La classe de 5e6, vive et curieuse s'est investie avec enthousiasme dans ce projet. Les élèves ont rédigé des récits futuristes et poèmes, laissant libre-cours à leurs émotions et sentiments. 

L'Utopie poétique des 5e6

Numook du collège Saint Joseph du Parchamp

Half tone yellow

Il leur expliqua aussi que l’accès au château était libre en dehors des grandes fêtes où le roi réservait certaines salles pour des banquets ou des bals. Le palais vu de l’intérieur était encore plus beau et resplendissant que de l’extérieur. De multiples tableaux, plus beaux les uns que les autres, avaient tous été peints par les plus grands et prestigieux artistes de la ville. De grandes galeries reliaient des salles immenses. Nos chers héros rencontrèrent des courtisans du roi si magnifiquement habillés. Ces étoffes de soie étaient, pour ainsi dire, assez originales. Ceux-ci étaient très fidèles au roi. Après être passés devant la salle des fêtes, Jules, Joachim et Mathieu arrivèrent à la salle des banquets. Ils y découvrirent deux grandes tables couvertes chacune d’une nappe brodée. Puis, nos amis arrivèrent à la salle du trône. Elle était richement décorée et couverte de tapisseries multicolores, racontant les épisodes marquant la vie de chaque roi. Le roi, assis sur son trône, les observait sans faire de bruit.

J'aime le goût exquis de la littérature classique. J'aime l'écriture me procurant un doux plaisir. j'aime le savoir obtenu par mes matières préférées. J'aime les sports tels que le vélo ou le tennis qui me permettent de m'amuser et de me dépenser. J'aime les bandes dessinées telles que "Les Tuniques Bleues", "Lefranc" ou "Alix". J'aime rêver dans ma chambre car mes rêves me transportent dans un autre monde.

Présentation des personnages -Jules: Il est très fort et original. Embarqué dans cette aventure le jour de ses 15 ans, il affiche un sourire agréable tous les jours. -Joachim: Il est intelligent. Il dirige l'expédition malgré son jeune âge (10 ans). -Mathieu: Il est drôle et rêveur. A 13 ans, il est toujours dans la lune.

Le plus curieux, c’était les lianes qui entraient par un trou au plafond et s’enroulaient autour d’un anneau au sol. Elle voulut appeler à l’aide, mais avant qu’elle ait le temps d’appeler, elle sentit la petite pièce monter. Les lianes semblaient être mises à rude épreuve, et Prune comprit enfin de quoi il s’agissait. Elle se trouvait dans un ascenseur ! Les lianes étaient soulevées par quelqu’un ou quelque chose et tiraient la pièce, la montant à un certain niveau, sûrement choisi par l’aubergiste. L’aubergiste, qui se nommait Hostal, la retrouva quelques étages plus hauts et la conduisit dans une vaste chambre, accompagnée d’une salle de bain avec baignoire, lavabo, miroir et toilettes. Le lit était en hauteur, et on y montait avec une échelle solidement fixée avec des planches en bois reliées par des lianes. Prune passa une très bonne nuit, certainement la meilleure de sa vie. Elle profita de tout ce qu’elle avait à disposition et, au petit matin, elle se sentait bien et était prête à retourner chercher des indices menant au sceptre impérial sur la plage. Mais la difficulté se montra au moment de payer. Hostal lui réclamait un brote – la monnaie de Florecer - qu’elle n’avait pas. Elle fut obligée de lui donner toutes ses économies pour payer la nuit, en lui disant que c’était très difficile d’avoir de telles pièces ici. Enfin, elle arriva sur la plage.

Half tone purple

Joachim, Jules ,Mathieu et l’histoire de la découverte d’un monde utopique

Par&nbsp;Alban, Lucian et Julian

A l'entrée de ce somptueux jardin se trouvait une affiche où les idées politiques du dirigeant de la cité étaient classées selon leur pertinence et également la fréquence d’application. Si le président voulait faire appliquer une loi, il devait organiser un référendum pour que chacun puisse donner son avis, mais généralement les habitants se mettaient d’accord avant d’aller voter. Le métier de pompier n'existait pas car en cas d'incendie tous les habitants faisaient la chaîne et se passaient des seaux d’eau les uns les autres pour éteindre le feu. Si une personne se blessait et que la blessure n’était pas trop grave, n’importe qui pouvait l’aider puisqu’ils connaissaient tous les gestes de premiers secours depuis leur plus jeune âge. Tous ceux qui vivaient dans la cité travaillaient peu car ils profitaient des ressources à portée de mains. Ils ne vivaient que de ce qu’ils produisaient et faisaient du troc au cas où il leur manquait quelque chose. Après avoir fait le tour de la ville, Thibault revint sur ses pas et rentra à nouveau dans le parc dans lequel il était arrivé quand il aperçut un enfant de son âge en train de faire ses devoirs, assis contre un arbre, il s’avança vers lui.

Marceau, Ethan, Charles, Virgile

plafonds s’écroulèrent, les gens couraient dans touts les sens en appelant, au secours. 	Toute la Terre fut détruite par ce terrible séisme. Il n’y eut aucun survivant sauf Laurent et Michel. Ils furent sauvés par la reine Almah. Elle était veuve, âgée de soixante deux ans et gouvernait l’Île Flottante. La reine avait recueilli nos deux héros pour les mettre en sécurité sur son Île Flottante. Elle leur donna la meilleure chambre de son palais, les meilleurs draps, les meilleurs coussins, les meilleurs lits afin qu’ils se rétablissent le mieux et le plus vite possible. 	Une fois rétablis au bout de six jours et six nuits, après avoir pris un bon bain, nos héros furent conviés dans la salle à manger. C’était une grande pièce, sobre, pourvue d'une cheminée, d'un lustre et d'une dizaine de petits

Temps d'échange et d'écriture poétique

Impressionnés par le gigantisme de la ville, ils restèrent sans bouger pendant plusieurs minutes à observer la cité et la nature inconnue aux alentours. Ils se rendirent compte que le nuit allait bientôt tomber ; ils décidèrent donc de s‘ approcher de la ville pour chercher un endroit où dormir. Et traversèrent donc l’épaisse jungle. Une fois arrivés aux portes de la ville, ils y entrèrent et furent stupéfaits par la beauté de la cité, qui à leur plus grande surprise, n’était pas blanche. Il ressentirent une décharge électrique. ils venaient de traverser comme une bulle un voile qui entourait la ville. Sous leurs yeux ébahis, une gigantesque ville venait de se créer. Elle était construite de grands gratte-ciel faits avec du marbre et des fenêtres en feuille d’or. De petits ruisseaux coulaient au bord des rues et des fleurs bordaient les avenus. Ils décidèrent d’explorer la ville et s’aventurèrent dans les grands boulevards.

La morale de cette histoire est qu’on a toujours besoin de quelqu’un sur qui compter puisque sans Oméga 3, Thibault n’aurait peut-être pas pu retourner chez lui. &nbsp;

Franchissant le pas de la porte, les deux collégiens se retrouvèrent dans une magnifique forêt. Dense et inquiétant, ce bois luxuriant était traversé par un petit ruisseau. Impressionné, James observait ce paysage tandis que Louna, curieuse, se dirigeait vers la rivière. Elle regardait le ru tranquille verser ses flots calmes, quand une idée lui vint. Concentrée, Louna se mit à dessiner sur l’affluent une barque bleue. Quelques minutes plus tard, la jeune collégienne invita James à monter dans le canot. Se laissant entraîner par le courant, l’embarcation progressa lentement sur les eaux, tanguant légèrement à chaque rapide. Les deux enfants traversaient lentement la futaie lorsque Louna, en tête de l’esquif, remarqua qu’une brume commençait à les envelopper. James se leva à demi pour comprendre l’origine du phénomène quand, soudain, le bateau fut pris dans un courant et projeté à pleine puissance contre le rivage. Sous le choc, les deux enfants s’évanouirent. Quelques heures plus tard, James se réveilla et vit, face à lui, une ville titanesque. Ebahi, il regarda avec étonnement la cité. Devant lui se dressaient tours, ponts et immeubles, dans un magnifique enchevêtrement multicolore. Elle ne possédait pas de quartiers distincts et semblait avoir poussé en un seul printemps, au milieu de la forêt. Du verre, des gratte-ciels partout et une infinité de canaux, de ponts et d’aqueducs se relayaient d’un bout à l’autre de l’horizon.

- Si je vous dis que j'aime ma famille - Si je vous dis que j'aime mes amies - Si je vous dis que j'aime ma chienne - Si je vous dis que j'aime les voyages à l'étranger - Si je vous dis que j'aime garder des secrets - Si je vous dis que j'aime la GRS et la Gym Aux Agres - Si je vous dis que j'aime les parcs d'attractions - Si je vous dis que j'aime aller au cinéma - Si je vous dis que j'aime lire - Si je vous dis que j'aime le maquillage - Si je vous dis que j'aime les restaurants - Si je vous dis que j'aime l'équipe du PSG - Si je vous dis que j'aime offrir des cadeaux - Si je vous dis que j'aime les fruits - Si je vous dis que j'aime faire du shopping - Si je vous dis que j'aime quelqu'un - Si je vous dis que j'aime les bonbons

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Je suis intelligent Je suis rêveur je suis humaniste Je suis ambitieux pour mon avenir Je suis pieux je suis aventureux et voyageur Je suis passionné par tout ce qui touche à la nature je suis un collectionneur naturaliste je suis un futur chirurgien

C’était en réalité l’Empereur. Il était grand, imposant, d’une cinquantaine d’années. Les épines de roses sur sa tête prouvaient sa résistance. Prune pensa d’abord qu’il lui voulait du mal, à cause de son air sérieux, qui donnait l’impression qu’il était en colère. Mais elle comprit qu’il était inoffensif quand il lui adressa un sourire triste. Il dit alors qu’il était le dirigeant de cette ville, ainsi que de toutes les contrées autour. Il se prénommait Napoléon Macaron. Durant toute sa présentation, la jeune adolescente comprit qu’il avait besoin d’elle. Elle ne savait pas exactement pourquoi, et cela la rendait nerveuse. Une fois que l’Empereur eut finit de parler, il alla s’asseoir devant Prune et lui dit : « Maintenant, je pense que tu es prête à savoir quelle genre de mission je veut te confier.»

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ils parlent une langue étrange. Je me souviens ensuite que j’ai mon traducteur universel. J’avais fabriqué cet instrument pour mon concours de technologie. En m’approchant, je me rends compte que c’est une fille qui parle. Elle est entourée de plusieurs personnes qui discutent de choses diverses. J’apprends que la fille s’appelle Stacy ; elle me demande d’où je viens et qui je suis. Je lui renvoie la question en lui demandant là où j’avais atterri. Je deviens pâle en découvrant que je suis arrivé en l’année 2634, dans une ville appelée Stay humain. La fille me fixant étrangement (elle doit me trouver un peu bizarre et perdu. Ou alors tout simplement me prendre pour un fou&nbsp;!) me propose de m’héberger, j’accepte puis la suis. Après avoir passé une espèce d’arche, tout devient plus clair et joyeux. Au bout de dix minutes, nous arrivons chez elle&nbsp;: une incroyable maison, on pourrait même dire que c’est une villa. Elle ouvre la porte, une personne est déjà présente…

<a href="https://www.istockphoto.com/fr/photo/piscine-futuriste-de-villa-moderne-de-nuit-sur-la-mer-gm1309759377-399374844?phrase=villa%20futuriste">piscine futuriste de villa moderne de nuit sur la mer - villa futuriste photos et images de collection</a>

C'est à l'initiative de Mme Beurier, enseignante documentaliste et de Mme Gonnet, professeur de français que notre classe de 5e6 s'est lancée durant l'année dans la création du livre numérique Numook, un projet "lecture jeunesse". Le livre est articulé en deux parties qui correspondent au thème du voyage : l'Utopie et la poésie. Au travers de textes illustrés, audios, nous vous invitons à parcourir le monde utopique et poétique de la classe de 5e6. Bon voyage !

Deux semaines plus tard, nous reçûmes un appel du Président de la République qui avait entendu parler de nos aventures et qui voulait en apprendre bien plus sur nous et nos découvertes. Une semaine après, nous arrivâmes à l’Élysée bien habillées et élégantes. Le Président nous félicita pour notre courage et pour la découverte de cette nouvelle planète. Le lendemain, nous reçûmes une invitation afin de faire partie de la meilleure équipe d’astronautes de France. Nous acceptâmes immédiatement et partîmes à la recherche de nouvelles planètes. Quelques années après notre aventure, d’autres astronautes voulurent découvrir la planète Valm. Mais une fois arrivés, la planète était totalement déserte, plus aucun lapin nulle part, uniquement des maisons vides. Le château quant à lui n’est jamais réapparu.

