussi compris que ce n'est pas grave de ne pas avoir d'idées des fois car il faut que le livre soit écrit par envie et pas juste parce qu'il le faut. &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;

Omar J'ai plusieurs souvenirs de ce qu'on a fait avec Sarah Mahé. Le premier souvenir que j'ai c'est une lecture de texte pour savoir si on lisait bien. Le dernier souvenir que j'ai avec elle c'est quand on a fait un exercice sur la lecture à voix haute, chaque groupe de la classe s'est mis dans des coins de la salle puis on a lu notre partie de texte et chaque élève devait lire assez fort pour que toute la classe l'entende.

A chaque fois que j'ai envie de revoir ce tableau, je regarde la photo que j'ai prise du tableau et un effet de vide apparait dans ma tête, mon regard se perd dans le néant du tableau, j'ai comme l'impression d'être en dehors du monde, de la Terre, du Temps. Je suis juste la, seule, à regarder le tableau. Ce tableau ne me rappelle ni de bons ni de mauvais moments, juste un instant neutre, calme, peut être même apaisant. J'aime ce tableau car je trouve la lumière et le ciel vraiment bien représentés.

La lumière, située sur le haut du tableau, est illustrée par le ciel bleu, le petit village éclairé par le soleil. Elle représente mes jours heureux, lorsque je suis dans un bon état d'esprit et que j'ai des bonnes émotions : tous mes jours parfaits.

Cette œuvre me représente car elle reflète l'association de mes mauvais jours et bons jours par le contraste entre la "lumière" et le "désert".

Le désert, situé à l'opposé de la lumière, est représenté par une partie sombre, déserte, avec des mauvaises herbes et un cadavre de chameau inerte. Ce "désert" représente au contraire mes mauvais jours, lorsque je suis triste, en colère, que je me sens mal.

Les objets qui me représentent

Les affaires de volley ( ballon et genouillères ) me représentent car c’est un sport que je pratique souvent et que j’aime beaucoup bien que je n’ai commencé que cette année.

J'ai choisi de mettre le livre «Harry Potter à l’école des sorciers» car Harry Potter est l’une des premières sagas que j’ai lues et qu’elle a été ma préférée pendant plusieurs années même si ce n’est plus le cas maintenant. Il y a un carnet et des peintures car j’apprécie énormément de dessiner et peindre et je le fais depuis toute petite. De plus, mes parents m’ont toujours aidée dans ce domaine car ils ont tous les deux fait une école d’architecture. J'ai mis des chaussures car j’aime m’habiller comme je veux et que je les adore, j’aime les objets de cette marque en général.

Le maquillage me représente car j’aime beaucoup me maquiller, même si je n’ai pas forcément le temps tous les jours, c’est une activité que j’apprécie.

Paper stack border

Le livre aborde divers sujets en rapport avec la jeunesse et le milieu scolaire, en particulier le harcèlement et les ragots. On prend conscience de la fragilité d’un ado, des conséquences d’actes ou de paroles sur un esprit en quête d’identité. L’auteur montre aussi le poison que sont les rumeurs sur le comportement des gens et le jugement ou le doute qu’elles insinuent chez chacun tout en faisant voler en éclats la réputation d’un individu. Il montre aussi cet effet qui mène certains jeunes, à l’image d’Hannah, vers cet acte terrible qu’est le suicide. Geste après geste, on voit cette jolie jeune fille perdre pied sans que personne ne s’en rende compte. Et en tant que lecteur, on se sent impuissant face à cette injustice.

Mais il y a aussi un sentiment de colère contre les responsables et plus étonnamment, contre Hannah. Même si on connait déjà la fin, on a toujours ce minuscule espoir qu’il y aura un retournement de situation, un événement qui va tout remettre en cause mais on le sait, elle finira par sombrer. Ce que je reproche au livre, c’est de ne pas aller au fond des choses, surtout sur la question du suicide. Je considère ce livre comme très interressant mais on n’aborde pas assez les signes qui pourraient faire penser qu’un ado va se donner la mort.

Marble

Les objets qui me représentent Tout d’abord les objets qui me représentent se trouvent sur cette photo: - J’ai mis une console de jeux vidéo car quand il ne fait pas beau ou que je n’ai pas envie de sortir j’y joue avec mes amis. Cela me permet de m’amuser lorsque je m’ennuie aussi. Sur cette console je joue à plusieurs jeux comme « Fifa 22 » et « Gta ». - Ensuite, j’ai aussi mis un ballon de football car quand il fait beau et que je suis dehors j’aime bien y jouer. Cela me permet de me changer les idées. Enfin j’apprécie fortement cela surtout quand on fait des grands matchs entre nous.

Stars pattern

Un sac de billes

Un sac de billes, film réalisé par Christian Duguay repris du livre de Joseph Joffo, est une histoire se déroulant en 1942. Elle nous raconte la vie difficile d'une famille Juive et surtout de deux frères Joseph et Maurice, qui ont été obligés de fuir en zone libre par peur de se faire tuer. J'ai découvert ce film quand j'étais en CM2, notre professeure nous avait emmenés le voir car nous travaillions sur ce thème en histoire. J'apprécie énormément ce film car il parle d'une époque et d'un fait qui s'est réellement passé et qu'il ne faut pas oublier, je l'aime aussi car il y aussi deux acteurs que j'adore, Kev Adams et Stéphane Clavier. Cette oeuvre me rend très triste car elle nous montre toute l'atrocité, les crimes, les meurtres que les Nazis ont fait subir aux juifs .

Parchment

J’apprécie cette musique parce que cela me fait penser à un moment de liberté avec mes amies. Quand nous l'écoutons, nous nous amusons tout le temps dessus. Cette chanson permet de s'évader car elle ne reflète pas vraiment la réalité. Cela me rappelle un moment heureux car cette sortie nous met toujours le sourire aux lèvres. Cette musique ne me représente pas, elle me fait juste penser à cette sortie extraordinaire. Elle parle d'amour. D'habitude, je n'aime pas ce genre de musique néanmoins celle là est captivante.

Le manga que je présente est Naruto crée par Masashi Kishimoto. La série contient 72 tomes . C'est l'histoire d'un enfant sans parents qui est très perturbateur et agité ; son rêve est de devenir Hokage (chef du village) , en étant le meilleur Ninja du monde . Le problème c'est qu'il est rejeté du village car il a un démon en lui qui a détruit le village et tué ses parents. J'ai connu Naruto car on me l'a conseillé à la cour d'école quand j'étais en CE2 . La première fois que j'en ai entendu parler, je n'ai pas eu envie de le regarder. Il y a 6 mois pendant les vacances alors que je m'ennuyais, j'ai eu envie de le regarder et de dépasser les à priori que j'avais sur cette série. J'ai beaucoup apprécié Naruto car il y a beaucoup d'actions et de retournements de situation. L'animé me fait rêver et montre que malgré les critiques on peut être le plus fort .

Ce que je trouve intéressant dans ce manga c'est que Naruto utilise la parole comme arme pour vaincre ses ennemis. L'animé m'a fait réfléchir sur le fait que la parole est une arme bien plus efficace que n'importe quelle autre arme .

Antique paper texture

&lt;Chante, Luna&gt; est un roman bouleversant et historique écrit par Paule du Bouchet, publié en 2004 chez Gallimard. Mots clés : amitié, nazisme, liberté, espoir, famille. Résumé : L’histoire se passe en 1939 à Varsovie. Luna a 14 ans, elle est juive d’origine Polonaise, sa grande passion c’est de chanter, elle fascine tout le monde avec sa voix unique. Mais elle comprendra que bientôt, c’est pour sa vie qu’elle devra chanter. Lorsque les troupes allemandes envahiront la Pologne, la population juive sera enfermée dans le ghetto durant toute la guerre. Sa famille est dispersée peu à peu car les conditions de vie sont affreuses et inhumaines, mais elle continue à lutter et rencontre des gens merveilleux. Avis critique : C’est un livre magnifique et très touchant qui m’a donné l’impression de vivre l’horreur avec Luna et comprendre à quel point c’était dur et injuste pour les juifs.

Conseils aux futurs lecteurs : je conseille ce livre aux personnes qui apprécient les romans historiques et les chants. Extrait : "Ils étaient allongés dans l’eau tous les trois, mais je n’ai vu que lui. Hans. Ses yeux étaient ouverts et j’ai cru qu’il me regardait. Mais il était mort. Je me suis agenouillée, j’ai pris sa tête dans mes bras et j’ai embrassé ses yeux, son visage, sa bouche encore tiède, son cou. J’ai pleuré dans ses cheveux blonds ou il y avait du sang. Puis je me suis allongée près de lui, dans l’eau ou il y avait aussi son sang et je suis restée ainsi, serre contre lui, tout mon corps vivant contre le sien qui était mort. Et puis Rosa m’a emmenée loin de Hans et des égouts et de mon amour." J’ai choisi cet extrait car c’est l'un des plus tristes et touchants, qui m’a rempli le cœur avec la tristesse pour Luna.

Chalkboard

Carlos est un artiste français, né en 1943 et mort en 2008, que j'ai écouté pour la première fois quand j'avais environ 3 ans. Je l'écoute tous les ans avec ma famille dans la voiture en sortant de la gare de Saint-Raphaël pour aller dans la maison de vacances de mes grands-parents. C'est mon grand-père qui met la musique pendant que nous montons dans la Renault Senic verte. on l'écoute aussi à chaque fois que l'on prend la voiture à Saint-Raphaël.

Quand j'écoute cet artiste cela me fait penser aux bons moments que je passe dans la maison de vacances de mes grands-parents. Pour moi ces musiques me rappellent le début des grandes vacances. Elles n'évoquent pas la réalité, ne me permettent pas de m'évader ou de rêver mais me rendent tout simplement heureux. Quand j'écoute cet artiste je suis nostalgique, cela me baigne dans mon enfance et tous ces moments agréables. Je me rappelle avoir écouté une de ces musiques sur le chemin, avec ma famille, pour aller dans les montagnes méditerranéennes, sur le sentier des odeurs.

Les chansons de Carlos me représentent car ce sont des chansons joyeuses et j'essaie toujours d'être joyeux même dans les moments tristes. De plus ces chansons me rendent heureux et je fais toujours en sorte que les personnes autour de moi se sentent bien et épanouies. D'autre part, je suis de nature timide et les musiques de Carlos me permettent d'extérioriser et de décomplexer.

Mon Avis : Ce livre m’a plu car il y a beaucoup de rebondissements. Le rythme est parfois trépidant mais ennuyeux en revanche lors des passages nostalgiques. De mon point de vue, le style de l’auteur est plutôt agréable à lire et la découpe du texte facilite la lecture. J’ai également bien aimé ce livre car il aborde le thème de la seconde guerre mondiale qui me plait beaucoup. L’auteur est d’ailleurs probablement concerné par ce sujet car il est lui même juif même si il est né juste après la fin de la guerre. Enfin je conseille ce livre aux amateurs de romans courts qui reposent sur des faits historiques.

Extrait choisi : "Mme Weiss était dans la rue et deux policiers la tiraient par les cheveux pour qu’elle les suive. Elle pleurait. Elle appelait au secours. Personne ne l’aidait. Des maisons, on voyait sortir des familles, mes copains, les petits frères et sœurs. Ils suivaient leurs parents, sans un mot. Le silence. Rien que le silence pour couvrir les hurlements de Mme Weiss. Et moi, j’ai vu papa et maman une valise à la main et deux agents de chaque côté. J’ai vu qu’ils ont levé la tête vers ma fenêtre. J’ai vu qu’ils m’avaient vu et ils ont vu que je les avais vu." J’ai choisi de présenter cet extrait car l’intensité de ce passage est extrême. En effet, on ressent une certaine violence dans cet extrait, notamment avec cette opposition entre les hurlements de Mme Weiss d’un coté et le silence de l’autre. Enfin cet extrait est un moment important de l’intrigue et va déclencher beaucoup d’évènements futurs.

