Fantastiques histoires

Un soir, je rentrais de l’école, je mangeai et je partis me coucher dans mon lit qui était dans ma chambre, je m’endormis. J’entendais un bruit étrange comme une vitre qui se cassait, j’eus une peur bleue. Je prenais une lampe torche pour aller voir dans le salon, je vis une personne étrange: il avait de grandes mains et des oreilles pointues. C’était Nosferatu, il me dit:
«Je te veux»
Je voulais dire: « Non! Je ne veux pas!!» mais je restais pétrifié.
Je ressentais une grande frayeur... Quand je vis le jour arriver, je n’eus plus peur, j’ouvris le rideau en grand. Et le vampire mourut à cause du soleil qui l’éblouit. Cela sauva ma vie.

Texte créé par Jules

Promenade nocturne

Je me levai. Mais où étais-je, comment avais-je pu arrivé là? J’avais sûrement du m’évanouir. Je regardais tout autour de moi. J’étais dans une immense ville entouré d’une brume épaisse. Je commençai à marcher mais toutes les rues que je sillonnais étaient vides. Je ne trouvais pas d’aide. Mais, un peu plus tard, je vis quelqu’un arriver, je ne vis que sa silhouette mais je pouvais dire qu’il était grand et bossu. J’étais en extrême exaltation à l’idée de le rencontrer mais quand je vis son visage mon cœur se remplit d’effroi. Je me mis alors à courir le plus vite que je pouvais. Je ne suis pas d’ordinaire craintif mais j’eus la peur la plus angoissante de ma vie. J'avais réussi à me cacher dans une petite ruelle sombre. Mais, il réussit à me rattraper, il était ridé, il avait des cheveux gras et une longue tunique rouge sang. Je me cachai, me baissai pour ne pas qu’il ne m’attaque. Mais il me mordit et aspira tout le sang qu’il put. Je me réveillai, j’étais dans mon lit, je devais ensuite aller au collège. De ces incroyables aventures oniriques naquirent dans ma mémoire des souvenirs impérissables.
Texte écrit par Alex

Une nuit, je rentrais chez moi depuis la taverne quand je vis une figure mystérieuse sur la colline qui me regardait. Je décidais d’aller jeter un œil et de voir ce que c’était. Quand je m’approchais de la figure, je regardais en arrière le village. J’entendis un cri puissant derrière moi. Alors, je regardais en arrière et je ne vis rien. Je parcourus la colline en hurlant à la mort. Quand j’arrivais en haut, j’étais glacé, là-bas des yeux étaient fixés sur moi, c’était une jeune femme pâle avec deux gouttes de sang qui coulaient de son cou, elle était morte… Avais- je vraiment vu son agresseur? Était-ce bien un vampire?

Une création de Gabriel

Un soir, j'allai au cinéma avec un ami. On choisit d’aller voir Dracula, on vit le célèbre vampire Dracula et Nosferatu. On vit celui de Coppola. La séance se termina, nous allions commencer à rentrer en voiture quand tout-à-coup on entendit un hurlement qui venait du château abandonné. On décida d'aller voir. On arriva devant la porte qui semblait très lugubre. On entra et on vit à l'intérieur plein d’araignées. À ce moment là, on remarqua une voix effrayante. En face de nous, il y avait un escalier et un placard. On se cacha dedans, on entendait des pas sourds. On ouvrit un peu la porte. On aperçut la silhouette de Nosferatu: le vampire du film Dracula. Il avait les oreilles pointues, les canines pleine de sang. Il avait certainement mordu un de mes amis... Il partit dans un évanouissement et on ne retrouva pas … Jules! Encore aujourd'hui je pense souvent à lui et à cette terrible nuit au cinéma.

Une création de Téo

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C’était un soir de pleine lune, j’avais dormi dans un château qui se situait dans le Sud de la France. Je me souviens très bien: c’était au mois de Décembre plus précisément le jour de Noël.
Il était 23h quand je montais dans ma chambre. Je me réveillais vers 3h du matin quand j’aperçus une très grande grande ombre mystérieuse qui m’observait avec un regard très étrange, je me dis que j’étais en train de rêver mais non! Ce n’était pas un cauchemar.
Au bout d’un moment, je m’aperçus que cela était bien réel comme si j’étais en train d’écrire un texte. J’avais vraiment ressenti quelque chose de bizarre comme si le vampire était en moi mais à la fois hors de moi. Puis quelque temp plus-tard, j’étais revenue à la réalité. Quand je revenais à moi, je me posais la question: « Avais-vraiment été un vampire? »

Texte créé par Océane.

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Un jour, je me promenais autour d’un lac sombre et brumeux et d’un coup je vis passer une ombre. La silhouette s’éloigna plus loin. Je la suivis et je vis son visage: sa face me fit penser à celle d’un vampire. Il me regardait d’un regard perçant, ses crocs et son teint blafard, blanc comme la neige, me faisaient trembler de peur. Il avait l’air féroce car il avait un visage sinistre, son ombre me fit tourner la tête, je la voyais partout. Je me demandais s’il m’avait joué un tour. Cette ombre noire était vraiment celle d’un vampire. Je rentrais chez moi avec la peur au ventre et l’impression d’être suivi mais je ne le revis plus.