Pour passer le temps dans cette fameuse prison, nous nous remémorions ce que nous avions pu découvrir pendant notre première heure libre dans cette cité. A peine entrées dans la cité, nous constatâmes des rues vides comme abandonnées. Au loin, nous aperçûmes quelques habitants qui tournaient le dos pour aller dans la direction opposée.&nbsp; Les habitants de cette cité&nbsp;étaient&nbsp;des lapins d’environ un mètre de hauteur, qui se déplaçaient comme des humains sur leurs deux pattes arrière. Leur pelage étaient d’un bleu électrique. Nous continuâmes à visiter la cité tout en restant très prudentes.

chapitre 2 : La cité de Valm

En levant les yeux, nous aperçûmes des constructions dans les arbres, sûrement des écoles, remplies de lapereaux qui y jouaient tels des écureuils. Sur notre route, nous croisâmes des hôpitaux&nbsp;: ils ressemblaient à de gigantesques œufs de couleur bleu et rouge. Impossible de les manquer à cinq cents mètres à la ronde&nbsp;! Des campagnes de prévention, affichées dans toute la cité, concernaient une maladie sûrement très grave&nbsp;: «&nbsp;lapin-dicite&nbsp;». Les lapins bleus ne possédaient pas de pharmacies comme nous. Ils avaient des magasins qui s’appelaient «&nbsp;medicmagic&nbsp;» et ne contenaient qu’un seul médicament qui guérissait toutes sortes de blessures ou de douleurs sauf la fameuse maladie «&nbsp;lapin-dicite&nbsp;»

Laurent et Michel acceptèrent et ils allèrent se préparer. Lorsqu’ils sortirent du palais, ils assistèrent au plus beau spectacle de leur vie. Ils découvrirent une ville parfaite, parsemée de jardins pourvus d’arbres et de fleurs extraordinaires. Chaque maison avait une façade peinte d’une couleur différente ce qui offrait une superbe perspective sur l’allée des prés qui menait aux îlots-champs. Elles étaient toutes pourvues d’un écusson familial différent suivi du numéro de rue, et entourées d’un jardin resplendissant. La ville était propre.

La rue principale était remplie de boutique de jouets, de magasins d’alimentation et de magasin de meubles. On aurait presque pu se croire chez nous&nbsp;! C’est en prenant un peu de hauteur que nous aperçûmes un château depuis lequel les grands lapins rentraient. Ce château semblait se fondre dans le décor en prenant les couleurs environnantes. C’est pour cela que nous l’avions pas vu plus tôt. Nous décidâmes de rentrer rapidement afin de ne pas croiser les lapins. C’est en retournant à notre fusée que nous nous perdîmes et que nous fîmes la malheureuse rencontre de lapins gardes. Bâillonnées et les poignets liés, ils nous emmenèrent voir leur chef&nbsp;: le Grand Lapinou. Ce dernier nous parla d’abord dans leur langue «&nbsp;le Quick&nbsp;» puis voyant notre incompréhension, nous adressa la parole dans un français vraiment parfait et nous soumit à un interrogatoire&nbsp;:

Thibault et l’incroyable voyage à Paritopie

Sa vie n'a pas toujours été heureuse, mais le hasard va l'amener ailleurs. Voici l'histoire d'une amitié, d'un voyage dans l'espace-temps. La découverte d'un monde nouveau, idéal.

Elèves en 5ème6 à Saint Joseph du Parchamp, Vadim, Nayel et Adrien ont toujours été attirés par l'écriture et la science fiction. Thibault et l’incroyable voyage à Paritopie est leur première publication, l'occasion de nous faire découvrir leur univers.

Dans la même collection (parution à venir)

- Eulalie et le skate spatial - Jojo la crevette sympa - Un aller-retour pour le futur - Mon robot fait mes devoirs

Ecriture: Vadim, Nayel, Adrien Relecture, audios, mise en page : Adrien

Editions Le Parchamp

Futur Ecriture : Aaron, Clément, Guillaume Lecture à voix haute / narrateur : Guillaume

Sources Couverture : espazium.ch Photos : Berger Australien Passion, thurcroftinfant, CNET, SNCF Connect

Le conducteur pouvait enclencher une fonction de conduite automatique. C’était une magnifique invention que Clément et Guillaume avaient élaborée en 2100. Après le passage piéton, il fallait encore traverser les pistes cyclables. Les vélos roulaient à grande vitesse grâce à un moteur surpuissant que Aaron avait inventé en 2107. Je marchai sur le trottoir où je vis une fontaine luxuriante qui avait une eau transparente. Les passants s'écartaient toujours de Cosmo et moi. Dans la ville, il y avait certaines rues où la musique se faisait entendre et d’autres qui étaient calmes. On pouvait même percevoir le vent souffler. Je m’approchais de plus en plus du supermarché où je voulais me rendre, quand un robot m'en ouvrit 

les portes avec un petit rictus. J’entrai donc dans le splendide magasin orné d’un bois magnifiquement verni où tous les objets avaient leur place. Cela changeait des immenses gratte-ciels. J’allais vers le rayon «&nbsp;ustensiles&nbsp;» où l’on trouvait de nombreux objets impressionnants, fort utiles pour la cuisine. Je cherchais parmi la multitude d’ustensiles affichés dans le rayon. C’est alors que je tombais sur un lot de 5 tasses qui n’était qu’à 4,55€. Je me rendis à la caisse, très futuriste, dans laquelle il suffisait de déposer son ou ses articles dans un trou qui les scannait automatiquement puis indiquait le montant et ne faisait pas sortir l’article tant que nous n’avions pas payé. Je mis quelques pièces dans la caisse, suffisamment pour payer les tasses. Je ressortis du magasin et repartis

Consigne : Je rédige mon autoportrait sous forme de liste (mots, phrases, anaphore)

Un ensemble de grands bâtiments se tenait devant lui. &nbsp;Les immeubles étaient si gigantesques qu’on avait l’impression qu’ils touchaient les nuages. Les habitations étaient reliées par des passerelles. De plus, la verdure était davantage présente dans cette ville utopique que dans la ville natale de Thibault.&nbsp; A vue d’œil, en effet, cette nouvelle ville lui plaisait beaucoup plus que le monde d'où il venait. Cette ville circulaire et symétrique semblait parfaite. Il aperçut une affiche sur laquelle il était indiqué que cette cité avait le même diamètre que la Lune.&nbsp;Cette ville avait en son centre le palais du dirigeant entouré&nbsp;d’arbres fruitiers tels des poiriers et des pommiers au sein d’un immense jardin.

Chapitre 1 : La rencontre et le voyage

Thibault Bavourqui est un garçon de douze ans, grand et frêle, avec de grandes cernes sous ses yeux foncés. Il habite à Paris avec son père, Alain Bavourqui ; il n’a pas vu sa mère depuis ses six ans car elle a déménagé à New-York pour son travail. Tout ce que le jeune garçon sait d’elle, c’est qu’elle s’appelle Anne Bavourqui (son nom de jeune fille est Riglot). Elle est photographe animalière spécialisée dans les animaux marins. 	Le jeune garçon habite aussi avec Plume, un oiseau qu’il a sauvé quand le volatile n'était encore qu'un œuf. Ce dernier était tombé de son nid et Thibault l’avait recueilli mais la coquille s'était craquelée et un petit rouge-gorge était sorti de l’œuf.&nbsp;Depuis ce jour, l’oiseau et Thibault étaient inséparables.

Texte à contraintes : Raconte un souvenir en utilisant les mots "tracteur" et "pain d'épices" sans utiliser les lettres A et M !

Trois des tracteurs quittèrent l'entrepôt , tous trois pleins de pains d'épices, sous un soleil de rubis. Le soir tombé, les engins roulèrent plus vite pour que leur périple soit écourté. Ce qui est curieux, c'est que tous les tracteurs crevèrent et durent se stopper.

Ce Noël, je fus très heureuse puisque j'eus un gros lot de présents. Le dessert fut constitué de bûches de Noël et de pains d'épices. On m'offrit le plus superbe des jouets : un tracteur. Léonie et Manon

tableaux. Ils prirent un copieux petit déjeuner et se rendirent ensuite à la salle du trône pour y découvrir leur hôte. Ils y trouvèrent la reine, vêtue de sas tenue d’apparat : c’était une robe resplendissante brodée de fils d’or. Elle portait aussi un long manteau de fourrure ainsi que des ballerines. Ils sortirent donc dans les jardins du palais où ils parlèrent avec elle. Ils lui posèrent toute une série de questions auxquelles elle répondit. Ils en vinrent à lui poser la question suivante&nbsp;: «&nbsp;Mais où sommes nous&nbsp;?&nbsp;» question, à laquelle elle répondit&nbsp;:&nbsp;«&nbsp;Vous êtes sur l’Île Flottante&nbsp;». Quelle ne fut pas leur stupeur lorsqu’ils l’entendirent! Ils prirent même peur. Mais ils allaient bientôt s’apercevoir que cette île était loin d’être hostile.

CHAPITRE 3&nbsp;:LE RETOUR CHEZ SOI Pendant cet incroyable séjour, je scrute toute la ville et remarque des statues immenses représentant des architectes, des ingénieurs et d’autres personnes dont une qui me perturbe énormément&nbsp;: elle me ressemble étrangement. Je cherche à savoir qui est cette personne et découvre mon prénom accompagné de ma date de naissance et de mort avec en gras «&nbsp;créateur de la ville Stay Human&nbsp;» Après cette découverte colossale, je me concentre à nouveau sur ma mission&nbsp;: rentrer chez moi. Je vais chez Staycy récupérer l’engin chargé, caché dans le jardin. Après vingt minutes de marche, j’arrive. Je suis impatient d’utiliser ma machine. Je fais mes adieux à Staycy et sa famille, je prends et inscris sur l’écran de mon engin le date de mon départ ( 21 février 2023 à 16h55 et 31seconde: j’arriverai une minute après être partis de mon présent) . Je la fait démarrer. Je vais enfin rentrer chez moi. Je reste dans la machine un court temps pour découvrir si elle avait fonctionné. J’entends ma mère m’appeler pour le goûter. J’ouvre l’engin, tout est comme avant rien n‘a changer, je suis arrivé au moment prévu. Elle m’a fait mon goûter préféré de tartine de chocolat. Une chose me manque, Staycy, elle me manque, celle-ci était tellement gentille...

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- A besoin de se sentir aimée par ceux qu'elle aime. - A besoin qu'on passe derrière elle. - A besoin de réussir. - A besoin d'être la meilleure. - A besoin d'encouragements. - A besoin de toujours plus. - A besoin qu'on lui sourit pour passer une bonne journée. - A besoin de se faire plaisir avec toutes ses sucreries : bonbons, chocolat… - A besoin d'amener de la joie à ceux qu'elle aime. - A besoin de se dépasser. - A besoin de changer d'identité à travers le maquillage, les changements de tenues 4 fois par jour. - A besoin de se sentir intégrée. - A besoin de se dépenser dans le sport.

La catastrophe

Je cuisine des pains d'épices et tout d'un coup j'entends un gros bruit de tracteur vroooom je tombe sur le sol et j'emporte tout les biscuits. je doit tout refaire !

Victoire

Chapitre 2 : Bienvenue à Paritopie

Thibault se releva difficilement et ramassa Plume, son oiseau, le prit dans le creux de ses mains puis fit volte-face. Il chercha sa montre autour de lui et fut catastrophé de remarquer que deux pièces étaient endommagées. Impossible de revenir chez lui dans le passé sans sa montre en bon état ! Inquiet, il regarda tout autour de lui pour découvrir où il avait atterri. Le soleil brillait dans le ciel à son zénith, il en conclut donc qu'il devait être midi.

Chapitre 3&nbsp;: Un retour presque parfait

&nbsp;Il se dirigea vers ce garçon et se présenta&nbsp;: - Bonjour, je m’appelle Thibault Bavourqui. Et toi&nbsp;? - Bonjour, je m’appelle Omega 3. Peux-tu m’aider pour mes devoirs s’il-te-plaît ? - Oui, il n’ y a aucun souci. Les deux garçons mirent quatre heures pour terminer les devoirs d’Omega 3 puis celui-ci invita Thibault et Plume à manger et à dormir. L’enfant du passé était content de se faire héberger car il n’avait, dans ce monde, ni nourriture ni foyer. Après le repas, quand ils furent enfin seuls, Thibault lui raconta sa malheureuse aventure et partagea son inquiétude concernant sa montre endommagée. Un peu ému, Oméga 3 le consola et lui annonça qu’il allait l’aider à retrouver les éléments pour réparer sa montre.