Rainbow paper border

Je crois pourtant avoir été très explicite, mais personne ne me court après pour m'arrêter." Qui ça, Hannah? Tes parents? Moi? Tu n'as pas été très explicite avec moi. "Beaucoup d'entre vous étaient là, mais pas suffisamment. Et ça... c'est ce que j'avais besoin de découvrir." Mais j'ignorais ce que tu traversais Hannah. "Donc voilà, c'est fait." Le bruit de pas s'intensifie. S'accélère. "Je suis désolée." L'enregistrement s'arrête. Le visage coincé entre les barreaux, je me mets à pleurer. S'il y a quelqu'un dans le parc en ce moment, je sais qu'il risque de m'entendre. Mais ça m'est égal car je ne peux pas arriver à croire que je viens d'entendre les derniers mots d'Hannah Baker. [...]

Je l'aurais aidée, si elle m'avait seulement laissé une chance. Je l'aurais aidée parce que je voudrais qu'elle soit vivante aujourd'hui." J'ai choisi ce moment car je le trouve très emouvant, on ressent que Clay regrette de ne pas avoir aidé Hannah et il sait que c'est trop tard à l'heure de l'enregistrement. Il dit qu'il l'aurait aidée si elle n'avait pas mit fin à ses jours car il ne voulait pas sa mort mais qu'elle reste en vie, il ne voulait que son bien.

Warp black

Mes occupations : Sur la photo que j’ai prise on peut voir beaucoup de choses qui me correspondent. Il y a 2 ballons un de foot et un de basket qui sont mes 2 sports favoris. Il y a un skate car j’aime beaucoup en faire avec mes amis. Il y a une manette et une console avec lesquelles je joue avec mes amis. J’ai aussi mis mon maillot de basket floqué à mon nom. Avec cela j’ai mis ma paire de chaussures que j’aime utiliser pour jouer au basket et marcher.

Mon Penchant Pour Naruto

Naruto est un manga écrit et dessiné par Masashi Kishimoto. La série a été compilée en 72 tomes. La version Française du manga est publiée par Kana entre Mars 2002 et novembre 2016. Naruto est sorti au début dans son pays d'origine (le Japon). J'ai découvert ce manga grâce à un ami qui m'a proposé de le regarder avec lui. Habituellement, je lis avant de dormir ou en voiture quand je m'ennuie.

Dark wood

MON AUTOPORTRAIT&nbsp; Mon autoportrait représente tout&nbsp;ce que j’aime et je&nbsp;ce que&nbsp;fais dans la vie.&nbsp;&nbsp; J’aime le football et le judo, les jeux vidéo, lire et manger. Je joue beaucoup aux jeux vidéo.&nbsp;Les&nbsp;Ramens&nbsp;sont ma nourriture préférée. Je joue au Football en club&nbsp;à&nbsp;Châtillon avec mes amis. J’ai monté mon propre PC&nbsp;gamer. J’aime aussi lire des mangas et des romans policiers. Je regarde beaucoup d’animés.&nbsp;

Dans cette photographie, vous pouvez voir des objets qui représentent ma personnalité. Les voici: ⋆ le livre car j’adore lire pendant mon temps libre, surtout en anglais. ⋆ les accessoires par exemple le collier car ça reflète ma personnalité vestimentaire. ⋆ les produits de beauté car il est important de prendre soin de soi. ⋆ les écouteurs car j’aime bien écouter de la musique et ça me réduit beaucoup le stress.

Autoportrait

Sur cette photo, nous pouvons trouver: - Des joggings et des pulls car j'aime me sentir à l'aise. - Des brumes victoria secret, car elles sentent bon, j'aime beaucoup l'odeur, j'en ai beaucoup. - Une canette d'Ice-tea, c'est ma boisson préférée.

7) Avez-vous pensé à une suite pour votre livre? Selon l'auteur, c'est un "livre qui ne finit pas", la fin est ouverte, chacun peut se l'approprier. Le roman ne nécessite donc pas d'être prolongé : il est d'abord l'histoire d'un enfant qui vit dans un état de solitude totale, avant d'évoluer. Puisqu'un écrivain, selon H. Lindenberg, n'est pas propriétaire de son livre, chaque lecteur peut en faire "son" roman, son histoire, selon ce qu'il imagine ou ce qu'il en a compris.

Clouds pattern

Le livre que j'ai choisi s'intitule du rêve pour les oufs. Il a été écrit par Faïza Guène. Les mots clé sont : jeunesse , Algérie , banlieue , adolescence , roman. L'histoire se déroule au XXIe siècle dans la cité d'Ivry. Le personnnage principal est Ahlème. Résumé : Ahlème a 24 ans, un père qui a perdu la tête, un frère qui prend mal en main sa vie, des petit boulots très peu payés, des copines qui ont déjà un mari. Ce livre je ne l'ai pas aimé car cela n'a pas été mon choix et je n'aime pas les romans et autres sauf les mangas.Ce livre je le conseille aux personnes qui aiment la littérature ce livre est un livre assez facile à lire car le langage est comme l'on utilise en ce moment.

Article de presse sur 13 reasons why Le livre dont je vais vous parler aujourd'hui se nomme 13 reasons why, l'auteur de ce livre se nomme Jay Asher. Les mots clés de ce livre sont la souffrance, le dépit, mais aussi le combat ou la persévérance,dans cette histoire Clay essaie de comprendre les raisons du suicide de Hannah. Clay Jensen est un lycéen comme les autres, avec une vie de famille classique, un parcours scolaire normal, rien qui le distingue d’un autre élève de son lycée. Et pourtant un beau jour, en rentrant de cours, il reçoit une mystérieuse boîte remplie de cassettes accompagnées d’un plan.

Clay a sûrement d’autres choses à faire mais la curiosité de savoir ce qu’elles contiennent est plus forte que tout. Dans le garage, là où sont stockées toutes les vieilleries, le jeune homme déniche le lecteur de cassettes de son père et enfonce la première cassette dans la fente qui lui est destinée. Il n’imagine pas quel fantôme d’un passé pas si lointain il va déterrer. Comme sortie d’outre-tombe, une voix jaillit en se présentant et disant les raisons pour lesquelles elle a mit fin à sa vie.

Mon téléphone portable me sert pour faire les mêmes choses mais en dehors de chez moi pour soit faire passer le temps ou soit être plus rapide, mais je m'en sers aussi pour consulter les réseaux sociaux et l'actualité, je peux aussi m'en servir pour faire des photos, ou communiquer avec les gens qui ne sont pas forcément avec moi.

Les Airpods et l'enceinte montrent que j'aime écouter de la musique le matin, le soir, chez moi ou même dehors j'en écoute tout le temps.

Le chevalet Mc Donald montre que j'aime manger mcdo, j'en mange régulièrement.

Le sac de footlocker et la chaussure sont aussi présents sur mon autoportrait car j'aime beaucoup acheter des chaussures ou même des survêtements.

Et pour finir ma trousse représente les études car tous les jours pratiquement je suis au collège.

Wide ruled paper

rat de laboratoire. Ils font alors un pacte, Will utilisera l’application que Stella a créée, visant à accompagner les patients dans leur prise de médicaments, et lui, pourra la dessiner, elle et ses cheveux&nbsp;chatains. De là, ils se rapprocheront petit à petit et tomberont finalement amoureux l’un de l’autre, mais, à cause de leur maladie, une règle est à respecter : ils ne peuvent pas se voir à moins de trois mètres d’écart.&nbsp;

Conseil aux lecteurs : Ce livre est assez simple à lire, il n’y a donc pas besoin d’être un lecteur aguerri. C’est une romance, je le conseille donc aux personnes fan de ce thème. Il parle aussi de maladie, il peut alors être intéressant pour les personnes voulant en apprendre un peu plus sur la mucoviscidose.

Avis critique : J’ai aimé ce livre car j’ai trouvé les points de vue des personnages et leurs réactions différentes intéressantes. Il m’a également appris de nouvelles choses, car je ne connaissais la mucoviscidose que de nom. De plus, les personnages sont attachants et on les voit changer et grandir mentalement. L’histoire est très intéressante et assez intrigante, on ne sait pas si ils vont réussir à garder ces trois mètres de distances jusqu’à la fin, en s’aimant.

Extrait : « Elle m’adresse ce que je reconnais être un regard glacial, puis se penche pour étudier ma&nbsp;chambre derrière moi. Je suis son regard. Les livres d’art, l’AffloVest&nbsp;à côté du lit où je l’ai posée sitôt&nbsp;Barb&nbsp;partie, mes carnets de croquis sur la table. C’est à peu près tout.&nbsp; - J’en étais sûre, déclare-t-elle comme si elle venait de résoudre un énigme digne de Sherlock Holmes, puis elle tend sa main doublement gantée. Fais moi voir ta fiche de traitement. »&nbsp; J’ai choisi cet extrait car il représente le début de la relation de Stella et Will, puisque c’est après cet évènement que Stella va vouloir contraindre Will à suivre son traitement.&nbsp;

Si c’est juste le fait d’écrire ou si c’est le fait d’écrire des livres et les faire publier. Aussi, selon Hugo Lindenberg quand on n’a pas la volonté d’écrire cela ne sert à rien de se forcer à chercher des choses à écrire. Il faut écrire seulement quand l’envie et l’inspiration nous viennent en tête.

Flavia Je me rappellerai longtemps la façon dont Sarah Mahé n’était gênée par rien et essayait au maximum de nous apprendre à nous exprimer sans gêne et sans la peur du regard des autres. Par exemple elle pratiquait des exercices au début de nos cours pour nous échauffer, et faisait des expressions plutôt drôles qui nous donnaient envie de rire&nbsp;mais cela ne la gênait pas, elle continuait sans se méfier de nos jugements.&nbsp;

Ce que j’ai le plus gardé en mémoire est queHugo Lindenberg nous a avoué que pour lui ce n’était pas facile de se plonger dans un livre, qu’il restait souvent longtemps sur les réseaux sociaux au lieu de lire un bon livre, mais que quand nous sommes plongés dans un livre, c’est vraiment incroyable et il préférait passer plus de temps à lire des livres plutôt que sur les réseaux. Ce qui m’a plu c’est que je suis dans la même situation que lui, j’adore lire mais quand je suis sur les réseaux, j’aime regarder des vidéos plutôt que lire, mais quand je suis dans mon livre, c’est un véritable bonheur et j’aimerais rester pendant des heures à lire mon livre.&nbsp;

Editeur: Albin Michel Auteur: Carole Trébor Titre: Combien de pas jusqu’à la Lune Mots clés : ségrégation, NASA, mathématiques, calculs. Résumé: Combien de pas jusqu'à la lune est un roman biographique, qui parle d'une petite fille, nommée Katherine Coleman, aussi connue sous le nom de Katherine Johnson, qui vit dans les années 20, lors de la ségrégation. Katherine vit avec ses parents Joshua et Joylette et ses 2 frères et sa sœur ( Horace, Charles et Margaret) en Virginie dans leur ferme. Katherine va grandir et plus le temps avancera, plus ses parents remarquerons les facilités qu'elle a dans l'apprentissage et surtout en mathématiques.

Elle rentrera plus tard à l'école et sautera des classes grâce à son bon niveau.Elle rentrera au lycée à l'âge de 10 ans seulement et quittera la ferme avec sa mère et ses frères et sœurs en laissant le père seul pour financer ses études à Institute (lycée où Katherine et ses frères étudieront). Après ses études, Katherine deviendra enseignante dans les écoles pour les personnes de couleur. Puis, Katherine rentrera à la NACA, puis à la NASA où elle fera ses preuves et montrera que même une femme noire peut travailler à la NASA et être aussi compétente qu'un homme ou qu'une personne blanche. Elle participera même a la mission Apollo 11.

