Nouvelles fantastiques écrites par des collégiens en classe de 4ème.

Nouvelles fantastiques 4e3 et 4

Malheureusement pour moi et heureusement pour lui, personne ne m'a retrouvée, je suis restée là une semaine car les vacances venaient de commencer. Je suis morte là, seule, sans eau, ni nourriture. J'ai péri dans ce sinistre cabinet de toilette par la faute de ton ancêtre Arthur. Maintenant, fuis ou subis ce qu'il aurait dû subir. FUIS !" Je pris mes jambes à mon cou. J'escaladai le grillage et courus jusqu'à chez moi. Après ce jour, je ne suis plus jamais repassée par ces escaliers et j'entends encore le fantôme crier dans mon sommeil. Je ne suis pas revenue au collège pendant une semaine et je n'utilise plus les toilettes de l'établissement. Cette soirée a réellement été la pire de ma vie. Je n'oublierai jamais cette journée et cela me terrifie...

Tout à coup des pas se firent entendre au-dessus d'eux, puis une voix qu’il reconnut comme celle de sa chère mère, l’appela. Comme si une menace planait sur eux, tous les fantômes et esprits présents dans la pièce disparurent soudainement sauf "Voldemort", enfin le fantôme qui le tenait par la gorge ! Il resta là, à le fixer droit dans les yeux. Priam entendit un léger souffle dans son cerveau, une phrase apparut devant ses yeux comme si elle était écrite sur du papier et qu’elle était sous les yeux. Cette phrase disait : « Rien n’est fini, tes ancêtres proches ont commis des erreurs. A toi de payer pour ces erreurs ! » . « Priam, mon chéri, tout va bien ? Tu n’es pas venu nous accueillir !», entendit -il. Sa mère descendit quelques marches dans les escaliers. C’est à ce moment-là que l’esprit partit tel un éclair argenté dans le cellier qui avait été condamné depuis bien des années avant sa naissance. Priam décida à cet instant que sa prochaine aventure serait de découvrir qui était ce fantôme flippant qui voulait se venger sur lui… Sa mère le prit dans ses bras, il avait une vue sur ce fameux cellier et il vit des yeux rouge sang sous la porte… Ce fantôme lui faisait une promesse silencieuse, celle qui disait que la prochaine fois qu'il le reverrait, il vivrait son pire cauchemar...

Je vais vous raconter une histoire qui m'est arrivée et c'est sûrement l'histoire la plus terrifiante de ma vie. La soirée du 21 octobre, Melchor, Gaspard et moi, nous avions prévu de nous introduire subrepticement dans le collège Louise Weiss qui se situe au 1 avenue Georges Daressy, à Cormeilles-en-Parisis, pour tourner un film dont nous avions écrit le scénario en cours de français. Aux alentours de 2h30 du matin, mes amis et moi, nous nous retrouvâmes devant le collège pour éviter que nos parents ne nous repèrent et découvrent que nous étions sortis la nuit. Nous escaladâmes le portail de l'entrée du collège car ce n'était pas très très difficile de pénétrer dans le collège, nous le faisions souvent. Nous commençâmes à tourner le film en bas des escaliers situés au centre du hall. Melchor filmait pendant que Gaspard et moi tournions dans le film. Nous mettions en scène notre scénario brillant, lorsque soudainement, Gaspard passa derrière moi et je sentis un vent glacial traverser ma nuque ! Cela me fit frissonner, mais je ne m'attardai pas dessus, et on continua notre film. Gaspard et Melchor sont, de base, de nature très bavarde, mais cette fois ils étaient étrangement silencieux. Je ne me sentis pas à l'aise donc je décidai de faire un petit tour dans le collège, seul, pour me changer les idées. En me baladant dans le collège, je me sentis encore moins à l'aise, les lumières clignotaient, le vent frappait sur les fenêtres. Je sentis comme une présence et peu de temps après, j'entendis un bruit criard. Je courus rejoindre mes amis, parce que cette ambiance me faisait trop peur. Je rejoignis l'endroit où je les avais abandonnés dix minutes auparavant, mais ils n'y étaient plus ! Je les cherchai dans les alentours, mais ne trouvai aucune trace de

Quand on rejoignit les filles, Chloé dit&nbsp;:&nbsp; - Faut qu’on prenne une photo des réponses, on peut pas les prendre avec nous, c’est trop suspect !&nbsp; - Pas bête, répondis-je. - Et sinon vous avez vu Madame V....&nbsp;?&nbsp; - Non, nous ne l’avons pas vue, on arrive pas à ouvrir cette porte, il nous faut des clés, répondit Solène. Puis soudain, on entendit un bruit qui venait de la salle des professeurs. On se rapprocha du bruit et d’un coup nous vîmes Madame V.... allongée par terre. Solene cria : « Les filles, venez, on sort d’ici tout de suite&nbsp;!&nbsp;» Le lendemain, on apprit que le collège était fermé, personne ne savait pourquoi. Nous n'entendîmes plus jamais parler de Madame V.... et personne ne sut ce qui lui était arrivé. Nous fûmes accueillis dans un autre collège et il y eut des rumeurs de fantômes hantant le collège. Que s’est-il passé ce jour là&nbsp;? Nous ne le saurons jamais.

Un jour, nous étions posées, on attendait nos assiettes pendant que mon père faisait le barbecue. On parlait du concours qui nous permettrait de gagner un fantastique voyage et Manar dit&nbsp;:&nbsp;&nbsp; -Eh les filles, c’est comment pour le concours de Crock vacances&nbsp;? Faut qu’on en parle à nos parents ! -Oui mais oublie pas que demain nous avons quatre heures de colle, du coup on ne pourra pas trop réviser pour le concours, on n'a aucune chance de gagner ! répondit Solène. Le lendemain, en arrivant à l’heure de colle, nous dîmes : -Bonjour Madame V.... . Elle répondit d’un ton sec&nbsp;: -Asseyez vous, restez là dans le calme, j'ai quelque chose à faire! -Venez, essayons de trouver les réponses du concours, le temps que la professeur revienne, proposa Chloé. On les cherchait, quand tout d’un coup, on entendit le cri de Madame V...., qui provenait de la réserve. Alors on eut l’idée de s’y rendre… Devant la réserve, s’offrait à nous un couloir qui s’ouvrait sur trois portes. On ouvrit les deux premières portes, mais c’était de simples salles vides avec quelques manuels. Pendant qu'Inaya et moi, nous chargions de retrouver les réponses du concours, Manar et Solène devaient se charger de retrouver Madame V.... en toute discrétion (même si on se dit qu’elle avait sûrement trébuché). Bien qu’on ait fait le tour de la réserve, nous ne la trouvâmes pas. Elle avait bel et bien disparu&nbsp;! Arrivées devant la salle où se trouvaient certainement les réponses des questions du concours, nous ouvrîmes la porte et nous nous mîmes à chercher entre les nombreuses étagères. Il fallait absolument gagner ce concours et remporter notre voyage à Londres. Pendant que je cherchais dans le bureau, Chloé cria :&nbsp;«&nbsp;Je les ai trouvées&nbsp;!!&nbsp;», puis je répondis&nbsp;: «&nbsp;Super, viens, on rejoint Manar et Solène.&nbsp;»

J’arrivai au rez-de-chaussée du collège, quand je vis enfin un surveillant. Je lui racontai toute l’histoire mais il ne me crut pas. Nous allâmes à la grille et je voulus lui montrer la photo qu'il refusa de regarder, il ne me croyait toujours pas ! Il me dit que c’était la fatigue du vendredi soir et qu’il fallait que je me repose. Je sortis du collège, toujours choquée de ce que je venais de voir. Je regardai mon téléphone, pour y voir la preuve que ce fantôme était bien réel. Sur la photo, on ne voyait que la lumière du flash !