Le lendemain matin, ils se levèrent tard dans la journée, petit déjeunèrent et sortirent de la yourte. Les six adolescents s’étaient mis en tête de visiter le grand et magnifique palais qu’ils avaient repéré la veille et surtout de savoir pourquoi tous les habitants étaient si gentils et portaient tous les mêmes tuniques blanches. Les enfants se mirent d’accord. Aboud, Joachim et Orchidée furent désignés pour visiter le palais tandis que leurs trois autres camarades visiteraient le vieux port. Mais quelque chose chose le dérangeait. Où était passé le dirigeant de l’île&nbsp;? En se dirigeant vers le palais, ils virent ce qu’il leur semblait être les accompagnateurs de leur hôte de la veille. Orchidée, la plus maligne du trio, proposa d’en assommer trois et de prendre leurs places. L’idée approuvée, ils firent comme prévu et entrèrent sans problème dans le palais. Dans le bâtiment, ils ne trouvèrent personne. Ils s’adossèrent au mur pour réfléchir et tout à coup ils furent emportés dans une sorte de toboggan&nbsp;.

Chapitre 2: Une nouvelle ville La femme qui attendait derrière la porte se présente. Elle dit être la mère de Stacy. Elle me questionne sur mon identité. Je lui mens en me faisant passer pour un enfant perdu. Heureusement, elle me croit, et nous entrons. Je découvre un gigantesque salon, décoré de choses et d’autres, comme ce magnifique vase de couleur bleu métal. Stacy m’emmène ensuite dans ma nouvelle chambre. Après avoir fait connaissance, je lui avoue tout: je viens en réalité du passé. Elle ne me croit pas tout de suite&nbsp;; je l’emmène alors voir mon engin. Elle reste dubitative devant ce que je lui présente. Elle m’invite ensuite à me promener avec elle dans la ville, m’apprenant que les gens élisent leur président tous les quatre ans. Pour chaque loi, leur vote est essentiel. Cette politique, basée sur une confiance générale et une croyance commune, m’impressionne. En avançant, je remarque un nombre important de fontaines, splendides, jetant de l’eau pure et limpide. Dans certains quartiers, il y a d’immenses immeubles, tous végétalisés&nbsp;: des arbres verdoyants, des plantes fleuries… J’aperçois aussi une sorte de rose, magnifique, dont les pétales reflètent fortement la lumière. De temps en temps, un marchand sympathique, dans une boutique ornée de pierres brillantes et de métaux précieux, me propose des aliments . Tout d’un coup un train en lévitation passe juste devant moi ! Je me questionne sur son fonctionnement.

chapitre 3 : Le retour

Après une longue semaine dans cette prison, un lapin vint nous adresser la parole pour la première fois depuis notre arrivée dans ce lieu. Afin de sortir d’ici, il nous proposa une énigme&nbsp;: -« Pourquoi nous, les lapins joue-t-on avec seulement trente-neuf cartes&nbsp;?&nbsp;» Margot répondit qu’avec&nbsp;les treize autres cartes, ils s’essuyaient leur derrière&nbsp;! Tout le monde ria et trouva cette idée impossible et ridicule&nbsp;!&nbsp; Victoire renchérit qu’ils faisaient du lancée de cartes avec, ce qui était très fort probable.&nbsp; Alice, pas d’accord avec ses amies, ajouta qu’ils s’en servaient peut être pour faire leur trait de eye-liner&nbsp;alors que les autres ne comprenaient rien à son langage trop moderne pour elles. Et pour finir, Livia, intelligente, trouvait toutes ces idées totalement ridicules et donna la bonne réponse&nbsp;:&nbsp; -« Ils jouent avec trente-neuf cartes car ils ont mangé tous les trèfles ! Le lapin acquiesça et nous ouvrit la porte. Nous courûmes pour sortir de la prison mais nous entendîmes un bruit étrange provenant de derrière, comme un grognement... Nous nous dépêchâmes de rentrer au vaisseau mais nous nous aperçûmes qu’il faisait déjà nuit. Nous partîmes alors dormir dans nos capsules de sommeil.&nbsp;

Chapitre 2 Une ville étrange &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Tout en visitant la cité et ses nombreux quartiers fleuris, Prune se rappela la mission que venait de lui confier l’Empereur. Cette mission consistait à retrouver son sceptre orné de roses comme sa couronne, perdu une semaine plus tôt. Pour un Empereur de Florecer, un sceptre représente la fidélité envers le&nbsp;peuple. Tout en explorant la ville, Prune décida de l’aider. Elle se mit donc à la recherche du sceptre. Comme il faisait chaud, Prune eut envie de se reposer. Après dix longues minutes de recherche, elle trouva enfin un endroit où s’asseoir. Elle alla dans une cafétéria en forme de tulipe. Puis, elle reprit son chemin. Après une longue réflexion, elle comprit ce que signifiait Florecer. Cela voulait dire «&nbsp;la ville fleurie&nbsp;»&nbsp;; dans cette ville, tout était en forme de fleur&nbsp;: cafés, maisons, bâtiments… Même la nourriture était principalement à base de fleurs. Les boissons aussi, d’ailleurs. La jeune fille se promenait maintenant dans le Parc principal de la ville, où se trouvait une grande tour en verre, dont Prune ignorait l’utilité. Elle décida donc de la visiter, conseil de l’Empereur. Vue de haut, Florecer ressemblait à un tournesol. Elle remarqua que les pétales servaient aux habitations, les feuilles aux magasins et le cœur de la fleur solaire au quartier des affaires, à la place principale et au parc dans lequel elle se trouvait. La tige était une longue route qui menait jusqu’à la plage. D’en haut, elle avait une vue sur toute la ville. Elle marqua des repères évidents et descendit.

Quand vint l’heure de se coucher Thibault s’endormit sur le champ. Le lendemain, les nouveaux amis se réveillèrent tôt et partirent de bonne heure en direction de la quincaillerie de la ville. Parmi les nombreux objets présents Thibault ne prit qu’un seul objet car aucun autre ne correspondait à ce qu’il recherchait.&nbsp;Un peu déçu par son unique trouvaille, Thibault s’assit sur un banc et se mit à se lamenter sur son sort. Omega 3 le rassura. Finalement, après une après-midi de dur labeur, ils réussirent à rassembler toutes les pièces de la montre, sauf une qui n’existait plus. Il fallait donc que les deux garçons trouvent du métal et de quoi fabriquer un moule pour recréer la pièce. Pour le métal, ils prirent les couverts tordus qui traînaient dans les tiroirs de la cuisine. Pour le moule, ils se rendirent dans une usine automatisée qui fabriquait des moules de toutes les tailles et de toutes les formes. Ils créèrent donc un moule, chauffèrent le métal et le firent couler une fois fondu à l’intérieur du moule. Enfin ils laissèrent refroidir le tout.

- Je suis passionné par l'informatique et par l'ingénierie - Je veux devenir ingénieur - J'aime bien travailler - Je suis petit et léger, je m'envole tel un ballon - Je suis rêveur et surtout créatif - Je suis patient et je ne suis pas mauvais perdant - Je mange plus de fruits que de légumes - J'aime bien McDonald's - Je suis un peu gourmand - Je pars souvent en colonie et en voyage avec mes parents - Je suis naïf - Je me suis déjà fait arnaquer dans un magasin anglais - Je suis sportif et toujours partant pour des défis mais je suis indécis - Je suis déjà allé à l'hôpital en maternelle - J'ai de bons résultats scolaires - Je me fait souvent gronder par mes parents mêmes s'ils sont très gentils - Je fait du Football, et du Tennis en club

- Je suis une allumette, mon corps et aussi fin qu'un squelette - J'ai des passions : l'informatique les jeux et les fruits de la passion - J'ai des pensées, souvent inutiles et désordonnées - J'ai un ami bizarre qui est original ; tellement spécial qu'il crée des dédales - J'ai des besoins humains tel que dévorer des pizzas à pleines mains

 bagages. En partant de la maison, je faillis oublier l’élément principal de la cause de notre départ à la campagne&nbsp;(pourtant c’était lui qui m’avais donné l’idée d’y aller). J’appelai donc «&nbsp;Cosmo!&nbsp;». Nous remplîmes la voiture volante de nos bagages encombrants et à ce moment précis, Thibault me demanda en revenant vers moi « Qui est Cosmo&nbsp;? Ton robot de compagnie&nbsp;? Tu en as acheté un&nbsp;?&nbsp;» me questionna Thibault d’un air moqueur. C’est alors que le "majestueux" animal entra dans le champ de vision de mon cher colocataire ébloui par la beauté du magnifique berger australien aux yeux bleus océan. Nous partîmes à 15h47 et 41 secondes - précisément - vers la campagne&nbsp;: ce lieu magnifique où il n’y a que de l'herbe et des

champs à perte de vue. Après deux longues heures de voiture nous arrivâmes à un port où nous pouvions apercevoir les vagues se briser contre les bateaux à voiles, nous pouvions entendre le cri des mouettes grisées par l'air marin. Nous prîmes alors un bateau à moteur pour aller rejoindre notre terre promise où nous vécûmes heureux avec le morceau de nature que nous cherchions dans notre cœur.

un jour, je suis né un jour, je suis heureux un jour, mes parents sont heureux un jour, mes parents se disputent un jour, je pars vivre dans le sud avec ma mère un jour, je ne suis plus heureux un jour, je pars vivre chez mon père un jour, je redeviens heureux un jour, j'ai des mauvaises notes un jour, elles redeviennent bonnes un jour, j'ai des amis un jour, mon père s'énerve un jour, je n'ai plus rien un jour, j'ai tout un jour, le soleil se couche

CHAPITRE 1&nbsp;: Un nouveau monde Adolescent de 15 ans, je suis plutôt timide et peu sociable. Je me nomme Hugo. Je suis grand, légèrement gros&nbsp;: c’est que je passe mon temps a travailler et non pas à faire du sport. J’adore les maths et la technologie mais en français… c’est autre chose. On me traitait d’«intello» car j’avais une moyenne générale de 18 minimum. Aujourd’hui, je veux vous parler d’une des constructions que j’ai créée, la machine à voyager dans le temps. Cela peut vous paraître fou, et pourtant c’est bien le cas, j’y travaille depuis trois ans. Je la considère comme la plus belle de mes inventions&nbsp;! Assez parler de moi, je commence mon expérience; il est 16h54 et 31 secondes. Je suis dans mon garage, la pression est de 970,465 pascals, la température est de 15,6°C à l’extérieur&nbsp;: de bonnes conditions pour tester ma machine. Je démarre l’engin&nbsp;; normalement je devrais me retrouver demain. Soit le 22 février 2023 à 16h58 et 19 secondes. Le dispositif bouge, puis commence à tourner. Je sors de l’appareil et regarde autour de moi&nbsp;: l’architecture ne ressemble pas du tout à celle de ma ville, et les gens sont habillés d’une façon très étrange&nbsp;! Où suis-je&nbsp;? Je m’avance avec ma machine, en me félicitant d’avoir songé à lui mettre des roues. Tout est lugubre et sombre mais les gens ont l’air sympathiques&nbsp;; certaines habitations, plus joyeuses, possèdent même un jardin. Je vois un groupe de personnes d’à peu près mon âge qui m’invite à les rejoindre, je ne comprends pas tout de suite ce qu’ils disent.