Half tone red

Ces objets font partie de mon quotidien ou de ma vie. Les deux tablettes et la manette de PS4 représentent ma passion et presque addiction envers les jeux vidéo, je passe pas mal de temps dessus. J’ai décidé de mettre les deux mangas que je préfère : "Demon Slayer" et "My Hero Academia". Je lis souvent mes mangas le soir avant de me coucher pour faire passer le temps. Le livre "Harry Potter" illustre mon intérêt envers ce type de livres que je lis de temps en temps. J’ai mis la raquette et la balle de tennis de table, parce que ça fait maintenant 5 ans que j’en fais en club. Les feutres reflètent une étape de ma vie pendant laquelle je dessinais quasiment tous les jours, on m’a toujours dit que j’avais du talent pour dessiner. Le stylo est présent sur l’image pour illustrer mon goût prononcé envers l’écriture. Enfin, les écouteurs montrent que j’écoute souvent de la musique, surtout quand je fais mes devoirs, mais je n'aime pas particulièrement un type de musique, j'écoute un peu de tout.

Mon livre se nomme Lettres à sa fille, il a été édité par Rivages. L'auteur est Calamiy Jane, ce sont ses lettres. Les mots clés sont Mère-Fille, Lettre et aventures. Le 1er août 1903, Calamity Jane ou de son vrai nom Martha Canary, une cow-girl réputée pour sa rapidité de tir au pistolet disparaît. Le 8 mai 1941, sa fille, Jean McCormick, retrouve les lettres de sa mère dans lesquelles elle raconte sa vie, ses regrets tout en lui donnant des conseils. Elle écrit tout ce que qu'elle aurait aimé écrire de son vivant. Calamity voyage beaucoup et vit beaucoup d'aventures. J'ai aimé ce livre car la vie de Calamity Jane est pleine d'aventures différentes. On a l'impression qu'elle s'adresse à nous car elle utilise un vocabulaire simple comme dans une conversation et on sent tout son amour maternel.

Plus on lit le livre plus on a l'impression de la connaître personnellement. De plus c'est un femme indépendante et courageuse pour son époque. Je le conseille aux personnes qui aiment les textes simples et qui aiment les récits de vie avec plein de péripéties et d' émotions. Passage que j'ai choisi (page 94) : « Rappelle toi toujours que si il y a une chose que le monde déteste, c’est une femme que se mêle de ce qui la regarde. On raconte des choses horribles sur moi. Rien de cela n'est vrai. Chaque fois que je parle à un homme, on m'accuse d'être une roulure sans moralité. »

SYSTEME de Luidji La musique que j'ai choisie "système" du chanteur Luidji, qui parle de tromperie et du regret éprouvé ensuite. La première fois que je l'ai écoutée j'étais dans ma chambre plus précisément sur mon lit. Dès les premières notes j'ai tout de suite su que j'allais l'aimer et que je ne pourrais plus m'en passer. A chaque fois que je l'écoute je chante les paroles même si la musique ne bouge pas tant que ça et n'a pas tant de rythme que ça. Souvent je mets mes écouteurs à fond,très très fort pour me mettre dans une bulle/un état second.

J'aime m'endormir sur cette musique et l'écouter 15 fois par jour sans me lasser. Elle met de bonne humeur même si elle n'est pas joyeuse. Et j'aime beaucoup la voix du chanteur et ses musiques en général. Cette musique je ne peux pas la raccrocher à ma vie car elle parle de tromperie, de regret, et aussi d'un peu de dépression, ce que je n'ai jamais vécu dans ma vie, à part le regret peut-être ( le regret d'avoir fait quelque chose de mal ou d'avoir dit quelque chose de mal ou de regrettable). Mais elle ne reflète en rien ma vie, ce sont plus des problèmes "d'adultes".

Ce que j'ai appris du métier d'écrivain c'est qu'un écrivain s'inspire plus ou moins de morceaux de sa vie personnelle pour les incorporer dans son écriture. J'ai découvert aussi qu'un écrivain réécrit plusieurs fois des parties de son texte jusqu'à qu'il en soit satisfait.

Après la rencontre avec Hugo Linderberg, j'ai appris que l'écriture d'un livre pouvait être beaucoup plus longue que je ne l'imaginais et que l'auteur pouvait aller jusqu'à recommencer plusieurs fois son œuvre avant d'avoir le résultat final.&nbsp;

Elisa J'ai énormément apprécié pouvoir travailler avec Sarah Mahé mais j'ai tout de même aimé le fait qu'elle m'ait donné 2 textes à lire ce qui m'a donné vraiment confiance en moi lors du passage de l'auteur, et je l'en remercie. De plus ses critiques et conseils étaient très constructives et m'ont beaucoup apporté lors de mon passage.

Axel Ce que j’ai retenu de Sarah Mahé est d’abord qu’elle a réussi à nous apprendre l’attitude à avoir dans le monde du théâtre, elle nous a appris à lire plus fluidement en ayant confiance. Elle nous a également appris à ne pas nous juger entre nous.&nbsp;

Sur cette photo, il y a tout ce qui me définit le plus selon moi. Nous pouvons voir beaucoup de nourriture car je suis très gourmande. Et pour accompagner ma gourmandise, j’adore cuisiner (ce pourquoi il y a un livre de cuisine). Il y a aussi des livres car j’aime beaucoup lire, je peux m’évader de la réalité pour quelques instants. J’aime lire des livres mais aussi des histoires écrites par des petits auteurs sur une application qui s’appelle “Wattpad” c’est souvent très intéressant et il y a beaucoup de types d’histoires.

Et pour accompagner mes lectures j’aime beaucoup écouter de la musique voilà pourquoi il y a des AirPods. Nous pouvons aussi apercevoir de la laine car j’adore faire du crochet et me créer des t-shirts ou tout simplement des bonnets ou des gants. J’ai aussi choisi de mettre mes genouillères de volley, car c’est le sport que je pratique et celui que j’aime le plus. Pour finir j’ai décidé de mettre une fiole de parfum et un mascara, car j’aime bien sentir bon et mettre en valeur mes yeux.

Auteur : Julien Dufresne-Lamy Éditeur : Magnard Jeunesse Mots clés : Harcèlement,fausse information,escroquerie Résumé : C'est l'histoire d'une fille qui s'appelle Batool qui en pronoçant une phrase a ruiné sa vie. Tout commence quand Batool est repérée un jour dans un supermarché pour participer à un entretien en Angleterre. Elle passe devant 5 personnes qui acceptent qu'elle fasse l’émission. Pendant l'émission de survie il y a deux Equipes les rouges et les jaunes qui font des épreuves et la nuit l'équipe perdante a un conseil et doit éliminer une personne de leur équipe.

Batool s'en sort bien car elle survit jusqu'à la réunification où il reste une équipe. Batool est la préférée car elle est sympa et aide tout le monde mais à cause des alliances qui&nbsp;se sont faites avant le conseil elle entend tout le monde dire qu'il va voter pour elle. En parlant avec une fille elle dit "ces feuj la j'en peux plus j'espère qu'ils crèvent tous".&nbsp;Cette phrase a été modifiée par la production car ils on prit deux extrais différents et ont coupé tous les moments où les autres aventuriers prononcent le mot feuj. Mais elle pense que la production a fait ça car elle est musulmane et qu'elle met une feuille de palmier en guise de foulard. Chez elle elle reçoit alors&nbsp;des tonnes de messages de menace. Elle passe du statut de star de l'école à antisémite.

L'unique chose qui compte est désormais cette présence entre le soleil et moi. Un garçon de mon âge. Je me cramponne au bâton, orteils griffés dans le sable mouillé à la recherche d'un appui, tandis que la vague qui ruisselle sur la vague qui se retire me donne le vertige".

"Tu la retournes ?" Nulle trace de défi dans la voix qui m'invite à poursuivre mes investigations. Une familiarité même, que je n'attendais pas.

"On dirait un sac plastique". Je lève le visage vers celui du garçon qui sourit, qui semble souriant autant que je puisse en juger tant je suis ébloui".

Editeur&nbsp;:&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Gallimard Auteur&nbsp;:&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Joyce Carol Oates Titre&nbsp;:&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Nulle et Grande Gueule Mots clés&nbsp;:&nbsp;Adolescence, Amitié, Lycée, exclusion, rumeur, conformisme Résumé&nbsp;:&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; Nous sommes en janvier 2001, deux adolescents américains sont dans un lycée à Rocky River dans le New Jersey. Ursula Riggs une jeune fille de 16 ans, très talentueuse, qui se sent mal dans sa peau, elle se surnomme elle-même «&nbsp;la nulle&nbsp;». Elle est solitaire, indépendante, dure et imperturbable et elle ne ressemble pas aux autres. Elle se sent mal dans son corps, mal dans son équipe de basket, mal dans sa famille.

Lui, c’est Matt (Matthew Donaghy), 16 ans un garçon brillant sociable et doué, apprécié de tous, il aime faire rire, il parle haut et fort. Il aime plaisanter mais ne mesure pas toujours la portée de ses paroles. Matt un beau jour il fait une plaisanterie, il menace de poser une bombe dans l’école, les rumeurs font vite le tour du lycée puis une dénonciation et tout s’emballe&nbsp;pour Matt. Accusé de terrorisme sa vie d’adolescent bascule et tourne au drame. Ursula sera la seule à le soutenir dans cette terrible épreuve, lui devenu sensible et meurtri, elle est mal dans sa peau mais avec de nombreuses convictions. Ursula et Matt vont développer une solide amitié au travers d’échanges, de mails et pensées intimes. Cette amitié va leur permettre d’affronter également le conformisme.

Watercolor texture 1

L'œuvre que j'ai choisie est un film fantastique qui s'appelle "Tuck Everlasting". Le film réalisé par Jay Russel est sorti le 11 octobre 2002 aux Etats-Unis. L'actrice principale du film est Alexis Bledel, actrice américaine que j'apprécie beaucoup car elle a joué dans les séries "Gilmore Girls", l'une de mes séries préférées.

J'ai découvert le film en 2018 pendant l'été pour la première fois et depuis ce moment là il reste mon film préféré. J'apprécie énormément ce film car le message, les acteurs les images sont magnifiques. Quand je regarde le film, j'ai l'impression de m'évader dans un outre monde et oublier la réalité actuelle. C'est l'un des films qui me représente beaucoup car c'est le seul qui me rappelle mon enfance et évoque des souvenirs incroyables, par exemple l'été.

Ce que je trouve particulièrement intéressant dans ce film est le thème : les jeux vidéo, la réalité virtuelle. Voir le monde entier jouer au même jeu vidéo et essayer de réussir la même quête me passionne. Même si je trouve alarmant le fait que tout le monde ne joue qu'au même jeu vidéo quasiment tout le temps. Quand je vois ce film, je me pose sérieusement une question : est-ce bien de jouer autant aux jeux vidéo ? ce film évoque, selon moi, une réalité qui concerne beaucoup de jeunes ou même certains adultes : le fait de s'échapper de leur vie , qu'ils n'apprécient pas, par des moyens (jeux vidéo, alcool, drogues ...) auxquels ils deviennent, par la suite, dépendants. Personnellement, je ne fais pas partie de ces personnes et je ne souhaite guère en faire partie, ce film ne fait que renforcer cette volonté, ce désir de ne pas devenir dépendant aux jeux vidéo, car je pense avoir été obsédé par la tablette à un moment de ma vie.

