Pourquoi aller vers l'inconnu?
Récits de voyage
Récits de voyage
source: https://www.shutterstock.com/fr/image-illustration/chambord-castle-artwork-painting-style-28566934
Collège Notre Dame du Bon Accueil
Récits préparés par les élèves de la 5ème 1
Mme Flavia Nunes Juan, professeur documentaliste
Mme Martine Hortail, professeur de français
année scolaire 2021-2022
Présentation
Récits du voyageur - Pourquoi aller vers l'inconnu?
Notre projet d'un livre numérique est né dans l'atelier d'écriture "Tous à la page" subventionné par le Conseil Départemental 84. Conduit par Mme Delbart, de l'Association Grains de Lire, l'atelier a été réalisé en projet de Mme Hortail, enseignante de français, et Mme Nunes Juan, professeur documentaliste.
L'atelier s'est réalisé le 02 et 09 mars. L'écriture s'est poursuivie au CDI et en cours pendant le mois de mars et début avril.
Le thème d'écriture proposé était un récit de voyage, notamment avec l'objectif de prolonger le travail de lecture réalisé en cours de français sur les voyages de Marco Polo.
Nous avons proposé un travail d'écriture en binôme ou en groupe.
Les élèves devaient également réinvestir les connaissances grammaticales, comme les expansions du nom, les adjectifs qualificatifs épithètes, les compléments du nom, les propositions subordonnées relatives.
Mme Delbart, intervenante du projet, a apporté aux élèves des outils, son bagage littéraire, sa créativité, son expérience des ateliers. Mme Hortail s'est occupée de la révision des textes. J'ai continué à accompagner l'écriture en séances hebdomadaires et j'ai préparé ce livre numérique.
Nous remercions le Service Livre et Lecture du Conseil départemental 84 qui a financé notre participation au dispositif Numook.
Voici un aperçu des productions. Bonne lecture!
F. Nunes Juan
Notre projet d'un livre numérique est né dans l'atelier d'écriture "Tous à la page" subventionné par le Conseil Départemental 84. Conduit par Mme Delbart, de l'Association Grains de Lire, l'atelier a été réalisé en projet de Mme Hortail, enseignante de français, et Mme Nunes Juan, professeur documentaliste.
L'atelier s'est réalisé le 02 et 09 mars. L'écriture s'est poursuivie au CDI et en cours pendant le mois de mars et début avril.
Le thème d'écriture proposé était un récit de voyage, notamment avec l'objectif de prolonger le travail de lecture réalisé en cours de français sur les voyages de Marco Polo.
Nous avons proposé un travail d'écriture en binôme ou en groupe.
Les élèves devaient également réinvestir les connaissances grammaticales, comme les expansions du nom, les adjectifs qualificatifs épithètes, les compléments du nom, les propositions subordonnées relatives.
Mme Delbart, intervenante du projet, a apporté aux élèves des outils, son bagage littéraire, sa créativité, son expérience des ateliers. Mme Hortail s'est occupée de la révision des textes. J'ai continué à accompagner l'écriture en séances hebdomadaires et j'ai préparé ce livre numérique.
Nous remercions le Service Livre et Lecture du Conseil départemental 84 qui a financé notre participation au dispositif Numook.
Voici un aperçu des productions. Bonne lecture!
F. Nunes Juan
Deux moments de l'atelier d'écriture au CDI avec Mme Delbart. Les photographies ont été prises par Mme Nunes
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SommaireLoading...
Un château irlandaisLe vase maléfique
Un trésor viking caché dans un château du moyen âge
Le voyage de Jean Collomb
Un château en ruines et une rénovation inespérée
Un voyage dans un passé distant
Départ en Mauritanie
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Un château IrlandaisLoading...
Alexandre Caillet, Lana Avon, Jade Guy, Jade Holleville 5ème 1Loading...
30 juillet 1494 à 8h14Nous montâmes dans notre calèche, nous nous mîmes en route avec une question dans la tête :
- Combien y a-t-il de pigeons voyageurs dans ce château ?