Prune atterrit dans un endroit complètement inconnu, dont elle n’avait jamais entendu parler. Elle leva la tête et vit une ville immense, avec des immeubles géants parsemés de fleurs, des parcs imposants peuplés d’arbres de toutes espèces confondues, des oiseaux des toutes les couleurs qui survolaient la ville, et plein d’autres merveilles encore. La jeune adolescente dut se pincer pour être sûre qu'elle ne rêvait pas. Mais à peine eut elle le temps de réaliser que tout était bien réel qu’elle fut tirée en arrière par un homme et emmenée dans une ruelle déserte. L’inconnu la bâillonna et lui banda les yeux. Il la prit sur son dos et parcouru la ville sans qu’elle sache où il allait. On la déposa sur un sol mou et on lui ôta les foulards. Le sol était en réalité parsemé de fleurs de cerisier. Face à elle, sur un trône taillé dans le bois, se tenait un homme vêtu de blanc et auréolé d’une couronne de roses.

source: pixabay.com

Après ma mort, ma vie ne sera plus la même Après ma mort, le paradis m'accueillera comme un ange Après ma mort, la fierté sera a jamais présente dans mon cœur Car oui , la présence de mal n'est point chez moi Après ma mort, les oiseaux chanteront avec mélancolie Après ma mort, les personnes qui m'aiment seront remplies de tristesse Après ma mort, seul mon coeur sera enchanté Après ma mort, ma conscience aura disparu a jamais Après ma mort, je laisserai mon amour pour le football sur Terre Après ma mort, je n'aurai plus la joie d'aller a Torreblanca Après ma mort, mon réveil ne sera plus éclairé par l'ouverture de mes volets Après ma mort, la saveur des tacos français n'atteindra plus mes papilles La mort m'enlèvera tous mes privilèges humains La mort me libèrera de toutes les contraintes humaines LUCA

je suis beau comme le soleil je suis rusé comme le renard je suis brillant comme une étoile je suis calme comme un hibou je suis cultivé comme un intellectuel je suis sociable comme une fourmi je suis moi et c'est très bien comme ça

-Je me souviens de toutes les fois où l'on disait que j'étais "grosse". -Je me souviens de mes récréations de primaire, assise sur un banc à lire de livres. -Je me souviens de mon ancienne chambre dans laquelle je dessinais en compagnie de mon cher matou un peu trop gros. -Je me souviens aussi des récréations dans lesquelles je jouais avec des vrais amis, mais me faisais juger car c'était des garçons. -Je me souviens de mes crises car je ne voulais pas aller dans un autre collège que celui de mes amis. -Je me souviens de mon premier jour de collège dans lequel je me sentais totalement perdue. -Je me souviens quand ma mère ma acheté un manteau jaune poussin, que je n'ai d'ailleurs pas lâché -Je me souviens des moments dans lesquels je redécouvrait ma meilleure amie d'enfance. -Je me souviens de ma première mauvaise note, l'annoncer à mes parents était la pire peur du monde. -je me souviens de la première gifle de ma sœur, j'aurais dû l'écouter. -Je me souviens du jour où j'ai eu pour la première fois les félicitations. -Je me souviens de mon chat obèse ayant plongé dans la baignoire remplie d'eau, j'aurai dû lui dire qu'il n'était pas un poisson. -Je me souviens du jour dans lequel j'ai du écrire mon autobiographie, j'aurai dû faire moins de ligne.

Le soir même Thibault reconstruisit sa montre et fit ses adieux à Oméga 3. Ce dernier donna à Thibault une photographie de lui en guise de souvenir. En remerciement Thibault lui offrit son collier. Puis, il appuya sur le bouton de sa montre et rentra chez lui.

Napoléon l’avait vu sauter de joie, et il avait réalisé qu’elle avait compris cette histoire et cette ville. Et soudain, il eut un flash. Calabaza. Il avait tout raconté à Prune et elle allait partir. Mais il voulait la garder dans cette ville utopique&nbsp;! Il eut une idée&nbsp;: s'il donnait de l’importance à Prune, elle resterait. C’est alors ce qu’il fit. À son tour, Prune fut surprise. Non, ce n’était que du blabla pour la faire rester dans ce monde. Soudain, Calabaza apparut derrière elle. L’Empereur eut l’air terrifié. Il lui dit que la porte allait apparaître pour que Prune rentre chez elle si elle en avait envie. La jeune fille ne comprenait rien. Soudain, la porte apparut. Derrière elle, elle entendait l’Empereur l’appeler doucement. Quand elle se retourna pour le regarder, elle crut voir son pire cauchemar. Car ce n’était plus Napoléon qui se tenait derrière elle&nbsp;mais la Mort. Prune se tourna vers la porte et courut. Mais la Mort la fit trébucher et elle tomba. Les fleurs au sol étaient fanées. Prune avança vers la porte. La voyant déjà à moitié fermée, elle continua. Elle ne savait pas si elle échapperait à la Mort. Une lumière l’éblouit. Pendant ce court instant, elle crut en la Mort. Elle fut surprise de voir Calabaza la défendant. Prune se releva donc et courut jusqu’à la porte. Elle se faufila par l’ouverture qui restait et se retrouva sur l’arbre dans lequel elle était montée avant toute cette histoire. Prune descendit&nbsp;les marche et sortit. Elle se vit étendue près de l’arbre, inconsciente. Et courut vers la fille qu’elle voyait pour la secouer et la réveiller, mais dès qu’elle entra en contact avec elle, elle se retrouva aspirée. Elle comprit. Prune s’était enfin réveillée dans son monde à elle.

Après ma mort, je ne serai plus le même Après ma mort, je serai accueillit comme un dieu Après ma mort, beaucoup de personnes seront tristes Après ma mort, je rejoindrai mes amies qui y sont déjà Après ma mort, mes habitudes changeront Après ma mort, je n'irai plus dans le sud à Nice Après ma mort, je ne mangerai plus de pizzas Après ma mort, les glaces n'auront plus le même goût

Sur le chemin du retour vers leurs foyers respectifs, James et Louna s’interrogeaient sur ce qu’ils allaient faire pendant les vacances lorsque cette dernière trébucha, manquant de basculer vers l’avant. Ayant rattrapé in extremis son amie, James saisit l’objet qui avait failli provoquer sa chute et l’observa. Il ressemblait à une pochette. Impatient de découvrir ce qu’il y avait à l’intérieur, il vida son contenu sur le sol. Une palette de feutres multicolores se répandit.

Instantanément, les deux enfants se regardèrent et commencèrent à dessiner avec frénésie sur le mur qu’ils longeaient, une fresque représentant une formidable cité. Quelques heures plus tard, alors que les deux jeunes gens, épuisés par leur travail, contemplaient leur œuvre d’art, leur attention fut attirée par la porte dessinée par James. Celle-ci avait commencé à s’ouvrir, laissant passer un filet de lumière de toutes les couleurs.

Ébahis, les deux enfants fixaient l’ouverture. Louna n’osait bouger mais James, attiré par ce nouvel horizon, s’approcha doucement de la porte. Sa camarade essaya de le dissuader d’avancer, mais ne pouvant articuler un mot, elle se résigna à se taire et regarda avec anxiété son ami. Le jeune garçon poussa alors délicatement la porte et fut immédiatement frappé par ce qu’il vit. Louna, inquiète, le rejoignit. Ensemble, ils franchirent alors le pas de la porte.

Mercredi 8 août 2222, mon cher colocataire Thibault et moi allions au Cosmopolitan, l'incroyable bar que nous tenions tous les deux. Plus tard, un vieux monsieur entra dans le bar et commanda un expresso. Comme Thibault me demanda de le servir, je voulus saisir une tasse qui m’échappa et se brisa aussitôt sur le sol. C’était une catastrophe&nbsp;: notre dernière tasse&nbsp;! Je partis donc en acheter d’autres au supermarché. Arrivé devant celui-ci, je m’aperçus qu’il était malheureusement fermé. En soupirant, je me résolus à me rendre à un autre supermarché qui se trouvait à 2 km de là.

En chemin, je contemplais le paysage urbain et futuriste de 2222. Mais en traversant un passage piéton, je vis un petit chien meurtri. Depuis que j’étais petit, je désirais un chien mais mes parents me l’interdisaient car, selon eux, un chien était sale, il fallait le sortir, le nourrir et faire toutes les autres tâches pour chiens. C’est alors que je remarquai un collier à son cou. Je reconnus tout de suite cette nouvelle invention : c’était un Cosmomessage. Cela permettait au maître de présenter son animal de compagnie, qu’il avait abandonné, à un potentiel nouveau maître. Je décrochai le Cosmomessage de son cou afin de l’écouter. Le message disait «&nbsp;Bonjour, je m’appelle Cosmo, je suis un berger australien, je pèse environ 25 kilogrammes, je mesure 58 cm, j’ai 6 ans et je suis un mâle.&nbsp;».

Chapitre 1&nbsp;:Un voyage extraordinaire Nous sommes en l’an 2150. Il est 3 heures du matin, les fiers aventuriers de l’espace se préparent au décollage de leur vaisseau spatial. Plus que deux minutes&nbsp;! L’angoisse qu’ils pensaient ne pas ressentir est à son comble. Le décompte commence. 10, 9, 8, 7, 6, 5, 4, 3, 2, 1 décollage! En un instant, le vaisseau s’élance vers l’espace à une vitesse supersonique. On ne voit presque plus qu’un tout petit point dans le ciel, noir et couvert d’étoiles. À l’intérieur du vaisseau très futuriste, nos trois amis s’affèrent à différentes tâches très variées&nbsp;: Joachim le conduit, Mathieu essaie de dormir tant bien que mal et Jules fait du sport. Ils ont déjà atteint la vitesse inimaginable de vingt mille kilomètres&nbsp;/heure. Or cela fait déjà une heure et quart qu’ils ont quitté la Terre. Mathieu prend alors la relève aux commandes et Joachim va se coucher. Enfin, en vitesse de croisière, ils ont à peine le temps de s’endormir qu’un voyant rouge s’allume&nbsp;: sur leur route, un astéroïde s’avère très dangereux. Jules désactive le mode automatique et passe en mode manuel. Il arrive à esquiver le rocher juste à temps&nbsp;! Celui-ci a enfin le temps de souffler. Nos explorateurs passent devant de nombreuses galaxies qu’ils ne sauraient nommer. Leurs différences et leurs variations de taille et de forme font leurs richesses. L’univers leur paraît beaucoup plus beau d’en haut&nbsp;: la vue est exceptionnelle&nbsp;! Les camarades du vaisseau en sont émerveillés. Sur le chemin, ils découvrent toutes sortes de planètes bien différentes de celles du système solaire.

James et Louna étaient émerveillés par l’architecture ultra-moderne de la ville mais cette question continuait de les hanter: « Où étaient passés les habitants ? ». Ils se demandaient si ces derniers restaient chez eux derrière leurs écrans. N’y avait-il pas de lieux où ils se retrouvaient pour se promener, jouer ou partager un bon moment entre amis ? L’immense solitude qui émanait des visages des rares passants qui déambulaient dans les rues désertes ne les rassurèrent pas. Troublés par ce vide, les deux adolescents s’aperçurent qu’aucune décoration, sculpture ou fantaisie n’embellissaient les immeubles. De cette ville belle et efficace se dégageaient une grande froideur et la nature qui ornait les façades n’arrivait pas à effacer cette impression. Devant ce paysage sans âme, James et Louna réalisèrent que la ville parfaite n’existait pas, qu’il s’agissait d’une utopie. Attristés par cette découverte, les deux jeunes gens furent pris de nostalgie. Ils voulaient retrouver leur vie d’avant, si joyeuse et si chaleureuse.

chapitre 3&nbsp;: La fuite Pendant que Victor, Alexandre et Axel essayaient de retrouver leur bateau, Joachim, Aboud et Orchidée, partis pour visiter le palais, tombèrent tout les trois dans un toboggan&nbsp;; qui les amena directement sous le sol . La descente terminée, les adolescents ne savaient pas où ils avaient atterri. Aboud s’était ouvert assez sévèrement le genou et saignait abondamment . Alors, Orchidée chercha un moyen de stopper l’hémorragie de son pauvre camarade. Joachim déchira un pan de sa tunique et le donna à la jeune fille. Celle-ci lui fit un bandage de fortune, ce qui freina momentanément la blessure du jeune homme. Ils reprirent l’exploration fastidieuse de ce dédale mais durent rapidement s’arrêter car le blessé peiner à avancer. Joachim se proposa pour porter Aboud et ils continuèrent donc leur avancer après une longue marche le trio arriva devant un cul-de-sac.

Voulant échapper à ce lieu devenu effrayant, James et Louna remontèrent sur le skate volant et s’éloignèrent de la cité de verre.

Heureux d’être rentrés chez eux, James et Louna réalisèrent la chance qu’ils avaient eue de découvrir un autre monde. Ils aspiraient à partager leur découverte avec leur famille et leurs amis. Leur ville n’était peut-être pas la plus belle mais ils appréciaient sa convivialité. Ils aimaient pique-niquer et jouer avec leurs amis dans le parc, voir les habitants discuter aux terrasses des cafés et participer aux fêtes organisées par la ville. C’était leur idéal.