Dans le film, les personnages jouent aux vidéo quasiment tout le temps, je m'identifie à cela, car quand je suis chez moi, je passe la plupart du temps à jouer. Mes plutôt bons résultats scolaires pourraient laisser croire que je suis très studieux, mais cela est faux. Je préfère jouer plutôt que travailler et j'y joue tout le temps après avoir fait mes devoirs. Pourtant, comme je l'ai dit antérieurement, je ne fais pas partie des personnes qui essayent d'échapper à leur vie, juste que, comme le personnage principal, lorsque j'ai une passion, je me plonge dedans. en l'occurrence ma passion, à moi, sont les jeux vidéo comme pour la plupart des personnages du film.

C'est pourquoi je pense que ce film me plait et me représente un peu.

L’ami retrouvé&nbsp;

Editeur : Adam Books&nbsp; Auteur : Fred&nbsp;Uhlman&nbsp;&nbsp; Mots clés et thèmes :&nbsp;Allemagne,&nbsp;1932,&nbsp;nazisme,&nbsp;juifs&nbsp; Résumé sans la fin :&nbsp;C’est&nbsp;l’histoire d’un jeune homme nommé Hans&nbsp;Schwarz&nbsp;qui est au lycée Karl Alexander Gymnasium à Stuttgart en&nbsp;Allemagne. A l’école c'est un élève moyen et qui n'a pas de facilités particulières. Il ne voulait pas spécialement d’ami jusqu’au jour où un nouvel élève est arrivé dans sa classe.&nbsp; Il s’appelait Conrad Graf&nbsp;von&nbsp;Hohenfels, c'est un jeune homme dont les parents sont plutôt aisés et qui a son nom dans l’histoire de l’Allemagne. Depuis que Conrad est arrivé dans sa classe, Hans a absolument voulu devenir son ami,

il fait tout pour attirer son attention, devient un élève brillant pour lui mais Conrad ne lui prête pas attention, il l’ignore. Jusqu’au jour où Hans est sur le chemin pour rentrer chez&nbsp;lui,&nbsp;il a vu devant lui&nbsp;Conrad,&nbsp;il le&nbsp;rattrape&nbsp;et&nbsp;ils commencent&nbsp;à&nbsp;faire&nbsp;une discussion. Suite&nbsp;à&nbsp;cela Hans était content mais il&nbsp;avait peur que le lendemain Conrad ne lui parle plus et qu’il fasse comme s’il n’avait jamais parlé. Mais le lendemain il se sont reparlés et sont ainsi devenus des amis inséparables.&nbsp; Avis : Ce livre m’a plutôt plu car l’amitié&nbsp;des deux amis&nbsp;dans ce livre fait presque&nbsp;rêver,&nbsp;les deux font tout pour que&nbsp;leur amitié dure&nbsp;mais&nbsp;des imprévus&nbsp;viennent&nbsp;la gâcher.&nbsp;Ce livre est composé d’émotions et de rebondissements et aussi du suspense.&nbsp; Conseil&nbsp;aux futurs lecteurs : Je conseille ce livre aux personnes qui aiment les histoires d’amitié et aussi avec&nbsp;des informations&nbsp;sur le nazisme tirées de la&nbsp;réalité.&nbsp; Extrait du livre : Page 43&nbsp;&nbsp; *"Ainsi se passaient les jours et les mois sans que rien ne trouble notre amitié&nbsp; Hors de notre cercle magique venaient des rumeurs de perturbations politiques"&nbsp; J’ai choisi cet extrait car je trouve qu’il montre&nbsp;qu’une&nbsp;amitié peut&nbsp;être&nbsp;forte en dépit de tout le reste. &nbsp;

Un jour ce sera vide. Lindenberg, Hugo. Librairie générale française Krimo mon frère. Rachedi, Mabrouck. École des loisirs Silence. Séverac, Benoit. Syros Thirteen reasons why. Asher, Jay. Hachette Le rêve de Sam. Cadier, Florence. Gallimard Five feet apart. Lippincott, Rachael. Albin Michel jeunesse Lettres à sa fille. Jane, Calamity. Rivages Combien de pas jusqu'à la lune. Trébor, Carole. Albin Michel jeunesse L'ami retrouvé. Uhlman, Fred. Gallimard Proxima du Centaure. Castillon, Claire. Flammarion jeunesse Qui suis-je ? Gornet, Thomas. Rouergue Nos étoiles contraires. Green, John. Nathan Tortues à l'infini. Green, John. Gallimard

Sweet sixteen. Heurtier, Annelise. Casterman Dorothy Counts : affronter la haine raciale. Fontenaille, Elise. Oskar Harriet Tubman : la femme qui libéra 300 esclaves. Bloch-Henri, Anouk. Oskar Editions Le jour où je suis partie. Bousquet, Charlotte. Flammarion jeunesse Frère d'âme. Diop, David. Seuil À cœurs ouverts. Kirbi, Jessi. Bayard éditions Kiffe kiffe demain. Guène, Faïza. Hachette Nulle et grande gueule. Oates, Joyce Carol. Gallimard Un endroit où se cacher. Oates, Joyce Carol. Albin michel Jeunesse Petit pays. Faye, Gaël. Librairie générale française Chante Luna. Du Bouchet, Paule. Gallimard Ma story. Dufresne-Lamy, Julien. Magnard jeunesse L'or et la boue. Lambert, Christophe. Nathan Du rêve pour les oufs. Guène, Faïza. Librairie générale française

Misc texture 2

&nbsp;Sur la photo on peut voir des objets&nbsp;que j'utilise très&nbsp;souvent.&nbsp; -en premier on peut voir beaucoup d'objets&nbsp;électroniques&nbsp;comme un&nbsp;téléphone&nbsp;,une&nbsp;switch, un ordinateur,&nbsp;une DS, une manette et des écouteurs&nbsp;ce sont des objets que j'utilise régulièrement pour travailler et s'amuser&nbsp;;&nbsp; -une balle de basket car c'est un sport que je pratique en club et avec mes amis;&nbsp;&nbsp; -des feutres&nbsp;car j'aime bien le dessin;&nbsp; -un&nbsp;rubik's&nbsp;cube car c'est un objet que j'utilise pour passer le temps&nbsp;;&nbsp; -un parfum car j'en mets&nbsp;souvent;&nbsp;&nbsp; -et on peut voir une gourde du PSG qui est mon club de&nbsp;cœur depuis que j'ai 4 ans&nbsp;.&nbsp;

Le Monde des jeux vidéos

La première fois que j'ai vu le film Ready Player One, réalisé par Steven Spielberg en 2018, j'étais seul dans ma chambre, jouant à la tablette et regardant des vidéos. Mes parents m'ont appelé pour voir un film en famille. Au début, le film ne m'intéressait pas donc je suis reparti dans ma chambre jouer à la tablette. Je suis revenu vers la fin du film et la bataille qui se déroulait a capté mon attention immédiatement. Quelques semaines plus tard, mes parents et mon frère ont revu le film et encore une fois je n'ai vu qu'une partie, de la moitié jusqu'à la fin. Encore un mois plus tard, je m'ennuyais dans mon salon, le disque était à côté de ma télévision, j'ai alors décidé de voir le film en entier pour la première fois.

Quand j'ai écouté la musique pour la première fois, c'était le 3 décembre, chez moi, le soir. Je l'ai écoutée le jour où la musique est sortie. C'était un album que tout le monde attendait. Je l'écoute quand je rentre des cours, pendant mes devoirs ou tard le soir. Je l'écoute tout seul car ma famille n'écoute pas ce style de musique.

Quand j'écoute cette musique, ça me plonge directement dans mes pensées, je pense à la vie et je me déconnecte du monde. Je me sens bien. Ca me fait énormément rêver, je suis dans ma bulle. Elle ne m'aide pas à surmonter le quotidien mais elle me plonge dans mes idées le soir car la musique me plonge dans une autre ambiance, c'est comme si je ne pouvais pas être dans mes pensées sans être concentré sans cette musique. En écoutant de la musique, ça me fait oublier le stress, le collège, les devoirs...

L'oeuvre ne me représente pas plus que ça mais les paroles dévoilent la vie d'aujourd'hui, la jalousie, l'honnêteté des gens. ''J'ai toujours rêvé d'être dans l'top, sourd face à la jalousie'', ça veut dire qu'il veut réussir tout en résistant à la jalousie et à l'hypocrisie des gens.

Le Désert

Mon œuvre est un tableau de Gustave Guillaumet (1810-1887) nommé "Le Désert". Je l'ai découvert le 23 janvier 2022 en visitant le Musée d'Orsay avec mes parents. Lorsque j'ai découvert ce tableau, je me promenais dans les allées du Musée sans prêter attention à toutes les œuvres autour de moi, il y en avait beaucoup trop pour s'y intéresser, cela m'ennuyait. Quand je suis passée devant ce tableau, je n'y ai d'abord pas prêté attention puis je suis retournée sur mes pas et je l'ai regardé longtemps. Le tableau était très grand et m'a absorbé pendant environ cinq minutes, je l'ai pris en photo, et durant tout le reste de ma visite, je n'ai pensé qu'à ce tableau, les autres étaient beaux mais me plaisaient bien moins que "Le Désert".

La réflexion que j'ai gardée en mémoire lors de notre rencontre avec l'écrivain Hugo Lindenberg est le temps qu’il pouvait mettre à écrire, ne serait-ce qu’une phrase. Ce temps d’écriture est dû d’une part aux multiples idées que peut avoir l’auteur et également à l’hésitation lors de la formulation et l’emploi de certains mots d’une phrase. Ce temps d’écriture m’a révélé la quantité de travail et le temps qu’un écrivain consacre lorsqu’il souhaite écrire un livre. Ce côté de l’écriture ne me serait peut-être jamais venu à l’esprit si cet auteur ne nous l’avait pas révélé, c’est en quelque sorte la face cachée du métier.&nbsp;&nbsp;

Rami Lors de la visite de Sarah Mahé nous devions nous entraîner à lire un passage d’un livre pour la venue de l'auteur. Pour cela Sarah Mahé nous a proposé des exercices d’échauffement. Cela consistait à travailler les articulations de bouche en faisant différents sons, grimaces, gestes afin de nous préparer à la lecture à haute voix. Ensuite nous avons lu chacun notre tour l’extrait que nous avions à préparer. La comédienne nous a donné des conseils pour améliorer notre diction et notre gestuelle. J’ai trouvé que ses exercices m’ont permis d’avoir une lecture plus fluide par la suite.

Tom Ce que j'ai retenu du métier d'écrivain est que ce métier montrait plusieurs difficultés. Il nous a expliqué qu'il mettait beaucoup de temps à écrire son œuvre (deux ans pour la 1ère version). Il reformulait plusieurs fois ses phrases afin qu'elles soient correctes. Il nous a également expliqué ces démarches pour publier son œuvre. Je garde un très bon souvenir de sa venue.

Ilyes Le souvenir le plus marquant que j'ai eu avec Sarah Mahé a été lorsqu'elle nous a incités&nbsp;à dire la ponctuation à haute voix puis dans notre tête. Cet exercice a pour but de bien nous faire baisser la voix à la fin de chaque phrase, de nous arrêter au niveau des différents points, de faire une courte pause lors de la présence de virgules, etc.... Cet exercice m’a, pour ma part, fait comprendre que le respect de la ponctuation est essentielle lorsque l'on lit à un auditeur qui n'a pas le texte sous les yeux afin qu'il comprenne le sens de chaque phrase. De plus, j'aurais aimé comprendre cela avant mon oral de stage car cela m'aurait beaucoup servi. D'une part, pour que le jury comprenne le sens exact de chacune de mes phrases, et d'autre part, cela m'aurait permis de gérer mon souffle et de mieux respirer. Enfin, c’est un point que je retiendrai à l’avenir et qui je pense me sera utile.&nbsp;

Je me rappelle, un jour, avoir visité un musée dans lequel se trouvait un tableau d'Edvard Munch. J'étais avec ma mère, et en entrant dans la salle, une oeuvre m'a interpellée :"Le Cri". Je me suis rapprochée de ce tableau car ces couleurs à la fois claires et foncées et ce personnage avec sa grande bouche ouverte m'ont plu. Je ne saurais décrire ce que j'ai véritablement ressenti car cela m'a provoqué tellement de sentiments différents. Voir ce personnage choqué, terrifié par une crise d'angoisse existentielle m'a fait beaucoup réfléchir, penser à la vie. Surtout à mon passé. Ce tableau m'a beaucoup émue et touchée personnellement (presque fait pleurer).