Texte écrit par Ewan

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Un jour, je me promenais autour d’un lac sombre et brumeux et d’un coup je vis passer une ombre. La silhouette s’éloigna plus loin. Je la suivis et je vis son visage: sa face me fit penser à celle d’un vampire. Il me regardait d’un regard perçant, ses crocs et son teint blafard, blanc comme la neige, me faisaient trembler de peur. Il avait l’air féroce car il avait un visage sinistre, son ombre me fit tourner la tête, je la voyais partout. Je me demandais s’il m’avait joué un tour. Cette ombre noire était vraiment celle d’un vampire. Je rentrais chez moi avec la peur au ventre et l’impression d’être suivi mais je ne le revis plus.

Texte écrit par Ewan

Pour mon anniversaire, on m'avait offert un « voyage » dans les catacombes de Paris. Dix jours après, je partais les explorer. Sur le chemin, j'étais tout excité mais en même temps inquiet d'aller dans ces catacombes, apparemment hantées par les esprits des défunts. Une fois à l'intérieur, je commençais à suivre le guide et puis je crus voir une forme étrange bouger : on aurait dit un vampire. Ses longs doigts crochus faisaient ressortir son dos bossu. Sur son visage pointaient deux grandes canines. Sur les bords de sa tête ressortaient deux grandes oreilles pointues. Je paniquais à l'idée de savoir ce que c'était... j’étais cloué sur place. C’était peut-être un autre visiteur…
Le soir même, je rentrais chez moi avec un doute sur ce que j'avais vu et des histoires qu'on racontait sur les catacombes. Et si elles étaient vraies…

Un récit de Bastien L.

Pour Noël, je recevais un billet pour aller à New-York. Un mois plus tard, je partis pour aller dans mon nouvel habitat. Quand j’arrivais, je m’installai dans un immeuble. La nuit, j’entendis un bruit provenant du couloir. Il faisait sombre et le lieu me semblait lugubre, j’ouvris la porte: Personne!!
Puis je vis une silhouette étrange dans le noir, la personne s’approcha de moi avec son dos bossu et ses longs doigts pointus et crochus puis elle disparut. Je retournai dans ma chambre et quelqu’un me poussa sur le lit, je tremblais comme une feuille puis il me mordit au cou. A mon réveil, j’étais sonné et je n’étais pas sûr de ce qui s’était passé mais j’avais une étrange marque dans le cou…

Texte réalisé par Yanis

Un jour, j’étais avec une amie, on s’amusait, mais tout à coup un diable arriva. Il attrapa mon amie et rigola, elle était apeurée. Moi, je me cachai vite derrière le miroir, j’étais angoissée. J’avais vite fermé les yeux car pour moi c’était horrible de la voir mourrir ainsi: cela était atroce. Ensuite, un cheval arriva, il m’avait fait peur avec ses gros yeux blancs. La salle était sombre, le cheval m’avait vu, je voulus changer de place mais le diable me vit. J’avais la peur au ventre, le diable me regarda avec ses gros yeux mais il n’arriva pas à m’attraper. Il me courut après pour me mordre mais il ne réussit pas. Je me réveillai, je ne savais pas ce qu’il s’était passé, je me demandais où était passée mon amie. Je l’appelais, elle ne répondait pas…

Texte écrit par Mélinda.

Une nuit où je rentrais au collège après un spectacle de théâtre, je découvris sur ma route un château. Alors je tentais de rentrer à l’intérieur car une pièce était entrouverte, sombre et humide. Quand je rentrai, je vis un vampire couché sur une tombe. Il avait l’air effrayé de tous ces animaux hybrides qui étaient autour de lui. Ils avaient l’air de l'encercler. On aurait dit qu’il y avait un chien coupé de chat. J’eus peur qu’il se réveille. Tous ces animaux s’approchaient de moi. Je me réveillais en sursaut avec une angoisse terrible! Mon bras était griffé. Mais était-ce vraiment un rêve ?

Écrit par Laurine

Un soir de plein lune, je n’arrivais point à dormir donc j’allais me promener sur le sentier que je prenais habituellement. J’entendis un bruit qui venait d’une veille église abandonnée.
Je me précipitai la-bas. Je rentrai dans la première salle à moitié détruite, j’aperçus une silhouette au loin qui disparut aussitôt. J'étais apeurée mais je n’y croyais pas. Puis, j’entrai dans la salle suivante, où je l’avais vue. La porte se referma derrière moi. Elle réapparut devant moi, elle rigolait, elle me sauta dessus et je tombai. Je me réveillais le matin même, dans mon lit. Mes habits étaient déchirés, j’avais des griffures sur le visage, je ne pouvais plus bouger, j’étais comme paralysée dans mon lit, allongée comme morte. J’avais l’impression d’avoir vécu quelque chose d’extraordinaire.

Écrit par Camille

Un soir d’hiver, alors que je me promenais, j’entendis un cri alors je m'avançais en courant vers l’école car ce hurlement venait de là-bas. Je vis un homme mettre sa tête contre le cou d’un autre homme, je pensais à un câlin, mais je vis le sang couler par terre. Je m'avançais puis l’homme tomba à terre. Je criais sur la personne qui l’avait mordu. Cette personne se retournait. Son visage me disait quelque chose mais je ne savais pas encore. Il me faisait très peur, il m’effrayait, je me sentis angoissée. Il avait des dents pointues, un sourire qui faisait peur, des cernes roses pales qui faisaient ressortir ses yeux. Je m’aperçus que c’était Edwards Cullen. Il s’avança vers moi puis… il posa ses lèvres contre mon cou. Je hurlais. J’avais l’impression que mon corps allait tomber de peur. Je répartis en courant et je ne le vis plus.

Texte de Léa