Au bout de notre voyage, nous avons découvert un sentier fleuri qui mène à un magnifique château où une multitude de pigeons allaient et venaient par les archères de chaque coin du monument. Ils apportaient le courrier entre les royaumes, très utile pour la communication.
En nous jetant des fleurs, nous commencions à sympathiser avec les habitants de cette grande demeure - travailleurs - quand soudain nous apprîmes que le roi était tombé malade. Ayant vu notre courage, les courtisans nous demandèrent d’aller chercher un remède dans la forêt interdite, ce que nous fîmes. Certains nous regardaient à partir de la poterne du château.
Nous nous sommes mis en route en direction de cette fameuse forêt interdite. Nous n’avions pas peur mis à part Tristan qui avait excessivement peur des araignées qui ont des tentacules et des pattes velues. Sur le chemin nous rencontrâmes un petit farfadet du nom d’Edaj.
Il nous montra comment trouver une Xela, une plante capable de soigner un grand nombre de maladies. Après une semaine de marche et de bivouac, nous trouvâmes le bosquet où pousse la plante médicinale Xela !
Nous en prélevâmes quelques-unes et repartîmes en direction du château.
Quand soudain sur la route nous rencontrâmes un gros troll du nom d’Eritram. Nous avons fui. Il était trop horrible pour engager la conversation: son visage était défiguré, il sentait mauvais. Après 5h de course, nous arrivâmes au château. Nous donnons le remède au roi et les courtisans. Nous reçûmes une récompense de mille écus d’or.
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Clara et Maé : Le vase maléfique
Un après-midi de printemps alors que les oiseaux chantaient et toutes sortes de fleurs colorées fleurissaient dans les prairies, j’eus envie de me balader afin de découvrir la faune et la flore qui entouraient ma maison.
Je fis quelques pas et vite Je me trouvais dans une forêt, je marchais pendant longtemps et j’arrivai devant un immense château. Il était beau avec son pont levis, tour d'enceinte et donjon. Derrière les arbres il y avait des centaines de fenêtres ce qui était rare pour un château. J’avançais vers lui lorsque je m’aperçus que la porte était ouverte, comme un passage au milieu de la douve. J’eus la curiosité de pousser la porte. J’aperçus alors ……
Une lumière ardente qui jaillissait d’un immense vase multicolore, bleu intense, rouge, orange ... J’avançai, tout à coup je fus aspirée à l’intérieur. J’ai essayé de sortir mais une puissance me retenait. J'ai fermé les yeux et me suis laissée porter vers ce monde irréel.
Lorsque j’ouvris les yeux je me trouvai dans une chambre d’enfant, elle était sombre et étroite, si lugubre que j’étais terrorisée ! Je me levai lorsque se dressa devant moi une immense poupée qui m’attrapa les cheveux et me laissa tomber dans trou noir abyssal !
Je tournais, tourbillonnais et après plusieurs minutes je retombai sur mes pieds. J’étais là dans le château, droite devant le vase, j’étais saine et sauve mais choquée devant ce vase maléfique. Après ces folles émotions je décidai de partir loin de ce lieu lugubre.
Je courus, courus longtemps jusqu’à me rendre compte que j’étais dans un rêve, un rêve féerique. Encore dans mon rêve, je m’assis près d’un arbre et là je me réveillai en sueur. Enfin mon cauchemar était fini!
Je fis quelques pas et vite Je me trouvais dans une forêt, je marchais pendant longtemps et j’arrivai devant un immense château. Il était beau avec son pont levis, tour d'enceinte et donjon. Derrière les arbres il y avait des centaines de fenêtres ce qui était rare pour un château. J’avançais vers lui lorsque je m’aperçus que la porte était ouverte, comme un passage au milieu de la douve. J’eus la curiosité de pousser la porte. J’aperçus alors ……
Une lumière ardente qui jaillissait d’un immense vase multicolore, bleu intense, rouge, orange ... J’avançai, tout à coup je fus aspirée à l’intérieur. J’ai essayé de sortir mais une puissance me retenait. J'ai fermé les yeux et me suis laissée porter vers ce monde irréel.
