DEVENIR SOI
ECRITURES AUTOBIOGRAPHIQUES
ECRITURES AUTOBIOGRAPHIQUES
Classes de seconde
Lycée René Cassin
Année 2020/2021
Lycée René Cassin
Année 2020/2021
Le roman des Jardin, Alexandre Jardin
Le roman des Jardin est un livre autobiographique de Alexandre Jardin, il voulait être « normal » mais pas être comme un Jardin. Dans ce livre il parle de tous les personnages de sa famille et à certains il donne même un surnom : sa propre mère avec ses amours différentes qui inspirèrent Claude Sautet (dont elle a eu un fils César) ; son père Pascal qui était écrivain appelé « le Zubial » car il déposait des chèques blancs signés dans des cabines téléphoniques ; le grand-père « le nain jaune » car il finançait la droite et la gauche après avoir été dignitaire de Vichy ; la gouvernante « Zouzou» elle servait de fil conducteur à cette aventure elle coucha avec plusieurs générations de Jardin; sa grand-mère dite « l’arquebuse » maîtresse de Paul Morand et amoureuse incorrigible. Le clan des Jardin était de la haute bourgeoisie.
Ce livre ne m’a pas trop plu car il y avait quelquefois beaucoup d’informations en quelques pages et il très long. Il est très difficile à comprendre car il a un langage très soutenu.
Alicia Chaker Feno 2GATL1
Le roman des Jardin est un livre autobiographique de Alexandre Jardin, il voulait être « normal » mais pas être comme un Jardin. Dans ce livre il parle de tous les personnages de sa famille et à certains il donne même un surnom : sa propre mère avec ses amours différentes qui inspirèrent Claude Sautet (dont elle a eu un fils César) ; son père Pascal qui était écrivain appelé « le Zubial » car il déposait des chèques blancs signés dans des cabines téléphoniques ; le grand-père « le nain jaune » car il finançait la droite et la gauche après avoir été dignitaire de Vichy ; la gouvernante « Zouzou» elle servait de fil conducteur à cette aventure elle coucha avec plusieurs générations de Jardin; sa grand-mère dite « l’arquebuse » maîtresse de Paul Morand et amoureuse incorrigible. Le clan des Jardin était de la haute bourgeoisie.
Ce livre ne m’a pas trop plu car il y avait quelquefois beaucoup d’informations en quelques pages et il très long. Il est très difficile à comprendre car il a un langage très soutenu.
Alicia Chaker Feno 2GATL1
Le gone du chaâba d’Azouz Begag, une autobiographie assez connue, qui fait le plein d’émotions.
Azouz, un petit garçon franco-algérien vit avec ses parents, et va à l’école comme les autres enfants de son âge, jusqu’ici rien d’extraordinaire.
La seule différence est que le protagoniste habite un bidonville, depuis sa naissance.
Vivant à Villeurbanne dans la ville de Lyon, nous suivons ses nombreuses aventures avec ses cousins, ses frères et sœur, comment il fait face aux propos racistes à l’école, comment se passe la vie dans un bidonville ...
Si vous venez d’entrer dans le monde littéraire, ou que la lecture n’est pas votre point fort, ce livre est parfait pour vous, simple à lire, avec un langage courant, des montagnes russes sur les émotions.
De plus, cela nous apprend comment vivre quand nous n’avons ni l’eau courante, ni l’électricité, ou tout simplement un toit bien chaud à notre disposition. Mis à part tout le côté triste, et mélodramatique du livre, il y a aussi des moments drôles et amusants, je vous le conseille avec plaisir !
Atmaca Azra 2ANIM
Azouz, un petit garçon franco-algérien vit avec ses parents, et va à l’école comme les autres enfants de son âge, jusqu’ici rien d’extraordinaire.
La seule différence est que le protagoniste habite un bidonville, depuis sa naissance.
Vivant à Villeurbanne dans la ville de Lyon, nous suivons ses nombreuses aventures avec ses cousins, ses frères et sœur, comment il fait face aux propos racistes à l’école, comment se passe la vie dans un bidonville ...
Si vous venez d’entrer dans le monde littéraire, ou que la lecture n’est pas votre point fort, ce livre est parfait pour vous, simple à lire, avec un langage courant, des montagnes russes sur les émotions.
