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Contes africains 2melec1

by Pascal MORATILLE

Pages 4 and 5 of 32

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 Le conte de Madiba


*Un après-midi dans un petit village au Kenya..
Le vieux du village décida de rassembler tous les enfants pour leur raconter un conte.
Une fois tous les enfants présents il dit :
- Bonsoir jeune amis, aujourd’hui je vais vous raconter l’histoire de deux jeunes amoureux qui ont
du se débattre pour vivre leur amour..*

Il était une fois dans la lointaine Afrique, située dans un petit village au Kenya vivait un jeune homme du nom de Madiba...Madiba était beau fort, imposant et gentil il pensait toujours aux autres avant lui. Il appartenait à la tribu des Masoko.

Un jour pendant un bel après midi, Madiba alla chasser dans la savane quand soudain il aperçut une jeune femme. Elle était belle, une taille fine avec des rondeurs. Elle était vêtue d’un pagne plein de couleurs exotiques et d’un débardeur blanc simple. Elle arborait un magnifique afro et avait une peau claire. Elle ramassait des plantes de guérison que l’on appelle Amaranthus dubius. Ses plantes médicinales abaissaient la tension artérielle.
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Enfin Madiba remarqua qu’elle était en danger de mort car elle était la proie d’une hyène. Madiba pris donc son courage à deux mains , son arc et ses flèches et alla sauver la jeune femme de cette bête affamée.

Il se battait contre la bête féroce qui le griffa. il cria puis se glissa en dessous et lui décocha une flèche en plein cœur. La bête était morte...La jeune femme avait vu la scène. Elle eut peur et était stupéfaite mais elle décida quand même de l’aider car il lui avait sauvé la vie. Elle lui dit :

- Comment te sens-tu ?
- Je…je vais bien… je..
- hey..je vais t’aider !

Elle décida donc de l’emmener dans la case de son village.

Narrateur : ce qu’il faut savoir les enfants, c’est qu’ils étaient de deux tribus différentes : les Moulouba et les Masoko. Ces tribus étaient en guerre depuis des années.
Revenons-en au fait qu’elle l’emmena dans son village, dans sa case et l’aida avec ses plantes médicinales. Elle lui fit un pansement et le laissa se reposer puis alla préparer du thé avec des feuilles de menthe. Une méchante jeune femme du village, curieuse remarqua l’étranger et dit :