Lorsque j’ouvris les yeux je me trouvai dans une chambre d’enfant, elle était sombre et étroite, si lugubre que j’étais terrorisée ! Je me levai lorsque se dressa devant moi une immense poupée qui m’attrapa les cheveux et me laissa tomber dans trou noir abyssal !
Je tournais, tourbillonnais et après plusieurs minutes je retombai sur mes pieds. J’étais là dans le château, droite devant le vase, j’étais saine et sauve mais choquée devant ce vase maléfique. Après ces folles émotions je décidai de partir loin de ce lieu lugubre.
Je courus, courus longtemps jusqu’à me rendre compte que j’étais dans un rêve, un rêve féerique. Encore dans mon rêve, je m’assis près d’un arbre et là je me réveillai en sueur. Enfin mon cauchemar était fini!
Un trésor viking caché dans un château du moyen âge
Louann James et Fany Bres
Samedi 5 novembre 1920
Nous nous préparons à partir en charrette avec la même question en tête : « peut-on vivre dans ce château? »
Deux semaines sont passées dans notre parcours à cheval, les routes encore détruites dans les campagnes par la guerre de 14-18. Nous avions rencontré un monsieur excentrique un matin brumeux. Il commençait à faire froid les matins et il fallait vite trouver un endroit pour vivre.
Il nous a raconté une histoire incroyable : « c’était l’histoire d’un jeune homme magicien à l’âge de bêtises devant une cheminée, il avait fait deux écoles pour maitriser le feu, il aimait bien la géographie car il étudiait les pays avec beaucoup d’humour.
Il s’appelait Jean. Il aimait beaucoup courir et faisait beaucoup de kilomètres dans la nature, il était libre et aimait cela. Un jour il tomba malade et sa maladie rare portait le nom d’orang-outan.
Ses parents l’envoyèrent dans une pension qui était loin, où tout le monde respirait de l’air pur et mangeait des souris. Un jour il voulut prendre le train, mais il n’avait pas d’argent. Il voulait visiter l’univers, un monde de verdures dans un beau wagon en jouant du xylophone, mangeant des yaourts et voir des zèbres. Son désir était farfelu...
Après cette histoire incroyable, nous continuâmes notre voyage…
Au bout de notre voyage nous arrivâmes à notre destination et nous demandâmes au propriétaire du château si nous pouvions y vivre en échange de notre charrette, il nous répondit : « pas de problème mais ne touchez pas à ma collection de tableaux. Vous devez m'aider au potager et à la cuisine » Et c’est comme ça que nous passâmes notre vie ensemble dans ce château.
Samedi 5 novembre 1920
Nous nous préparons à partir en charrette avec la même question en tête : « peut-on vivre dans ce château? »
Deux semaines sont passées dans notre parcours à cheval, les routes encore détruites dans les campagnes par la guerre de 14-18. Nous avions rencontré un monsieur excentrique un matin brumeux. Il commençait à faire froid les matins et il fallait vite trouver un endroit pour vivre.
Il nous a raconté une histoire incroyable : « c’était l’histoire d’un jeune homme magicien à l’âge de bêtises devant une cheminée, il avait fait deux écoles pour maitriser le feu, il aimait bien la géographie car il étudiait les pays avec beaucoup d’humour.
Il s’appelait Jean. Il aimait beaucoup courir et faisait beaucoup de kilomètres dans la nature, il était libre et aimait cela. Un jour il tomba malade et sa maladie rare portait le nom d’orang-outan.
Ses parents l’envoyèrent dans une pension qui était loin, où tout le monde respirait de l’air pur et mangeait des souris. Un jour il voulut prendre le train, mais il n’avait pas d’argent. Il voulait visiter l’univers, un monde de verdures dans un beau wagon en jouant du xylophone, mangeant des yaourts et voir des zèbres. Son désir était farfelu...
Après cette histoire incroyable, nous continuâmes notre voyage…
Au bout de notre voyage nous arrivâmes à notre destination et nous demandâmes au propriétaire du château si nous pouvions y vivre en échange de notre charrette, il nous répondit : « pas de problème mais ne touchez pas à ma collection de tableaux. Vous devez m'aider au potager et à la cuisine » Et c’est comme ça que nous passâmes notre vie ensemble dans ce château.