De plus, cela nous apprend comment vivre quand nous n’avons ni l’eau courante, ni l’électricité, ou tout simplement un toit bien chaud à notre disposition. Mis à part tout le côté triste, et mélodramatique du livre, il y a aussi des moments drôles et amusants, je vous le conseille avec plaisir !
Atmaca Azra 2ANIM
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CHRONIQUES DE L’ASPHALTE DE SAMUEL BENCHETRITL’auteur nous raconte son enfance, son adolescence à travers une cité, un bloc. Chaque étage de son immeuble a une histoire comme celle de monsieur Stern le plus ancien habitant de l’immeuble. On trouve dans ce livre les problèmes que nous pouvons retrouver dans une cité. Cette autobiographie m’a plu car elle est amusante, facile à lire et à comprendre. Je pense que le but de l’auteur était que les lecteurs s’évadent en lisant ce roman. Les points négatifs sont que parfois il peut y avoir des mots ou des dialogues vulgaires.
Buse BODUR 2GATL3
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JOURNAL D'UN VAMPIRE EN PYJAMA DE MATHIAS MALZIEUJournal d’un vampire en pyjama est un roman autobiographique qui vous plonge dans l’histoire de Mathias Malzieu atteint alors d’aplasie médullaire.
Plein de rebondissements, je ne suis pas déçue de ce livre. Une belle écriture, facile à lire, chaque page est une incitation vers la suivante. Un thème émouvant avec une pointe d’humour. Très agréable.
KRAFT Kassandra 2GATL1
ACQUITTÉE
Alexandra Lange est une femme qui a été battue, violée, prostituée par son mari durant 12 ans elle a fini par le tuer d’un coup de couteau. Pour comprendre son histoire et le calvaire qu’elle a enduré, le calvaire que ses enfants ont subi, il y a eu d’abord les mots, les insultes, les humiliations, les coups, les viols, la prostitution… Il a exercé sur elle le pouvoir de l’emprise il a réussi à retenir cette femme durant ces longues années.
Si comme moi vous aimez lire des romans de violence, de crime, de passion, d’amour, d’emprise je vous le conseille en lisant ce livre vous vous rendez compte à quel point l’amour peut détruire une personne et la faire rester jusqu’au coup fatal.
Ce livre a sauvé des femmes de leurs bourreaux. Une femme meurt tous les deux jours sous les coups de son mari…
Après avoir lu ce livre je me demande comment ce genre de personne peut exister. Pourquoi rester avec un mari violent ?
ISUFI Klodiana 2nde ANIM
Alexandra Lange est une femme qui a été battue, violée, prostituée par son mari durant 12 ans elle a fini par le tuer d’un coup de couteau. Pour comprendre son histoire et le calvaire qu’elle a enduré, le calvaire que ses enfants ont subi, il y a eu d’abord les mots, les insultes, les humiliations, les coups, les viols, la prostitution… Il a exercé sur elle le pouvoir de l’emprise il a réussi à retenir cette femme durant ces longues années.
Si comme moi vous aimez lire des romans de violence, de crime, de passion, d’amour, d’emprise je vous le conseille en lisant ce livre vous vous rendez compte à quel point l’amour peut détruire une personne et la faire rester jusqu’au coup fatal.
Ce livre a sauvé des femmes de leurs bourreaux. Une femme meurt tous les deux jours sous les coups de son mari…
Après avoir lu ce livre je me demande comment ce genre de personne peut exister. Pourquoi rester avec un mari violent ?
ISUFI Klodiana 2nde ANIM
LA TRAVERSÉE DE PHILIPPE LABRO
Philippe Labro journaliste, écrivain etc… nous raconte un épisode dramatique de sa vie puisqu’il a passé plusieurs semaines en « réa » entre la vie et la mort. Victime d’une maladie rare que les médecins n’arrivent pas à identifier dans 1er temps, il est attaché sur un lit, intubé de tuyaux de toutes sortes. Il ne peut ni parler ni bouger. Il souffre d’un œdème larynx causé par cette maladie inconnue, est intubé pour pouvoir respirer. Le petit tube aussi ténu d’un insignifiant petit fil électronique lui semble plus volumineux dans sa gorge qu’une patte d’ours.