Survolant le fleuve et la forêt, ils se mirent à la recherche de la porte qui leur avait permis d’accéder à cet univers. Après quelques heures de vol, l’ayant trouvée, ils atterrirent et franchirent ensemble – dans le sens inverse - le pas de la porte.

je suis heureux je suis gentil je suis intelligent je ne suis pas casse-pied je suis blond je suis Français je suis dyslexique je suis jeune je ne suis pas amoureux je suis ami je suis ennemi je suis attentif je ne suis pas distrait je suis gourmand je suis ravissant d'après Charles je suis réveillé

je suis fatigué je suis intrépide je suis ni fort je suis ni faible je suis protecteur je suis habile je ne suis malhabile je suis ni rapide je suis ni lent je suis moi je suis : Virgile

Chapitre 1 Il était une fois, un groupe d’adolescents voyageant sur les mers à la recherche d’un monde meilleur. Lors de leur passage entre les deux océans qui séparaient leurs deux mondes , les enfants s'inquiétaient car ils manquaient de provisions. Ils décidèrent de s’arrêter sur une île qui leur paraissait accueillante. Arrivés sur la plage , ils jetèrent l’ancre et descendirent de leur navire. Au moment de passer la porte de l’île , ils virent des personnes leur apporter des sortes de petits gâteaux. Les gens de cette île avaient l’air d’être gentils et agréables. Les habitants leur présentèrent leur ville et ils proposèrent à nos adolescents de s’assoupir dans une grande yourte que les habitants leur avaient offert chaleureusement . Les adolescents rentrèrent dedans. Joachim, Orchidée et Aboude étaient abasourdis par ce qu’il venaient de se passer. Tous les trois discutèrent de cette accueil et étaient d’accord sur le fait que ces personnes étaient trop gentilles pour l’être naturellement et que cette île était elle aussi trop parfaite pour ne pas cacher quelque chose. Pour l’instant, les adolescents décidèrent d’y réfléchir plus tard et essayèrent de profiter de leur séjour sur l’île. Le dirigeant annulaire de l’île qui les avait accueilli leur avait proposé d’aller prendre le dîner avec lui. Alors ils reprirent leurs bagages qui étaient sur leur bateau et revêtirent leurs plus beaux vêtements. Ils allèrent souper et retrouvèrent les petits gâteaux qu’ils avaient tant aimé lors de leur arrivée. Puis les adolescents partirent se coucher.

Je suis de taille moyenne, je ne me coiffe jamais J'ai des lunettes car je suis myope Je joue énormément aux jeux vidéos Je mange souvent Mcdo donc je suis un peu enrobé Je suis blond de cheveux et blanc de peau Je me lave un jour sur deux Je suis plutôt bon au collège car j'ai des bonnes notes Je mange aussi beaucoup de tacos, j'aime beaucoup ce plat J'ai des yeux bleus et un nez de forme arrondi Je n'aime pas trop les légumes, j'adore les pâtes, ce n'est pas cher et c'est exquis J'adore jouer à l'ordinateur, à la PS5, sans compter mon téléphone Je suis heureux d'être né en France, un pays où il n'y a plus de guerre depuis 60 ans, un pays où l'on gagne les guerre, un pays avec de bons joueurs de football, un pays où l'on peut manger du fromage en grande quantité, où il n'y a pas famine... Je regarde souvent youtube, mes yutubeurs préférés sont Michou et Inoxtag, ceci me rend paisible lorsque je suis désespéré J'ai des papis très gentils, de même pour mes mamies J'ai encore ma mémé, même si je ne la vois pas souvent J'ai beaucoup d'autre personnes dans ma famille qui sont très gentils: mes deux frères, mon père et ma mère, mon chien, mes trois tontons, mes trois tantes, mes trois cousins, mes quatres cousines et les chiens de mes cousins Julian

- Je suis décidé - J'aime le rugby et je suis très fort - Je suis blond - J'ai les yeux bruns - Je suis joyeux - Je suis très perspicace - J'adore les pizzas et les pâtes - Je suis étourdi - Un jour j'ai des mauvaises notes, un jour j'ai des bonnes notes - J'aime les sushis - Un jour, j'ai lu un livre - Un jour, je regarde la télé - Je ne suis pas efficace lorsque je suis fatigué et lorsque j'ai faim - Un jour, je suis joyeux - Un jour, je suis excité - Un jour, je suis en colère, un jour je suis terrifié - Un jour, je suis triste Bref, je suis Félix en classe de 56 au collège de St Joseph du Parchamp qui se trouve dans la ville de Boulogne Billancourt

<a href="bookcreator://page/eRHC72NEQASaRxu8dhH_mg">Partie I : l'Utopie</a> <a href="bookcreator://page/speWFJ7PRD-aDJqX0DjwSA">Partie II : Atelier d'écriture avec J-M Espitallier</a> <a href="bookcreator://page/WvzYigWyQcGSSl9ohkAxgA">Remerciements</a> <a href="bookcreator://page/cs1f3bXrSHSG6333duOlug">Sources</a>

<a href="bookcreator://page/Urs5Qo4wQ4KSavizQ43nxw">Le voyage imaginaire</a> <a href="bookcreator://page/FBV3S1RLR5e84Xjf-H4BcQ">Futur</a> <a href="bookcreator://page/WALVUftBQU22nsXLSK25KQ">L'île utopique</a> <a href="bookcreator://page/8F0ou5ZbQn-0Ps348K-syQ">Le voyage du temps</a> <a href="bookcreator://page/j6gTQA4CS0-mHmzcQZfHbA">L'île inconnue</a> <a href="bookcreator://page/kd-f4fqeRAqOqhfBtErg1Q">Thibault et l'incroyable voyage à Paritopie</a> <a href="bookcreator://page/2gjrwjZARjWjYcQTFziGJw">Joachim, Jules, Mathieu et l'histoire de la découverte d'un monde utopique</a> <a href="bookcreator://page/3ljeyMdESseYuoa8LhZN7Q">Futur 123</a>

L’air était doux. La ville brillante de mille feux sous l’effet de la lumière offrait un aspect calme et accueillant. Aucun bruit ne venait perturber ce magnifique décor. Au milieu du grand silence, se déplaçaient, sur terre comme dans les airs, les habitants dans un lent et paisible mouvement. Emporté par la curiosité, l’écolier réveilla Louna et l’invita à partir à la découverte de la cité. Voyant à quelques pas un parking rempli de skates volants, ils décidèrent d’en emprunter un, montèrent dessus et partirent à la découverte de la ville. Après quelques minutes de vol, ils avisèrent une plate-forme, atterrirent et s’engagèrent dans une rue. Heureux et confiant, ils pénétrèrent dans la ville. Entrés dans la mégapole, les enfants découvrirent ses vitrines. Magasins, banques, cafés, terrasses et bureaux se succédaient à perte de vue le long de grandes avenues. Les étages supérieurs des immeubles arboraient des façades plantées d’arbres et de fleurs resplendissants. Au-dessus de leurs têtes filaient, sans bruit, voitures volantes, drones-taxi et dirigeables. Dirigeant la cité millénaire, les nombreux ministres du Grand Directoire sont élus tous les 10 ans par un vote populaire. Ceux-ci attribuent à chaque habitant un travail en fonction de ses compétences. Organisée en différents départements, l’administration était responsable de la sécurité des habitants, de l’économie de la ville et de l’organisation des référundums. Civilisation et nature formaient une belle harmonie. Tout semblait parfait. Peut-être même trop parfait. Où était passée la foule qui fréquentait habituellement les magasins des boulevards ?

Thibault est très en avance sur son âge D’ailleurs, il a toujours été le premier de sa classe. Sa passion est de créer des objets scientifiques qui pourraient l’aider dans sa vie quotidienne. Un jour, alors que son père lui avait demandé de se mettre en pyjama, Thibault monta les escaliers quatre à quatre et courut dans le couloir pour enfin arriver dans sa chambre. Il se mit en pyjama rapidement, plia ses affaires et les rangea dans son armoire. Le jeune garçon fixa longuement son étagère où se trouvait une photo de son père, de sa mère et d'un garçonnet. Il ne se souvenait pas de cette époque mais en visionnant le visage tout heureux du nourrisson, Thibault savait qu’autrefois il était certainement bien plus heureux qu’aujourd’hui.

Je vois enfin le bâtiment. Nous rentrons. L’intérieur est plein à craquer d’administrateurs, de scientifiques et de gens étranges. Stacy, m’agrippant le bras, m’entraîne dans une minuscule pièce. Elle me prévient que nous avons une heure avant d’être repérés. Au bout de ce qui me parut une éternité, je place la dernière pièce de ma machine. Je vérifie que l’appareil s’allume, mais cela ne marche pas&nbsp;: il faudra la faire charger au moyen d’électricité pendant quelques jours.

<a href="https://pixabay.com/fr/illustrations/machine-%c3%a0-remonter-le-temps-avenir-859335/">machine-à-remonter-le-temps-avenir-859335</a>

L'envie de conquérir ces pays étrangés : Grèce, Punta Cana, Miami ... L'envie d'escalader des falaises L'envie de perfection L'envie d'attraper ces lumières L'envie d'amour et de tendresse L'envie de sucreries (chocolats, bonbons pop-corn) L'envie du paradis (plus tard) L'envie d'être plus belle ! L'envie de rigolades L'envie de toucher son cœur L'envie d'être la meilleure L'envie d'écouter ces musiques (brûle, Intro, Motel) L'envie de fêtes L'envie de faire un concert de guitare L'envie de fasciner ma famille L'envie d'écrire ma vie

Son rêve : Son père lui jure que les récoltes terminées et le tracteur nettoyé, il peut déguster de délicieux pains d'épices. Ces sucreries, il les dévore souvent. Son goûter fini, il se précipite vers son monde de lego et il invente de nouvelles histoires...

CHAPITRE II : La découverte

La Terre s’est faite détruire par un séisme géant. Michel et Laurent sont sauvés par la reine Almah, qui gouverne l’Île Flottante. Elle les recueille alors dans son palais. 	La reine leur expliqua donc pourquoi et comment ils s’étaient retrouvés sur cette île. Elle leur expliqua aussi où ils étaient car c’était certainement la question qu’ils se posaient le plus. Elle leur proposa ensuite d’aller faire le tour de l’île, car ils y habiteraient probablement un long moment.

L'île Utopique

Nous remercions Mme Doinel et l'association Lecture jeunesse ainsi que J-M Espitallier pour leur accompagnement. Un grand merci à la classe de 5e6 qui s'est investie avec sérieux sur ce projet et à nos professeurs qui nous ont permis de découvrir l'aventure Numook !

Chapitre 2&nbsp;: La découverte de la ville Arrivés sur l’île inconnue observée du vaisseau, nos trois explorateurs la visitèrent. Cette ville, grande et majestueuse, était située sur une île flottant parmi d’autres , dans le vide intersidéral&nbsp;; mais celle-ci était beaucoup plus vaste. Elle était composée d’une multitude de pierres précieuses et les maisons décorées d’or et d’argent. La ville se nommait Baltie&nbsp;; les habitants, les Baltians, étaient chaleureux et très accueillants. L’eau, d’une pureté inimaginable, était filtrée par des diamants et des cristaux. Les habitants entretenaient parfaitement leurs maisons. Dans cette ville, utopique, la végétation était luxuriante. C'était un vrai paradis. En se promenant dans les rues calmes et ensoleillées, Jules, Joachim et Mathieu découvrirent un grand marché où de nombreuses odeurs se mélangeaient. Les gens qui s’y baladaient étaient tous heureux. Les étalages étaient couverts de fruits et légumes de toutes les couleurs. Les boutiques proliféraient. Plus ils avançaient vers le cœur de la cité, plus les rues et les maisons étaient belles et décorées. Après de longues minutes de marche, ils arrivèrent devant un palais majestueux. Il était fait de jade, d’ambre, de saphir, d’émeraude et de toutes les pierres précieuses que compte ce monde. Un passant les interpella. Il leur expliqua que c’était le palais du roi nommé Balatique ll. Ce roi, bon, veillait sagement sur les Baltians.

Ils rencontrèrent aussi tous les habitants car la tradition voulait que la communauté vienne saluer les nouveaux arrivants. Ils semblaient tous aussi bienveillants les un que les autres et avaient tous le même visage sympathique. Michel et Laurent se plurent vite sur cette île et s’installèrent chacun dans une belle demeure sur l’allée des prés. Ils ne savaient pas quand ils pourraient retourner sur Terre mais, peu leur importait, après tout. L’Île Flottante les ravissait pour l’instant.

Fin

Ils ne comprirent pas comment cela était possible et ils décidèrent de chercher une sorte d’ouverture pour un autre passage secret comme celui du palais&nbsp;. Orchidée la plus maline des trois commença par poser son oreille sur le mur de pierre et en même temps elle frappa dessus et elle entendit une sorte de creux ce qui voulait dire que ce n’était pas un vrai mur et elle entendit une voit semblable à celle du président annuaire qui disait qu’il voulait abattre tous les adolescents. Alors le trio prit la décision de s’en aller de cette île une bonne fois pour toute alors ils mirent à courir vers leur point de départ sauf qu’Orchidée buta sur un cailloux qui ouvrit une brêche&nbsp;! Ils virent leur bateau , montèrent et partirent sans jamais regarder en arrière&nbsp;!!!