J'apprécie ce manga parce qu'en le lisant ça me permet d'oublier les cours et me détendre. Je ne saurais pas décrire les émotions que j'ai ressenties.  

Cette œuvre ne me reflète pas du tout. Ce manga est mon miroir inversé. Naruto est quelqu'un qui est hyperactif à l'opposé de moi qui suis une personne calme. Je m'inspire de sa réaction face aux insultes et aux moqueries de certaines personnes. Par exemple quand je reçois une insulte je vais garder mon calme et non chercher le conflit.

Un endroit où se cacher&nbsp; éditeur&nbsp;: Albin Michel Jeunesse (Wiz) auteur : Joyce Caroll Oates&nbsp; titre :Un endroit où se cacher Mots clés : roman ; adolescence; deuil; drogue; accident ; douleur Résumé : Ce livre raconte l'histoire de Jeanna 15 ans, une jeune adolescente heureuse jusqu'au jour où sa vie s'est écroulée après avoir vécu un terrible accident pour lequel elle se sent responsable. Elle pense être condamnée à vivre dans la douleur et le tristesse malgré l'aide de ses proches. Réussira-t-elle à retrouver sa vie d'avant ?

Avis personnel : Je ne connaissais pas du tout cette autrice avant de lire ce livre "Un endroit oú se cacher". En lisant ce livre nous rentrons dans les pensées les plus intimes de Jeanna qui a vécu un terrible accident qui a coûté la vie de sa mère. J'ai énormément aimé ce roman émouvant et touchant à la fois car on se sent proche du personnage principal "Jeanna" et de ce qu'elle vit . C'est comme si ses émotions étaient les nôtres. Je trouve qu'être proche du personnage principal nous aide mieux à s'attacher à un livre.

Avis personnel: Je ne connaissais pas du tout cette autrice avant de lire ce livre "Un endroit oú se cacher". En lisant ce livre nous rentrons dans les pensées les plus intimes de Jeanna qui a vécu un terrible accident qui a coûté la vie de sa mère.J'ai énormément aimé ce roman émouvant et touchant à la fois car on se sent proche du personnage principal "Jeanna" et de ce qu'elle vit . C'est comme si ses émotions étaient les nôtres.Je trouve qu'être proche du personnage principal nous aide mieux à s'attacher à un livre. Extrais du livre :&nbsp;(chapitre 2) C'était le Temps de l'Oubli. Dans le bleu a duré longtemps - j'aurais tant tant tant voulu que ça ne s'arrête jamais.&nbsp; On dort beaucoup. On rêve, mais pas besoin de se rap peler quoi.&nbsp; C'est comme faire défiler les 101 chaînes de télé sans le son. Une fois qu'on les a toutes passées en revue et qu'on est revenu au numéro 1, on a oublié tout ce qu'on avait vu, et on recommence alors depuis le début. &nbsp;Ou bien non. D'un coup de pied, on balance la télé- commande.&nbsp; &nbsp;Des tas de chansons me traversaient la tête, en ce temps-là. Venues du ciel, elles fonçaient droit dans ma tête. Après, je les oubliais toutes. Sauf une : &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;C'est le pays du bleu Sans toi :tél est ce lieu J'ai choisi cette extrait du livre car cela parle du "Bleu"se qu'il a aider à aller mieux à l'hôpital mais aussi fait souffrir car serte cela est fait pour la soulage pendant un certain temps mais que ce temps et fini Jeanna voulais absolument y retourner le "Bleu " est devenu une drogue pour elle&nbsp;.J'ai trouvais que se passage est une étape importante dans le livre et dans la vie de Jeanna . Ce passage explique bien se que pense Jeanna quand elle est dans le "Bleu" tout se qu'y si passe .

Autoportrait explication :

Ces objets représentent mon quotidien, mes passions, une partie de ma vie. Nous pouvons voir des écouteurs et une enceinte car j'écoute beaucoup de musique. On peut aussi remarquer des partitions en dessous, je joue du piano depuis petite. Je joue souvent à certains jeux vidéos on peut le remarquer à la switch et une manette en haut de l'image. J'y ai mis quelques uns de mes mangas car j'apprécie ce type de lecture. J'ai mis un de mes trophées que j'ai gagné, je l'ai ajouté pour représenter le sport qui a toujours eu une place importante jusqu'au covid. Les feutres et la tablette graphique représentent ma passion pour le dessin qui me permet de laisser libre cours à mes pensées. Et pour finir le Loup garou, un jeu que j'affectionne particulièrement car on ne peut que jouer nombreux et c'est toujours plus amusant avec nos amis.

Je tenais à me décrire à travers une photo d’objets car cela permet de montrer à travers une simple photo tous les objets me reflétant&nbsp; Sur cette photo je tenais à mettre quelques objets comme par exemple&nbsp; - Des mangas car j’aime beaucoup le style de rédaction, les histoires, et j’aime la culture Japonaise. - Un crampon de football et un ballon de football car je suis passionné de football et je pratique ce sport depuis mon plus jeune âge&nbsp; - Un maillot de football de l’équipe d’Algérie car tout d’abord je suis Algérien et j’aimerai beaucoup jouer pour cette équipe. - Une feuille et un crayon de papier car lorsque je m’ennuie j’aime beaucoup dessiner&nbsp; -mon téléphone portable car comme beaucoup de monde c’est un élément qui me sert dans la vie de tous les jours - Un sac d’école car avant tout je suis un collégien et cela représente une grande partie de moi

Avis critique&nbsp;: J’ai plutôt apprécié le livre car il était facile et le message simple à comprendre. Le défaut de «&nbsp;Nulle et Grande Gueule&nbsp;» est qu’il manque d’intrigue et de suspense : l’humour est absent ainsi que les émotions palpables.

Conseils aux futurs lecteurs&nbsp;: Roman destiné aux adolescents qui pourront facilement s’identifier aux personnages du livre. Belle Histoire d’amitié d’adolescence, deux lycéens qui s’unissent dans l'adversité, contre la rumeur, la lâcheté et le harcèlement.

Choix d’un extrait&nbsp;: "Le bruit courait qu’il y avait eu une alerte à la bombe au lycée dans l’après-midi. Ou que l’on avait peut-être découvert une vraie bombe dans la cafétéria, ou… dans la bibliothèque. Un garçon déclara qu’il avait entendu dire que la bombe&nbsp;: «&nbsp;une bombe artisanale&nbsp;» avait été trouvée dans un placard du concierge, près du gymnase". (l11 à l17 p 39) J’ai choisi ce passage car il est l’élément déclencheur pour Matt, ses paroles vont entrainer un bruit de couloir qui va bouleverser son existence d’adolescent et lui donner la possibilité de croiser la route et l’amitié d'Ursula.

Conseils: Je conseillerai ce livre aux lecteurs qui s'intéressent aux adolescents ou a l'adolescence en général et à la psychologie. Ce livre pourrait aussi aider des nombreuses personnes à tourner la page, à faire un deuil ou à voir qu'ils&nbsp;ne sont pas les seuls à avoir vécu un accident qui a coûté la vie d'un proche. Ce livre pourrait aussi intéresser les personnes qui aiment bien être proches du personnage principal, de ce qu'il pense, ses émotions.... Selena Renouard&nbsp; 3eme 5

J’avais&nbsp;&nbsp;une idée bien précise sur le métier d’écrivain . Je pensais qu' être écrivain était se "forcer " à écrire son livre, même si on n'a pas envie et pas d’inspiration - alors que pas forcément. J’ai beaucoup aimé le fait que H. Lindenberg&nbsp;&nbsp;ne voulait pas vivre de la vente de ses livres car sinon il se sentirait obligé d’écrire des livres. Il préfère écrire quand il le souhaite, quand il a de l’inspiration… J’ai trouvé "beau " de voir des gens penser comme lui. Grâce à cette rencontre, à Madame Klein et Madame Sahagian, je m’intéresse beaucoup plus à la lecture et je ne vois plus cela comme un fardeau.

Mia Grace à Sarah Mahé, j’ai appris qu’avant de lire à l’oral un texte il faut toujours se préparer et faire des exercices pour se détendre avant et ne pas se tromper. Elle nous a énormément conseillés, par exemple de faire des pauses à la fin de la phrase, donc j’étais bien préparée pour lire mon texte devant tout le monde. J'ai beaucoup aimé travailler avec elle. Après la rencontre avec H. Lindenberg, j’ai appris que ça prend beaucoup de temps et de patience pour écrire un livre, car ce n’est pas simple du tout et c’est un vrai boulot, j’ai aussi appris que ce n’est pas grave de ne pas avoir des idées tous les jours, ne pas se dépêcher, car les idées on ne les trouve pas tout d’un coup. Il faut prendre des pauses et se reposer car c’est très important pour écrire un livre avec la passion.

Extrait du livre&nbsp;:&nbsp;page 105&nbsp; "Peut-être que finalement Maxence Tate avait raison. Peut-être que tout cela ne faisait que commencer. Peut-être que le jour viendrait où les Noirs pourraient assister aux mêmes spectacles que les Blancs. Peut-être que les piscines leur seraient ouvertes toute la semaine, et pas seulement la veille du nettoyage. Qu'un chanteur noir aurait le droit de faire swinguer une femme blanche sans être boycotté. Qu'il serait permis de se marier en mélangeant les couleurs. Et peut-être même qu'un jour il y aura un président noir à la Maison Blanche !"&nbsp;

Éditeur : Gallimard Jeunesse Auteur : Florence Cadier Titre : Le rêve de Sam Mots clés : Ségrégation raciale, lutte pacifique, justice, violences faites aux noirs, États-Unis Résumé : Sam un enfant noir vit tranquillement avec ses parents et son frère, Josh, dans les années 50-60 en Amérique. Cette vie tranquille prend fin lorsque Sam s’assoit sur un banc réservé aux blancs parce qu’il s’est blessé. Il est arrêté puis libéré, mais son père, furieux, décide d’essayer de voter. Rejoint par la mère de Sam, il tente sans résultats de voter. Un soir des membres du Ku Klux Klan débarquent et tuent les parents de Sam. Par la suite, lui et son petit frère sont accueillis par leur tante et leur oncle. 3 ans plus tard, Rosa Parks, qui n’est autre que la tante de Sam, et ce dernier refusent de laisser leurs places à des blancs dans un bus, ils sont donc arrêtés puis libérés. Cette action attire l’attention d’une personne qui changera leur vie et donnera ainsi un rêve à Sam : devenir le premier juge noir.

