Nos chemins des mémoires
Lycée Jacques de Vaucanson, Tours
Classe de première ES - 613
Année 2018-2019
Classe de première ES - 613
Année 2018-2019
Un projet de classe
Dans et hors les murs
Visite du Mont Valérien avec Georges Duffau-Epstein
Visite-Conférence du Mémorial de la Shoah
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Un article écrit par BenjaminLoading...
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S'approprier les textes poétiques par l'expérience hors les mursLoading...
"Le chant des Partisans" de Maurice Druon et Joseph Kessel, chanté par la classe et leurs professeurs au Mont-Valérien.
"Ce coeur qui haïssait la guerre" de Robert Desnos
par Anaïs
par Anaïs
Voici cette photo que j’ai prise au Fort du Mont-Valérien, lors de notre sortie. Sur le parvis du Fort, se retrouvait plusieurs scènes, mais j’ai photographié celle-ci car je trouve qu’elle reflète exactement le titre du poème que j’ai choisi « Ce cœur qui haïssait la guerre... », écrit par Robert Desnos.
Ce cœur est symbolique car il représente tous les cœurs des résistants fusillés. Le cœur est enlacé par des barbelés et dans le poème, l’auteur Desnos évoque « le cœur qui bat » par exemple. Alors, je trouve que cette photo répond très bien au poème. De même dans le poème, Desnos nous fait ressentir les émotions des résistants, alors les mains amaigries des déportés présentes sur la photo, peuvent nous faire également ressentir les mêmes émotions.
Ce cœur est symbolique car il représente tous les cœurs des résistants fusillés. Le cœur est enlacé par des barbelés et dans le poème, l’auteur Desnos évoque « le cœur qui bat » par exemple. Alors, je trouve que cette photo répond très bien au poème. De même dans le poème, Desnos nous fait ressentir les émotions des résistants, alors les mains amaigries des déportés présentes sur la photo, peuvent nous faire également ressentir les mêmes émotions.
"Bretagne" d'Eugène Guillevic par Benjamin
J'ai choisi la pièce du mémorial de la Shoah où sont exposés les photos des enfants déportés car le poème évoque la mort d'enfants ("quelques dents de mon enfants", "qui ont quitté les innocents") tout comme cette pièce.
photo - http://www.memorialdelashoah.org
"Je trahirai demain" de Marianne Cohn
par Victor
par Victor
Et aussi par Manon et Marie
Mme Ciret, présidente de l'ERIL 37
"L'orgue de barbarie" de Jacques Prévert par Léa et Myra
Nous avons réalisé cette photo puisque selon nous elle met bien en avant les idées du poème de Jacques Prévert, "L'orgue de Barbarie". En effet, ce poème aborde le sujet de la violence tout en parlant de la vie quotidienne notamment des enfants. Les jouets représentent donc la vie quotidienne et les couteaux encerclent celle-ci afin de montrer que la guerre est omniprésente dans la vie de tous les jours.
"L'effort humain" de Jacques Prévert par Lucie et Benjamin
Le poème que nous avions choisi était "l'Effort humain", paru en 1945 dans le recueil "Paroles", de Jacques Prévert. Nous avions pris ce poème car dans ce dernier, Prévert dénonce la société inégalitaire durant la Seconde Guerre mondiale tout en défendant les travailleurs, qui sont caractérisé tout au long du poème à travers le groupe nominal "l'Effort humain".
Pour illustrer ce poème, nous avons choisi une photo prise au Mémorial de la Shoah, à Paris.
Nous avons choisi cette photo prise dans le mémorial des enfants car premièrement ce sont des enfants déportés dans les camps de concentration/extermination, durant la Seconde Guerre mondiale, et de plus, ces enfants auraient pu être "l'effort humain", soit les ouvriers dont parle Prévert dans le poème. S'ils n'avaient pas étés déportés et tués pour la plupart dans les camps, ils auraient peut-être été des ouvriers, avec une vie également difficile, mais certainement pas détruite.
Pour illustrer ce poème, nous avons choisi une photo prise au Mémorial de la Shoah, à Paris.
Nous avons choisi cette photo prise dans le mémorial des enfants car premièrement ce sont des enfants déportés dans les camps de concentration/extermination, durant la Seconde Guerre mondiale, et de plus, ces enfants auraient pu être "l'effort humain", soit les ouvriers dont parle Prévert dans le poème. S'ils n'avaient pas étés déportés et tués pour la plupart dans les camps, ils auraient peut-être été des ouvriers, avec une vie également difficile, mais certainement pas détruite.