Je m’appelle Séréna. J’ai 15 ans et je vais vous raconter une histoire qui m’est arrivée quand j’étais en 4ème. C’était un vendredi soir en hiver. Je finissais ce jour là, à 17 heures avec une heure de colle. Je sortis de la salle où j’étais collée, il faisait noir. Le prof avec qui j’étais collée était vite parti car il avait un rendez-vous. J’étais la seule élève collée car les autres de ma classe, si je me souviens bien, étaient collés le lundi soir. Je marchai jusqu’ à la grille, il faisait très froid et noir. J’attendis dix minutes, mais aucun surveillant ne vint m’ouvrir. Je me dirigeai vers la vie scolaire pour essayer d’en trouver un. J’arrivai devant la vitre mais je ne vis aucun surveillant. Au même moment, j’entendis un bruit à l’étage. Je ne m’inquiétai pas car je pensais que c’était un prof qui avait fait tomber une chaise... Mais juste après j’entendis encore le même bruit et je vis l’ascenseur s’allumer puis s’éteindre. Je commençai à avoir de plus en plus peur. J’entendis une troisième fois le même bruit, et toujours à l’étage. Je décidai donc de monter pour voir d’où venait le bruit. Arrivée au deuxième étage, car c’est de là que provenait le bruit, je regardai les salles, mais je ne vis rien. Je regardai partout autour de moi et soudain je vis une lumière tout au fond du couloir. Je me dirigeai donc vers la salle allumée et là… Je vis un FANTÔME. J’étais abasourdie ! Le fantôme était tout blanc et on ne voyait que ses yeux. Je pris vite mon téléphone pour prendre une photo. Je tremblai, je parvins cependant à prendre une photo mais j’oubliai que j’avais encore le flash. Le fantôme me vit le prendre en photo et commença à s’approcher de moi, je me mis donc à courir comme un éclair. Je regardais derrière moi, il me suivait.

et autres histoires terrifiantes au collège...

Des nouvelles écrites par les élèves de 4ème3 et 4ème4

Dieu ! Il savait qu’il allait regretter d’avoir pris cette décision ; à peine avait -il commencé à descendre qu’il commença déjà à avoir des frissons d’effroi ! Il pouvait aussi sentir la température descendre d’un ou deux degrés ; quand nous sommes en été, un ou deux degrés en moins, ça se sent, surtout à Cormeilles-en-Parisis ! Mais il devait être courageux pour pouvoir manger en paix et être fier d’avoir réussi une tâche si facile pour le commun des mortels, mais une épreuve de Kohlanta pour lui... Arrivé en bas, il se sentit fier d’avoir au moins réussi à descendre sans immédiatement remonter par peur ! Il ne se pas rendit pas compte de l’atmosphère qui régnait dans la cuisine…. Il faisait atrocement froid pour un mois d’août, on avait l’impression d’être début avril et la sensation d’être effleuré en permanence par des filaments était tout simplement flippante. Priam était en train de remettre sa décision en question car d’habitude il n’avait pas autant peur ! Quelque chose avait changé, ce n’était certainement pas en bien ...Priam décida quand même de s’approcher du frigo pour préparer une crêpe de sarrasin pour le dîner. Alors qu’il prenait les ingrédients, les œufs se mirent à voler et s’éclatèrent contre le mur tels des projectiles. Priam pivota lentement tenant les ingrédients serrés fermement contre lui, fermant tout aussi lentement le frigo pour se retourner et voir une forme brumeuse en train de rire à s'en tenir le ventre. FLIPPANT , tout simplement flippant ! Il décida de regarder ses doigts pour voir s’il avait une hallucination ou quelque-chose comme ça ! Mais, non ! Il avait bien cinq doigts, comme dans la vraie vie ! Il eut après l’idée de se pincer mais il n’aurait pas dû car en faisant ça, il couina de douleur, ce qui attira visiblement l'attention du fantôme vers lui ! L’esprit qui n’était visiblement pas très heureux de pouvoir être vu, se rua sur lui et s’arrêta juste devant l'adolescent. De plus près, Priam pouvait maintenant détailler pleinement son

visage. Il pouvait dire qu’il ressemblait, à quelques détails près, à Voldemort quand il était derrière la tête du professeur Quirrel, dans Harry Potter. Cependant Priam était impressionné de pouvoir penser comme cela sans ressentir une immense panique. Mais, au vu du sourire goguenard qu’arborait le spectre, son expression faciale ne devait-elle pas être effrayée ? C’est à ce moment-là que son cerveau et son instinct de survie décidèrent de se réveiller. Alors, il cria de toutes ses forces, mais le fantôme en décida autrement et mettant sa main sur la bouche de Priam, il lui dit d’une voix sèche, froide, lugubre : « Je te conseillerais de fermer ta misérable bouche si tu ne veux que je te fasse crier pour quelque chose, mon garçon »…. A cela, Priam hocha vivement la tête ayant vraiment peur puis faisant parcourir ses yeux dans la pièce pour trouver un point d’ancrage. Mais au lieu de cela, il sentit des sueurs froides couler dans son dos, en se rendant compte que la pièce grouillait de fantômes ! Certains portaient des vêtements du 18e siècle, d’autres du 20e siècle, d’autres encore plus vieux peut-être du Moyen Age, ou quelque-chose comme ça. Il allait vraiment mourir d’une crise cardiaque à ce rythme ! Alors il osa enfin parler : «mmf … mmf», essaya-il de dire le fantôme ayant compris lui demanda : «Tu veux parler, misérable humain?» demanda -t-il. Priam mima un oui de la tête. Le fantôme desserra son étreinte et lui libéra la bouche. «P...Pourquoi je peux vous voir ? Quel est votre nom ? » arriva à prononcer Priam. L’esprit le jaugea de toute sa hauteur, ouvrit, puis ferma sa bouche, sa respiration devint haletante comme s’il revivait un souvenir douloureux… « Donner mon nom ne servira à rien !!! Que veux-tu que j’en sache, pourquoi tu nous vois !», cria-t-il hors de lui.

C’était le vendredi 10 février 2023, en salle 212, lors d’un cours de français avec Mme V.... . J’eus soudain mal au ventre. Je demandai alors à la professeure d’aller à l’infirmerie. Elle me répondit oui, mais je dus y aller tout seul. Souffrant, je descendis lentement les escaliers. Arrivé en bas, je m’assis sur le fauteuil de l’infirmerie. Je me sentais très mal, comme si j’étais sur le point de m’évanouir. Cinq minutes se passèrent et je ne me sentais toujours vraiment pas bien. Je me levai alors pour demander à un surveillant d’appeler mes parents. Mais quand je sortis de la salle, le collège avait changé ! Les murs étaient abîmés, les affiches étaient déchirées, des objets par terre étaient cassés. C’était comme si j’étais entré dans une autre dimension dans laquelle le collège aurait été hanté. Je fus pris d'une intense panique. Je tremblai. Peut-être que c’était juste un rêve et que je m’étais endormi ? Ça devait être l'explication la plus plausible. Je commençai alors à monter les escaliers, toujours avec peur. Je remarquai que mon mal de ventre avait disparu sans que je ne m’en rende compte. Je montai jusqu’au deuxième étage. Arrivé tout en haut, je traversai le long couloir. Je vis alors des yeux et des visages m'observer. Ensuite des fantômes et des visages apparurent de plus en plus et me foncèrent dessus. Je courus dans la direction opposée avec un espoir de les semer. Arrivé vers les escaliers, je trébuchai et je tombai de tout en haut des escaliers. Était-ce donc la fin ? Juste avant de toucher le sol, je me réveillai à coté de la porte de la classe 212 de Mme V.... . Comment étais-je arrivé là ? Etais-je somnambule ? Était-ce juste un rêve ? Je n’en savais rien. J’entrai juste en classe et n’en parlai plus jamais à personne.

Je me présente, Liam, j’ai quarante ans mais j’avais treize ans quand tout est arrivé et j’étais au collège Louise Weiss, à Cormeilles-en-Parisis. Je m'apprête à vous raconter une histoire que je n’ai jamais osé raconter à personne. Ce jour-là, j'entrai dans la salle de français qui était étrangement vide. Je sortis mes affaires et commençai à écrire. Je percevais de temps à autres les lumières qui clignotaient. Mes camarades étaient sans réaction, comme figés, glacés. Quelque chose clochait ! J’entendis un bruit que j’eus préféré ne pas entendre, je me tournai vers la gauche puis lentement vers la droite et je vis insensiblement apparaître une silhouette un instant qui me parut une éternité. Était-ce un fantôme ? Elle disparut et la sonnerie retentit. Je rangeais mes affaires et les lumières s'éteignirent totalement. En sortant de la salle, il faisait de plus en plus froid. Une silhouette apparut au bout du couloir à 14h55. Elle se rapprochait de plus en plus vite, je m’évanouis instantanément. Voici mon histoire, aujourd’hui encore j’en suis traumatisé, ce jour-là j’ai vu ma vie défiler devant mes yeux et je ne peux toujours rien expliquer, c’est un réel mystère.

