CMerveilleux récits

Malgré tout, la pâtissière décide de le mettre à la vente et&nbsp; le pose dans sa vitrine. Quelques minutes plus tard, un jeune homme l'achète pour 50 sous au lieu des 5 habituellement affichés. Depuis, toutes les tartes que fait&nbsp; la jeune pâtissière sont brillantes, ce qui remonte le succès de la&nbsp; boutique qui change de nom pour devenir “la pâtisserie des desserts vivants”.

Il y a un siècle, une petite fille nommée Iris vivait dans un orphelinat de la banlieue de Paris. Ses parents étaient morts dans un accident de voiture et elle n’avait pas d’autre famille. A chaque fois que c’était son tour de faire la vaisselle, elle tournait en rond sur la pointe des pieds en tenant les assiettes et puis les mettait dans le lave-vaisselle. En fait, sa passion c’était danser et elle adorait particulièrement la danse classique.&nbsp;Mais le problème c’est qu’il n’y avait pas de cours de danse disponible dans le coin. Alors Iris demanda à Nina, sa meilleure amie qu’elle considérait comme sa sœur: “Dis, si je te disais que je voulais m’enfuir de l'orphelinat, quelle serait ta réaction?” Nina réfléchit.

“ Je te dirais: Tu es folle, tu ne peux pas partir toute seule, mais si tu m'emmènes, je ne serai pas fâchée.”&nbsp; “ Et bien je veux m’enfuir et je veux que tu viennes avec moi.”&nbsp; Nina acquiesça. Mais la question était là:&nbsp;COMMENT S’ENFUIR ??? Le lendemain matin, elle alla dehors jouer à la balançoire puis elle eut soudain une super idée. Elle appela Nina et lui dit: - "Devine quoi! &nbsp;- Tu as encore cassé cinq assiettes en faisant la vaisselle hier? &nbsp;- Non, je sais comment on pourrait s’enfuir!!! TUUT TUUT !!! Par le train bien sûr !” La nuit tombait et deux petites filles se faufilaient dans le jardin de l’orphelinat. Elles arrivèrent à la gare mais c’était trop tard: le train avait démarré. - "Je connais un raccourci mais ça va être dangereux!

Maintenant, il ne savait plus quoi faire pour manger donc il décida de dire la vérité. Mais lorsqu’il sortit de son domicile, les villageois le repoussèrent à l'intérieur. Alors il s’écria “JE ME RENDS!”. Et il ressortit de sa maison. Mais les villageois ne l’écoutaient pas et le jetèrent à nouveau à l'intérieur sans avoir aucune peine. Alors il poussa des cris et les villageois qui n’aimaient pas ça acceptèrent de lui rendre la paix s’il disait pourquoi il volait leur nourriture.

Et c'est ainsi qu’il leur expliqua qu’il la dérobait parce qu'il avait chez lui un rat qui mangeait toutes ses provisions et dont il n’arrivait pas à se débarrasser, donc il n’avait plus de quoi manger, et il était forcé de prendre des denrées chez les autres pour survivre. Après cet éclaircissement, les habitants du village&nbsp;installèrent des pièges partout dans la maison du goinfre et trois jours plus tard, ils remarquèrent qu'il n’y avait pas un rat mais cinq, dans les pièges! Depuis ce jour, le gros mangeur ne vola plus jamais de nourriture.

"Des astronautes ont essayé d’aller là-bas. Mais, ils n’y arrivent pas….&nbsp;" Des années passèrent. Julie avait désormais 20 ans et ne changeait absolument pas d’avis. Sa mère ne voulait pas qu’elle meure dans une sordide exploration de l’univers! - “Allez Julie, s’il te plait, je ne veux pas que tu sois une astronaute! - Trop tard maman, je suis déjà inscrite à l’école de l’espace, tu sais…” C’est ainsi qu’un beau jour, Julie fut prête. C'était le grand jour. Elle allait se rendre dans l’espace, sur cette mystérieuse planète. Sa mère pleurait. Julie lui dit au revoir et monta dans la fusée. Cela avait pris beaucoup de temps de préparation avant de partir.&nbsp; - “Julie, je t’en supplie, implora sa mère. - Je suis désolée. C’est trop tard et je veux y aller. - Non! Julie!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! - Non, maman, je dois y aller.”&nbsp;