Le voyage de Jean Colomb
Jade Grand, Sixtine Becker, Sarah Briet, Tom Foulon 5°1
Jean Colomb, serviteur du roi de France décide de vous raconter son récit:
«Le 14 juillet 1524, je partis du château de Chambord pour aller vers l’ouest pour accomplir la volonté et le destin de mon père. Il est mort au cours de son voyage en voulant trouver un raccourci en direction des Indes.
Avant cela j'ai présenté mon projet au roi qui accepta de financer le voyage en échange de mes services. Je partis ensuite sur mon cheval et après j'ai embarqué dans une caravelle qui ressemblait à une caraque …Au Moyen Âge, celui qui quittait son cadre de vie habituel et partait en voyage se livrait aux dangers d’un monde incertain. Aussi, avant de partir, le voyageur prononçait-il une longue prière où il demandait protection à Dieu et à tous les saints. Père Ambroise est venu bénir mon départ. J'avais peur de me faire dépouiller, attraper une maladie incurable ou me retrouver sans nourriture et prisonnier des barbares.
Après 30 jours de navigation, le vent soufflait de plus en plus fort, la nuit ne tarderait pas à tomber, la mer était de plus en plus agitée et violente.
L’équipage alla se coucher… Dans la nuit on entendit de l’eau monter et là le bateau coula et sombrât dans l’océan. Le capitaine et le charpentier calfatèrent le bateau. Ils ont tout fait pour ne pas couler en vain.
Heureusement je réussis à sortir du bateau, je nageais longtemps, très longtemps, parfois je flottais sur des morceaux de bois jusqu'à ce que… J’aperçus une lueur verte. Et je reconnus une forme familière… Une terre!
Je m’y rendis et je tomba de fatigue et m’endormis. Dès mon réveil je me trouvais dans un lit fait avec des feuilles de palmiers et des indigènes qui ne parlaient pas ma langue. Ils étaient très peu couverts, ils avaient la peau bronzée et les petits yeux. Ils avaient par habitude de manger une racine que je ne connaissais pas mais qui ressemblait à une pomme de terre. La terre était d’une couleur rouge, il faisait une chaleur très humide, des moustiques nous piquaient et j’ai vu encore des hommes et des femmes d’une couleur singulière, différente de la mienne, très peu habillés et certains nus. Les petits singes mangeaient avec ces gens, qu’on a nommé "indigènes" car on croyait être aux Indes.
Ils étaient fort aimables et m’avaient accueilli à bras ouverts et ils m’avaient sauvé la vie sinon, je serais mort piqué par un serpent ou mangé par une panthère.
J’ai essayé de parler avec des signes et ils m’ont compris et je crois que j'avais découvert les Indes. Je ne savais pas encore que cette terre était l'Amérique. Je venais d’accomplir la volonté de mon père, sans le savoir.
Les indigènes m’ont donné de l’eau ainsi que des vivres. Ils avaient une culture bien différente de la nôtre et avaient des sortes de fruits énormes jaunes, d’un goût proche à la banane. Et à l'intérieur du fruit se trouvait une fève qui se faisait torréfier s’appelait cacao.
Je leur dois la reconnaissance à vie pour m’avoir aidé et trouvé cette fève délicieuse. Pour les remercier, je leur ai offert mon couteau de poche fait en ivoire d’éléphant.
Pour me nourrir, ils me donnèrent une fève de cacao. Et en souvenir des indigènes, je récupérais toutes sortes de fruits : des mangues, des ananas, des noix de coco, fruit à pain, pita, des fruits de la passion et des graines pour cultiver mais sans savoir si cela se ferait en France en raison du climat.
Après l’aide des indigènes, je pus construire un bateau après quelques mois et je suis reparti chez moi.
Cette fois-ci mon voyage fut moins périlleux, heureusement pour moi - la marée était plus calme et je partis de l’Amérique pour arriver en France. J’ai raconté mon voyage au roi qui s’est montré content de mon travail et grâce au cacao, au pita, aux ananas, aux noix de coco et aux fruits de la passions que les indigènes m’avaient donné, je me fis beaucoup d’argent. Grâce à cela, j’ai vécu de beaux jours jusqu’à la fin de mes temps.»