Aux alentours de 19h, Ryane rentra par effraction pour découvrir ce qui se passait dans ce château car il avait la réputation d’être hanté. Il se situait à Cormeilles-en-Parisis. Une fois à l’intérieur, il entendit un robinet venant de la salle de bain qui faisait un bruit d'eau qui coulait qui lui sembla terrifiant. Il alla vers le bruit pour couper l’eau. Alors qu'il était dans la salle de bain, la porte se referma ! Il était bloqué dans la pièce ! Il entendit des chuchotements. Sous le stress, il mit un coup de pied dans la porte en bois qui s'ouvrit. Une femme se tenait devant la porte, elle parla et lui demanda de sortir. Tout blanc, Ryane avança vers le fantôme qui le laissa étrangement passer puis il courut jusqu’à la porte d’entrée. Le lendemain, au collège, Ryane raconta ce qui s'était passé la veille, mais personne ne le crut ! Ryane décida donc d'y retourner avec une caméra pour prouver à tout le monde que c’était vrai ! Une semaine passa. Sans nouvelles de Ryane, on s’inquiéta. Tout le quartier se mit à sa recherche. Un petit groupe se dirigea vers le château. Une fois dans le château, on se dispersa pour l'inspecter. On retrouva la caméra de Ryane et des traces de sang. On regarda immédiatement le contenu de la caméra. On y voyait une femme en robe blanche qui traînait le jeune garçon mais il avait fait tomber la caméra et on ne pouvait voir ce qui s'était passé ensuite... On reprit sa recherche dans le château. Tout le groupe fut porté disparu .

Une fois dans la salle, nous échangeâmes rapidement les copies avec d’autres sans erreur. Le fantôme se trouvait derrière la porte. Nous pouvions l'entendre ricaner d'une voix maléfique. Dès la première lueur du jour, tout redevint calme et le spectre disparut. Nous rentrâmes chez nous au petit matin satisfaites, en pensant à nos chaussures.

Le fantôme s'adressa à nous : “Je surveille ce collège depuis longtemps, je sais ce que vous faites ici ! Je vous recommande de ne pas rester ici, si vous voulez changer la note soyez très prudents." D‘un coup, le fantôme disparut. Nous réfléchîmes à ce que le fantôme venait de nous dire. Nous décidâmes finalement de ne pas changer ma note et de quitter le collège sur le champ ! Nous nous sentions plus en sécurité à l'extérieur ! Nous rentrâmes rapidement chez nous, nous ne pûmes jamais oublier l'expérience effrayante que nous avions vécue dans le collège et nous nous jurâmes de ne plus jamais y retourner à nouveau. Nous ne sûmes jamais si tout cela avait été bien réel ou s'il s'agissait d'une hallucination.

Un soir, dans la pénombre d’une nuit de novembre 2022, Jason, 13 ans et élève de 4ème5, décida de s’infiltrer dans son collège, le collège Louise Weiss situé dans la ville de Cormeilles-en Parisis en France, pour dérober les copies du contrôle de français qu’il avait raté. Pour cela, il avait élaboré un plan très simple : il commença par escalader la barrière du collège et entra à la loge pour vérifier sur les caméras de surveillance, s’il était bien tout seul dans l’établissement. Puis il partit en direction de la salle de classe de Mme V...., sa prof de français. Il passa par l’escalier jaune pour y aller mais, bizarrement, ses mains tremblaient au fur et à mesure qu’il montait les marches. Une fois arrivé au deuxième étage, il remarqua une ambiance sinistre et sentit que quelque chose l’observait. Il s’avança. Ses tremblements s’accentuaient et il arriva enfin devant la salle 212. Il crocheta la serrure et s’empressa d’aller voir si les copies étaient posées sur le bureau. Il les trouva enfin, dans le tiroir et s’en alla tout fier de lui, mais en faisant quand même attention que l’alarme ne se déclenche pas. Arrivé au premier étage, il tomba soudainement. Et alors qu’il était par terre, il lui sembla entendre un murmurement, comme si quelqu'un était au-dessus de sa tête. Il redressa la tête, la boule au ventre. Rien ! Et d’un seul coup, une entité surnaturelle apparut ! C’était une sorte de femme araignée accrochée au plafond. Il essaya de s’enfuir mais l’immonde créature le rattrapa. Il disparut laissant derrière lui, dispersées au sol, les copies de français qu’il avait volées.

Des nouvelles écrites par les élèves de 4ème3 et 4ème4 Mars 2023

il n’avait pas de visage, il faisait deux mètres il était imposant et recouvrait toute la largeur des toilettes. C’était la chose la plus effrayante de toute ma vie. Soudain... Point de vue de Roberto : J'étais au niveau du CDI, je cherchai des livres qui pourraient m’intéresser car je suis fan de littérature quand j’entendis un bruit dans le rayon d’à côté, cela ne m’inquiéta pas plus que ça. Mais en prenant un livre, je vis un œil dans le rayon d’à côté, je sursautai ! Directement mon regard se tourna à ma droite, là je vis un monstre, il ressemblait à un chien à trois têtes, son regard était rouge sang, il se mit à courir vers moi, je fis la même chose dans la direction inverse, je fermai la porte, il la cassa, je trébuchai et là.....

Elle était terrifiante, à s’en glacer le sang. Prises de panique, nous prîmes nos jambes à nos cous, et fîmes le plus grand sprint de notre vie afin d’arriver au milieu de la foule d’élèves. Camille et moi, nous nous regardâmes en nous demandant ce qui venait de se passer. Avions-nous rêvé ? Était-ce une hallucination ? J’avoue qu’à ce moment-là, nous étions perdues dans nos pensées et il était hors de question d’y retourner ! Nous restâmes assises toute la soirée sur le côté en essayant de débattre sur la nature de cette étrange chose. Nous décidâmes de dire que c’était un fantôme ou que nous avions sûrement rêvé. À la fin de la soirée, nous rentrâmes chez nous, de nuit, avec une grosse inquiétude qui nous empêcha de nous retourner tout le long du trajet. Heureusement nous ne l’avons plus jamais revu et nous décidâmes de garder cela secret pour ne pas que l'on nous prenne pour des menteuses." Anaïs prit la parole : -Quelle histoire ! Moi, j’aurais eu trop peur. Mais... vous pensez que ce “fantôme” est encore dans le collège ?! Ou bien était-ce une illusion ?

Il y a deux ans, Elias et moi, Karl, avec notre ami Roberto, nous allâmes au fast-food, un soir, et en rentrant nous passâmes devant le collège. On se regarda tous les trois dans les yeux et Roberto dit : “On y va les copains ? en plus, il y a des fantômes ! “ En réalité, on n’avait aucune lampe ni équipement mais on était jeunes et on n’ignorait ce qui allait se passer à l’intérieur. On créa aussitôt une formation, Roberto était devant, Elias au milieu, et moi derrière. On se dirigeait vers les escaliers et Elias nous dit : “bon, les amis on se retrouve à 00h dans le hall ! Poursuivez les explorations jusqu'à ce que vous trouviez quelque chose de cher à vendre. ” Quinze minutes s’écoulèrent et j'étais dans les couloirs en train de faire mes lacets quand tout à coup, je vis une femme, les cheveux qui tombaient devant son visage, elle portait une robe descendant jusqu'aux pieds. Elle était pieds nus et me regarda droit dans les yeux. Je me mis instinctivement à courir dans le sens opposé, jusqu’aux escaliers quand je trébuchai et tombai. Je restai sonné sans doute un instant. Soudain, elle fut devant moi et me dit : - Tu es tout seul ici mon petit ? - Oui je suis tout seul, je vais partir ne t’inquiète pas, lui répondis-je. C’était sûrement la pire erreur de ma vie mais je ne le savais pas encore... Point de vue d'Elias : J'étais parti aux toilettes faire ma petite commission et d’un coup en ouvrant la porte des toilettes, je vis pendant un instant un fantôme de carrure imposante. Je me dis que j’étais juste un peu fatigué. Quelques minutes plus tard, je sentis un souffle dans mon dos et un froid glacial, je me retournai en brandissant ma lampe à l’endroit où j’avais senti ce souffle, je vis un monstre horrible,