Les Baltians, ayant changé d’avis, empruntèrent ce navire spatial et partirent sur Terre pour en découvrir ses habitants extraordinaires. C’était la première fois qu’ils sortait de leur île. Ils découvrirent les mystères infinis de l’univers. Pendant ce temps, dans le vaisseau, nos compagnons de voyage spatial rentrent sur Terre. Ils arriveront dans deux jours. De le leur côté, les Baltians découvraient les multiples fonctions qu’offrait leur vaisseau. Émerveillés, leur vue était magique. Ils se dirigeaient inexorablement vers ce but ultime : la Terre. Ils découvrirent alors la joie d’y vivre. Nos trois jeunes hommes comprirent que pour être heureux, le plus important était d’être aimé.

Chapitre 1 Florecer Prune courait, courait sans s’arrêter à travers la forêt. Elle versait enfin ses larmes, ses larmes de colère, qu’elle s’était empêché de verser à l’annonce de la mort de sa grand-mère quatre ans plus tôt. Ses larmes qu’elle s’étaient empêchée de verser à l’enterrement de cette dernière, morte d’une maladie incurable. Elle n’était pas en colère contre sa grand-mère, non, mais contre ses parents. Ses parents qui savaient avant elle et qui ne l’avaient pas prévenue pour qu’elle s’y prépare. Depuis ce jour, Prune&nbsp;voulut se venger en devenant une enfant rebelle et turbulente, à la maison comme à l’extérieur. Mais ses parents se fichaient d’elle. Ils ne lui adressait la parole uniquement pour lui faire des reproches, pour la maudire ou la rabaisser. Voilà pourquoi Prune avait décidé de fuguer, après une énième dispute avec eux. Elle était partie sans rien pour se nourrir ou pour la protéger. Après trois heures de course continue dans la forêt, la jeune adolescente décida de s’arrêter pour reprendre son souffle et chercher un point d’eau. Mais au lieu de trouver un ruisseau, elle trouva un arbre étrange. Il dégageait une aura qui l’attirait, comme s’il lui parlait. Elle resta devant une bonne vingtaine de secondes, sans comprendre. Elle s’appuya dessus pour se reposer mais l’écorce de l’arbre s’enfonça et une porte s’ouvrit. Des escaliers montaient. Elle les suivit et arriva au milieu du feuillage. Là, elle vit une porte. Elle ouvrit et se retrouva aspirée.

Gourdes d’eau, sachets de nourritures lyophilisés, peluches et maquillage dans le sac&nbsp;: nous partîmes à bord de la fusée Pluton II. Après 2 mois de voyage, le 25 février 2524, nous découvrîmes une étrange cité sur un nuage et tout ça dans l’espace&nbsp;! Très étonnées de découvrir cette cité sur notre orbite loin de notre destination, nous décidâmes d'attérir sur ce fameux corps céleste pour la découvrir.

vers le Cosmopolitan. Je repassai devant ces énormes bâtiments ornés de végétation. Les bâtiments étaient tous symétriques et les rues étaient très organisées. J’arrivai enfin à ma destination et retrouvai Thibault. Je lui donnai les tasses, partis donner à manger à Cosmo et retournai au travail.

Le lendemain matin, au petit-déjeuner, je voulus proposer à Thibault une idée qui m’était venue soudainement en tête : partir à la campagne&nbsp;! Il me dévisagea d’un air abrupt&nbsp;: - Mais pourquoi&nbsp;? dit Thibault. - Je voudrai découvrir le paysage campagnard. Je voulais partir à la campagne depuis longtemps pour voir à quoi cela ressemblait (je n’y étais jamais allé, ou plus exactement je n’avais jamais voyagé). Cependant, j’appréciais beaucoup la ville car les différents services y étaient très accessibles (les supermarchés, les librairies …). Après une journée de concertation nous nous mîmes d’accord&nbsp;: nous partions pour la campagne&nbsp;! Le soir, nous fîmes nos

Des scientifiques avaient effectué divers calculs très simples, afin de trouver une nouvelle planète, sur laquelle on pourrait éventuellement habiter. Nous avions été mandatées pour nous y rendre, effectuer des prélèvements et faire un premier test de vie. D’ailleurs, nos supérieurs nous avaient demandé d’écrire un journal de notre voyage, le journal, que vous êtes justement en train de lire.

Une fois dessus, nous découvrons que l’oxygène est seulement accessible pour ses habitants et nous ne pouvons plus marcher sur les pieds comme sur Terre, nous avançons automatiquement sur les mains et cela sans se fatiguer&nbsp;! Cette sensation est bien étrange car nous voyons tout à l’envers. Tandis que je prends diverses notes, avec mes pieds, telles que la température, la pression atmosphérique, ou d’autres choses, nous pénétrons dans la cité. Après une longue heure de découverte, nous apercevons des lapins bleus, qui eux marchent à l’endroit et nous pourchassent&nbsp;! Mais après cinq minutes de course-poursuite, ils nous passent d’étranges menottes et nous bandent les yeux.&nbsp; Quand enfin ils nous retirent ce qui nous cachait la vue, nous découvrons une prison hors du commun …&nbsp;

Illustrations de la première de couverture et de la première partie du numook, p.43 : Charles, Diego, Victoire, élèves de 5e6 Photos de l'atelier avec J-M Espitallier : F. Beurier CC Photos libres de droit : Pixabay.com Attribution espazium.ch thurcroftinfant.co.uk cnetfrance.fr Sncf-connect.fr

Tout contenu publié pourra être retiré sur demande de l’auteur.

-j'aime la couleur du ciel qui est aussi la couleur de mes yeux -j'aime ce blond vénicien que sont mes cheveux -j'aime ces sports comme la natation et le tennis -j'aime ce piano auquel je transmets mes émotions -j'aime le skate -j aime, j'adore même la musique -j'aime ces dessins que je crée -j'aime la lune, le soir -j'aime le soleil qui illumine les jours -j'aime l'été, cette chaleur qui annonce les moments de plage -j'aime l'hiver, cette neige qui en fait un paysage magnifique -j'aime les skateurs qui m'inspirent pour les habits -j'aime les pâtes à la truffe -j'aime ce que j'aime (pas de sens)

- Qui-êtes vous&nbsp;? - Que venez vous voir&nbsp;? - Comment nous avez-vous trouvés&nbsp;? - Êtes-vous des Terriens&nbsp;? Ou bien des envahisseurs&nbsp;? Trop surprises et apeurées pour pouvoir répondre, nous nous retrouvâmes emmenées de force dans cette prison encore plus extraordinaire que nos découvertes préliminaires.

Nous nous réveillâmes et aperçûmes que de nombreux lapin-gardes entouraient le vaisseau. Alice avait envie de retourner voir le château car, pour elle, là était sa place telle une reine. Mais, un mauvais pressentiment nous suivît et Livia nous chuchota&nbsp;: -Je ne me sens pas bien, nous devrions partir vite d’ici tout de suite&nbsp;! Nous acquiesçâmes et Victoire se jeta aux commandes de l’engin. Nous nous envolâmes alors pour retourner sur Terre. Après un long voyage, occupées par les blagues de Margot, nous arrivâmes sur Terre, acclamées par les habitants de notre ville. Pour nous féliciter, les parents d’Alice organisèrent un banquet de Noël afin que nous racontions la découverte incroyable que nous avions faite. Après un temps de narration, nous conclûmes qu’il existait une étrange île flottante dans l’espace habitée par d’inhabituels lapins bleus. Il était donc possible que de nombreuses autres planètes habitées par de nouveaux spécimens puissent exister dans l’espace.

Puis soudain, le vide, le néant total&nbsp;! Le vaisseau était inexorablement attiré par une force d’attraction surpuissante&nbsp;...un trou noir&nbsp;! Impuissants et désemparés, nos héros ne sont pas de taille à lutter. Serait-ce la fin pour eux&nbsp;?... Non miraculeusement, après s’être fait aspirés par l’élément le plus puissant de l’infini, ils sont encore entiers&nbsp;! On peut même dire qu’ils ont découvert un nouveau monde! Ce monde était composé d’un groupe d’îles. Il y en avait d’ailleurs une au centre, plus grande que les autres. Elle était magnifiquement belle. On aurait dit un pays et sa capitale. Nos amis décidèrent de s’y poser à l’aide de leur vaisseau.

J'ai des yeux bleus comme la mer Et j'ai beaucoup de caractère Je suis fort dans toutes les matières Malgré cela je ne sais me taire J'ai des défauts et des talents J'aime les gâteaux, je suis gourmand Je ne sais pas pourquoi je n'aime pas les règles Mais ce que je sais vient de moi Axel I.

- me croirez-vous si je vous disais que je suis différent de votre personne ? - me croirez-vous si je vous disais que je fus un enfant à enfance difficile pour cause d'enfantillage ? - me croirez-vous si je vous disais que je fus, que je suis et que je serai

un philosophe amoureux ? - me croirez-vous si je vous disais que le plus profond n'est autre que la peau ? - me croirez-vous si je vous disais que j'adule au football en voulant être footballeur mais n'étant qu'un footix ? - me croirez-vous si je vous disais que la vie ne se résume qu'a un pissenlit ? - me croirez-vous si je vous disais que chez FUJIYAMA, je préfère la sauce salée à sucrée ? - me croirez-vous si je vous disais que l'intelligence n'est que la culture de soi-même ?

Pixabay.com Alexandre et Victor A.

"Les beaux livres sont écrits dans une sorte de langue étrangère" Marcel Proust

- J'aime lire. - J'aime manger. - J'aime dormir. - J'aime jouer. - J'aime faire du sport. - J'aime parler. - J'aime rire. - J'aime les mangas. - J'aime les romans. - J'aime les BD. - J'aime les nouvelles. - J'aime rêver. - J'aime dormir le matin quand il fait jour. - J'aime râler quand on vient me réveiller.

- J'aime mes doudous, ma couette et mon oreiller. - J'aime les arts martiaux. - J'aime l'équitation. - J'aime les échecs. - J'aime le basket. - J'aime le tennis. - J'aime ma famille. - J'aime mes amies. - J'aime la nature. - J'aime les animaux. - J'aime les plantes. - J'aime les films. - J'aime les dessins animés. - J'aime les jeux vidéos.

chapitre 1 : La découverte d'une ville futuriste

Va-t-on réussir à sortir de cet endroit ? C'était une bonne question, commençons d’abord par le début. Nous étions quatre meilleures amies qui se connaissaient depuis notre enfance, nous avions étudié dans la même école depuis la maternelle. - " Je suis Livia, j’ai 22 ans et j’aime travailler (surtout les langues car c’est très utile dans notre système solaire). J’ai une amie qui se nomme Margot, elle est très drôle mais aussi très maladroite&nbsp;: elle s’est cassée 2 fois chaque pied et chaque main et bien d’autres choses. "Il y a aussi Victoire qui est très sportive, elle a un talent incroyable pour mentir. "Et enfin Alice, qui adore parler, donner son avis et avoir toujours raison, mais on peut compter sur elle pour mettre de l’ambiance à nos soirées et surtout elle ne se déplace jamais sans son chat Comète. Il est très gentil et très mignon." Nous avions étudié l’astronomie ensemble (notre passion commune). Elles m'avaient toujours été d’un grand soutien pendant ces nombreuses années à la faculté.

Pas un mégot par terre, pas une once de pollution, les Îloix, comme on appelait les habitants de l’Île Flottante, en ignoraient d’ailleurs l’existence. En s’enfonçant dans l’allée, on découvrait une splendide rivière flottant littéralement à travers l’air. Elle faisait la liaison entre la ville et les îlots-champs qui permettaient aux Îloix d’être autonomes en terme de nourriture. L’île était suspendue en l’air par des réacteurs géants mais silencieux. Même si je vous donnais le nom de cette technologie et même si je vous en expliquais le fonctionnement, vous n’y comprendriez rien car la technologie des îloix dépassait de très loin toutes celles que les hommes avaient développés sur Terre. Nos deux amis, assis dans le cab royal, se demandèrent s’ils étaient dans un rêve car cette Île leur semblait irréelle. Nos deux amis passèrent dans le cimetière pour se recueillir, comme on les invitait à le faire, sur la tombe du roi Charles, le mari de la reine, puis ils repartirent. La reine leur présenta Claude le boulanger, fort gentil, Hector le boucher, un peu rustre mais sympathique et Sophie l’agricultrice.