«Le 14 juillet 1524, je partis du château de Chambord pour aller vers l’ouest pour accomplir la volonté et le destin de mon père. Il est mort au cours de son voyage en voulant trouver un raccourci en direction des Indes.
Avant cela j'ai présenté mon projet au roi qui accepta de financer le voyage en échange de mes services. Je partis ensuite sur mon cheval et après j'ai embarqué dans une caravelle qui ressemblait à une caraque …Au Moyen Âge, celui qui quittait son cadre de vie habituel et partait en voyage se livrait aux dangers d’un monde incertain. Aussi, avant de partir, le voyageur prononçait-il une longue prière où il demandait protection à Dieu et à tous les saints. Père Ambroise est venu bénir mon départ. J'avais peur de me faire dépouiller, attraper une maladie incurable ou me retrouver sans nourriture et prisonnier des barbares.
Après 30 jours de navigation, le vent soufflait de plus en plus fort, la nuit ne tarderait pas à tomber, la mer était de plus en plus agitée et violente.
L’équipage alla se coucher… Dans la nuit on entendit de l’eau monter et là le bateau coula et sombrât dans l’océan. Le capitaine et le charpentier calfatèrent le bateau. Ils ont tout fait pour ne pas couler en vain.
Heureusement je réussis à sortir du bateau, je nageais longtemps, très longtemps, parfois je flottais sur des morceaux de bois jusqu'à ce que… J’aperçus une lueur verte. Et je reconnus une forme familière… Une terre!
Je m’y rendis et je tomba de fatigue et m’endormis. Dès mon réveil je me trouvais dans un lit fait avec des feuilles de palmiers et des indigènes qui ne parlaient pas ma langue. Ils étaient très peu couverts, ils avaient la peau bronzée et les petits yeux. Ils avaient par habitude de manger une racine que je ne connaissais pas mais qui ressemblait à une pomme de terre. La terre était d’une couleur rouge, il faisait une chaleur très humide, des moustiques nous piquaient et j’ai vu encore des hommes et des femmes d’une couleur singulière, différente de la mienne, très peu habillés et certains nus. Les petits singes mangeaient avec ces gens, qu’on a nommé "indigènes" car on croyait être aux Indes.
Ils étaient fort aimables et m’avaient accueilli à bras ouverts et ils m’avaient sauvé la vie sinon, je serais mort piqué par un serpent ou mangé par une panthère.
J’ai essayé de parler avec des signes et ils m’ont compris et je crois que j'avais découvert les Indes. Je ne savais pas encore que cette terre était l'Amérique. Je venais d’accomplir la volonté de mon père, sans le savoir.
Les indigènes m’ont donné de l’eau ainsi que des vivres. Ils avaient une culture bien différente de la nôtre et avaient des sortes de fruits énormes jaunes, d’un goût proche à la banane. Et à l'intérieur du fruit se trouvait une fève qui se faisait torréfier s’appelait cacao.
Je leur dois la reconnaissance à vie pour m’avoir aidé et trouvé cette fève délicieuse. Pour les remercier, je leur ai offert mon couteau de poche fait en ivoire d’éléphant.
Pour me nourrir, ils me donnèrent une fève de cacao. Et en souvenir des indigènes, je récupérais toutes sortes de fruits : des mangues, des ananas, des noix de coco, fruit à pain, pita, des fruits de la passion et des graines pour cultiver mais sans savoir si cela se ferait en France en raison du climat.
Après l’aide des indigènes, je pus construire un bateau après quelques mois et je suis reparti chez moi.
Cette fois-ci mon voyage fut moins périlleux, heureusement pour moi - la marée était plus calme et je partis de l’Amérique pour arriver en France. J’ai raconté mon voyage au roi qui s’est montré content de mon travail et grâce au cacao, au pita, aux ananas, aux noix de coco et aux fruits de la passions que les indigènes m’avaient donné, je me fis beaucoup d’argent. Grâce à cela, j’ai vécu de beaux jours jusqu’à la fin de mes temps.»