Avis critique : Le suspense était très présent lors de ma lecture, je voulais continuellement connaitre la suite, mais plusieurs scènes très violentes présentes dans ce livre m'ont dégoûté, voir la cruauté des gens racistes et la violence du Ku Klux Klan me révolte, surtout quand tu sais que cela est probablement arrivé en vrai dans le passé. Malgré ce détail l’ensemble du livre m’a assez plu. Conseils aux futurs lecteurs : Ce livre est, selon moi, déconseillé aux personnes qui ne supportent pas la violence, je le conseillerais plutôt aux personnes qui s’intéressent à la lutte contre le racisme. Choix d’un extrait : « Dans le bus, un silence tomba. Les regards étaient rivés sur tante Rosa. Regards appuyés d’admiration, de peur ou de condamnation. Qu’allait-il se passe ? Qu’avait provoqué ma tante ? Un policier, un peu las, l’apostropha sans rudesse : - Pourquoi ne pas vous lever ? - Suis-je vraiment obligée ? demanda-t-elle. Tous les Blancs sont assis ! Et d’ailleurs, pourquoi êtes-vous si sévères avec nous ? Un policier maugréa :- Je n’en sais rien. Mais c’est la loi et vous êtes en état d’arrestation. Nous fûmes emmenés tous deux au commissariat, je ne voulus pas la quitter. Et il fallut encore payer une caution pour être libérés : vingt dollars chacun. » (p.29, ligne 1 à 17)

Titre&nbsp;:&nbsp;Sweet&nbsp;Sixteen&nbsp;(doux seize ans)&nbsp; Auteur&nbsp;:&nbsp;Annelise&nbsp;Heurtier&nbsp; Editeur&nbsp;: Casterman&nbsp; Mots-clés&nbsp;: ségrégation, souffrance, terreur, racisme, intégrations,&nbsp;&nbsp; Ku Klux Klan, histoire, Etats-Unis, adolescente.&nbsp;

Résumé&nbsp;: Cette histoire se passe dans les années 50, en 1954 précisément aux&nbsp;Etats-Unis dans l'Etat de l'Arkansas. Nous suivons deux jeunes filles juste avant leurs seize ans&nbsp;:&nbsp;Molly et Grace.&nbsp; Une loi vient d'être mise en place&nbsp;: la fin de la ségrégation dans les lycées. Neuf adolescents noirs dont Molly se portent volontaires pour cette nouvelle expérience.&nbsp;&nbsp; De l'autre côté, Grace,&nbsp;blanche de peau mène sa vie sans soucis entre ses amis, les robes,&nbsp;les bals et les premiers amours.&nbsp; Ces neuf adolescents noirs deviennent très vite des cibles pour tous les autres lycéens, les insultes et les humiliations deviennent leur&nbsp;quotidien.&nbsp; Leur&nbsp;intégration est tout aussi cruelle car ils se retrouvent dispersés dans différentes classes et seuls contre tous.&nbsp;Grace quand à elle mène une vie tranquille où ses seules décisions sont la couleur de sa&nbsp;robe, sa coiffure,&nbsp;quelle attitude adopter pour que Sherwood la remarque.

Cependant Grace se rendra compte qu'elle apprécie de moins en moins ces actes ségrégationnistes et soupçonne certains de ses amis&nbsp;d'appartenir au Ku Klux Klan.&nbsp; Le quotidien de Molly est beaucoup plus compliqué et dur, elle garde la tête haute même face aux insultes et aux humiliations que tous les jeunes lycéens lui font subir. Elle est très courageuse de garder espoir face à ces actes violents des blancs.&nbsp;

Avis critique&nbsp;:&nbsp;Ce livre m'a beaucoup plu, il m'a appris des choses sur ce qui se passait dans les années cinquante, sur la ségrégation, sur l'histoire de cette jeune fille qui a vécu l'enfer et qui a tout fait pour que ces violences cessent.&nbsp; J'ai aussi apprécié ce livre grâce aux rebondissement,&nbsp;aux actions des personnages, mais aussi la peur que l'on ressent tout au long du livre.&nbsp;&nbsp;

Conseils aux futurs lecteurs&nbsp;:&nbsp;Je conseille fortement ce livre&nbsp;aux personnes qui aiment les histoires&nbsp;vraies, les histoires parlant d'inégalités,&nbsp;l'histoire d'une amitié coupée&nbsp;par leurs différences, et d'un roman d'actions et d'émotions.

Compte-rendu de l'interview d'Hugo Lindenberg réalisée par les élèves 1) Vous êtes-vous inspiré de votre vie pour écrire le livre? H. Lindenberg explique que l'écriture est, pour lui, une transformation du réel, un mélange entre ce qui est vrai et ce qui ne l'est pas. Il affirme "se servir de la vie, de [son] histoire personnelle, pour raconter une autre histoire". L'idée est d' "écrire à partir de soi", en "tordant" le réel. L'inspiration c'est aussi "accepter que ce que l'on ressent est légitime", et écrire à partir de souvenirs ou d'images qui reviennent en nous. 2) Combien de temps avez-vous mis pour écrire votre roman? L'auteur explique que la question n'est pas simple mais qu'il a mis environ une année à l'écrire. 3) Est-ce difficile d'écrire un livre? H. Lindenberg affirme que c'est très difficile car il faut se demander comment exprimer l'idée que l'on a en tête. C'est un véritable effort de concentration qui nécessite de refaire la même phrase de nombreuses fois. Il explique aussi aux élèves que sa passion pour les films influence sa façon d'écrire : son livre est un peu comme du "cinéma par écrit", où l'on voit ce que le personnage-narrateur voit. C'est, en un sens, un livre qui imite un film : l'écriture est pensée comme une caméra placée à un endroit précis pour décrire la scène sous un certain angle.

Les objets qui me représentent Tous ces objets sont ceux qui me représentent.&nbsp; - Depuis toute petite j'aime faire du sport, me défouler, c'est une passion pour moi. J'ai fait pendant&nbsp;plusieurs années de la gymnastique, de l'athlétisme, de la danse et du volley.&nbsp; - Il y a aussi des photos de mes amies et de ma famille et des anciennes cartes postales de mes amis d'enfance.&nbsp; - Il y a des mangas et des livres car j'ai toujours aimé lire de nouvelles histoires de&nbsp;tout&nbsp;genre.&nbsp; - Il y a de la peinture, une nouvelle activité que j'ai découverte pendant le confinement et que j'adore.&nbsp; - Il y a tous mes accessoires et mon maquillage (vernis, mascara,&nbsp;brosse&nbsp;à cheveux).&nbsp; - Et des objets du passé que je n'oublierai jamais (mes lunettes, Disneyland, cassette du spectacle de Cats).&nbsp;

La combinaison du bon et du mauvais, comme le contraste dans ce tableau, montre ce que je ressens dans mon esprit au quotidien dans ma vie d'adolescente, c'est pourquoi ce tableau peut représenter mon esprit : mon bonheur et ma souffrance.

Mes activités : mes chaussures et mon jogging c'est parce que ce sont mes vêtements du moment . les compotes c'est parce que j'aime bien manger et mon parfum parce que j'aime bien sentir bon .

Quand j'écoute cette musique elle me rend joyeuse. Elle me permet de m'évader. Elle m'aide à surmonter le quotidien. Elle me rappelle un moment heureux.

Mon œuvre est un tableau de Théodore Géricault créé entre 1818 et 1819, le Radeau de la méduse que j'ai découvert par hasard au musée du Louvre. J'avais 10 ans, j'étais avec mes parents et avais un peu parcouru les allées du musée, puis je suis tombée sur ce tableau qui m'avait impressionnée - je ne sais même pas trop pourquoi mais je suis restée assise devant pendant longtemps. Aujourd'hui encore j'aime aller au Louvre pour voir cette œuvre.

J'aime bien les couleurs sombres que représente ce tableau, on peut voir la lumière du soleil par-dessus la montagne comme un signe d'espoir. J'ai trouvé l'histoire de ce tableau intéressante, l'horreur qu'ont vécue ces personnages coincés au milieu de l'océan, à plusieurs sur un radeau, m'a saisie: ils vivent l'enfer. On peut rapprocher ce tableau de sujets de sociétés, de la réalité d'aujourd'hui, comme les immigrés sur leurs bateaux qui n'ont plus rien.

Je conseille ce livre aux personnes qui aiment les livres longs bien détaillés, même une personne qui n’aime pas forcement lire peut s’attacher très vite et le finir en peu de temps. L’extrait que j’ai choisi est un moment où les deux personnages passent du bon temps ensemble, il se situe au milieu du livre, quand ils deviennent plus proches l’un pour l’autre. Ils sont sur la mer en kayak, et sont sur le point de rentrer dans une très belle grotte que Tom veut montrer à Emily.

Chapitre 11 page 109-112 “Nous sommes tout près de la grotte, le kayak monte et descend au rythme des vagues. Nous regardons l’eau frapper le rocher avant de s’engouffrer à l’intérieur. Je me penche en avant, comme je l’ai fait lors des dix précédentes vagues, pour essayer de voir quel espace sépare la surface de l’eau du plafond du tunnel : à peine cinquante, soixante centimètres de plus que notre kayak “...”

-Rappelle-toi ce que je t’ai dit, reprend-il en regardant tout en restant bien face à l’entrée. Il faut que tu rames fort puis que tu remontes ta pagaie et que tu te couches un peu en arrière quand je te le dirai. Ça marche ? On va y aller avec la prochaine vague".

Red geometrical pattern

Cette chanson ne me représente pas, elle est assez triste car elle évoque la déception amoureuse. Et c'est une épreuve assez difficile dans une vie quand on a notre âge. Mais elle me rend heureuse car c'est un moment dans ma vie dont je me souviendrai toujours. Et je pourrais le raconter à mes enfants, ou bien lorsque nous nous reverrons avec mes amies.

J'étais avec des amies, nous étions en sortie au Parc Astérix. On était dans une attraction, lorsque le téléphone de Nour a émis une musique par erreur, avec le son très fort. Les personnes autour de nous, nous ont dévisagées, alors que nous étions en train de rire. Maintenant, quand j'écoute la musique seule je repense à ce moment. Nous l'écoutons aussi devant le collège, nous pensons à cette journée merveilleuse. Cela me fait rêvasser à l'amitié, et c'est très important pour moi. Quand je suis avec les filles, je me sens bien.

J'apprécie cette musique, parce qu'elle est belle, douce et j'aime la journée où je l'ai découverte. Quand j'écoute cette musique je m'évade, je rêve... Cette musique me rappelle un moment heureux.

4) Avez-vous toujours eu envie de devenir écrivain? Pour H. Lindenberg répondre à cette question c'est déjà se questionner sur ce qu'est un écrivain. Ce qui est sûr c'est qu'il a "toujours eu envie d'écrire et besoin d'écrire". 5) Pourquoi ne pas avoir révélé le nom du narrateur? La question ne semble pas vraiment s'être posée ainsi. Ce qui comptait c'était de raconter une histoire sur l'identité, sur la façon dont on se forge, se transforme : comment un être isolé (le narrateur) entre dans "le monde des vivants". Grâce à Baptiste, dont le nom rappelle l'idée du "Baptême", le narrateur est emmené dans l'eau, il entre ainsi dans un monde nouveau pour lui, celui de l'amitié, de la vie, des sensations. Il ne fallait pas vraiment donner un nom au narrateur pour ne pas le "teinter" , mais le laisser ouvert à chacun, afin que le lecteur puisse s'identifier à lui. 6) Auriez-vous aimé connaître Baptiste? D'abord, il n'est pas certain que Baptiste ait existé. Il représente, en quelque sorte, une "béquille", une "image de la perfection", qui finit par disparaître (voir la fin du livre), lorsque le narrateur n'a plus besoin de lui.

Dans ce projet j'ai choisi le film Charm City Kings fait par Angel Manuel Soto en 2020. Ce film se déroule aux Etats-Unis dans des quartiers sensibles. Cela parle d'un adolescent qui vit avec sa mère et sa soeur. Il a perdu son frère qui était passionné de moto et qui en faisait tout le temps Quand il a grandi, il voulait faire comme lui et acheter sa première moto pour rendre hommage à son frère, même si sa mère ne tolérait pas cela à cause de la mort de son fils. J'ai découvert ce film en étant chez mon cousin pendant la nuit et j'ai bien aimé celui-ci. J'ai donc regardé ce film en famille.

