New old school - Atelier 2. Weltkrich

A 7hrs. 30 nous entrons enfin en gare de Luxembourg, montons dans le tramway pour le lycée. Les garçons vont à pied au gymnase. Programme : 8 heures de gymnastique (Leibesübungen) par semaine, 2 heures de français, 3 heures d’anglais, quelques heures d’histoire et de géographie, musique et dessin. Nous n’apprenons pas beaucoup, la plupart de nos professeurs étaient « strafversetzt ». Nous rentrons par le train à 14 hrs.

Quelle: Olinger-Backes, M. et al. (1998). Une classe de lycée dans la tourmente 1940-1947. Luxembourg: Rapidpress.

Quelle: Centenaire Diddeleng 1907-2007, Ville de Dudelange, p.33

Schüler sein, während des zweiten Weltkrieges

Am 10. Mai 1940 marschierten die deutschen Truppen in Luxemburg ein. Aus Angst vor Kampfhandlungen flohen ungefähr 90 000 Menschen aus dem Süden des Landes nach Frankreich oder in den Norden Luxemburgs. Nach ungefähr 3 Monaten kehrten sie zurück.

Nous fûmes admises au Lycée de jeunes filles à Luxembourg qui devint la « Staatliche Oberschule für Mädchen ». Nous avions douze ans. Les écoles religieuses dont le pensionnat Ste Sphie à Luxembourg ainsi que le pensionnat Notre-Dame-de-Lourdes à Diekirch, furent fermées ; leurs élèves rejoignirent dans notre école. Bientôt un bon nombre de nous furent chassées de cette « Oberschule » ; d’autres la quittèrent pour des motifs faciles à comprendre à l’époque. Celles qui restaient n’avaient pas la vie facile. [….] Les écoles furent réorganisées, reçurent des noms allemands. Le salut hitlérien obligatoire fut introduit et les élèves contraints de changer leurs noms en langue allemande. La majorité des élèves tentait tant bien que mal de vivre sous ce régime. Bon nombre de parents retirèrent leurs enfants des établissements scolaires, essayant d’éviter des difficultés et surtout de les soustraire à l’affiliation aux jeunesses hitlériennes, BDM -Bund Deutscher Mädchen- pour les filles. D’autres élèves, qui ne se plièrent pas au régime national-socialiste allemand furent tout simplement chassées du lycée.

Quelle: Olinger-Backes, M. et al. (1998). Une classe de lycée dans la tourmente 1940-1947. Luxembourg: Rapidpress. S. 52 &amp; 53.

Die Nazis gründeten verschiedene Jugendorganisationen. Der Zweck dieser Jugendorganisationen war es, das Weltbild und die Ansichten der Nazis zu verbreiten und die Kinder und Jugendlichen zu guten Soldaten und Müttern zu erziehen. Alle Kinder von 10-14 Jahren waren Mitglieder des „Jungvolk“. Die Mitgliedschaft war obligatorisch. Die Mädchen von 14-18 Jahren gehörten dem „Bund Deutscher Mädel“, und die Jungs in diesem Alter der „Hitlerjugend“ an. Die Mitgliedschaft im „Bund Deutscher Mädel“ und in der „Hitlerjugend“ waren freiwillig, doch man hatte viele Nachteile, wenn man ihnen nicht angehörte. So durfte man, zum Beispiel, nicht auf das Gymnasium gehen, wenn man nicht Mitglied der jeweiligen Organisation war.

Quelle: Lorang, M. (2015). Luxemburger im Zweiten Weltkrieg. Abgerufen am 26. April, 2019 von http://www.tageblatt.lu/archives/luxemburger-im-zweiten-weltkrieg-11041197/

Quelle der Bilder: Olinger-Backes, M. et al. (1998). Une classe de lycée dans la tourmente 1940-1947. Luxembourg: Rapidpress. S. 52 &amp; 53.

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