Un château en ruines et une rénovation inespérée
Nathanaël Goutard Ethan Demory Robin Perez
A l’époque (en 2666 année complotiste), j’étais étudiant. J’avais de bonnes notes car j’avais des facilités au lycée. A 18 ans, je vivais encore chez mes parents car je n’étais pas autonome. J’avais un travail seulement le weekend. Mon objectif était de rentrer dans une grande école de commerce.
Un jour j’eus un devoir assez compliqué à réaliser, je me rendis à la bibliothèque. Vers la fin de la journée j’ai trouvé un livre rare sur une étagère derrière le livre que je consultais. Ce vieux manuscrit parlait d’un château en ruine. Sur le chemin du retour je pris la décision de partir dans le passé pour retrouver la trace de ce château.
En sortant de mon vaisseau, j’étais bien dans le passé mais pas à la bonne époque (en 2158), le château était encore en ruine. Les fenêtres étaient en pièces et son jardin n’était pas entretenu, il avait une multitude de cheminées et deux énormes tours. Après deux, trois jours d’exploration, j’ai découvert l’ensemble du château avec la basse et haute cour, un donjon, une chapelle, des machicoulis. Quelques habitants me proposèrent de le reconstruire.
Je me dis que cette idée de rénovation pouvait devenir un petit chalenge. Je partis à la recherche du propriétaire. Je l’ai retrouvé au cœur de Paris. Le montant trop élevé des travaux et le manque d’ouvriers ne lui permettaient pas d’entreprendre sa reconstruction, je lui proposai donc de les financer. Il accepta immédiatement.
Le lendemain nous nous sommes retrouvés au château avec l’entreprise de rénovation que j’avais contactée. L’heure suivante des dizaines de camions arrivèrent au château. Ce chantier a duré des mois, des années d’un travail acharné car il fallait sculpter la pierre à la manière des premiers tailleurs. Ce travail de changement des fenêtres, réfection des vitraux, des fresques, broderie des tapisseries est long et minutieux. Les mois se sont suivis et puis des années et ma santé s’est dégradée petit à petit. Au bout de 60 ans de travail acharné ce chantuier était enfin terminé et le château reconstruit.
Je décidais de rentrer chez moi, j’avais 78 ans. Cette expérience a été enrichissante. Maintenant le château se visite, il a retrouvé sa splendeur passée. Le château est magnifique comme je l’avais laissé. Je suis fier de moi .
Un jour j’eus un devoir assez compliqué à réaliser, je me rendis à la bibliothèque. Vers la fin de la journée j’ai trouvé un livre rare sur une étagère derrière le livre que je consultais. Ce vieux manuscrit parlait d’un château en ruine. Sur le chemin du retour je pris la décision de partir dans le passé pour retrouver la trace de ce château.
En sortant de mon vaisseau, j’étais bien dans le passé mais pas à la bonne époque (en 2158), le château était encore en ruine. Les fenêtres étaient en pièces et son jardin n’était pas entretenu, il avait une multitude de cheminées et deux énormes tours. Après deux, trois jours d’exploration, j’ai découvert l’ensemble du château avec la basse et haute cour, un donjon, une chapelle, des machicoulis. Quelques habitants me proposèrent de le reconstruire.
Je me dis que cette idée de rénovation pouvait devenir un petit chalenge. Je partis à la recherche du propriétaire. Je l’ai retrouvé au cœur de Paris. Le montant trop élevé des travaux et le manque d’ouvriers ne lui permettaient pas d’entreprendre sa reconstruction, je lui proposai donc de les financer. Il accepta immédiatement.
Le lendemain nous nous sommes retrouvés au château avec l’entreprise de rénovation que j’avais contactée. L’heure suivante des dizaines de camions arrivèrent au château. Ce chantier a duré des mois, des années d’un travail acharné car il fallait sculpter la pierre à la manière des premiers tailleurs. Ce travail de changement des fenêtres, réfection des vitraux, des fresques, broderie des tapisseries est long et minutieux. Les mois se sont suivis et puis des années et ma santé s’est dégradée petit à petit. Au bout de 60 ans de travail acharné ce chantuier était enfin terminé et le château reconstruit.
