The end, Nouvelles dystopiques, 2022-23

The end Recueils de nouvelles dystopiques

Collège St-Gabriel, Bagneux Classe de 3e1 Un projet réalisé en collaboration avec : La médiathèque Louis Aragon

- Je ne sais pas comment vous remercier. Merci énormément d'être venu m'aider et de m'avoir déposer auprès de ma fille. - Aucun problème tout le plaisir est pour moi. - Comment vous appelez vous ? dit Martine d'un air intrigué. - Je m'appelle Alexandre, mais vous pouvez m'appeler Alex . - Enchanté Alex voici ma fille Maria. Moi, c'est Martine. - Avez-vous vu les informations ainsi que tout ce qui se passe dans le monde ? - Oui... murmura Martine. - Je suis ingénieur, mon équipe et moi allons tout faire afin de sauver notre Terre. C'est pourquoi depuis des années nous faisons des recherches afin de trouver une planète habitable. Au départ nos recherches n'avaient mené à rien et nous avons perdu tout espoir puis par la suite nous avons découvert une planète habitable mais celle-ci se trouve à plus de 9000km. - Donc nous sommes tous sauvés ? s'écria Martine.

Paper texture

Un jour après les cours, Claire et Taylor se retrouvent chez cette dernière afin qu’elles puissent passer un peu plus de temps ensemble en mangeant dans le salon. Elles discutent entre elles et passent un bon moment. Claire demande à son enceinte intelligente d’allumer la télévision et de mettre la chaine nationale. La télévision s’allume et le journal d’information apparait en direct. &nbsp; - «&nbsp;Plus de 200 milliards de produits sont produits par jour a annoncé le ministre de l’économie ce matin. » dit la journaliste. Avec cette information, les filles se sont vites inquiéter de ce chiffre qui risquent d’augmenter très vite. - «&nbsp;C’est assez surprenant d’entendre ce genre d’information à la télévision, tu ne trouves pas&nbsp;? » dit Claire. - «&nbsp;Oui et surtout, où sont jetés les déchets non utilisés par les habitants&nbsp;? Tu crois que les déchets mécaniques vont être jetés dans un autre pays&nbsp;?&nbsp;» demande Taylor. - «&nbsp;Possible, les Etats-Unis sont capables du pire.&nbsp;» - «&nbsp;Il faut que l’on fasse quelque chose pour prévenir du danger de cette surproduction.&nbsp;»

Je me contentais de hocher la tête pour lui répondre et de le suivre. Sur le pas de la porte du supermarché, Tsuyu s’arrêta net et s’exclama&nbsp;: «&nbsp;Il n’y a plus de nourriture&nbsp;!&nbsp; » - Tout le monde s’est précipité dessus et maintenant ils se battent,&nbsp;répondit Aiko. Au fond du magasin, deux hommes s’insultaient pour un maigre sachet de riz. Lee pu les entendre dire&nbsp;: «&nbsp;Espèce d’abruti&nbsp;! » s’écria un jeune homme. - Qui est-ce que tu traites d’abruti&nbsp;? » lui répondit un vieil homme en l’empoignant. Détournant le regard pour ne pas les voir se battre, j’aperçus un placard entrouvert derrière la caisse. Je me dirigeai discrètement dans sa direction et, en l’entrouvrant, j’y découvris plusieurs bentos que les employés avaient dû abandonner là. Je compris que si je voulais les ramener jusqu’à la voiture, je devais être le plus discret possible. J’attrapai un grand sac plastique au fond duquel je jetais les bentos que je recouvris ensuite d’une veste d’employé. Je rejoins alors Tsuyu qui s’était cachée derrière un rayon pour ne pas être prise à parti dans la bagarre qui durait toujours. «&nbsp;Il faut vite sortir d’ici » lui dis-je. Où est Aiko&nbsp;?

Bien sûr, j’ai pris quelques précautions. J’ai acheté des combinaisons pour éviter de nous brûler. Ou plutôt, je leur ai fait croire que je les ai achetées. Des voleurs se cachent parmi nous. Ne me jugez pas, vous qui lisez, je ne suis pas la seule à en avoir volé. A vrai dire, de nombreuses personnes ont volé ces combinaisons. Certains se sont fait attraper et d’autres sont toujours en liberté. Ce qui veut dire que nous travaillons sans combinaison maintenant. La vie commence à devenir comme un être sans âme. Ma mère semble fatiguée, mon frère s’éloigne de nous ; je le soupçonne de nous cacher des choses. Liv est la seule personne qui me sorte de la solitude et qui me motive à finir ma tâche chaque soir. Je me rappelle autrefois, nous étions assises sur le toit d’un immeuble à regarder le soleil se coucher sur la ville. Nous parlions de notre avenir, de nos rêves et de nos espoirs pour le monde.