Entre souffrance et peur de la mort qu’il frôle de près, il se dédouble en quelque sorte. Deux voix, une qui lui signifie qu'il va mourir, qu’il n’a qu’à se laisser partir et rejoindre les morts qu’il a connus, et l’autre voix « la sienne » qui se révolte et se bat, refusant l’idée de sa mort. Un combat donc, non seulement physique mais aussi psychologique. Il passe pour inconscient aux yeux du personnel soignant et même de sa femme mais il entend et perçoit tout et même au-delà puisqu’entre deux séances de coma, il revoit des épisodes de sa vie qui l’ont marqué et surtout sent la mort prendre différents aspects, d’abord celui d’une infirmière de nuit, coréenne, nommée Karen puis celle d’un vide laissé derrière lui à gauche dont il se demandait ce qu’il cache.
Philippe Labro journaliste, écrivain etc… nous raconte un épisode dramatique de sa vie puisqu’il a passé plusieurs semaines en « réa » entre la vie et la mort. Victime d’une maladie rare que les médecins n’arrivent pas à identifier dans 1er temps, il est attaché sur un lit, intubé de tuyaux de toutes sortes. Il ne peut ni parler ni bouger. Il souffre d’un œdème larynx causé par cette maladie inconnue, est intubé pour pouvoir respirer. Le petit tube aussi ténu d’un insignifiant petit fil électronique lui semble plus volumineux dans sa gorge qu’une patte d’ours.
Entre souffrance et peur de la mort qu’il frôle de près, il se dédouble en quelque sorte. Deux voix, une qui lui signifie qu'il va mourir, qu’il n’a qu’à se laisser partir et rejoindre les morts qu’il a connus, et l’autre voix « la sienne » qui se révolte et se bat, refusant l’idée de sa mort. Un combat donc, non seulement physique mais aussi psychologique. Il passe pour inconscient aux yeux du personnel soignant et même de sa femme mais il entend et perçoit tout et même au-delà puisqu’entre deux séances de coma, il revoit des épisodes de sa vie qui l’ont marqué et surtout sent la mort prendre différents aspects, d’abord celui d’une infirmière de nuit, coréenne, nommée Karen puis celle d’un vide laissé derrière lui à gauche dont il se demandait ce qu’il cache.
Mais il n’y a rien derrière lui, et n’y a jamais eu d’infirmière coréenne ni de Karen au service de réa, lui disent les infirmières. Alors, hallucinations dues aux médicaments ? Ou phénomène paranormal ?
Il voit d’abord un tunnel sombre où il y a des hommes toupies effrayants et puis plus tard, un tunnel lumineux où il ressent un bien-être, phénomène qu’il a connu sous le nom de EMA (Expérience de mort approchée); et des gens qu’il a connu y compris son père, et qui sont morts depuis bien longtemps l’appellent à eux avec des sourires engageants. Au terme de plusieurs semaines passées dans cet état, il fait le point sur sa vie et décide de ce qui est important ou non.
D’abord VIVRE, il ne se sent pas prêt à mourir. Il remet en question ses valeurs, apprend à faire le tri, à trouver négligeable le temps qu’il a investi, dans des ambitions professionnelles et redécouvrir de vraies valeurs, sa famille bien sûr mais aussi un lever, un coucher du soleil, un ciel bleu ou le chant d’un oiseau, mais encore la musique.
Cette douloureuse traversée n’aura donc pas été vaine et il en sortira, fortifié de ressentir des joies simples, celle de la VIE tout naturellement. J’ai relu plusieurs fois ce livre et il m’a à chaque fois bouleversée car il parle de situations que nous avons tous connues face à un proche gravement malade et/ou nous connaitrons tous un jour car nous ne sommes pas immortels.
J’ai également apprécié le fait, on ne le répétera jamais assez qu’il faut prendre garde à ce qu’on fait ou dit devant une personne que nous croyons plongée dans le coma car elle perçoit bien d’avantage que ce que son corps peut nous donner à penser. J’ai également été très sensible ou dévouement du personnel infirmier qui nous donne son temps, son attention, sa science, ses gestes, son écoute, alors qu’eux ont aussi des problèmes dans la vie.
SIRINE DAOUDI 2GATL3
Il voit d’abord un tunnel sombre où il y a des hommes toupies effrayants et puis plus tard, un tunnel lumineux où il ressent un bien-être, phénomène qu’il a connu sous le nom de EMA (Expérience de mort approchée); et des gens qu’il a connu y compris son père, et qui sont morts depuis bien longtemps l’appellent à eux avec des sourires engageants. Au terme de plusieurs semaines passées dans cet état, il fait le point sur sa vie et décide de ce qui est important ou non.