Julie coupa court à la discussion. Et voilà. Elle partit comme ça, après un dernier au revoir. Julie était&nbsp;FASCINÉE, c'était magnifique! “Bonjour. Sur Space news, aujourd’hui, une information exceptionnelle: une AUTRE fusée est partie! On espère qu'elle réussira sa mission cette fois! Regardez, on a mis une caméra sur la fusée pour suivre le voyage comme si on y était. Et, on voit la planète Terre...“&nbsp; Isabelle éteignit la télé. «&nbsp;Non mais elle n’écoute jamais rien, ma fille!&nbsp;»&nbsp;

une pause et pensa à ses parents et ses copains qui lui manquaient. Il prit ainsi la décision de retourner chez lui. Puis il se dit que s’il y retournait sans avoir rien fait, les autres seraient déçus. Alors il continua lentement, difficilement, laborieusement, et le jour de ses cent ans, il arriva devant la porte du géant et il entra par surprise. Mais ce n'était pas le géant qui fut surpris: c'était lui, car le géant était déjà mort de vieillesse. L’escargot était déçu mais il eut une idée: il allait organiser sa propre fête de retour et elle aurait lieu dans la maison du géant. Mais pour ne pas que les autres mettent trop longtemps à monter, il allait construire une tyrolienne même s’il se dit que ça allait prendre du temps, car ce serait génial pour lui et pour les autres! Il allait même inviter sa maîtresse et puis aussi les amis de ses amis, les cousins de sa maîtresse, et les amis des amis des cousins de sa maîtresse. Il était déjà en joie rien que d’y penser!

Le lendemain soir, très tard, il finit la tyrolienne et les cartes d’invitation. Il s’accrocha sur son nouveau mode de transport et sema les cartes dans la ville. Au matin, les gens étaient tout contents, et un par un, ils s'agrippaient à la tyrolienne. Ils arrivèrent ainsi chez le petit escargot et le serrèrent&nbsp;dans leurs bras. Même sa maîtresse et les cousins de sa maîtresse et ses amis, et les amis des amis des cousins de sa maîtresse. Depuis ce jour, les escargots vivent heureux grâce au petit limaçon à coquille qui a désormais emprunté la maison du géant.&nbsp;

simple: il devait il y avoir&nbsp;quelque chose de dangereux dans cette pièce. Mais quoi? C’est à ce moment-là&nbsp;que le plus jeune d’entre eux s'approcha du tableau et le toucha. S’il y avait une réponse c’est là qu’il la trouverait. Tout à coup il y eu un gros BANG et une lumière très forte et le garçon disparut soudainement. Ils se regardèrent tous. Ils ne savaient pas quoi dire. Après quelques secondes de silence, ils se reparlèrent. C’était donc ça la chose dangereuse! Ils décidèrent alors de tous y aller. BANG BANG! Et c’est ainsi qu’ils arrivèrent dans un port mais un port bizarre. Dans ce port, il n’y avait pas de bateau mais des chars à voile sur des rails sur l’eau. C’était étrange. Ils décidèrent d’aller dans un de ces véhicules, peut-être que ce train les amènerait à leur maison. Par ailleurs il n’y avait pas que le port&nbsp;qui était bizarre, les gens aussi s'habillaient différemment. Ils y en avaient qui n’avaient qu'une chemise et un pantalon et d’autres qui portaient de beaux habits. Tout était moins

moderne. Les enfants continuèrent leur navigation et s'arrêtèrent à un nouveau port. C’est alors qu'un vieil homme monta dans leur bateau. Il demanda au plus petit d'où ils venaient. Celui-ci&nbsp;répondit qu'ils venaient d’un autre monde et qu’ils ne savaient pas comment ils reviendraient. Alors le vieux monsieur leur assura qu’il savait comment retourner dans leur monde: ils devaient aller au milieu de ce super long chemin de fer sur la mer. Là-bas, ils allaient trouver un autre tableau transporteur.&nbsp;Ravis de cette bonne nouvelle, ils remercièrent le passager et poursuivirent leur tour en bateau en sa compagnie. Soudain ils virent une petite île. Ils s’en approchèrent et découvrirent au milieu un tableau. Ils décidèrent tout de suite de le toucher mais rien ne se passa.&nbsp;C’est alors que leur compagnon de route leur précisa qu’il pouvait y avoir des pièges dans ce monde mystérieux. Ils passèrent donc leur chemin et poursuivirent leur quête un peu plus loin. Tout à coup, ils virent une autre île. Ils s’en