Un vendredi soir à dix neuf heures, au collège Louise Weiss, il faisait froid, très froid même ! J’étais resté seul car je cherchais mon téléphone que le professeur de technologie, Monsieur A...., m’avait confisqué. Lorsque avait sonné la fin des cours, je m'étais caché dans la poubelle qu’il y avait à proximité de la salle de technologie et, j’avais attendu patiemment que le professeur sorte de sa salle en espérant que, comme les autres soirs, il oublierait de fermer sa porte. Après son départ, je rentrai dans sa salle. Pendant au moins vingt minutes, je cherchai mon téléphone mais à un moment, j’entendis un bruit. Je pensai que c’était monsieur A.... qui revenait ! Je me cachai en dessous d’une table mais ce n’était pas monsieur A.... donc ma recherche reprit et, je trouvai enfin mon téléphone qui était dans le premier tiroir du bureau. Je repartis tout content avec mon téléphone mais bizarrement j’entendis à nouveau un bruit ! Et cette fois, le bruit sembla me toucher le dos ! Cet instant me fit frissonner ! j’eus tellement peur que je me mis à courir vers les escaliers orange du collège mais... un fantôme se tenait là devant moi ! A ce moment-là, je restai paralysé pendant trente secondes, mais pour moi cela dura des heures et des heures. Quand je réussis à reprendre le contrôle de moi-même, je repartis avec la boule au ventre. Arrivé dans la cour, je revis ce fantôme en dessous du préau. J’eus donc l’occasion de le voir de plus près, il avait les yeux rouges et une peau pâle qui pendait. Il me sembla accroché à une chaîne qui faisait peut-être 20 ou 30 mètres. A cette vue, je m’évanouis. Je crois que ce ne fut qu’après deux ou trois heures que je me réveillai enfin et à ce moment, le fantôme n’était plus là. Après cet événement, je ne suis plus jamais allé dans ce collège.

Je décidai de ne pas passer devant cette salle car c’était sans doute la dame blanche et cela me terrorisait. Je fis donc tout le tour du collège. Je me remis à marcher, j’entendis des voix étranges et aigües dans le couloir au deuxième étage qui disaient : «&nbsp;Je suis là, Célia, je suis là, Célia» … Mais comment connaissait-on mon prénom ? Comment savait-on que j’étais en train de m’approcher ? Je regardai autour de moi pour voir s’il y avait des caméras, oui il y en avait mais on ne pouvait visionner les vidéos qu’à la loge. Soudain je courus car un tas d’ombres arrivaient vers moi et s'avançaient de plus en plus vite vers moi. Je me retournai encore une fois, je les vis juste derrière moi et certaines apparurent devant moi. Elles arrivaient de tous les côtés&nbsp;! Je criai de toutes mes forces. Peut être qu’il y avait quelqu’un dans le collège qui pourrait m’entendre&nbsp;? Du moins Je l’espérais. Je m’assis par terre dans la cour ! J’avais tellement peur ! Vous ne pouvez pas savoir à quel point, j'étais terrifiée ! Je me pinçai le bras mais je ne sentis rien. Comment cela pouvait-il être possible ? N'était-ce qu'un rêve ?

Je rentrais du collège, me dirigeant vers chez moi au 14 avenue Georges Daressy. Je ne voyais aucune lumière dans mon immeuble alors qu’il commençait à faire nuit, je trouvais ça bizarre. Mais je n'y réfléchis pas trop, je fis le code, j’ouvris la porte, montais les escaliers jusqu’au deuxième étage. J’ouvris la porte du couloir pour rentrer chez moi, mais je vis que les ampoules étaient presque toutes cassées, les seules qui marchaient, clignotaient ! Soudain, je vis une silhouette inquiétante au fond du couloir en face de moi qui s’approchait à chaque fois que les lampes s’illuminaient ! Je sentis mes jambes trembler ! Je commençai à voir trouble, je restai bouche bée, rempli de peur. C'était la première fois que je voyais un être surnaturel ! A partir de ce jour, mes parents vinrent me chercher en sortant des cours. Puis à cause de ce traumatisme, on déménagea pour que je puisse me rétablir psychologiquement. Depuis ce jour, je me pose cette question : "était-ce réel ?"

mes amis. Je vérifiai au premier et au deuxième étage, mais toujours aucune trace d'eux. Je dus passer trente minutes à les chercher dans tout le collège, sans succès. Je devais donc rentrer chez moi sans Melchor et Gaspard. Peut-être étaient-ils tout simplement rentrés chez eux sans me prévenir ? Je me dirigeai l'âme en peine vers le grillage, et je sortis comme j'y était rentré. Le lendemain, j'allai au collège et de loin j'aperçus Melchor et Gaspard. Heureux de savoir qu'il ne leur était rien arrivé, je courus vers eux et leur sautai dans les bras. Je leur demandai pourquoi ils étaient partis sans moi. Mais ils me regardèrent bizarrement et me répondirent qu'ils n'étaient pas sortis pendant la nuit. J'étais sous le choc et n'en revenais pas. Ils me dirent que leurs parents les avaient surpris au moment où ils allaient sortir de la maison, à 2h00, et que maintenant ils étaient privés de sortie. Alors tous ces événements étranges que j'ai vécus n'étaient-ils qu'un rêve ? ou bien une réalité hantée par une présence surnaturelle ?

Ces nouvelles ont été écrites en classe par mes élèves de 4èmes 3 et 4 du collège Louise Weiss de Cormeilles-en-Parisis. Les illustrations ont été réalisées par Enzo, élève de 4ème4, Waël, Shanèz et Selma, élèves de 4ème3. Chers élèves, merci pour votre implication ! Sandrine Verguet, professeur de Lettres

Je m’appelle Eva et je vais vous raconter une histoire qui m’est arrivée, il y a trois ans&nbsp;. A cette époque-là, j’étais en 3ème. Tout allait bien jusqu’à ce soir-là... Je me souviens que c’était le vendredi 3 juin 2020 soir après les cours. Ce vendredi, il y avait une soirée organisée par mon collège. Elle allait se dérouler dans un tout nouvel établissement pour nous&nbsp;: le lycée général où la plupart des élèves iraient l’année d'après. Cet événement était organisé à la fois pour nous faire découvrir un lycée et à la fois pour que l’on fasse le fameux «&nbsp;bal de 3ème&nbsp;», celui que tout le monde attendait depuis le début de l’année&nbsp;! Alors bien sûr, ce jour là&nbsp;, toute la journée je ne pensais qu’à ça&nbsp;! J’avais hâte d’y aller pour enfin vivre la meilleure soirée de ma vie… enfin.. qui était censée l’être… Ce jour-là, avec ma classe nous avions fini à 16 heures. Dans ma classe, je n’avais qu’une seule vraie amie&nbsp;: Elysée. On avait extrêmement hâte, on n’avait parlé que de ce sujet toute la journée. A 16 heures, en rentrant chez moi avec Elysée, je lui demandai si elle voulait venir chez moi pour qu’on se prépare ensemble. Bien évidemment, elle accepta&nbsp;! Vers 19 heures, nous étions prêtes à partir, nous allâmes au lycée à pied car ce n’était pas très loin. La soirée commença à 20 heures et c’était comme je l’imaginais&nbsp;; tout le monde s’amusait, dansait, chantait&nbsp;… tout était parfait&nbsp;! Vers 23 heures, Elysée me demanda de l’accompagner aux toilettes. On sortit donc de la salle puis elle me dit&nbsp;: -Mais attends Eva, tu sais où se trouvent les toilettes dans ce lycée&nbsp;?&nbsp; -Non, mais ne t’inquiète pas, ça doit être indiqué ! lui répondis-je sereinement. Mais après au moins vingt minutes de recherche, nous ne les avions toujours pas trouvées, et nous ne savions plus où l’on était&nbsp;! Nous étions totalement perdues ! Il n’y avait personne dans les couloirs, il était environ 23 h30 et tout le monde était dans la salle de fête&nbsp;!