D’abord VIVRE, il ne se sent pas prêt à mourir. Il remet en question ses valeurs, apprend à faire le tri, à trouver négligeable le temps qu’il a investi, dans des ambitions professionnelles et redécouvrir de vraies valeurs, sa famille bien sûr mais aussi un lever, un coucher du soleil, un ciel bleu ou le chant d’un oiseau, mais encore la musique.
Cette douloureuse traversée n’aura donc pas été vaine et il en sortira, fortifié de ressentir des joies simples, celle de la VIE tout naturellement. J’ai relu plusieurs fois ce livre et il m’a à chaque fois bouleversée car il parle de situations que nous avons tous connues face à un proche gravement malade et/ou nous connaitrons tous un jour car nous ne sommes pas immortels.
J’ai également apprécié le fait, on ne le répétera jamais assez qu’il faut prendre garde à ce qu’on fait ou dit devant une personne que nous croyons plongée dans le coma car elle perçoit bien d’avantage que ce que son corps peut nous donner à penser. J’ai également été très sensible ou dévouement du personnel infirmier qui nous donne son temps, son attention, sa science, ses gestes, son écoute, alors qu’eux ont aussi des problèmes dans la vie.
SIRINE DAOUDI 2GATL3
« « Ida Histoire d’une parricide » de Françoise Hamel est une autobiographie sur un meurtre commis a seulement 17 ans.
Tuer son père, qu’est ce qui peut pousser une adolescente à commettre un tel acte de violence ?
Une histoire vraie qui vous transporte dans l’enfer d’une vie. Bien écrit au point de parfois se demander si ce genre de tragédie existe vraiment. Tu te retrouves à la place d’une personne dans son intimité, dans sa vie ou plutôt son enfer.
J’ai apprécié ce livre pour la simple et bonne raison que les histoires vraies sont mon passe-temps préféré, tu te retrouves plongée dans une histoire.
Totalement givré, et c’est là que tu réalises ce que certaines personnes ont
vécu dans leur vie. Et que la tienne n’est pas si mal après tout.
Si vous êtes aussi passionnés que moi pour des histoires complétement dingues à vous en couper le souffle, ce livre est fait pour vous…
Maïwenne Dos Santos 2ANIM
Tuer son père, qu’est ce qui peut pousser une adolescente à commettre un tel acte de violence ?
Une histoire vraie qui vous transporte dans l’enfer d’une vie. Bien écrit au point de parfois se demander si ce genre de tragédie existe vraiment. Tu te retrouves à la place d’une personne dans son intimité, dans sa vie ou plutôt son enfer.
J’ai apprécié ce livre pour la simple et bonne raison que les histoires vraies sont mon passe-temps préféré, tu te retrouves plongée dans une histoire.
Totalement givré, et c’est là que tu réalises ce que certaines personnes ont
vécu dans leur vie. Et que la tienne n’est pas si mal après tout.
Si vous êtes aussi passionnés que moi pour des histoires complétement dingues à vous en couper le souffle, ce livre est fait pour vous…
Maïwenne Dos Santos 2ANIM
Mémoire confite de Marie-Christine Navarro
Mémoire confite de Marie-Christine Navarro est un livre très agréable à lire. C’est un récit théâtral qui se déroule dans la cuisine. Les détails sont très explicites, ça lui permet de se souvenir de sa grand-mère disparue ( les goûts, les saveurs, les plats…). Ce livre est savoureux, le scénario me fait penser à des actes de pièces de théâtre tantôt dans la cuisine de maman, tantôt au restaurant. Elle décrit ces personnages à travers des souvenirs de senteurs. J’ai beaucoup aimé le lire, je recommande beaucoup cette expérience.
Lucie Nyobe 2GATL3
Mémoire confite de Marie-Christine Navarro est un livre très agréable à lire. C’est un récit théâtral qui se déroule dans la cuisine. Les détails sont très explicites, ça lui permet de se souvenir de sa grand-mère disparue ( les goûts, les saveurs, les plats…). Ce livre est savoureux, le scénario me fait penser à des actes de pièces de théâtre tantôt dans la cuisine de maman, tantôt au restaurant. Elle décrit ces personnages à travers des souvenirs de senteurs. J’ai beaucoup aimé le lire, je recommande beaucoup cette expérience.
Lucie Nyobe 2GATL3