contrariés eux aussi. Le premier était le fils du Soleil qui avait été amoureux de la Pluie mais celle-ci l'avait repoussé assez froidement sans lui donner la véritable raison. Et le deuxième était un vieux fermier qui était devenu pauvre car ses champs de blé étaient trop arrosés ou pas assez, selon les caprices de la Pluie. Après avoir discuté avec ses deux nouveaux amis, Solal alla voir Madame la pluie avec&nbsp;l’intention de lui déclarer la guerre afin que ses sculptures ne soient plus détruites. Mais au fur et à mesure, Madame la Pluie parvint à l'apaiser. Avec ses paroles douces et ses explications, elle fit en sorte que Solal ne soit plus furieux et ils se quittèrent en bon terme. Finalement, ils conclurent que chacun allait faire un effort et ainsi résoudre les problèmes: - Madame la Pluie expliqua à Monsieur Soleil qu'elle ne pouvait l'aimer car

deux opposés ne peuvent s’unir.&nbsp; - Elle justifia son action destructrice auprès du fermier: puisqu’il vendait le produit de ses champs de manière illégale, elle intervenait pour le punir. - Enfin, concernant Solal, la Pluie lui assura qu’elle ne faisait pas exprès: elle devait arroser les terres. Du coup, Solal décida de construire une maison en nuage pour Madame la Pluie en-dessous du niveau des nuages pour qu'il puisse faire ses sculptures au-dessus. Le fermier choisit de devenir berger et put comme cela parcourir le pays, tandis que le fils du Soleil se consola et rencontra Mademoiselle Tempête. Ainsi, fort heureusement, après de nombreuses et longues discussions, toutes les remontrances furent entendues et résolues. En définitive, tout le monde trouva un arrangement et une solution. Et Solal , le fermier ,

&nbsp;&nbsp;Il était une fois dans la ville Fofolle, une fille nommée Belle et une sorcière nommée Reine qui était très jalouse de Belle parce qu’elle était la plus belle de la ville.&nbsp; Un jour, Reine alla chercher une poudre magique pour&nbsp;faire évanouir la charmante jeune fille parce que elle ne&nbsp;voulait pas qu'elle vive. Elle était l’amie de la famille, elle connaissait chacun de ses membres, elle savait tout sur la jeune Belle et notamment qu’elle lisait beaucoup. Elle lui mit une plante empoisonnée dans son livre préféré. C’est ainsi que Belle s’évanouit pour toujours.&nbsp; Le soir tard , le frère de Belle vint dans la chambre de sa soeur pour aller la voir. Il trouva la pièce assez sombre, une grande partie était noire. Au- dessus, il y avait énormément de&nbsp;feuilles d’une plante bizarre. Cela faisait peur car de loin on aurait dit du sang. Il se doutait que quelque chose se passait, que sa

sœur était en danger, car depuis longtemps il sentait que la méchante Reine allait&nbsp;faire du mal à Belle qui la considérait pourtant comme une bonne amie pour sa maman. Belle ne le croyait pas quand il lui disait de faire attention à cette diablesse. Depuis une semaine, il avait constaté que Reine essayait à chaque visite de rentrer dans la chambre de Belle pour voir le livre préféré de sa sœur. Il ne pouvait pas deviner ce que Reine pouvait faire d’un livre mais il sentait un danger.&nbsp; Il l’avait prévenue pour le livre. Maintenant, c'était trop tard.

approchèrent et&nbsp;aperçurent un nouveau tableau. Ils le touchèrent&nbsp;et soudain se sentirent secoués et tournés dans tous les sens. Ils ne pouvaient plus voir: il y avait une lumière très forte qui les éblouissait. C’est ainsi qu'ils arrivèrent dans la pièce interdite. Soudain ils entendirent un “DING DONG”: c’était probablement la nounou. Ils sortirent vite et l'accueillirent, comme si de rien n’était!

Au pays des gastéropodes vivait un petit et jeune escargot. Au bout de son village, il y avait un énorme escalier, si grand que d'en bas on n’en voyait même pas la fin. Les marches étaient si énormes que la seule personne qui y montait et descendait était le bon gros géant. Un jour le petit escargot demanda à son père: "Qui vit en haut du grand escalier?" "Un énorme géant qui mange les enfants!" répondit-il. Alors le petit escargot eut une idée en arrivant à l’école. Il dit à ses copains: "Je vais voir courageusement le gros géant mangeur d’escargots et lui demander de ne plus nous avaler."