J’étais alors élève de 4ème au collège Louise Weiss et tout se déroula un mercredi 1er février 2023, par une matinée couverte et maussade. J’étais en cours de français en salle 211, ma professeure me demanda de descendre au rez-de-chaussée pour y trouver un assistant d’éducation. J’arpentai les couloirs vides et froids de l’établissement. Alors que j’étais en train de descendre les marches grinçantes de l’escalier central, dehors la pluie s’intensifia. Les lumières qui étaient fortes et scintillantes se mirent à clignoter. Des éclairs commencèrent à apparaître non-loin du collège, je m’empressai alors de descendre les bruyantes marches de cet escalier. Je regardai autour de moi et ne découvris personne. En contre-bas de l’escalier, je fouillai du regard la pièce vide. Quand tout d’un coup les lumières s’éteignirent et laissèrent place au noir absolu. Je sortis donc mon téléphone et allumai la lampe torche pour y voir plus clair. Je découvris autour de moi, avec stupeur, des murs fissurés, dégradés et ensanglantés, devenus méconnaissables. J’avançais dans cet endroit lugubre, quand tout d’un coup une lumière blanche et vive apparut devant moi. Après une seconde, mes yeux s’habituèrent à la lueur et je découvris une jeune fille, toute vêtue de blanc, aux yeux aussi bleus que la glace et aux cheveux couleur de feu. De frayeur, je fis tomber mon téléphone sur le sol. J’aurais voulu courir mais mes jambes étaient figées sur place. Le fantôme fit un pas vers moi. Et alors que je m'enfuyais le spectre me heurta. De peur, je m’évanouis sur le sol glacial. Quelques temps plus tard, je rouvris les yeux, l'un de mes camarades me réveillait, paniqué. Il me demanda ce qui s’était passé. Je regardai les murs, redevenus intactes et les lumières qui brillaient de tout leur éclat. Je me demandai si cela n’avait été qu’un rêve ou si ce spectre hantait réellement les couloirs de mon collège.

Un fantôme qui se balade dans un collège

Un jour, alors que je me baladais dans le collège, j’entendis soudainement des cris provenant de la salle 207, celle de ma professeure d'anglais, Mme D-D. Je trouvai cela bizarre mais cela s'arrêta peu de temps après. Pas plus de cinq minutes s’étaient écoulées que je réentendis les même cris provenant cette fois-ci, d’une autre salle, la salle 212, celle de Mme V.... la prof de français, qui se trouvait un peu plus loin dans le couloir. Je trouvai cela de plus en plus étrange. Cette fois-ci, je décidai de me rendre dans la salle de Mme V...., celle où j’avais entendu pour la dernière fois ces cris étranges. Lorsque j’ouvris la porte de la salle, j’eus comme l’impression que l’atmosphère avait subitement changé. La porte se referma derrière moi, je me dis que c’était un simple coup de vent mais lorsque je me retournai, j'eus, pendant un instant, l'impression d'être face à un fantôme. Avais-je rêvé ? Était-ce une hallucination ? Je ne le saurai jamais.

Je suis Nadym. Comme mon ami Imrane, je vis à Cormeilles, j'ai 16 ans. Il y a trois ans, un mercredi, alors qu'on avait que 13 ans et que nous étions en 4ème, nous avons vécu des phénomènes paranormaux au collège Louise Weiss, à Cormeilles-en-Parisis. L’histoire commença dans un Grec alors que nous étions en train de manger notre menu. Imrane venait de se souvenir qu’il avait oublié sa trousse au collège. Je lui fis comprendre qu’il faudrait la récupérer avant les cours. Le lendemain matin, nous allâmes au collège plus tôt que prévu, à 6h30 exactement. Nous escaladâmes les escaliers jaunes jusqu’au 2ème étage pour aller dans la salle 212, la classe de français. Mais à l’autre bout du couloir, on vit soudain une étrange femme blanche et diaphane comme un esprit ou une sorte de fantôme. Je fit un pas vers elle tandis qu'Imrane était en retrait, je me retournai pour m’assurer qu'Imrane allait bien, puis je me retournai abruptement vers elle et...et elle avait disparu soudainement ! Imrane était si terrorisé qu’il en tomba en pâmoison. Moi, je restai lucide mais j’étais aussi très ébranlé. Après avoir réanimé Imrane, je partis en courant du collège ! Nous ne remîmes plus jamais les pieds dans ce collège ! Nous nous sommes chacun inscrits dans un nouveau collège et nous ne nous sommes plus jamais revus.

Un soir, en 2021, Amina et Elsa sortirent se promener dans la nuit. Elles prirent le train à la gare St-Lazare et descendirent à la gare de Cormeilles-en-Parisis. Elle discutaient tranquillement tout en ne sachant pas vraiment où aller. Tout à coup, une violente tempête éclata. Elsa apeurée, proposa à Amina d’aller se réfugier dans le collège qu’elle vit au loin. Elles coururent vers l'établissement scolaire le plus rapidement possible. Arrivées devant la grille du collège Louise Weiss qui leur sembla moderne et accueillant, Amina dit : - Escaladons la grille, allez dépêche-toi, il commence à pleuvoir ! - Oui, oui je monte ! Répondit Elsa apeurée. Entrées dans le collège, elles se rendirent dans la salle zen pour y prendre des poufs et les apportèrent dans une salle de classe à l’étage afin de s’y installer et d'y passer la nuit. - Amina, demain il faudra remettre en ordre la salle de classe avant l’ouverture du collè… Elsa n’eut pas le temps de terminer sa phrase que les toutes les lumières s’éteignirent brusquement. Elsa prit peur mais Amina la rassura en lui expliquant que ce n’était qu’une coupure de courant due à la tempête. Ensuite elles se couchèrent. Vers 1 heure du matin, Elsa entendit un sifflement venant du couloir. Elle réveilla subitement Amina pour lui faire part de ce qu'elle avait entendu. Mais Amina crut qu'Elsa avait tout imaginé et ne l’écouta pas, elles se rendormirent. Vers 3 heures du matin, les deux amies furent réveillées par un bruit de sifflement encore plus assourdissant que le premier. Amina décida de sortir voir ce qu’il se passait, suivie de très près par Elsa. Lorsque Amina ouvrit la porte de la classe pour sortir, elle sentit un courant d’air passer juste devant son visage. Elles avancèrent dans le couloir sombre avec pour seule source de lumière une lampe torche.

Lors de cette soirée entre amis, alors que le jeu était de raconter une histoire qui faisait peur, Enzo prit la parole : « Je vais vous raconter une histoire qui me fait froid dans le dos encore aujourd'hui, et… je vous jure que cette histoire m’est vraiment arrivée. Vous souvenez-vous de Luis ? C’est l’histoire de sa disparition… C’était il y a deux ans, quand j’étais en quatrième... Je me souviens, tout commença en cours de français, avec ma prof, je crois qu’elle s’appelait Mme V.... et Luis venait de se faire confisquer son téléphone. Il était fou de rage. Il n’avait qu’une seule idée en tête : le récupérer ! Après les cours, il me supplia, il voulait que l'on s'introduise dans l'établissement pour reprendre son téléphone. J’acceptai à contrecœur. Nous avions fini les cours à quinze heures, donc nous avions encore un peu de temps devant nous pour élaborer une stratégie. De plus, les parents de Luis étaient partis en week-end, donc ils n’allaient se douter de rien. Pour ma part, j'avais dit à mes parents que j’allais dormir chez un ami. Nous nous rendîmes au collège à minuit. Luis réussit à désactiver les alarmes à distance, grâce au cours de techno de la semaine précédente, et nous pûmes pénétrer les locaux sans aucun problème. Durant les dix premières minutes, tout se passa pour le mieux : nous avions le collège pour nous tout seuls et nous récupérâmes le téléphone sans aucun souci. Avant de repartir, nous passâmes par la cantine. Au moment où nous y entrâmes, nous fûmes pétrifiés… il y avait le cadavre du chef de cantine là, devant nous ! Sur le coup, Luis laissa tomber son téléphone. Je le ramassai et au moment de lui redonner, je vis ses yeux tout blancs ! Pris de peur, je reculai tandis qu’il avait pris le cantinier par la tête pour le manger. A ce moment-là, je m'enfuis avant de réellement comprendre ce qui se passait !

Savez-vous ce qu’est que l’horreur ? Cette sensation d'effroi et de répulsion ? Je me présente. Je m’appelle Léo. Depuis ce jour où j'ai ressenti cette terreur, ma vie a changé. Je dois vous raconter. Tout s'est passé au collège Louise Weiss, à Cormeilles-en-Parisis. J’étais resté en heure de colle avec mon ami Julien. Tout allait bien, nous finissions à 17h et avant de partir nous nous dirigeâmes vers les toilettes car Julien était pressé. Nous étions les seuls, ici, à part notre professeure de français, Mme V...., qui n’avait pas l’air d’être heureuse de finir si tard un vendredi soir, pour une simple histoire de chiclette. J'attendais Julien qui mettait plus de temps que prévu. Je toquai à la porte de sa cabine mais il ne me répondit pas. Puis je vis que la serrure de sa cabine n’était pas bloquée alors je pris la décision d’ouvrir au risque de le voir, il commençait en effet à m’inquiéter. Mais rien ! Aucune trace de Julien ! Je le cherchai aux alentours mais toujours aucune trace de lui ! Cela me fit peur ! Je l’appelai, il ne répondit pas, alors je courus prévenir la professeure en espérant qu’il sortirait de sa cachette, mais en entrant dans la salle de Mme V...., je découvris toutes ses affaires éparpillées dans la salle, toutes ses copies et toutes les tables retournées, empilées, brisées ! Même sa tasse avait explosé au mur laissant derrière elle une grande trace de café ! J’étais terrifié alors je courus dans les couloirs criant le nom de mon ami et de ma professeure. Je me trouvais seul, dans les couloirs de mon collège. Mais malgré cette solitude glaçante, je me sentis épié. Puis tout à coup, la sonnerie du collège retentit ! Alors je me rendis à la loge en me disant que quelqu’un était là. Mais une fois sur place, personne ! Comme si la personne dont la main avait activé la sonnerie était partie juste après... C’en était trop pour moi, j’ouvris la porte du portail et montai sur mon vélo. Je rentrai chez moi terrorisé.