Rencontre avec Jean-Michel Espitallier le 7 avril 2023

-Des jours durant, extraterrestres et astronautes tentèrent de communiquer. Chacun essayait de faire apprendre à l’autre son langage. Après plusieurs jours à étudier le langage étranger, nos cosmonautes réussirent à établir un contact avec les extraterrestres. Dès lors, ils purent commencer à réfléchir à comment revenir sur Terre. Pour cela, tous furent d’accord pour reconstruire une fusée. Tous les habitants de cette planète aidèrent les quatre amis. En deux mois à peine, la fusée était sur pied. Après de nombreux adieux et remerciements, nos astronautes s’apprêtèrent à monter dans leur fusée. Une fois assit dans le module spatial, comme pour le départ, la voix métallique de l’automate annonça à travers le haut parleur&nbsp;;&nbsp;«&nbsp;CINQ, QUATRE, TROIS, DEUX, UN&nbsp;… Take off&nbsp;» la fusée avait décollé. Des mois avaient passé et nos cosmonautes erraient dans l’espace. Quand Henri intervint, il remit au jour un vieux sujet&nbsp;: Kévin. «&nbsp;Pourquoi&nbsp;» «&nbsp;comment&nbsp;» «&nbsp;qui&nbsp;». Les questions fusaient partout. Quand ils seraient sur Terre, ils élucideraient le mystère.

Thibault et l’incroyable voyage à Paritopie

Editions Le Parchamp

Chapitre&nbsp;3&nbsp;:Le départ pour la Terre Le roi les interpella alors et leur souhaita la bienvenue. Nos héros, heureux de la présence du souverain, le saluèrent et lui posèrent cette question&nbsp;: - Êtes-vous heureux de votre cité si magnifique soit-elle&nbsp;? - Quelle question, mais bien sûr&nbsp;! répondit le roi. Nos amis s’en allèrent alors poser la question à la communauté&nbsp;, et chaque fois la même réponse, positive. Enfin, désespérés, nos amis se rendirent en direction de leur vaisseau. Sur le chemin, une petite fille, suivie de son chien, les interrogea. Ayant entendu leur conversation avec ses voisins, Elle se révoltait contre leur avis. Celle-ci les questionna sur leur ambition de découvrir l’univers et ses recoins. Cette jeune fille, téméraire, prit la grave décision de les accompagner. Lorsqu’elle alla annoncer cette nouvelle à sa communauté, ses camarades rejetèrent ce choix. Notre jeune amie s’enfuyant dans la nuit retrouva ses nouveaux amis, pleine de joie et s’ enfuit avec leur vaisseau. Une fois à l’intérieur, le chien de la fille prénommé Ace faisait des bonds de partout. A quelques milliers de kilomètres d’ici, les baltians, démoralisés par cet événement commencèrent à réfléchir sur leurs conditions de vie. Ceux-ci réalisèrent que tout ce qu’ils possédaient n’était que matériel. Alors&nbsp;, en désespoir de cause ils utilisèrent un vaisseau laissé par les Terriens au cas où ils changeaient d’avis.

Un jour je suis né Un jour j'ai été baptisé Un jour ma petite sœur est née Un jour je suis entré en petite-section Un jour j'ai fait du vélo sans petites roues Un jour j'ai appris à lire Un jour j'ai fait du ski pour la première fois Un jour j'ai dormi sur un bateau Un jour j'ai pris l'avion pour la première fois Un jour j'ai bu du thé au Maroc Un jour je me suis couché à minuit Un jour je me suis baigné au Portugal Un jour j'ai vu mon oncle au Canada Un jour j'ai visité la CN Tower au Canada Un jour j'ai été confiné Un jour je ne l'étais plus Un jour j'ai fais du surf pour la première fois Un jour je suis allé au cinéma Un jour j'ai été en vacances Un jour je me suis levé à midi Un jour j'ai marqué un but but au handball Un jour j'ai écrit ce texte

reine Almah et de son répertoire d’histoires qu’elle racontait aux Îloix durant les soirées d’été. Ils partageaient aussi des moments d’extrême tristesse comme la mort d’habitants lors d’un terrible incendie. Le décès de la reine Almah fut également un coup dur pour tous les villageois, y compris Laurent et Michel car elle était la meilleure reine que l’Île Flottante aie porté. Elle était aussi proche du peuple que personne d’autre et passait son temps à aider les autres quand cela était nécessaire. C’était une femme parfaite, un modèle mais elle était morte à présent et plus personne, même le prince Afuy, qui était fort bon, ne pourrait l’égaler. Laurent et Michel montèrent leur propre épicerie, et aimaient leur métier. Tous les clients étaient respectueux, polis et gentils. Ils aimaient vraiment leur Île et ses habitants mais ils ne souhaitaient qu’une seule chose, revoir la Terre telle qu’elle était avant mais cela était impossible. Sur Terre, il y avait leurs familles&nbsp;: leurs pères, leurs mères, leurs sœurs... Ils avaient aussi leurs amis, leurs femmes mais plus rien n’était de ce monde aujourd’hui. Comme quoi, même dans un monde parfait, vert, sans pollution, avec des gens d’une gentillesse extrême, on peut être ennuyé de ce paysage où les gens n’ont ni de problèmes à résoudre ni de rêve à accomplir car tout est déjà accompli pour eux.

Ils se rendirent très vite compte qu’il n’y avait aucun habitant. Pensant que la ville était abandonnée, Paul et Henri proposèrent de faire demi-tour et de retourner dans la jungle mais Tom refusa. Il avait une intuition. Il réussit à convaincre les autres et nos trois astronautes s’enfoncèrent encore plus dans l’immense cité. Au fur et à mesure qu´ils avançaient entre les titanesques tours et les maisons bordées de néons violets et turquoises, il découvrirent une étrange coïncidence : la ville ne comptait aucune masure. Elle avait l’air abandonnée mais elle était parfaitement tenue comme s' il y a un jour encore elle était encore habitée. Nos cosmonautes ne s’arrêtèrent pas longtemps sur ce détail et continuèrent leur exploration. Voici comment était cette ce cité: La métropole était, vue de l’extérieur, en demi-sphère et parfaitement blanche. En réalité, cette ville n’était pas fixe, et changeait pour chacun qu’on y rentre, en fonction de sa vision de l’utopie. Nos trois astronautes étant vénaux, voyaient une utopie au niveau de la richesse des bâtiments, mais pas morale. La voici. D´immenses gratte-ciels de marbre et d’or jaillissaient aléatoirement du sol, lui qui était couvert par une panoplie de différentes maisons : Certaines étaient modernes, faites d’une matière noire et dont les murs étaient revêtus de néon construisant des formes géométriques. D’autres étaient faites de chaume peint de blanc, dont les angles étaient couverts par des plaquettes d’or. Et enfin un troisième type était comme les maisons grecques (d'ailleurs s’en était).

Elle arriva chez elle saine et sauve. Quand la jeune fille franchit le pas de la porte, ses parents la serrèrent dans leurs bras et, derrière eux, elle découvrit une chose merveilleuse&nbsp;: le sapin de Noël était décoré. Prune avait oublié Noël. Mais elle n’eut pas le temps de s’en vouloir&nbsp;: sa mère lui donna l’étoile à accrocher, ainsi que ses cadeaux.

FIN

Source : pixabay.com

CHAPITRE 3&nbsp;:

La reine Almah a accueilli Michel et Laurent dans son île Flottante. Elle leur fit visiter son royaume utopique dans lequel Michel et Laurent vont s’installer pour le reste de leur vie.

Michel et Laurent se plaisaient beaucoup sur cette île. Ils vécurent des moments de bonheur comme la naissance du prince Afuy VI. Ils contemplaient avec tous les Îloix le coucher du soleil autour d’un grand et somptueux banquet. Ils profitèrent aussi de la connaissance de la reine

Tom, Henri, Paul et Kévin étaient amis depuis la plus tendre enfance. Ils rêvaient depuis toujours d’explorer l’espace. Les épreuves scolaires passées, ils décidèrent de réaliser leur plus grand rêve, devenir astronaute. Une fois inscrits dans l’école spatiale la plus reconnue mondialement, Top Spatial Corporation, ils travaillèrent très dur tous les quatre afin de réussir leurs études. Lors d’un voyage à Cap Canaveral pour assister au décollage de la fusée JACOB II, ils découvrirent sur une route un pauvre petit singe blessé et abandonné. Ils l’appelèrent Jacob, en hommage à cette fusée qui en explosant tua ses six astronautes. Nos quatre astronautes et leur petit singe, surclassés de Top Spatial Corporation, assistèrent par la suite à nombreux autres décollages de fusées qui, pour la plupart eurent la même fin macabre. Cependant Tom, Paul et Henri avaient depuis quelque temps remarqué que Kévin avait un comportement étrange, à chaque malheureuse explosion de fusée Kévin avait étrange sourire vicieux…

Chelsea M Léonie P Manon P

Prune ou La ville utopique

Sur la plage, il y avait un jeune homme crispé, en haillons, les yeux bruns, les cheveux roux et des taches de rousseurs. Dans ses mains, un objet attira l’attention de Prune. Il détenait le sceptre de l’Empereur. «&nbsp;Bonjour, comment t’appelle-tu&nbsp;? Moi, c’est Calabaza.&nbsp;», dit-il. Prune fut d’abord étonnée qu’un inconnu l’aborde de la sorte. Puis, elle se souvint de ce que lui avait dit l’Empereur. Un certain Calabaza l’avait suivit dans ce monde, alors qu’il avait été banni après avoir tenté d’empoisonner l’Empereur. L’adolescente fut prise de panique.

Chapitre 3 Vie ou mort Calabaza ne pouvait pas être un ange-gardien puisqu’il avait tenté d’éliminer l’Empereur. Pourtant, c’est ce qu’il affirmait. Sa grand-mère lui revint à l’esprit. «&nbsp;Si c’est vraiment la ville des morts, où est Mamie&nbsp;? dit Prune.&nbsp;» Elle commençait à s’impatienter, quand il ferma les yeux et murmura : «&nbsp;Tu peux venir.&nbsp;» Une silhouette apparut. La jeune fille mit une seconde à reconnaître sa&nbsp;grand-mère, morte quelques années plus tôt. Prune se mit à pleurer. Pourquoi&nbsp;? Calabaza lui dit&nbsp;: «&nbsp;Maintenant, va discuter avec Napoléon.&nbsp;» Prune ouvrit les portes avec fracas. Folle de rage, elle s’approcha de l’Empereur rapidement. Suite à sa question, il expliqua&nbsp;que sa grand-mère ne souhaitait pas se réveiller. Prune s’arrêta net. Cela ne lui ressemblait pas. «&nbsp;Mais tu vois, elle est heureuse maintenant, continua&nbsp;Napoléon Macaron.&nbsp;» Prune n’était pas convaincue. Mais sur un point qui la rassurait, Calabaza ne lui avait pas menti. Il aidait les gens à retourner dans le monde des vivants. Et ça, Prune l’avait compris grâce à l’Empereur. Il s’était trahi. Elle avait vu les larmes brillantes sur les joues de sa grand-mère. Sa Mamie n’était pas du tout heureuse et Napoléon disait ça simplement pour qu’elle reste à Florecer.