La maîtresse qui avait tout entendu eut peur pour le petit, appela et prévint son père. Le petit escargot fut réprimandé. Cependant, il désobéit et s'enfuit afin de réaliser son projet. Et c’est ainsi qu’il se rendit devant cet immense escalier et commença à monter les marches. Malheureusement, un an plus tard, il en était toujours à la première marche. Il était fatigué, épuisé, exténué, alors il fit

Et un jour, elle eut des enfants. Elle était très, très contente d’en avoir, tellement contente qu'elle décida de les emmener au parc, un parc où il y avait beaucoup de monde. Il était connu pour être calme mais il ne l’était plus tant à cause de tous ces gens qui y venaient. Mais elle décida de les emmener quand même parce que c’était son préféré et c'était le plus joli. Sauf qu'il y eut un gros problème parce qu’elle qui était si grande et eux qui étaient si petits ne pouvaient pas se donner la main: les enfants avaient de petits bras et ceux de&nbsp;leur maman étaient tellement hauts que ses mains ne touchaient pas celles de ses enfants, donc ils&nbsp;se perdaient tout le temps. Alors elle essaya de trouver une solution mais elle réfléchissait, réfléchissait et réfléchissait encore, mais elle n’en trouvait pas.

Tout à coup elle sentit quelque chose sur son oreille. Ce qu’elle avait senti la piquait. C’était ses boucles d’oreille! Soudain elle eut une idée: elle allait attacher ses enfants sur ses boucles d'oreille, comme ça ils&nbsp;seraient&nbsp;toujours avec elle et ils ne se perdraient pas.&nbsp; Malheureusement, un jour, ses boucles d’oreille tombèrent et donc ses enfants aussi. Ils s'étaient&nbsp;cassé le bras et donc il fallut les emmener à l'hôpital. Mais l’hôpital était trop petit pour la maman. Elle était trop grande! Alors elle décida de laisser ses enfants y aller tout seuls parce qu’ils commençaient à grandir donc ils n’étaient plus super petits.&nbsp; Par chance les enfants ne s’étaient pas blessés&nbsp;gravement donc ils eurent fini leur consultation en une heure. Elle décida alors de les emmener au marché. Pour ne pas qu’ils se perdent, elle les prit dans ses bras. Tout à coup, elle tomba sur un vendeur de bijoux&nbsp;et vit des boucles&nbsp;d’oreille qui&nbsp;tout à la fois collaient&nbsp;à la peau et s’attachaient à l’oreille. Donc elle choisit de les acheter et put remettre ses enfants sur ses bijoux vu qu’ils&nbsp;étaient super sécurisés.

Il était une fois quatre frères et sœurs. Ils habitaient dans une très grande maison et avaient une vie tout à fait normale: ils allaient à l’école, jouaient au parc, se promenaient tous les dimanches avec leurs parents... Mais c’était malheureusement le seul jour où ils pouvaient le faire car leurs parents travaillaient beaucoup, et c’est pourquoi ils avaient une nounou pour les garder. Aujourd’hui, c’était samedi, donc il n’y avait pas école et c’est leur nounou qui venait s’occuper d’eux. Mais ce matin là, elle n’arriva pas… Youpi!!! Sans surveillance ils pouvaient aller dans la pièce interdite, une pièce de leur maison dans laquelle leurs parents leur avaient toujours défendu d’entrer. Alors, tout doucement, ils ouvrirent la porte. C’était un pièce vide. Il n’y avait qu'un tableau. Ils étaient déçus mais se demandaient bien pourquoi leurs parents leur avaient toujours proscrit l’ accès à cette salle. Ils commencèrent à réfléchir. Et puis ils trouvèrent ! C’ était

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Il était une fois, dans un pays lointain avec plein de montagnes et de grandes plaines que les gens qui habitaient ce pays appelaient des parcs, une dame qui voulait&nbsp;avoir des enfants. Cette dame était très, très grande, jeune, maigre, élégante et gracieuse. Elle aimait beaucoup se promener dans les grands parcs. Elle adorait la nature, tellement que dès qu'elle avait un temps libre, elle allait se promener dans ces&nbsp;grands espaces verts . Elle aimait aussi beaucoup les animaux, d’ailleurs elle avait 25 poules, 10 moutons, 5 chiens très agressifs et 2 lions, 4 autruches, 5 chevaux et 10 cochons!