Mais on savait que le monde dans lequel nous vivions n’était pas parfait. Toutes les deux, nous avons vécu des moments difficiles, des injustices et des souffrances. Mais d’autres gens souffraient aussi. Alors nous gardions encore espoir en un avenir meilleur, un monde plus juste et plus équitable. Qui aurait-cru que cela se déroulerait à l’inverse de nos pensées&nbsp;? L’espoir que j’avais n’est plus qu’un grain de sel. Quand je repense à cette fameuse fête, où Liv et moi étions dans un parc, à jouer avec des enfants du quartier… Puis nous avons eu la fameuse idée d’organiser une petite fête pour eux, avec des ballons, des bonbons et des jeux. C’était incroyable de voir à quel point les enfants étaient heureux, que c’est médiocre de voir maintenant des enfants travailler pour résoudre les problèmes des adultes. Notamment Lisa, cette petite naïve qui croit pouvoir sauver sa mère. Je ne pense même plus que ces enfants, et ce qui arriveront, auront un jour une vie paisible. Nous avons connu un monde qui nous offrait la nature, le bien-être et une vie agréable. Ils connaîtront un autre monde, celui qu’on a transformé.

Hamid escalada et regarda. Mais personne au loin. Puis, tout d’un coup, il vu la plante se rapprocher de plus en plus à une vitesse hallucinante : - LES GARS, FAUT PARTIR ! ON VA MOURIR !! IL Y A LA PLANTE ! Ses deux amis sursautèrent et cherchèrent une solution pour fuir. Rayan trouva alors un hélicoptère qui était assez endommagé mais qui fonctionnait encore et cria : - VENEZ ! J’AI TROUVE UN HELICOPTERE. Hamid était déjà descendu. Il ne manquait plus qu'Iliece pour monter dans l’hélicoptère. Mais il tomba sur un gros morceau de ferraille. Rayan était obligé de décoller même si Iliece était encore bloqué, pleurant sur sa mort : - Pourquoi toujours moi... Je vais donc mourir. Au revoir les amis, c’est trop tard... Soudain, Hamid sauta de l’avion et aida son ami il le sortit des débris mais il était trop tard ! La plante avait déjà englouti une partie de l’aéroport. Il ne manquait plus que l'endroit où se trouvait Iliece, Rayan et Hamid. Mais Rayan tendis sa main : - TENEZ MA MAIN, PRENEZ LA !!

Celle-ci prévient les américains qu’un danger va frapper les Etats- Unis que ce soit un ouragan, l'attaque d'un pays étranger ou l'explosion d'une bombe nucléaire. Tous les yeux sont rivés sur les grands écrans de Time Square qui font apparaitre le secrétaire de la défense américaine Lloyd Austin. - «&nbsp;Ceci n’est pas un exercice, une vague de déchets venant du 7ème continent va toucher notre pays dans quelques heures. Comme vous le savez, les Etats-Unis sont depuis quelques mois en pleine crise économique et notamment au cœur d’une polémique mondiale concernant la production car nous sommes le pays qui vendrait le plus de produits partout qui généralement ne servent pas à grand-chose. En les jetant, nous nous sommes tous mis en danger. Le gouvernement américain exige que tout types d’activités industrielles soient stoppés immédiatement. L’armée américaine va intervenir dans chaque état afin de protéger les populations. Nous vous prions de bien respecter ce qui apparaitra sur votre écran.&nbsp;»

C’était beaucoup trop tard à mon goût. Et il se pourrait que j’aie eu bien raison. Par la suite, des maladies se sont accumulées, nos terres agricoles ne produisent plus et les agriculteurs ne peuvent plus pratiquer leur métier qui leur vaudra bientôt la mort. En effet, si ces plantes absorbent beaucoup de UV, les chlorophylles peuvent se dégrader et ainsi la photosynthèse ne sera plus fonctionnelle. Les réserves de dioxygènes nécessaires à nos besoins s’épuiseront. Nos vies sont en jeu si nous ne trouvons pas une solution à temps. 5h16, 8 juillet 2034 L’alarme fait écho dans les rues, et chacun se presse pour rentrer chez soi au plus vite. Je fais de même. Durant ma marche, j’analyse ces grands bâtiments qui nous séparent du danger. Je peux affirmer que la technologie d’aujourd’hui est fortement développée. Nos habitats ont été spécialement adaptés : les fenêtres ont été rénovées, de nombreux climatiseurs installés…

Je traverse la porte de mon logement et allume la télévision. Bientôt, le ministre prendra la parole pour nous communiquer comment les choses vont se poursuivre. En raison de nombreux malades, ma mère, qui travaille dans un centre médical, a été réquisitionnée. Ainsi je me retrouve seule avec mon frère. Une heure se passe, mon frère est rentré de l’université et s’installe sur le canapé, une barre de chocolat à la main. Les infos commencent enfin, après quelques minutes, ils nous annoncent une chose tragique. - Nos terres agricoles se dégradent davantage, accompagnées de plusieurs explications. - Je suis vraiment désolé de vous annoncer que nous, vous et moi, d’ici une semaine, allons devoir travailler la nuit sur nos terres agricoles si nous ne voulons pas nous retrouver dans une pénurie complète de nourriture, ajouta-il. J’écarquille les yeux à l’écoute de sa phrase. - Nous ignorons encore la cause de cette catastrophe, mais les recherches continuent.

