Question de la 6/7ème année sur l’identité canadienne...
Que veut dire «être Canadien»?
L’aperçu général
L’équipe à Signal Hill Elementary
La description du projet
Les attentes
Les compétences disciplinaires
Des exemples de projets faits en classe
Le vue d’ensemble du projet
Les difficultés
Les réussites
Les recommendations
Les applications recommandées
La description du projet
Les attentes
Les compétences disciplinaires
Des exemples de projets faits en classe
Le vue d’ensemble du projet
Les difficultés
Les réussites
Les recommendations
Les applications recommandées
L’équipe de Signal Hill.
Aussi...
Mlle Lemieux - enseignante de la 6ème année
M Drygas - enseignant-bibliothécaire
L’équipe ILT, en particulier M Cox
Mlle Lemieux - enseignante de la 6ème année
M Drygas - enseignant-bibliothécaire
L’équipe ILT, en particulier M Cox
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La description du projetLoading...
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Ce projet est transdisciplinaire mais c’est avant tout un projet de français en français. Les élèves examineront leur propre culture et histoire en relation avec celles des autres. Ce projet sera un mélange de différentes matières, en particulier des sciences humaines, des langues (français et d’autre de la région), de conception, compétences pratiques et technologies et des perspectives des Premières Nations. L’objectif final est de créer un document numérique qui pourra informer une audience francophone à ce que c’est d’être Canadien (en dehors du context québécois). Loading...
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Les attentesDes exemples de projets
La recherche et sa représentation
Les élèves ont appris qu’afin d’éviter des stéréotypes, qui fallait se baser sur des faits. Ils ont aussi appris à reconnaître des sites fiables, à se fier à certaines sources, et à éviter d’autres. Comment décrire une nation sur des faits? Ils ont appris ce que c’était le recensement et dû naviguer le site qui est assez compliqué (https://www.statcan.gc.ca/fra/debut).
Les élèves ont appris qu’afin d’éviter des stéréotypes, qui fallait se baser sur des faits. Ils ont aussi appris à reconnaître des sites fiables, à se fier à certaines sources, et à éviter d’autres. Comment décrire une nation sur des faits? Ils ont appris ce que c’était le recensement et dû naviguer le site qui est assez compliqué (https://www.statcan.gc.ca/fra/debut).
Les élèves étaient mis en groupes et chaque groupe devait rechercher un de ces sujets au niveau national, provincial, et Pemberton:
Les langues les plus parlées
Les religions les plus pratiquées
Les différents groupes ethniques
Les âges
Le niveau d’éducation
La nourriture la plus populaire
L’emplacement de la population (urbain, rural, etc.)
Autres sujets qui les intéresse
Avec l’information, les élèves ont dû alors représenter leurs données sous forme de graphe. (On venait tout juste d’apprendre comment calculer les pourcentages en maths et de les mettre en graphe). Ils se sont servis de Google Sheets et avec l’aide du diaporama que l’équipe ILT a créer, les élèves ont dû se débrouiller seuls à représenter leurs données statistiques.
Les langues les plus parlées
Les religions les plus pratiquées
Les différents groupes ethniques
Les âges
Le niveau d’éducation
La nourriture la plus populaire
L’emplacement de la population (urbain, rural, etc.)
Autres sujets qui les intéresse
Avec l’information, les élèves ont dû alors représenter leurs données sous forme de graphe. (On venait tout juste d’apprendre comment calculer les pourcentages en maths et de les mettre en graphe). Ils se sont servis de Google Sheets et avec l’aide du diaporama que l’équipe ILT a créer, les élèves ont dû se débrouiller seuls à représenter leurs données statistiques.
Les graphs ci-joint sont des exemples de ce que les élèves ont fait.
Des exemples de projets
Pictello - Quand j’étais petit(e)
Les élèves venaient d’apprendre les deux temps au passé (le passé-composé et l’imparfait) et travaillaient sur l’expression écrite, qui leur étaient, et l’est toujours, difficile. Ils devaient se décrire et raconter une histoire, vraie ou fausse, de quand ils étaient plus jeune. L’objectif est de savoir comment conjuguer et différencier entre le passé-composé et l’imparfait ainsi qu’apprendre à mieux organiser les idées pour obtenir une séquence logique. Non seulement ça leur permet de parler de quelque chose qui les intéressent (eux-même) mais aussi de comparer et partager de drôle de photos avec leur amis.