Au temps du Moyen Age, dans le ciel, vivait un petit garçon du nom de Solal. Il avait pour habitude de sculpter des nuages, de faire de belles sculptures pour aider les enfants à rêver. Il vivait au milieu des dieux du ciel : la Pluie, le Soleil, la Tempête…et de certains personnages comme le fermier, le boulanger… Mais, Solal était désespéré. Le petit garçon voulait que Madame la Pluie soit chassée du ciel. Il était très malheureux car, à cause d'elle, toutes ses sculptures étaient détruites, avant même qu’elles puissent être utilisées pour faire des rêves. Il décida donc de trouver d'autres mécontents pour chasser avec lui Madame la Pluie. Finalement, il trouva deux autres habitants du Ciel,

- Je suis partante pour tout si c’est pour quitter cette horrible orphelinat!”&nbsp; Les deux amies coururent jusqu'au précipice qui était à cinq mètres de haut du pont où&nbsp;arrivait le train. - "IL FAUT SAUTER !!! - QUOI !!! SAUTER!!! - FAIS CE QUE JE TE DIS!”&nbsp; Elles sautèrent sur le train. Puis elles attendirent d'arriver à Paris et c’est à ce moment là qu’elles&nbsp;descendirent du train. Ça tombait bien parce que l’Opéra de Paris avait deux places libres dans les cours de danse classique. Elles prirent des cours mais ces leçons n’étaient pas comme les autres: le professeur qui les donnait éliminait une personne chaque jour et Iris et Nina furent les deux gagnantes. C’est comme ça qu’elles purent prendre de vrais cours pour pouvoir faire des spectacles de danse classique.

Depuis ce jour, elles étaient les deux meilleures danseuses de leur âge.

 Madame Pluie et le fils du Soleil furent heureux de cette nouvelle vie et devinrent de bons amis.

Il y a très longtemps, dans l’univers, il y avait une planète mystérieuse. C'était une planète pleine de gouttes d’eau. Mais dans ces gouttes d’eau, il y avait de tout petits villages. Et dans ces villages, de tout petits humains. Et c’était mystérieux, et intéressant. Il y avait même une goutte d’eau avec un tout petit soleil. Les vrais humains sur la planète Terre, étaient très curieux de cette découverte. Sur la Terre, Julie et sa mère regardaient la télé. Elles regardaient des nouvelles sur l’espace. - “Bonjour sur Space news, aujourd’hui, nous avons fait une mystérieuse découverte! Une nouvelle planète! Mais pas n’importe quelle

Ce soir la je l’attendais pour un câlin. Nous sommes le premier jour du printemps, j’ai douze ans, je m’appelle Nino et je suis le fils d’un grand marin: le Capitaine Fracas. J’ai l’habitude de ses aventures incroyables, mais cela fait quand même plus de deux semaines que je l’attends rêvant chaque nuit qu’il revienne. La dernière fois, il avait découvert une île dans le Finistère nord avec des petits gnomes pour habitants qui voulaient le manger en brochette. Lors de sa mission précédente, il avait voulu me rapporter une perle de coquillage mais un requin lui avait croqué l’oreille gauche (du coup, il était devenu un peu sourd). Que lui était-il arrivé cette fois-ci? J’ai laissé la fenêtre ouverte de ma chambre afin d'entendre son bateau accoster et de voir ses lumières. C’est le même bateau que j’ai en maquette au dessus de mon lit. Comme je suis malin, au cas où il y ait des voleurs, j’ai posé ma batte de Baseball contre le rebord de la fenêtre prêt à me défendre.

Soudain, un objet volant identifié atterrit dans ma chambre: la casquette de capitaine de mon père. Je me penchai à la fenêtre comprenant que c'était un signe de son retour. Malheur, horreur, fracas, j’aperçus un énorme poulpe à cinquante tentacules qui poursuivait mon père! J’eus alors l'idée de lui lancer ma batte pour qu’il contre-attaque son adversaire. Le combat fut long et dangereux mais mon père gagna contre le poulpe. Enfin presque, puisqu’il perdit sa deuxième oreille! C’est pratique, car maintenant, je peux lui raconter toutes mes bêtises, il ne comprend rien. Et ce soir là de printemps, j’eu mon câlin et je suis maintenant dans les bras de mon plus grand aventurier: mon papa!