Le vendredi 16 décembre. Des éleves nommés Omori, Kel, Aubrey, Hero, Basil avaient terminé les cours quand soudain, Kel eut l’idée de passer la nuit dans le collège Louise Weiss. Les amis de Kel hésitaient beaucoup mais acceptèrent finalement. Après avoir prévenu leurs parents, en disant qu’ils dormaient chacun chez les autres, ils se cachèrent dans les toilettes. Après la fermeture du collège, ils se retrouvèrent dans le hall d’entrée. Tout allait bien quand, soudain, ils entendirent un grand «BOUM» ! Ayant peur, Kel proposa de se diriger vers le bruit. Ils montèrent les escaliers. Ils ne voyaient rien donc ils retournèrent dans le hall. Soudain, ils entendirent : « il revient » ! Omori commença à paniquer quand tout à coup la lumière du hall s’alluma, Basil et Omori ne voyaient plus leurs ombres. Ils entendirent un autre « il revient » d’une voix plus grave avec plus de force ! Hero se dirigea aux toilettes mais Aubrey commença à dire que les toilettes étaient très connues pour être hantées, et que ce n’était pas le moment, surtout s'il y avait un fantôme à leurs trousses. Il y eut un autre «BOUM » ! venant des deux toilettes des filles et garçons. Aubrey eut l'idée de séparer les filles aux toilettes des filles et les garçons aux toilettes des garçon. Mais il ne se passa rien des deux côtés. Ils se retrouvèrent à l'infirmerie et, là, ils virent un fantôme ! Le fantôme fonça sur Omori en disant : « c’est toi avec l’ombre de Sunny ». Soudain Omori se reveilla dans sa chambre mais sans son ombre et sur son coude il y avait écrit «Sunny».

Mercredi 25 janvier Cette après-midi&nbsp;, Shanèz et moi avons rejoint une amie du collège Louis Hayet, qui nous saluait de loin. Sur le chemin, elle nous a raconté qu’il y avait une rumeur de fantôme dans son collège... Bizarre ! Dimanche 29 janvier Mon amie et moi avons décidé de nous aventurer au collège Louis Hayet ce week-end ! Nous avons fait des recherches et trouvé qu'une légende raconte que lorsque le collège a été construit, une petite fille se promenait près du chantier et un énorme mur lui est tombé dessus, ce qui a causé sa perte. D’après les rumeurs, son fantôme revient tous les soirs. On a apporté une pince pour crocheter la serrure et nous infiltrer dans le collège. Puis on est allé au deuxième étage où il n'y avait rien d’anormal jusqu’à ce qu’on entende une musique étrange. A ce moment-là, une créature spectrale a surgi de nulle part. Elle s'est approchée soudainement, elle était terrifiante et horrible ! Nous avons couru dans tout le collège en criant, et quand j’ai enfin trouvé la sortie, Shanèz n’était plus derrière moi ! J'ai appelé la police mais ils ne l'ont pas trouvée… Mercredi 1er février Depuis le 29 janvier, je n’ai plus posé un pied dans un collège, je vois encore le fantôme, je deviens folle&nbsp;!!!

Alors j’essayai de lui montrer que je n’avais pas peur, mais au fond de moi, je savais que j’étais effrayée et qu’elle aussi. Cependant ce n’est pas là, le pire&nbsp;! Environ dix minutes après, les lumières s’éteignirent&nbsp;: coupure d’électricité&nbsp;! A ce moment là, nous paniquâmes vraiment. Nous n’avions toujours pas trouvé les toilettes et nous n’avions pas nos téléphones car c’était une soirée «&nbsp;scolaire&nbsp;» après tout. Nous décidâmes de prendre notre courage à deux mains et de courir dans le long couloir principal. A ce moment là, nous vîmes une petite lueur de lumière, alors nous nous approchâmes et nous vîmes que c’était le panneau des toilettes qui s’illuminait dans le noir. Nous rentrâmes dans la salle, Elysée prit du papier toilette et alla dans un cabinet. Je l’attendais, j’étais seule, dans le noir, sans téléphone et perdue dans les couloirs du lycée, quand tout à coup, j’entendis un bruit qui me fit encore plus peur&nbsp;: on aurait dit une voix de petite fille, une petite voix aiguë qui criait «&nbsp;hé ho&nbsp;!&nbsp;». Je pensais que c’était mon esprit qui me jouait des farces ou que c’était une hallucination. Il était impossible qu’il y ait quelqu’un, j’étais seule avec Elysée. Alors je décidai de ne pas bouger, ni crier et de garder mon calme. Dès qu' Elysée sortit du cabinet, je lui sautai dessus pour lui demander si elle aussi avait entendu cette voix étrange. Et c’est ça le drame&nbsp;: elle me répondit que OUI&nbsp;! Alors là, je pensais que c’était fini pour nous. On décida d’attendre un peu dans le silence pour voir si l’on entendait encore cette voix. Nous attendîmes dix minutes, il devait être minuit désormais, et nous n’avions toujours pas entendu cette étrange voix de nouveau. La soirée devait déjà être finie depuis vingt minutes&nbsp;! On prit notre courage à deux mains puis nous allâmes dans le couloir sombre. On se mit à courir à toute vitesse et là… nous vîmes une petit fille, toute blanche, de la tête aux pieds, un peu surélevée par rapport au sol.

Soudain elle se mit à refaire ce bruit «&nbsp; hé ho&nbsp;!&nbsp;» A ce moment là, aucune hésitation, on courut partout dans n’importe quel sens en espérant retrouver la sortie&nbsp;! C’était comme dans un labyrinthe, voire pire&nbsp;! Par chance je retrouvai les escaliers mais j’avais perdu Elysée&nbsp;! Je criai son prénom mais il n'y avait aucune trace d’elle nulle part&nbsp;! Elle avait disparu&nbsp;! Je partis en courant mais en pleurs, aussi. Mon père m’attendait depuis une heure et était très inquiet. Depuis ce jour là, je ne suis plus jamais retournée dans ce lycée, mes parents m'ont inscrite dans un autre établissement&nbsp;! Et je n’ai jamais plus eu de nouvelles d’Elysée...

La terrible aventure que je vais vous raconter se déroula le 16 décembre 2022. C'était la fin de l'après-midi, il était 17 heures 15 et le soleil se couchait. J'étais avec une amie, nous descendions au rez-de-chaussée de notre collège. - Je dois aller déposer mes cahiers, mon sac est tellement lourd. Est ce que tu pourrais m’accompagner à mon casier, s’il te plaît ? demandais-je. -Oui, bien sûr, je t’accompagne, répondit-elle. Arrivées en bas des escaliers, nous entendîmes un bruit criard. Mais nous n'y fîmes pas plus attention que cela. Dans le hall et nous aperçûmes une flaque d’eau devant les casiers. -Regarde, il y a une flaque d’eau, ne marche pas dedans ! Passons par derrière. Louane et moi fîmes un pas en arrière pour pouvoir contourner la flaque. Je tournai ma tête, et je vis un fantôme à ma droite. Je poussai un hurlement de frayeur ! Moi qui ne croyais pourtant pas aux fantômes, je fus terrifiée à la vue de ce spectre qui se tenait là, devant moi ! Est-ce que cette créature était réelle ? Ou était-ce le fruit de mon imagination ? -Qu’est-ce que ? Mais qui est-ce ? Qu’est-ce que ça fait là ? -Je ne sais pas ! Nous vîmes le fantôme s’avancer vers nous. La peur nous prit, nous courûmes pour sortir de ce couloir qui nous semblait soudain hanté… Nous entendîmes un deuxième bruit mais il était mélodieux. Ce bruit-là nous figea tellement que cela fut hypnotisant. Nous sortîmes du collège en ayant l’angoisse dans nos cœurs. Nous vîmes encore une fois le fantôme qui nous observait d’un regard noir, sombre et terrible. Depuis ce jour, moi et mon amie, n’avons plus jamais vu de créature de cette sorte…