Le but du projet Pictello est d’appliquer la grammaire acquise en classe. Ceci est pourquoi ma rubrique pour le projet “Quand j’étais petit(e)” est basé sur ma rubrique générale. Je ne savais pas si c’était nécessaire d’incorporer une catégorie pour l’usage de la technologie. Je trouve qu’il est difficile d’évaluer le processus et selon moi, dans ce cas ci, la manière n’est pas aussi importante que le travail final. Ci joint est une rubrique générale que j’utilise pour le travail écrit. Si vous vous demandez ce que POMMES veut dire, ça fait référence à une affiche que j’ai en classe qui est similaire à l’image ci-joint.
Le travail des élèves
Les exemples de rubriques
Des exemples de projets
Book Creator - Mon quotidien
Enseigner l’application
Puisque la bonne majorité de ma classe est en 7ème année, pendant deux semaines, une bonne partie de la classe devait faire les FSAs. Pendant que les 7ème faisaient cela, j’ai donné à mes 6ème du temps à jouer sur Book Creator. Je leur ai passé une tablette et c’était vraiment à eux de découvrir cette nouvelle application. Bien entendu, il y avait quelques règles à suivre telles que demander la permission avant de prendre la photo de quelqu’un d’autre, ne rien publier, et repasser son travail (relire et surtout s’écouter). Avant de passer les iPads, j’ai annoncé que leur projet n’allait pas être noté. Le bus était de comprendre Book Creator suffisamment pour pouvoir enseigner les autres (les 7ème) à l’utiliser. Ceci leur a plu car ça leur a donné une opportunité de diriger les plus vieux camarades de classe.
Le projet avec Book Creator
La classe étudiait les verbes réfléchis au présent de l’indicatif. Les années précédentes, je les faisais faire une sorte de bande dessinée ou un diaporama qui décrit leur quotidien. Quand on nous a demandé d’utiliser Book Creator avec notre classe, je savais immédiatement que ça allait être parfait pour mon mini projet. C’était une bien meilleur option. En devoirs, les élèves devaient prendre des photos de leur quotidien: se brosser les dents, se peigner, etc. et personne se sont plaint. Les devoirs étaient miraculeusement faits le lendemain! Une première! Bref, c’était une réussite. Grâce à mes 6èmes années, l’usage de Book Creator s’est passé sans problème et assez rapidement.
Le travail des élèves
Les élèves apprennent à utiliser l’application.
Les difficultés - Les tops 5
1. Les transferts - Que ça soit le transfert de vidéos ou d’images de l’élève à l’enseignante ou le transfert du projet final sur un iPad à un lieu commun, il semblait qu’il y avait toujours un problème. Heureusement la majorité de mes élèves ont un téléphone Apple et mon ordinateur privé est aussi un Mac car ceci nous a permis d’utiliser Airdrop. Ce n’était que quand notre conseil scolaire nous a permis d’utiliser Google Drive/Class que les transferts sont devenus plus faciles.
2. Perdre le contrôle et devenir l’apprenant - Tout ce que nous avons fait sur les tablettes était nouveau pour moi. Je voulais savoir comment bien utiliser les applications, les manipuler de ma manière. Hélas, c’était impossible car je ne pouvais pas prédire tous les problèmes et toutes les questions. Ils fallait que je me soumette à l’idée que je n’étais pas l’experte mais plutôt une autre apprenante. Ce n’était pas facile de ne plus avoir le contrôle et de devenir vulnérable. On s’habitue à penser que nous devons bien savoir notre matière afin de l’enseigner. Ça m’a pris du temps à comprendre que je ne les enseignais pas la technologie mais plutôt la patience, la collaboration et la ténacité. Apprendre à leur côté a bien plus d’impact sur leur apprentissage. Il fallait que je serve de modèle et de donner l’exemple.
3. Le nombre de tablette dans une classe - Avec une classe de 28 élèves et 10 iPads, il fallait que je divise la classe et créer des activités qui prennent autant de temps à faire que les activités sur les iPads. L’idée était d’alterner les équipes d’activité en activité, dont un avec les iPads. Bref, la gestion de classe a pris un coup. Ceux qui avaient les tablettes me demandaient une centaine de questions, quant aux autres sans tablette, ils ont eu de la difficulté à travailler indépendamment ou à rester motivé. J’ai essayé d’utiliser les iPads de l’école mais bien souvent ces tablettes n’ont pas les mêmes applications ou ont la version gratuite qui limite les élèves qui l’utilisent. De plus, je ne peux pas mettre 3 élèves par tablette parce qu’il y a toujours un élève, ou même deux, qui font n’importe quoi. Bien que je suis reconnaissante d’avoir les 10 tablettes, si j’en avais 4 de plus pour un total de 14 tablettes, la préparation et la gestion de classe aura été beaucoup plus facile.