AUTOPORTRAIT.pdf

Le livre est plein de suspense car la question qui intrigue le lecteur, c’est de savoir ce que le jeune homme a bien pu faire à cette pauvre fille pour qu’elle en vienne à se donner la mort. L’intrigue de 13 Reasons Why est ce que je nommerais un récit qui repose sur une double narration, celles de Clay et d’Hannah, qui s’entremêlent pendant toute la lecture. Un choix que j’ai trouvé intelligent et qui rend le texte beaucoup plus vivant, mais qui pourrait gêner certains lecteurs, car le lycéen interrompt très souvent le témoignage d’Hannah. Le style de l’auteur est comme très souvent accessible à tous, à savoir fluide et simple. J’ai particulièrement apprécié la mise en page du roman.

Chaque chapitre correspond à un numéro de cassette (de 1 à 7) et à une face (A ou B), avec en plus à certains moments du texte les symboles que l’on trouve sur n’importe quel lecteur cassette ou même mp3 (pour arrêter, mettre sur pause ou mettre « Play »). Les paroles d’Hannah sont quant à elles en gras et en italique, un effet qui est là pour distinguer la parole de la jeune fille de celle de Clay, mais qui a aussi un effet visuel très prenant. C’est une voix qui vient du passé, impossible de la louper.

J'ai choisi cet extrait car le lecteur est projeté à la place d'Erwan et au racisme quotidien qu'il vit. La moindre injure raciste est très blessante et même si à la base c'est une blague, rien ne l'excuse. Les propos tenus par le chasseur, ne se voulaient pas méchants, mais ils sont tout de même blessants et impardonnables.

Mes occupations favorites : Sur cette photo on voit mes occupations favorites. Il y a un jogging, une veste, mon parfum et mes basket, une des tenues que je mets tout le temps. Il y a un masque parce que ça fait partie de notre vie actuelle. Il y a une manette et une nitendo avec laquelle je joue avec ma famille et mes amies. Il y a mon ordi, mes écouteurs et mon téléphone ce que j'utilise le plus.

Petit Pays Mon livre s’intitule Petit Pays écrit par Gaël Faye édité aux éditions “Le Livre de Poche”. Mots clés : adolescence, guerre, génocide Résumé : “Nous sommes en 1992. Gabriel est âgé de 10 ans. Il vit dans le petit pays africain du Burundi accompagné de son père Michel, entrepreneur d’origine française, sa mère Yvonne, d'origine rwandaise et sa petite sœur, Ana. Le quotidien est paisible. Gabriel y vit une enfance classique, entouré de ses amis fidèles, Gino, les jumeaux et Armand. Malheureusement, un jour, tout bascule. Les parents du narrateur se séparent et la violence envahit cette terre où il se sent si heureux. En effet, la guerre civile frappe le petit pays du Burundi. Dans le pays d'à côté, le Rwanda, un génocide est commis contre le peuple des Tutsis. Gabriel lutte autant qu’il peut pour protéger son quotidien léger, celui d'un enfant d'une dizaine d'années. Il sera bientôt forcé de choisir son camp, et se découvrira à la fois métis, français et Tutsi.” Avis critique : Excellent récit d’un récit d’enfance meurtrie, récit d’un paradis perdu, d’un monde de l’innocence et de l’insouciance qui a disparu, doucement presque imperceptiblement avant le grand chaos …. “Je n’habite plus nulle part” dit le narrateur adulte. Extrait : Lundi 4 janvier 1993 “Chère Laure, Gaby c’est mon nom. De toute façon tout a un nom. Les routes, les arbres, les insectes... Mon quartier, par exemple, c’est Kinanira. Ma ville c’est Bujumbura. Mon pays c’est Burundi. Ma sœur, ma mère, mon père, mes copains ils ont chacun un nom. Un nom qu’ils n’ont pas choisi. On naît avec, c’est comme ça. Un jour, j’ai demandé à ceux que j’aime de m’appeler Gaby au lieu de Gabriel, c’était pour choisir à la place de ceux qui avaient choisi pour moi.” J’ai choisi cet extrait car le personnage principal a pu choisir son prénom ce qui est rare, on accepte juste le prénom que l’on a choisi pour nous mais Gabriel a choisi pour lui.

Warp blue

Cela m'a rappelé une image de mon enfance : les plages de Nord, l'été, quand les gens accroupis cherchent des coquillages à marée basse. Je me suis demandé: "Qu'est-ce qu'ils fabriquent?" J'ai mis un moment avant de comprendre qu'ils étaient touchés. Cela faisait beaucoup de monde à genoux. Vraiment beaucoup. Des dizaines d'hommes en quelques secondes. Je me rappelle avoir pensé quelque chose comme: "Bon Dieu! J'ai de la veine d'être encore entier". Et l'instant d'après, un obus a explosé derrière moi. Je suis parti dans les airs, les fesses écorchées par des éclats. J'ai atterri le nez dans la boue, complètement sonné et à moitié sourd. Mon derrière me brûlait. Mes oreilles sifflaient. Le goût sang emplissait ma bouche. Je ne sais pas combien de temps je suis resté comme ça, face contre terre. J'avais envie de dormir.

Puis soudain, quelqu'un m'a secoué..." Description de l'extrait: J'ai choisi cet extrait qui est au début du livre puisque juste après ça Casimir va rencontrer Martin car ce moment nous montre la réalité d'un combat acharné : un Homme brave qui n'a peur de rien qui voit ses camarades tomber au front et sur le point de mourir que même si un obus lui éclate à la figure il aura toujours le moyen de se relever. Marcellin Soliman

Hugo Le souvenir que j’ai gardé de la comédienne Sarah Mahé est les exercices d’entrainement en début de séance, car on se mettait debout en rond devant tout le monde et on faisait des exercices dans lesquels il ne fallait pas être trop timide. On devait faire des têtes plutôt gênantes devant tout le monde. Les réflexions sur le métier de Hugo Lindenberg que j’ai gardées en mémoire sont que quand on lui posait des questions il nous répondait de manière très complexe. Lui-même n’était pas sûr de ses réponses, il se posait des questions sur lui-même . &nbsp;

Yassine Le souvenir que j'ai gardé du travail avec la comédienne Sarah Mahé est l'exercice où fallait dire les ponctuations. Cet exercice a été bénéfique. Elle nous a appris à&nbsp;ralentir en fin de phrase et aussi à parler plus fort. En conclusion elle m'a appris à aller moins vite dans ma lecture est&nbsp;elle m'a appris à lire en public. &nbsp; La réflexion que j'ai gardée en mémoire après la rencontre avec H. Lindenberg est qu'il n'a pas donné de prénom, ni une apparence physique au narrateur, pour qu'on se mette dans la peau du personnage.

Titre(en anglais) : The Fault In Our Stars Auteur : John Green Editeur : Nathan Mots clés : la maladie, le cancer, adolescents, amour, médicament, hôpital, tristesse…

Résumé : L'histoire se déroule à Indianapolis, Hazel Grace Lancaster est une jeune fille de 16 ans atteinte du cancer de la thyroïde et des poumons, qui a été diagnostiquée à l’âge de treize ans. Sa mère la force à aller à un groupe de soutien, avec des jeunes qui sont atteints du cancer, comme elle. Un jour, en allant au groupe de parole, elle a rencontré un garçon à peu près du même âge qu’elle, il vient pour soutenir son ami, Isaac. Il s’appelle Augustus Waters, surnommé Gus, il est grand, les cheveux acajou, raides et courts. Isaac, lui, est blond et aveugle.

Après la réunion, Augustus invite Hazel chez lui pour voir un film, le courant passe très bien entre eux. A la fin de la soirée, ils décident de faire lire leur livre préféré à l’autre. Hazel recommande Une impériale affliction, de Peter Van Houten. Le soir même, Augustus envoie un mail à l'assistante de Peter Van Houten, qui persuade son patron de lire ce mail. L’auteur leur propose de venir en personne à Amsterdam. Il veut réaliser son unique rêve, malgré sa maladie, qui est d’aller à Amsterdam avec Hazel. Gus invite la jeune fille à allé pique-niquer avec lui. Il lui annonce la nouvelle pour Amsterdam, elle est aux anges. L’adolescente en parle à sa mère, qui lui fait comprendre que ça va être dur avec les complications de sa maladie. Durant la nuit, elle se réveille avec un problème de respiration, ses parents l’emmènent à l’hôpital. Lorsque sa maladie devient stable, elle demande à sa doctoresse Maria, une cancérologue, si elle peut partir en voyage à Amsterdam. Le docteur ne voit aucun problème, mais ses parents veulent l’accord de tous les médecins. La fille proteste mais la décision est déjà prise.

Je ne peux pas dire que ce tableau me représente mais il exprime plutôt quelque chose qui me frappe. L'histoire est impressionnante comme l'œuvre. Ce tableau me rappelle aussi les souvenirs de mon enfance, les couleurs des tons clairs et sombres mélangées représentent bien le désespoir mais aussi une lueur d'espoir.

Je l'ai choisi parce que cela montre qu'en tant que femme la vie n'était pas facile et que malgré tout elle reste une femme libre et  indépendante.

Ma musique Lot of me est une musique de Lil Tecca qui est un rappeur américain. Cette musique est américaine, elle est sortie en 2021 par le rappeur américain Lil Tecca.

Je l'ai découverte avec mes amis en faisant du basket sur spotify. J'écoute cette musique quand je fais du basket ou quand je m'entraine. Je l'ecoute soit seul, soit avec mes amis. Je l'apprécie car j'aime beaucoup le rap américain et aussi Lil Tecca. Quand j'écoute cette musique , je pense à faire du basket. Elle me rappelle la fois où je me suis fait une entorse.

Mes occupations Vous trouverez sur cette photo toutes mes principales occupations. Vous pouvez y retrouver un ballon de basket car c'est mon sport favori. Il y a une manette de jeux avec laquelle je joue avec mes amis et aussi vous pouvez voir qu'il y a plusieurs jeux comme Grand Theft Auto V qui est un de mes jeux favoris. En dernier on peut constater qu'il ne reste qu'une seule chose et c'est un manga car j'aime lire des mangas mais surtout One Piece.

1. Des objets miroir de notre vie p.<a href="bookcreator://page/hKIcLKKJQJ2ggGe7HxTtWw/left">4</a> à 65 2. Se raconter à travers les arts p.<a href="bookcreator://page/eZnB3DLoRQSyTY0T6smWsg/left">64</a> à 143 3. Lire depuis soi : entrer dans la littérature p.<a href="bookcreator://page/QbM9Cy4kQRWxJJog21rARg/left">142 </a>à 239 4. Donner vie et voix à une œuvre littéraire : « Un jour, ce sera vide » de Hugo Lindenberg. p.<a href="bookcreator://page/xRDX50iLTN6lDClJolwJlw/left">236</a> à 279 5. Annexes p.<a href="bookcreator://page/3NCLrRjPSyWtx8K8gotmkw/left">276</a>

"L'enfant est à contre-jour. On distingue à peine son visage encadré par une chevelure lisse de vrai garçon. D'abord, il n'est que la cordelette de son slip de bain rouge ou bleu, qui s'approche, jambes graciles, pour observer le spectacle immobile dont je jouissais pour moi seul."

"Puis-je continuer sans crainte l'auscultation de la méduse à l'aide du bâton ? Plusieurs vagues passent, inondant la petite île de chair translucide avant que j'ose tâter de nouveau. Je presse légèrement la peau épaisse, mais ce n'est déjà plus l'essentiel."