Je décidais de rentrer chez moi, j’avais 78 ans. Cette expérience a été enrichissante. Maintenant le château se visite, il a retrouvé sa splendeur passée. Le château est magnifique comme je l’avais laissé. Je suis fier de moi .
Un voyage dans un passé distant
Adrien Ponthieux Gohan Petinato et Alexandre Terzolo
Adrien Ponthieux Gohan Petinato et Alexandre Terzolo
Lundi 12 avril 4022 à 8h
Je prends ma voiture volante. Moi, Adrien Musk, Alexandre Gates et mon ami Gohan, le baron d’Angleterre, nous devons nous rencontrer pour réaliser une fouille archéologique mais dans le passé. Je me mets en route avec une question dans la tête "est- ce que je vais survivre à cette aventure que jamais personne n’a jamais tentée ?"
Alexandre a lu dans un ancien livre un local près de l’ancienne France – ce pays n’existe plus depuis la troisième guerre mondiale de 2555 – où il existe des vestiges d’un château.
Nous survolons un endroit et nous voyons des traces. Nous fouillons avec des engins et nous tombons sur une partie de la tour, un pinacle accolé au donjon.
Dans une chambre, parmi la trentaine existante, on trouve un squelette d’un des gardes du roi qui protégeait le roi au vu de la position dans laquelle il se tenait. Quelques mètres plus loin, on retrouve le squelette du roi avec une épée dans la poitrine. Puis quelques mois plus tard on découvre le reste du château: avec le fossé, barbacane, basse-cour, meurtrière, les vestiges du mur d'enceinte et une chapelle.
Tout était détruit sauf la chambre du roi où se cachait un trésor. Mon ami Alexandre Gates m’aida à retrouver les restes des vestiges qui ne font pas partie du château comme la cabane et la grange du jardinier qui étaient quelques kilomètres plus loin que le château. Gohan chercha les preuves qui montrent que c’était bien le château Chambord mais pour nous c’était bien lui. Pourtant pour la presse il faut des preuves.
Donc Gohan s’est mis à la recherche de trace de l'escalier hélicoïdal. Alexandre et moi cherchons toujours d'autres trésors et Alexandre trouva le cachot avec la vraie Joconde, le tableau était caché depuis des siècles. Puis après des mois de recherche on trouva des traces de la grande forêt autour du château. Ce château, merveille de la Renaissance Française, pourrait être à nouveau découvert dans l'avenir. Donc, pour nous, la mission était finie. On rentre chez nous.
Alexandre a lu dans un ancien livre un local près de l’ancienne France – ce pays n’existe plus depuis la troisième guerre mondiale de 2555 – où il existe des vestiges d’un château.
Nous survolons un endroit et nous voyons des traces. Nous fouillons avec des engins et nous tombons sur une partie de la tour, un pinacle accolé au donjon.
Dans une chambre, parmi la trentaine existante, on trouve un squelette d’un des gardes du roi qui protégeait le roi au vu de la position dans laquelle il se tenait. Quelques mètres plus loin, on retrouve le squelette du roi avec une épée dans la poitrine. Puis quelques mois plus tard on découvre le reste du château: avec le fossé, barbacane, basse-cour, meurtrière, les vestiges du mur d'enceinte et une chapelle.
Tout était détruit sauf la chambre du roi où se cachait un trésor. Mon ami Alexandre Gates m’aida à retrouver les restes des vestiges qui ne font pas partie du château comme la cabane et la grange du jardinier qui étaient quelques kilomètres plus loin que le château. Gohan chercha les preuves qui montrent que c’était bien le château Chambord mais pour nous c’était bien lui. Pourtant pour la presse il faut des preuves.
Donc Gohan s’est mis à la recherche de trace de l'escalier hélicoïdal. Alexandre et moi cherchons toujours d'autres trésors et Alexandre trouva le cachot avec la vraie Joconde, le tableau était caché depuis des siècles. Puis après des mois de recherche on trouva des traces de la grande forêt autour du château. Ce château, merveille de la Renaissance Française, pourrait être à nouveau découvert dans l'avenir. Donc, pour nous, la mission était finie. On rentre chez nous.