Eric, un garçon de 14 ans, habite dans une maison ordinaire avec son grand-père. L’histoire est contemporaine. Eric entendit son grand-père raconter une légende à propos de la harpe magique: il pensait qu’elle existait vraiment et qu’elle se trouvait dans un monde là où la paix règnait pour toujours. Mais comme Éric n’y croyait pas une seconde, il décida d’aller dans cette contrée merveilleuse afin de prendre des photos pour les montrer à son aïeul et ainsi lui prouver que l’instrument fantasmagorique n’existait pas. Il prépara sa valise qui contenait: une gourde, une carte et des jumelles, et puis hop, en route. Eric marcha pendant de longues journées, en s'arrêtant pour se reposer la nuit bien sûr.&nbsp; Après plusieurs jours, il arriva enfin devant une GRANDE&nbsp;forêt.&nbsp;

“ Cette forêt à l’air vraiment paisible, je me demande si c’est la bonne. Enfin, je l'espère, j’ai tellement marché que je ne sens plus mes jambes.” Le silence lui répondit. Il reprit sa route et avança dans la forêt. “Que c’est magnifique!” dit-il d'un ton joyeux. Et puis soudain il entendit un bruit, mais pas comme un crac: c’était plutôt le son d’une mélodie, si jolie que Éric sortit tout de suite ses jumelles pour voir ce qui produisait une musique aussi enchanteresse. Il regarda attentivement tout autour de lui et aperçut un instrument au loin. Cependant il ne parvenait pas à distinguer si quelqu’un y jouait et de quel instrument il s’agissait. Il s'approcha, émerveillé: &nbsp;“C’est donc vrai, pensa-t-il, c’est absolument vrai.”

&nbsp;Il était une fois un bricoleur, M. Papause, qui habitait dans un pays imaginaire à la campagne. M. Papause était jeune, gentil et intelligent. Chaque jour,&nbsp;Il regardait dans le ciel et&nbsp;il se disait que c’était moche. Il réfléchissait à ce qu’on pourrait y mettre pour l’améliorer. Après quelques jours de réflexion intense, il avait trouvé l'idée! Il se dit: “on va utiliser de la barbe-à-papa!” Il partit à la recherche d'une très grande échelle&nbsp;mais il n’en trouva malheureusement que des petites. Donc il réfléchit encore et il s’exclama: “Je vais construire une grande échelle!”. Il assembla toutes les petites échelles et il en créa ainsi une gigantesque. Puis il la prit, monta avec la barbe-à-papa qu’il venait de se procurer chez le marchand de bonbons et il en répandit dans le ciel en faisant des formes avec son marteau et son burin.&nbsp;

Mais malgré tous ses efforts, le ciel ne lui paraissait pas encore assez joli. Donc il alla&nbsp; chercher de la peinture de toutes les couleurs, remonta dans le ciel et dispersa de la gouache partout. C’est ainsi qu’il créa l’arc en ciel et ça devint dès lors magnifique et gai.

Dans le bois de Boulogne, le 1er Janvier 1696, habitait une personne qui vivait dans un endroit sombre et cette personne qui ne voulait pas déménager, voulait de la lumière mais elle n'en trouvait pas qu’on puisse emporter chez soi.&nbsp; Ce matin-là, comme tous les jours, elle alla chercher de quoi manger et de l'éclairage. Au bout d’un moment elle arriva dans une clairière et trouva une grosse citrouille. Le cucurbitacée n’avait rien de bizarre et semblait parfaitement mûr, donc elle le prit pour le manger. Plus tard dans sa maison, elle posa la citrouille sur la table et elle devint lumineuse puis elle abaissa le couteau et cela devint encore plus lumineux. Elle coupa ensuite la courge et la lumière éclaira toute la maison. Depuis ce jour là, elle n'eut plus à chercher de la lumière et c’était donc beaucoup plus facile pour avoir de quoi se nourrir.

Il redescendit, regarda son oeuvre et il trouva le ciel savoureux. Finalement, il se sentit de bonne humeur et très satisfait de lui. “Ah quelle belle journée!” soupira-t-il de bonheur. Depuis ce jour, chaque jour, il admire le ciel.