Mon extrait : « Je suis l'ombre qui dévore les rochers, les montagnes, les forêts et les rivières, la chair des bêtes et celle des hommes. Je dépouille, je vide les crânes et les corps. Je coupe les bras, les jambes et les mains. Je fracasse les os et j'aspire leur moelle. Mais je suis aussi la lune rouge qui se lève sur le fleuve, je suis l'air du soir qui agite les feuilles tendres des acacias. Je suis la guêpe et la fleur. Je suis aussi bien le poisson frétillant que la pirogue immobile, le filet que le pêcheur. Je suis le prisonnier et son gardien. Je suis l'arbre et la graine qui l'a donné. Je suis le père et le fils. Je suis l'assassin et le juge. Je suis les semailles et la récolte. Je suis la mère et la fille. Je suis la nuit et le jour. Je suis le feu et le bois qu'il dévore. Je suis l'innocent et le coupable. Je suis le début et la fin. Je suis le créateur et le destructeur. Je suis double. »

Traduire, ce n'est jamais simple. Traduire, c'est trahir sur les bords, c'est maquignonner, c'est marchander une phrase pour une autre. Traduire est une des seules activités humaines où l'on est obligé de mentir sur les détails pour rapporter le vrai en gros. Traduire c’est prendre le risque de comprendre mieux que les autres que la vérité de la parole n’est pas une, mais double, voire triple, quadruple ou quintuple. Traduire c’est s’éloigner de la vérité de Dieu, qui, comme chacun sait ou croit le savoir, est une mais double, voire triple, quadruple ou quintuple." On peut constater que l’auteur décrit les réflexions et le comportement du narrateur uniquement par des figures de style

Mon avis : J’ai énormément aimé ce livre qui porte sur la première guerre mondiale. Il m’a également énormément appris sur les tirailleurs sénégalais (incarné par Alpha Ndiaye et Mademba) qui ont été influencés par l’école française qui leur ont parlé des valeurs de la liberté et d’égalité... Ils défendent alors une patrie qui leur est inconnue. Ce livre nous révèle également l’horreur de la guerre. Ce que j’apprécie dans ce livre est que l’on est réellement plongé dans la vie et les pensées du narrateur. Le texte est d’une puissance déchirante. L’auteur a choisi d’utiliser une langue obsédante et chantante afin de plonger les lecteurs dans l’atrocité de la guerre. Il utilise également une langue pleine de métaphores et d’allégories afin d’illustrer les pensées du narrateur.

Conseils aux futurs lecteurs : Je conseille ce livre aux lecteurs aimant apprendre et découvrir de nouvelles choses en lisant des récits historiques car ce livre nous parle d’une guerre qui a marqué l’histoire, des tirailleurs sénégalais qui ont participé à la guerre. Je le recommande également aux lecteurs qui aiment être touchés par l’histoire du narrateur car dans celui-ci, de par le point de vue interne utilisé et de par l’écriture de l’auteur, nous sommes vraiment plongés dans les pensées du narrateur, comme si nous nous mettions en quelque sorte à sa place ce qui joue sur nos sentiments.

Le moment que je préfère dans cette musique est celui où les paroles disent: "Son cerveau crache de la morphine Elle est restée fixe Et l'plus beau dans tout ça c'est C'est qu'elle m'a souri Elle m'a souri et le temps s'est arrêté Comme entre l'éclair et l'tonnerre Comme entre la détonation et l'impact de la balle Puis elle a fondu en larmes".

L'or et la boue Editeur: Nathan Auteur: Christophe Lambert Les mots clés : Guerre, Tranchée, obus, Verdun (bataille de Verdun) Résumé: C'est l'histoire de Casimir soldat Français et combattant pendant la première Guerre mondiale, l'histoire se déroule entre 1914-1916 . Casimir rencontre Martin pendant une attaque suite à un obus qui explose sur Casimir quelqu'un de son régiment avec qui il va partager un abri. Casimir parle d'un trésor situé dans la ville d'Haumont dans le Grand Est de la France . Ils feront tout pour le trouver, ils vont creuser un tunnel immense pour y arriver . Mais cela ne va pas se passer comme prévu... Avis critique : Je trouve ce livre plutôt bien, il nous montre ce que vit un soldat pendant la guerre et montre que quand une bonne personne nous aide on peut réussir

même si la personne qui nous a aidé ne sera plus la quand on réussit c'est ça que je trouve beau dans le livre il est émouvant il y a de l'entraide. J ai apprécié de le lire. Conseils aux futurs lecteurs : Je conseille ce livre à tout type de lecteur qui aime la culture de la guerre en France, l'histoire de cette guerre qui a fait des milliers de morts Extrait: (Page: 8-9)"on avançait en ligne. Plus on s'écarterait les uns les autres, plus l'ennemi aurait de peine à ajuster son tir. D'instinct, on se pliait en deux, comme si des bourrasques nous soufflaient à la figure (sauf qu'il n'y avait pas un pet de vent ce jours-là, juste des balles). Autour de moi, j'ai vu les copains faire un truc bizarre. Ils se mettaient à genoux. Certains jetaient leur sac qui les encombrait.

L'extrait : « Tout allait bien jusqu'au moment où nous avons rencontré un chasseur que connaissait Gilbert. -Tu as perdu tes chiens ? -Non, je suis parti sans eux, pas envie de leur courir après aujourd'hui. Et toi, bredouille ? -Pour l'instant, oui. Et toi, tu as trouvé un charbonnier ? -Arrête, c'est mon stagiaire. -Il arrive de la mine, on voit que ses dents. -C'est bon Marcel, tu n'es pas drôle.

Il n'était pas drôle et malgré son fusil, j'avais envie de mettre pied à terre et de lui coller une bonne dans ses dents jaunies par le tabac. (…). -Qu'est-ce qu'elles ont mes dents ? T'as vu ta tronche ? Tu te ramènes parce que t'as un fusil ? Allez pose-le, et viens t'expliquer. -C'est bon Erwan, laisse tomber, il rigole. -Et moi je ne rigole pas avec cet enfoiré à moustache. -Pour qui il se prend Banania ? Bravo, Gilbert, tu l'as bien choisi ton grouillot. » (p.94, ligne 12 – ligne 21, p.95)

Sur cette photo on peut voir les occupations que je pratique dans mes journées. Sur la photo on peut voir une ps5 accompagnée de son micro, de sa manette et de l'écran. Cette activité m'apporte beaucoup de moments forts en jouant aux jeu vidéo ou faire des tournois et beacoup d'autre choses. On peut aussi voir un téléphone et des Airpods. Mon télèphone me permet d'échanger avec mes amis sur les réseaux sociaux ou autre il me permet aussi de regarder des films des vidéos et beaucoup d'autres choses. Mes Airpods me servent de compagnie et m'aident à écouter les messages vocaux de mes amis à écouter de la musique ou autre.

Paper texture

Frère d’âme de David Diop Le livre que j’ai lu, que je vais vous présenter et vous décrire s’intitule Frère d’âme. L’auteur de ce livre se nomme David Diop. Le livre a été édité par la maison d’édition POINTS. Les mots clés de ce livre sont : Amitié, Première guerre mondiale, Tirailleurs sénégalais, Mort, Vengeance, Barbarie. Résumé : L’auteur décide de nous plonger dans la vie et les pensées du narrateur, Alfa Ndiaye, jeune tirailleur sénégalais de vingt ans, appelé pour faire la guerre en 1914 aux côtés des Français. Accompagné de son plus que frère, ami d’enfance, Mademba, les deux jeunes amis partent ensemble faire la guerre. Tous deux au front, Alfa Ndiaye assiste à la lente et terrible agonie de son ami Mademba mort d’un coup de baïonnette. Mademba, alors souffrant et mourant, demande trois fois à son plus que frère de mettre fin à ses souffrances en le tuant mais sur le moment, le narrateur refuse.

Après la mort de son ami, rongé par la culpabilité, le narrateur Alfa Ndiaye perdit la raison et se persuadait qu’il était la cause de la mort de Mademba, son frère d’âme. Ainsi la tristesse et les remords du narrateur se transformèrent en une effroyable violence lors de cette guerre dite civilisée. Alpha Ndiaye remit aussi la cause de cette mort sur tous les soldats allemands aux yeux bleus. Ainsi à la fin de chaque journée, le narrateur partit se réfugier dans les lignes ennemies pour tenter d’attraper un soldat aux yeux bleus, lui couper les mains et s’en vanter auprès de sa compagnie. Il sema une terrible violence qui, au cours du temps, commença à terroriser et susciter la crainte de ses compagnons de tranchée. Il fut retiré du front par le capitaine Armand pour être placé à l’arrière ce qu’il vécut très mal.

J'apprécie ce film car il contient beaucoup de péripéties, et y contient aussi des moments qui bouleversent complétement l'histoire d'un seul coup. Ce film me permet de me détendre quand je le regarde. Il évoque aussi la réalité car il y a énormément de personnes qui meurent à cause d'accident de moto. Tous ces accidents évoquent la tristesse surtout pour les familles des victimes. Cette oeuvre me représente car j'aime bien faire de la moto et comme pour les personnes dans le film, ça me permet de me détendre, de m'amuser quand j'en fais.

J'ai choisi le film "Raiponce" datant de 2010, réalisé par Byron Howard et Nathan Greno. C'est un film que j'ai vu souvent en étant petite car mes parents me le mettaient pour m'occuper. Quand j'étais enfant, je le regardais avec ma mère et parfois avec mon grand-frère, mais jamais mon père.

A chaque fois que je l'ai regardé, j'ai été admirative de l'héroïne principale. Lorsque je le vois maintenant, cela me rend heureuse et cela me rappelle les bons souvenirs d'après-midi passées à le visionner sans penser à autre chose.

Watercolor texture 3

Un titre que j'apprécie particulièrement est Suga Suga de Népal et Doums. Je l'ai découverte en écoutant la playlist d'une amie. Souvent, le soir, après les cours je l'écoute. Je ne partage pas ma musique donc je l'écoute seule.

Krimo mon frère auteur: Mabrouck Rachedi éditeur: Ecole des Loisirs avis: J'ai beaucoup aimé ce livre car pour moi c'était un livre qui se lisait plutôt vite malgré le nombre de pages. C'est un livre pas du tout ennuyeux au contraire il est plutôt bien. mot clé: Mort, Deuil, Fratrie, Drogue, résumé: Lila part à Tokyo, dans son sac les cendre de son frère qu' elle transporte clandestinement. Elle a fait ce long voyage car son frère le voulait. Il a été tué en échappant à la police. Lila écoute les conseils d'Adel, qu'elle a rencontré à l'aéroport. Extrait du livre: "Tous les souvenirs de Lila remontent à l'époque où Krimo était enfant. Pour lui, c'est ce qui restera de lui: c'était son petit frère, son seul petit frère. Elle n'en aura plus jamais et il lui faudra vivre avec cette idée. Adel prend Lila dans ses bras et les pleurs de la jeune femme redoublent." Conseil: Je conseille ce livre aux personnes qui aiment les relations frère-soeur.

Silence - Benoît Séverac

Jules, quinze ans, vient de sortir du coma. A son lever, il parle à peine et surtout n'entend plus. Il apprend que sa surdité est irrémédiable, qu'il va devoir vivre avec. Il n'a pas le temps de se lamenter sur son sort que ses parents et la police l'interrogent sur les circonstances de l'accident. Jules avait pris de la drogue, de l'ecstasy plus précisément, qui l'a fait tomber dans le coma l'oreille collée à l'enceinte qui diffusait de la musique à fond. Que faisait -il à cette fête illégale? Qui lui a vendu la drogue? Ses copains Alf et Faouzi étaient-ils avec lui ? Le jeune Jules ne veut pas trahir ses amis en disant la vérité : c'est un ami du frère d'Alf qui lui a vendu la drogue.

Cette oeuvre me correspond en particulier les personnages représentés. En effet, je réagis de la même façon que ce personnage dans la vie, devant tout ce qui se passe en ce moment : le racisme, les violences conjugales, l'homophobie. Toute cette haine. Pourquoi ? Pourquoi les gens sont ainsi, cela me terrifie ! Quand je regarde ce tableau j'ai envie de crier, de m'exprimer, de sortir tout ce que je ressens, face à toutes ces injustices. J'ai envie que toute cette haine s'arrête.

Mon Autoportrait