Plus tard, je retrouvai Luis, il avait tout oublié et ne semblait plus lui-même. J'eus l’impression que quelqu’un ou quelque chose avait pris possession de son corps. A ce moment, je pris peur. Il était très exactement 00H49 ! Je réussis à rentrer chez moi sain et sauf, mais je ne réussis pas à m’endormir. J’avais tellement de questions. Mon ami était-il possédé ? Qui s'était emparé de son âme ? Était-il mort maintenant ? Depuis ce jour, je n'ai plus jamais revu mon ami. Et chaque année, à la même date, à l'heure de sa disparition, je reçois un appel, une voix terrifiante me dit : -J’arrive... »

Le soir, lors du repas je ne dis rien de tout cela à mes parents, même si je sentais qu’ils se doutaient de quelque chose. Pendant la nuit, il me fut impossible de dormir. Le lendemain, le samedi, je passai la journée chez mon oncle qui habitait à 5 kilomètres de là et même si je m’amusais, je m’inquiétais de ce qui s’était passé la veille. Plus tard, pendant que mon oncle dormait, je pris mon sac avec une lampe torche et mon téléphone pour filmer et prendre des photos car je voulais en savoir plus sur ce qui s’était passé. Une fois devant le collège, j'escaladai le grillage et atterris dans les buissons de la cour. Bizarrement il n'y avait pas d’alarme. Je me dirigeai vers la salle de Mme V.... et découvris avec stupeur que tout le désordre de la veille avait disparu ! Les tables avaient été replacées et réparées, ses affaires étaient à nouveau à leur place et même la taches avait été nettoyées ! C’était vraiment surréaliste ! En me baladant dans le deuxième étage, je retrouvai cette sensation d’être observé par une personne et je la sentais proche de moi. Je stressais tellement que tout ce qui me paraissait inhabituel, je le photographiais. Soudain, sans que je comprenne pourquoi, la lumière de ma lampe s'éteignit. Ce fut le pire moment de ma vie ! J’étais tout seul, dans le noir, dans un collège, avec des événements paranormaux ! J’entendis un bruit résonnant dans le couloir, ressemblant à des bruits de pas lourds, un bruit strident de dents grinçant, des griffes creusant les murs du collège et enfin le bruit d’un grognement féroce d’une bête affamée. Devenais-je fou ? Puis tout d’un coup, plus rien ! Seulement un silence long et froid. J’étais au milieu du couloir, assis les yeux fermés, je voulais croire que rien de tout ça n'était réel, mais pourtant si ! C’était bel et bien réel ! Quand j’ouvris les yeux, la lumière était revenue et les bruits avaient totalement disparu.

Alors je me précipitais vers la sortie quand soudain j’entendis un cri, un cri familier. Et je reconnus la voix de mon ami Julien ! Je criai son nom pour avoir une réponse, je me dirigeai vers les toilettes d’où provenaient les bruits. Une fois arrivé devant les toilettes, je vis Julien s'avancer vers moi comme si de rien n'était, je me précipitai vers lui et le bousculai en lui criant : -Où est-ce que t’étais ? -Bah, je viens juste de sortir des toilettes ? me répondit-il. -Impossible ! Tu avais disparu ! ça fait deux jours ! -N'importe quoi ! Il sortit son téléphone et me montra la date. Vendredi 5 décembre. J'étais sous le choc. Puis il prit son sac et partit vers la sortie du collège, je l’accompagnai en m’expliquant mais il me répondit naturellement, comme si rien de tout cela n’avait existé ! Nous rentrâmes chez nous et je gardai cette aventure horrifique pour moi. Mais pourtant au fond de moi, j’ai encore ce sentiment que tout ceci était vrai. Et vous, qu'en pensez-vous ?

Je m’appelle Célia, j’ai 13 ans et je suis en 4ème au collège Louise Weiss, à Cormeilles-en-Parisis, une petite ville tranquille du Val d'Oise. Je vais vous raconter ce qu’il m’est arrivé. Ce jour-là, le 2 février 2023, j’allai en cours comme tous les jours, mais cette journée ne fut pas comme les autres ! Dès le matin, je crus avoir des hallucinations et ça ne m’était jamais arrivé. Il me semblait voir des ombres de clowns, de poupées de cire et même la dame blanche. Étais-je devenue parano ? Étais-je la seule à voir cela ? Alors je demandai à mes amies mais, elles, ne voyaient rien. On alla en cours sauf que, malencontreusement, je fis tomber mon téléphone, et au même moment, trois profs passèrent et ils me prirent mon téléphone car ils pensaient que je l’utilisais, alors que je l’avais juste fait tomber. Quand je sortis des cours, je demandai mon téléphone aux surveillants mais ils ne voulurent pas me le rendre. Le soir même, j’attendis que mes parents s'endorment pour aller le chercher moi-même au collège. J’avais tellement hâte de consulter mes messages ! Je décidai de faire le mur et me dirigeai vers le collège. Devant la grille, je vis au loin, dans le hall et dans la cour, des ombres étranges. Je décidai de passer par le parking où les profs garent habituellement leurs voitures. Soudain je sentis une présence derrière moi, je me retournai et là, je vis...LA DAME BLANCHE !!! Elle me regardait avec un regard noir, je me mis à courir jusqu’aux bancs, me retournai, elle n'était plus là ! Je me tournai encore une fois et d’un coup, je la vis à nouveau, elle était là, devant moi, en train d’avancer. Je courus jusqu’à un endroit où je pouvais me cacher. J’attendis qu’elle soit partie pour pouvoir sortir de ma cachette. Au bout de peut-être cinq minutes, je décidai de sortir de ma cachette et je continuai de chercher, je décidai de monter dans les escaliers, au loin je vis une salle où la lumière clignotait.

C'était un vendredi 15 janvier, on passait le brevet blanc, au collège Louise Weiss, mais nous n'avions pas révisé et nous pensions avoir une mauvaise note. Thibau m'invita à dormir chez lui pour parler de la note, nous essayâmes de trouver un plan pour améliorer notre note. Nous eûmes une petite idée. Nous appelâmes notre ami Kévin pour en discuter, il vint et nous aida à mettre au point un plan pour pendre les copies et nous immiscer dans le collège. Nous allâmes dans le collège à trois heures du matin pour aller récupérer nos copies et Kévin resta à l'extérieur pour guetter. Moi et Thibau, nous entrâmes dans la salle où se trouvaient les copies. Un fantôme était là et renversait les copies ! Nous fûmes à la fois surpris et terrifiés. Il était très grand avec une robe blanche, ses cheveux tombaient sur ses yeux. Il tenait un couteau à la main. Nous partîmes. Nous avons réussi notre Brevet.

Tout s'est déroulé un jour durant mon année de 4ème, alors que nous avions fait une dictée en cours de français et que j’étais persuadé d’avoir une mauvaise note. A la fin de la journée, une fois arrivé chez moi, je réfléchis à la dictée du matin et j’eus directement une idée. J’appelai Mernis, un élève de ma classe, pour lui en parler : “-Tu vois la dictée de tout à l’heure ? lui demandai-je. -Oui je vois, répondit Mernis. -Je suis persuadé d’avoir eu une mauvaise note et donc j’ai une idée pour la changer ! On se retrouve ce soir à minuit devant le collège ! -Attends, tu es sérieux ? On ne devrait pas plutôt en parler avec la prof, demain matin ? -Non, je ne veux pas risquer d'avoir une mauvaise note sur mon bulletin, je préfère m'en occuper maintenant. -D'accord, mais on doit être prudents, je ne veux pas être impliqué dans des ennuis. -Ne t'inquiète pas, on sera discrets et tout se passera bien. Merci encore pour ton aide.” Après cela, je fis une liste de ce que je devais prendre comme affaires : une lampe torche, une feuille de la dictée corrigée, et des épingles pour déverrouiller les portes, j'envoyai aussitôt à Mernis cette liste par message. La journée se terminait et j'allai me coucher afin que mes parents ne se doutent de rien. Minuit arriva, je sortis de chez moi pour retrouver mon ami devant le collège, nous étions armés d'une lampe torche et d'une feuille sur laquelle ma dictée était corrigée. Nous entrâmes dans le collège et commençâmes notre mission pour changer ma note. Tout était calme et silencieux, jusqu'à ce que nous entendions des bruits étranges dans le couloir. Nous nous regardâmes et ne nous inquiétâmes pas trop au début. Mais soudain, une forme fantomatique apparut devant nous. C'était le fantôme de Louise Weiss.