Depuis ce jour-là, elle les attache toujours comme ça! Même s’il y a beaucoup de gens qui la regardent bizarrement. Mais au moins, ses enfants ne&nbsp;se perdent pas!!!!Et puis maintenant tout le monde le fait dans leur pays. Et les boucles d’oreille de la maman ne sont toujours pas tombées!

Il y a 15 ans, dans un petit village, habitait quelqu'un que l’on surnommait le gros mangeur. On le surnommait ainsi parce qu’il mangeait beaucoup et s’il n’avait plus de nourriture, il la volait. “Pourquoi mange-t-il tant?” se demandaient les habitants du village. Tout le monde en avait marre de cette situation, et c’est pourquoi ils décidèrent de le laisser mourir de faim. Le lendemain matin, quand le gros mangeur se réveilla, il s'aperçut que tout le village assiégeait sa maison. “Hors de question de sortir dehors”, se dit-il. C’est pour cette raison qu’il resta trois jours chez lui. Cependant, au bout du troisième jour, il commençait à avoir faim, très faim.

C’est le petit matin, tout est calme et encore dans l'obscurité dans la cuisine. Nous sommes au XVIIème siècle, l'électricité n’existe pas encore. Une jeune femme dispose de véritables talents culinaires. Elle est grande, brune et vit dans un petit village. Elle travaille sur une grande table, et prépare les desserts pour sa boutique&nbsp;dans la pénombre. Elle tient dans ses mains un couteau et s'apprête à couper la citrouille. Avec stupeur, son regard se durcit: elle s'inquiète car la courge devient étrange. Le cucurbitacée n’est plus orange: il devient transparent, luminescent quand la&nbsp;jeune femme la touche. La jeune pâtissière continue sa préparation. Elle étale la pâte et essaye à nouveau de découper la citrouille. Cette fois, elle se laisse trancher et assaisonner avec du sucre et du caramel. En mettant la tarte dans le four à pain, tout redevient normal. Mais en le sortant, le dessert se met à scintiller.

planète, une planète pleine de gouttes d’eau, dit le présentateur. - Quoi? C’est trop cool, dit Julie. - C’est bizarre, répliqua sa mère - Les scientifiques ont affirmé qu’il y avait de vrais créatures sur cette planète mystérieuse!" La mère de Julie éteignit la télé. - "Mamannnnn! dit Julie. C'était intéressant! Pourquoi tu l’as éteinte?&nbsp; - Parce qu’ils mentent, c’est évident que ce n’est pas vrai! Aujourd’hui, c’est le 1er Avril en plus! Je sais qu’ils mentent. - Bah moi, je le crois, je crois que c’est vrai moi! - Bon allez, on va dîner" dit sa mère. Julie faisait la tête. Elle trouvait cela fascinant. Elle ne mangea pas trop, un petit pain, un peu de carottes râpées et c'est tout. Mais elle fit ça exprès, juste pour continuer de regarder la télé. Elle engloutit les carottes comme un lapin et dévora le pain à toute vitesse. Elle courut sur le canapé et

commença à nouveau de regarder la télé. - “Mais arrête, Julie! Je te jure que c’est juste des mensonges.” Julie ne répondait pas.&nbsp; - “JULIE! - QUOI? cria Julie. - J’ai dit que c’était juste des mensonges! - Non!! Laisse moi regarder ça!” supplia Julie.&nbsp; Depuis toute petite, Julie était fascinée par l’espace. Elle voulait être une astronaute. Sa mère, Isabelle, voulait qu’elle devienne une doctoresse. Elle expliquait qu’être docteur est drôle, que ça rapporte beaucoup d’argent... et énumérait toujours plus d'arguments en faveur de ce métier. Mais Julie ne changeait pas pour autant d’avis: elle&nbsp;voulait être astronaute. Le téléviseur déclama:

&nbsp;Il y avait là une harpe qui jouait de la musique toute seule. Cette harpe se trouvait sur un rocher au bord de la rivière dans une clairière de cette magnifique forêt. Il ouvrit sa valise mais comprit trop tard ce qu’il avait fait. “C’est une catastrophe! J’ai oublié de prendre l'appareil photo!” Mais rapidement, il ne se préoccupa plus de cette négligence. Rien ne pouvait gâcher le plaisir d’écouter cette harpe magique.

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