CHAPITRE 1: La destruction

C’était un soir d’été 2100 en Angleterre, à Liverpool. Laurent et Michel rentraient chez eux après une longue journée de travail. Mais d’abord, présentons nos deux héros. Michel était un musicien de quarante et un ans. Il était divorcé de sa femme, Sophie, qui avait la garde de leur enfant. Hormis la musique, sa passion était le poker, discipline dans laquelle il excellait. Son amis de toujours, Laurent, quarante et un ans aussi, était le batteur du groupe de Michel. Il était blagueur, bon vivant, il aimait la bonne chair et le bon vin. Voilà donc nos deux héros, proches au possible. 	Lorsque ils rentraient chez eux, un terrible séisme se produisit. Le sol trembla, les murs tombèrent, les

-Je suis de taille moyenne -J'aime faire du sport -J'ai les yeux marrons -J'ai les cheveux marrons -J'ai les cheveux courts -Je suis plutôt sérieux -Je suis jovial -Je suis heureux et confiant -Je suis sérieux -Je lis beaucoup, surtout des récits où il y a du suspens -J'aime jouer au jeux de société -J'aime bien jouer aux jeux vidéos -J'aime les parcs d'attractions -J'ai de nombreux amis -Je me dispute souvent avec mon frère Lucian

Au tournant d’un chemin, elle aperçut une lumière venant de l’autre bout de la ville et décida de la suivre. Sur le mur d’une ruelle, la jeune adolescente découvrit une échelle faite de lianes. Elle hésita un moment mais finit par se hisser sur le mur pour passer de l’autre coté, où elle avait vu l’éclat de lumière. Elle se retrouva dans la banlieue de la ville, le quartier des grands magasins, qui se trouvaient sur les feuilles du tournesol. Ils étaient tous décorés de plantes grimpantes comme des framboisiers, du lierre ou du jasmin. Les fleurs qui les encadraient embaumaient l’air pur de leurs diverses parfums, créant une atmosphère agréable. Chaque magasin semblait en concurrence avec son voisin, sans pour autant le haïr. Une belle amitié existait donc entre les vendeurs, et cela surprit Prune. Chez elle, tout le monde reprochait l’autre tout le temps. Après de nombreux détours, elle arriva enfin sur la grande plage au sable fin bordée par la mer, elle-même d’un bleu-vert qui dépassait l’entendement.

source: pixabay.com

Un jour de pluie, le directeur de&nbsp;l’école&nbsp;convoqua Tom, Henri, Paul et Kévin dans son bureau. Il leur fit comprendre explicitement qu’ils étaient les futurs espoirs de la cosmologie mondiale&nbsp;; ils étaient donc sélectionnés, afin de participer au prochain vol d’essai de Top Spatial Corporation. Ils partaient dans une semaine en Guyane Française à bord de la mission Ariane douze. Tous étaient ravis à l’idée de partir explorer le cosmos, tous sauf un&nbsp;:Kévin, qui, comme ces derniers temps, arborait une triste mine. Et alors que tous les autres, euphoriques, et parlant déjà de toutes les planètes qu’ils auraient l’occasion de découvrir, un seul mot sortit de la bouche de Kévin&nbsp;: «&nbsp;mince&nbsp;»… Sept jours plus tard, nos quatre astronautes et leur babouin étaient assis dans leur fusée, regardant le ciel...et l’espace, une voix s’éleva dans dans le module spatial&nbsp;: «&nbsp;5,4,3,2,1, take off&nbsp;», la fusée a décollé.

Partie II Atelier d'écriture avec Jean-Michel Espitallier, le 7 avril 2023

Après avoir mangé ma délicieuse tartine, je remonte dans ma chambre, je me rappelle de tous ces moments et ces endroits si particuliers dans cette incroyable ville. Enfin… mon incroyable ville.

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Crédit Texte: Luca, Diego et Gaspard Image et son : Gaspard Voix: Gaspard

Un mardi ensoleillé, à l’heure de la fin des cours, la cloche du collège retentit. Une foule d’élèves sortit des nombreuses classes du collège Saint Georges en criant, annonçant la fin de l’année scolaire et le début des grandes vacances d’été. Elèves dans la même classe, James et Louna, étudiants de 5ème 6, s’échappèrent en toute hâte de l’école, essayant de ne pas se faire écraser par le flux ininterrompu de collégiens. Adolescent de 12 ans, casse-cou et combatif, James affichait une allure de skateur; son caractère franc et enthousiaste le rendait immédiatement sympathique. Il avait fait la connaissance de Louna à la maternelle. Ils ne s’étaient pas quittés depuis et formaient un binôme inséparable. Orphelin de mère suite à un tragique accident, le jeune homme avait trouvé auprès de Louna une confidente avec laquelle il partageait volontiers ses rêves d’aventure et d’exploits. A l’opposé, Louna apparaissait aux yeux de tous ses camarades comme une jeune fille sage et réfléchie. Passionnée de musique, elle aimait aller au collège, apprendre et tout organiser. Dotée d’une autorité naturelle, elle se considérait comme le cerveau de l’équipe.

Prune fouilla la plage du regard. Elle ne voyait rien qui aurait pu projeter une telle lumière quelques heures plus tôt. Elle décida de reprendre les recherches le lendemain car le soir tombait déjà. Heureusement, il ne fut pas nécessaire de retourner en ville&nbsp;: une auberge attendait sagement les voyageurs au bord de la route, symbolisée par la tige du tournesol. Elle entra et demanda une chambre. L’aubergiste la conduisit devant une pièce et l’invita à rentrer. Il ferma la porte derrière elle et Prune se retrouva enfermée. La pièce était vide et petite, mais les fameuses plantes qu’on voyait partout dans la ville étaient bien présentes. 

Après quelques heures, nos quatre cosmonautes réussirent à sortir des décombres de la fusée. Alors que Kevin s’échappait de la fusée, un morceau de fer brisa la vitre de son casque et il mourut d’asphyxie. Sur ce morceau de fer était écrit comme par magie, «&nbsp;je t’ai renvoyé l’ascenseur&nbsp;»... Ses coéquipiers se rendirent alors compte que l’oxygène était absent sur cette planète. Lourdement attristés par la disparition de leur coéquipier ils décidèrent de l’enterrer…Ils reprirent péniblement leur route en quête de vie sur cette mystérieuse planète. Après plusieurs heures de marche, ils trouvèrent au bord d’une falaise une gigantesque ville blanche...

Quelques semaines plus tard, Tom, Henri, Paul et Kévin et leur singe Jacob erraient au fin fond du cosmos, quand soudain, tous les voyants de la fusée passèrent au rouge, des alarmes stridentes résonnaient de partout, les cris de peur des astronautes faisaient mal au oreilles. Et toujours le même mot sortant de la bouche de Kévin «&nbsp;mince&nbsp;». Tom réussit d’urgence à se poser sur une planète inconnue mais la fusée était complètement délabrée.

L'ÎLE FLOTTANTE

L'ÎLE FLOTANTE

Utopie Axel B. Félix D. Victor P.

Apparemment, personne n’avait déjà recueilli Cosmo, ce qui m’étonnait. Alors je décidai de l’adopter car il me faisait de la peine. Thibault n’a jamais vraiment voulu avoir un animal de compagnie&nbsp;; je ne saurai pas dire s’il était d’accord pour que je l’adopte. Je continuai ma promenade vers le prochain supermarché tout en remarquant que les gens me regardaient d’un œil noir, et plus encore Cosmo. Après quelques temps de réflexion, je trouvai enfin la raison de cette animosité. Les habitants de cette ville ne possédaient que des chiens robots. D’ailleurs, j’en croisai un qui était un peu plus petit que Cosmo. C’est alors que Cosmo se jeta sur lui&nbsp;: il avait compris que ce n’était

pas un vrai chien. Je voulus le retenir mais je n’avais pas de laisse pour l’arrêter dans son élan. Toutefois, par un brusque geste, je l’attrapai et le pris dans mes bras. C’est alors que le maître du chien robot me dit&nbsp;: «&nbsp;Fais attention à ton animal, et achète lui une laisse pour le retenir !&nbsp;» La réflexion du maître me rappela que les chiens de compagnie n'étaient plus très bien vus par la société car les chiens robots étaient parfaits. Ils avaient une intelligence presque équivalente à celle des humains, ils conversaient avec leur maîtres et avaient de nombreuses autres fonctionnalités incroyables. Mais cela ne m’empêcha pas de continuer ma promenade vers le supermarché. Je traversai la rue quand le feu passa au vert pour les piétons et au rouge pour les automobiles volantes.

Dans le tiroir de sa table de nuit il prit sa montre, récemment fabriquée, pour la montrer à son père. En voulant la remettre à l'heure, il appuya sur les boutons et brusquement, il fut aspiré vers le haut et se mit à tourbillonner sur lui-même. Il se retrouva téléporté via un portail inter dimensionnel. Il voulut crier au secours, mais aucun son ne sortit de sa bouche. Il se réveilla finalement dans un parc avec une horrible migraine à la tête mais il fut rassuré car Plume, son oiseau,&nbsp;était avec lui. Thibault n’était plus chez lui mais dans un endroit qui lui était complètement inconnu.

CHAPITRE 2&nbsp;: Pendant ce temps , Victor, Axel et Alexandre avaient été désignés pour visiter la ville et son vieux port. Victor s’était proposé pour diriger le trio. Ils se dirigèrent d’abord vers le centre de la ville . Le groupe se balada dans la ville et fut agréablement surpris de son architecture haussmannienne. Les maisons étaient scintillantes de propreté . Les rues étaient ornées de pavés incrustés qui étaient eux aussi très propre , mais ils étaient toujours étonnés que les habitants aient chacun les mêmes habits . Lors de leur visite dans la ville Alexandre le plus gourmand des trois avait un petit creux alors ils mirent en quête de trouver une épicerie . Ils en découvrirent une rapidement grâce à la parfaite symétrie de la ville donc ils y entrèrent et firent la découverte du vendeur ,tout de suite Alexandre se ruait sur les petits gâteaux artisanaux des habitants de l’île, ces petits en-cas avaient diverses formes géométrique mais les adolescents n’arrivaient pas à définir leurs doux parfums. Lors du règlement le tenancier annonça aux enfants qu’il n’y avait pas à payer. Le trio étonné questionna l’épicier sur la ville. Tout d’abord le vendeur se présenta sous le nom de Mustafa, les adolescents commencèrent par lui demander quelles étaient les origines de cette ville et comment était elle née. Mustafa leur répondit qu’un homme était venu il n’y a pas plus de vingt ans de cela avec des idées pour la ville et une recette gâteau que tous les habitants adoraient et que tous les visiteurs intrépides adulaient. Ce gentil tenancier leur expliqua que la ville était organisée autour du président annuaire. Celui de cette année se prénommait Benito. C’était un homme calme et sensé qui dirigeait très bien, dit Mustafa . Les enfants remercièrent Mustafa et continuèrent leur chemin dans la ville. Ils arrivèrent au vieux port et remarquèrent que leur bateau avait disparu. Les adolescents étaient étonnés de ne pas retrouver leur bateau alors . Les trois enfants remarquèrent que le point le plus haut de la ville était la tour qui servait à repérer les bateaux étrangers . Ils décidèrent donc de monter sur la tour et d’observer la ville avec de la hauteur et d’ essayer de retrouver leur bateau . Allaient-t-ils le retrouver&nbsp;?&nbsp;

j'aime retrouver ma famille j'aime rentrer dans ma coquille j'aime retourner chez moi j'aime car il n'y a pas de loi j'aime mes amies j'aime quand elles me sourient j'aime mon frère même s'il m'embête j'aime car il m'aère la tête j'aime la cuisine de ma mère j'aime car ça sent bon dans l'air j'aime faire du vélo avec mon père j'aime ça car c'est rigolo j'aime revoir mes grands-parents j'aime ça car avec eux c'est trop marrant j'aime aller au parc d'attractions

Stacy m’apprend qu’il vole grâce au fonctionnement magnétique de la Terre. Sur le chemin du retour, nous croisons un fleuve propre, surmonté de magnifiques ponts. Je m’avance lire un des panneaux. Je ne comprends pas cette écriture. Stacy, devinant que je ne peux pas le lire, m’apprend qu’il s’agit de la Seine. Nous devons donc nous trouver quelque part en France. Je découvre par curiosité une prairie impressionnante autour de la ville. Je cherche à m’aventurer dans ce champ où machines et humains sont en harmonie. Hélas&nbsp;, je suis contraint de rentrer chez Stacy&nbsp;: une mission m’attend. Après avoir passé une bonne journée avec ma nouvelle amie, je veux retourner à mon époque. Je lance le mécanisme, sors de mon engin, et me retrouve le lendemain midi : ma machine ne peut aller que dans le futur. Je dois trouver un laboratoire contenant assez d’outils pour me permettre de la réparer. Je demande alors à Stacy, de m’y emmener. Après un quart d’heure de marche, nous arrivons devant un immense bâtiment de forme circulaire.

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<a href="https://www.istockphoto.com/fr/photo/le-train-futuriste-vole-au-dessus-de-la-surface-de-leau-sur-une-route-a%C3%A9rienne-gm1193957173-339796393">Le train futuriste vole au-dessus de la surface de l'eau sur une route aérienne. Transport aérien du futur. Technologie respectueuse de l'environnement. Illustration créative conceptuelle. Copiez l'espace. Rendu 3D. - Photo</a>

- J'aime les roses - J'aime la pluie - J'aime la nuit - J'aime le calme - J'aime la lune - J'aime les étoiles - J'aime dormir - J'aime certaines personnes - J'aime la musique - J'aime les films - J'aime les popcorns - J'aime les dessins de mon arrière grande tante - J'aime les oiseaux - J'aime la forêt - J'aime les près - J’aime ma maison - J’aime la chaleur - J’aime les petites lumières tard le soir - J’aime les plantes - J’aime les histoires - J’aime imaginer des histoires - J’aime les biscuits

- J’aime le chocolat - J’aime penser - J’aime jouer la comédie - J’aime les mannequins - J’aime le confort - J’aime les fleurs roses et bleues -J’aime les groupes de musique - J’aime le nombre 13. - J’aime les films d’horreur - J’aime les pizzas

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