C'était le 17 décembre 2022, il était exactement 17h12, je n'oublierai jamais ce moment. Je venais de finir mon heure de colle, j'étais collée car je m'étais assise à côté de ma meilleure amie alors que la professeur de français, Mme V.... nous avait dit de ne pas nous mettre l'une à côté de l'autre. Je me dirigeai vers les toilettes et en en ressortant, le collège me sembla désert. Je décidai de prendre les escaliers les plus proches, j'arrivai dans le hall. J'entendis un bruit à ma droite. Je regardai autour de moi et je vis, debout sur les escaliers, une silhouette, qui me fixait, semblable à celle d'une jeune fille. Je me tournai quand je vis gravé sur une vitre un texte que je lis à voix haute : "FUYEZ quand vous reverrez le fantôme d'Akosi, une jeune femme séquestrée dans les caves du collège ! La légende raconte qu'elle reviendra un jour pour tuer les descendants de l'oppresseur !" En lisant cela, une intense panique me submergea. Je vis une ombre se former au-dessus de ma tête. Etais-je devenue folle ? Avais-je des visions ? Des hallucinations ? Elle vola jusqu'à devant moi avant de s'arrêter net juste derrière moi. Je la sentais quasiment au creux de mon dos. Elle me chuchota doucement à l'oreille : " Toi, descendante d'Arthur, mon séquestreur, tu vas payer pour tes ancêtres. Tu ne survivras sûrement pas à cette journée. Mon histoire est tellement... effrayante, tu ne surporteras pas de l'entendre ! Ton âme est bien trop sensible pour ce genre de récit horrible. C'est pour cela que je vais t'en parler." Elle s'avança devant moi et en passant, je sentis ses longs cheveux blancs me froler et faire frissonner ma nuque. "Un jour d'hiver, en décembre, non loin des fêtes de fin d'année, j'essayai de m'échaper des mains de ton ancêtre, qui, je crois, voulait ma mort. Il m'a retrouvée puis enfermée dans un cabinet de toilette.

Après quelques minutes à marcher dans l’obscurité, les lumières du couloir se mirent à s’allumer puis s’éteignirent laissant apercevoir une femme toute vêtue de blanc avec quelques gouttes de sang sur sa robe. Elle avait des cheveux très courts et gris. Elle fixait les deux collégiennes avec un sourire malsain et démoniaque. Amina, apeurée, s’évanouit et Elsa prit son courage à deux mains et porta Amina dans ses bras, puis se mit à courir le plus loin possible du collège. Après cette horrible rencontre. Elsa fut traumatisée pendant encore plusieurs années. Concernant Amina, elle semblait avoir oublié cette nuit effroyable, sûrement à cause du choc. Elsa ne comprit jamais qui était cette dame. Peut-être un fantôme ? Peut être une personne malveillante ? On ne le saura jamais.

Un jeudi soir, alors qu’il faisait nuit noire, Mia et moi, Clara, nous nous rejoignîmes devant le collège pour trafiquer les copies de M. S...., notre professeur de mathématiques. Il le fallait, car le jour précédent, les contrôles avaient été catastrophiques et les notes risquaient de l’être également ! Et si notre moyenne de maths et donc notre moyenne générale passait en dessous de dix, nous ne pourrions jamais avoir les chaussures que nous voulions tant et que nos parents nous avaient promises. Nous nous étions donc donné rendez-vous pour entrer par le petit portail qui comme on l’avait remarqué menait au plateau, (le nuit il n’était jamais fermé). Sauf qu'au moment où nous nous apprêtâmes à entrer, nous découvrîmes avec stupéfaction qu'il était fermé. Déçue, Mia me fit la courte échelle car c’était notre dernière solution. Il n’était pas moins de 4h32 quand Mia et moi réussîmes enfin à pénétrer dans le collège. Mia eut très envie d’aller aux toilettes et, à contrecœur, je l’accompagnai. Elle se lava les mains et les lumières commencèrent à grésiller, un sentiment de peur m’envahit mais nous nous rassurâmes en nous disant que ce n’étaient que les lumières qui ne fonctionnaient pas très bien. Puis les lumières s’éteignirent pour de bon et à ce moment précis, Mia laissa s’échapper un cri, tandis que moi je sentais mes jambes qui tremblaient et mes mains qui dégoulinaient de sueur, j'étais effrayée. Tout à coup, le sèche main se mit à s’allumer. Tout semblait bizarre… Soudain un spectre apparut. Il ne bougeait pas et nous non plus. Puis terrifiées, nous nous mîmes à courir vers la salle de M. S.... . Arrivées devant, nous vîmes qu'elle était fermée. Le fantôme arriva vers nous et nous nous élançâmes vers le deuxième étage pour semer ce spectre étrange et récupérer la clé de la salle de Mathématiques.

Tout seul, voila ce qu’était Priam. Sa mère avait décidé de le responsabiliser et donc, par conséquent, de le laisser seul pendant une journée dans le manoir familial . Priam en avait marre, il avait faim, le problème c’est qu’il était tout simplement pathétique en cuisine et puis qui aurait eu envie de descendre dans les cuisines qui se situaient dans les sous-sols, près de la cave ? Toute personne sensée aurait dit que cela faisait peur ! Cependant sa mère et son père disaient : « non , il n’y a rien de dangereux, mais il faut tout de même faire attention ! » Bref, pour en revenir à notre histoire, Priam n’aimait tout simplement pas aller dans les cuisines, pour la simple et bonne raison qu’à chaque fois qu’il y allait, des choses, des bruits, des ombres arpentaient la pièce. Selon ses parents, c’était son imagination, et dieu sait qu’il aurait aimé que ce soit son imagination, mais il ne les avait pas imaginées, ces voix, n'est-ce pas ? Il ne pouvait se résoudre à croire que c’était simplement son imagination, ou alors il était fou, et il commençait à entendre des voix ? Ce n’était pas impossible mais improbable, car il voyait un psychologue régulièrement, en raison de ses présumées hallucinations ! Le psychologue en question, disait à chaque rendez-vous que ce n’était plus la peine de l’amener en consultation, car il n’avait rien et était sain d’esprit, mais ses parents étant ses parents, refusaient et prenaient quand même des rendez-vous hebdomadaires en guise de prévention. Pour en revenir à Priam et sa peur des cuisines, il hésitait entre commander à manger ou surmonter sa peur et essayer de cuisiner en espérant que ce soit mangeable .

Nous étions en salle informatique quand Mme V...., notre professeur de français, nous distribua les papiers pour la fête de la lecture qui avait lieu tous les ans. Pendant que je discutais avec Camille et Anaïs, je me souvins d’une aventure étrange et terrifiante qui m’était arrivée l’année précédente, le soir de la fête de la lecture avec Camille. Alors je décidai de la raconter à Anaïs : "Tout a commencé quand nous étions dans le hall du collège Louise Weiss, le soir du vendredi 13 mai, où il y avait les autres élèves et les professeurs ainsi qu’une bonne ambiance de fête. Tout à coup, nous décidâmes d’aller aux toilettes, cependant, les toilettes les plus proches étaient au fond d’un couloir où la lumière ne fonctionnait pas toujours, voire presque jamais. Quand nous fûmes dans le couloir, nous sentîmes un courant d’air glacial qui nous donna des frissons. Surprises, nous nous arrêtâmes et nous nous regardâmes avant de reprendre notre route. Nous prîmes nos téléphones pour nous éclairer en voyant que la lumière des toilettes ne fonctionnait pas non plus. Une fois arrivées devant les lavabos des toilettes, je me lavai les mains, tandis que Camille passa un coup d’eau sur son visage. Camille leva la tête et sursauta en criant de surprise. Je pris la parole et dit : - Qu’est-ce qu’il y a ?! Tu m’as fait peur ! Camille répondit d’une voix tremblante : -Je... j’ai vu une ombre sombre et blanche dans le reflet du miroir. Je lui répondis qu’elle avait sûrement mal vu, puis je me retournais pour vérifier qu’il n’y avait vraiment rien et là... ce fut la plus grande peur de ma vie. Je vis une silhouette étrange et semblable à celle d’un fantôme qui se dirigeait vers nous !

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