CHANSONS 6°

L'oiseau

Chant

Comme un enfant aux yeux de lumière
Qui voit passer au loin les oiseaux
Comme l'oiseau bleu survolant la Terre
Vois comme le monde, le monde est beau

Beau le bateau, dansant sur les vagues
Ivre de vie, d'amour et de vent
Belle la chanson naissante des vagues
Abandonnée au sable blanc

Blanc l'innocent, le sang du poète
Qui en chantant, invente l'amour
Pour que la vie s'habille de fête
Et que la nuit se change en jour

Jour d'une vie où l'aube se lève
Pour réveiller la ville aux yeux lourds
Où les matins effeuillent les rêves
Pour nous donner un monde d'amour

L'amour c'est toi, l'amour c'est moi
L'oiseau c'est toi, l'enfant c'est moi.

Moi je ne suis qu'une fille de l'ombre
Qui voit briller l'étoile du soir
Toi mon étoile qui tisse ma ronde
Viens allumer mon soleil noir

Noire la misère, les hommes et la guerre
Qui croient tenir les rênes du temps
Pays d'amour n'a pas de frontière
Pour ceux qui ont un cœur d'enfant

Comme un enfant aux yeux de lumière
Qui voit passer au loin les oiseaux
Comme l'oiseau bleu survolant la terre
Nous trouverons ce monde d'amour
L'amour c'est toi, l'amour c'est moi
L'oiseau c'est toi, l'enfant c'est moi
L'oiseau c'est toi, l'enfant c'est moi
L'oiseau c'est toi, l'enfant c'est moi.

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Le trombone et la guitare

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Chant

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Le trombone est un monsieur ni jeune ni trop vieux à l’air grave et sérieux.
La guitare est une fille qui traîne sa drôle de vie dans les boîtes à Whisky .
Le piano est un gaillard qui bringue avec les noirs et dort avec Mozart.
Le triangle est un lutin mais seuls quelques malins croient qu'il ne sert à rien.

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Ils sont bien trente ou quatre-vingts, qui s'amusent bien tous les soirs.
Avec tous leurs copains, leurs cousins germains,
Ils s'entendent mieux que tous les larrons en foire,

Le banjo est un bon gros caduque au boulot et ça lui donne chaud.
Le tuba fait ce qu'il peut, il swingue de son mieux mais ça l'essouffle un peu !
Le violon est si léger que d'un seul coup d'archet il se met à voler.
L'orgue est encore le plus sage, depuis son plus jeune âge il pense au mariage.

Mes amis, pour une belle famille, c'est une belle famille, croyez-moi !
Et que Monsieur Gershwin tourne la machine
Que Marnay turbine, et ça les contamine.
Le trombone est un monsieur ni jeune ni trop vieux à l’air grave et sérieux

Le trombone et la guitare , la flûte et le piano
Le cor et le banjo
Le trombone et la guitare, le sax et la batterie
Et toute la compagnie

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Ils sont bien trente ou quatre-vingts, qui s'amusent bien tous les soirs.
Avec tous leurs copains, leurs cousins germains,
Ils s'entendent mieux que tous les larrons en foire,

Le banjo est un bon gros caduque au boulot et ça lui donne chaud.
Le tuba fait ce qu'il peut, il swingue de son mieux mais ça l'essouffle un peu !
Le violon est si léger que d'un seul coup d'archet il se met à voler.
L'orgue est encore le plus sage, depuis son plus jeune âge il pense au mariage.

Mes amis, pour une belle famille, c'est une belle famille, croyez-moi !
Et que Monsieur Gershwin tourne la machine
Que Marnay turbine, et ça les contamine.
Le trombone est un monsieur ni jeune ni trop vieux à l’air grave et sérieux

Le trombone et la guitare , la flûte et le piano
Le cor et le banjo
Le trombone et la guitare, le sax et la batterie
Et toute la compagnie

Cocotier fou

Chant

Mon arbre au boulot peut plier jusqu’au sol,
Si près d’un palmier que je n’ai plus de pommes !
Un abri côtier pour l’été près d’un pin…
Un coin pour pécher tout près des aliziers…

Cocotier fou ! Cocotier fou ! Hévéa les soupçons,
Va au baobab ou baou à gogo ! (Bis)

Olivier, acacia l’auto sur le prunier,
A grand buis, mit Mozart au sommet d’un boulard
L’auriez vu comme il tremble d’être au bord de l’hiba !
Si trop niais quand il freine arbousier l’autocar !

Refrain (bis)

C’est Zapote, le bilbo marronnier du moment,
Misérable face au charme de la belle Magnolia.
Or me dit : « quel mélèze pour osier lui parler ! »
Noyé dans ma passion j’me dépêchais de fuir.

Refrain (Ter)

Mon arbre au boulot peut plier jusqu’au sol,
Si près d’un palmier que je n’ai plus de pommes !
Un abri côtier pour l’été près d’un pin…
Un coin pour pécher tout près des aliziers…

Cocotier fou ! Cocotier fou ! Hévéa les soupçons,
Va au baobab ou baou à gogo ! (Bis)

Olivier, acacia l’auto sur le prunier,
A grand buis, mit Mozart au sommet d’un boulard
L’auriez vu comme il tremble d’être au bord de l’hiba !
Si trop niais quand il freine arbousier l’autocar !

Refrain (bis)

C’est Zapote, le bilbo marronnier du moment,
Misérable face au charme de la belle Magnolia.
Or me dit : « quel mélèze pour osier lui parler ! »
Noyé dans ma passion j’me dépêchais de fuir.

Refrain (Ter)

Carmen

Le chœur des gamins

Avec la garde montante,
Nous arrivons nous voilà !
Sonne trompette éclatante
taratata taratata .

Nous marchons la tête haute
Comme de petits soldats
Marquant sans faire de faute
1, 2, marquant le pas .

Les épaules en arrière
Et la poitrine en dehors
Les bras de cette manière
Tombant tout le long du corps

Avec la garde montante
Nous arrivons, nous voilà !
Sonne trompette éclatante
taratata taratata

Taratataratata
Tarata tarata tata
Tarata tarata (x2)
Tarata tarata tata (bis)

Nous marchons la tête haute
Comme de petits soldats
Marquant sans faire de faute
1, 2, marquant le pas .

Les épaules en arrière
Et la poitrine en dehors
Les bras de cette manière
Tombant tout le long du corps
Nous arrivons, nous voilà !
tarata tarata tatata taratata

Avec la garde montante
Nous arrivons, nous voilà !
Sonne trompette éclatante
taratata taratata

Taratataratata
Tarata tarata tata
Tarata tarata (x2)
Tarata tarata tata (bis)

Nous marchons la tête haute
Comme de petits soldats
Marquant sans faire de faute
1, 2, marquant le pas .

Les épaules en arrière
Et la poitrine en dehors
Les bras de cette manière
Tombant tout le long du corps
Nous arrivons, nous voilà !
tarata tarata tatata taratata