La mère de la jeune Maria est malheureusement atteinte d’asthme c’est pourquoi elle est vulnérable mais elle prit son courage à deux mains et s’en alla chercher le stricte nécessaire pour elle et sa fille. La porte claqua et le calme se fit ressentir dans l’appartement. La mère de Maria, Martine, avança petit à petit et se dirigea vers un point que le gouvernement a mis en place afin de vendre les combinaisons ainsi que les masques aux habitants de la ville. - Je vous prends deux comb…. Soudain elle s’effondra. Elle se réveilla par la suite dans le lit de sa chambre au côté d’un homme bien apprêté et avec sa fille Maria en pleure qui lui tenait la main. - Maman&nbsp;! s’écria la jeune fille. - Excuse moi Maria je n’ai pas pu acheter ce qu’il nous fallait. Quand soudain l’homme sorti quelque chose de son grand sac, dont deux combinaisons ainsi que deux masques respiratoires puis il dit&nbsp;: - Celles-ci sont les dernières. Tous les habitants en ont acheter mais voilà je vous ai vu vous effondrer j'ai donc pris votre téléphone afin de contacter un membre de votre famille afin de me guider jusqu’à chez vous. C’est ainsi que j’ai fait la connaissance de Maria, votre fille.

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- Je ne veux pas mourir dit-il d'un air terrifié&nbsp; - Je trouverais une solutions, maman, je te le promet. 1 an s’écoula déjà est tout devient chère notamment la nourriture mais aussi le coût de la vie en lui même, on voyait de plus en plus de sdf dans la rue puisqu'ils étaient trop pauvres pour payer leur loyer ou même leur nourriture. C'est pourquoi le taux de mortalité baisa en un an soit de 8%. Ainsi la mère de Marcus finit par malheureusement perde la vie dans une manifestation très violente à laquelle elle a été mêlée. Marcus a bientôt 15 ans il est maintenant à l'orphelinat mais il retient la promesse qu’il a faite à sa mère. Mais Marcus est malin et pendant 2 ans il a cherché une solution et la trouvé. Il a décidé de se rendre dans un quartier populaire connu pour être le quartier le plus riche, c'est pourquoi il se rendit là-bas afin dit voler mais surtout pour y acheter une place dans la fusée.

Jeudi 19 juin 2000 20:31 Sur toutes les télés, sur toutes les chaines les scientifiques se font interviewer de partout. Pourquoi&nbsp;? Les scientifiques ont récemment découvert que le soleil se rapproche dangereusement de la terre beaucoup plus vite qu’on ne le pensait et que dans 6 ans le soleil aurait touché la terre et que des fusées seraient déjà en train de se faire construire car une planète habitable avait déjà été découverte depuis un peu moins de deux ans même qu'ils&nbsp;ne pensaient pas devoir y aller avant 6 ans. Expliquant en même temps que déjà des places pour la fusée seraient en vente le prix s’élève notamment entre 75000 euro pour 4 personne soit 18&nbsp;750 euro par personne. Marcus vivant seul avec sa mère dans un petit appartement de banlieue ils vivent avec une seule paye : celle de sa mère Lilya. Sa mère lui explique le soir même qu'ils vont devoir mourir car ils n’ont absolument pas l’argent même pour une seule personne sauf que Marcus qui n’a que 13 ans ne veut pas mourir.

Le lendemain, Eden découvrit que sont corps était plein de bleu. Amine et Younes se demandaient ce qu’ils allaient faire car ils n’avaient pas raconté la vraie histoire, la version qu’ils ont donné était qu’ils se sont perdus dans la forêt. Ils décidèrent de dénoncer le groupe de criminel à la gendarmerie et de donner la position de leur camp. Bien que la gendarmerie ait pris en compte la déposition des amis et d'Eden, ils n’ont rien fais car le dossier manquait de preuve. Comme ils se doutaient de cette réponse ils décidèrent de retourner au camp prendre des photos de l’armement ennemi et du nombre d’homme. Voila pourquoi ils ne voulaient pas dire la vérité car ils savaient que les membres des associations ne les auraient pas laissé retourner au camp des pillards. Heureusement, l’opération pour prendre les photos s’est bien passée car ils se sont placés sur une montagne qui était suffisamment proche du camp pour prendre de bonnes photos. Après avoir pris les photos, ils sont allés au poste de gendarmerie le plus proche et ont donné les photos. La gendarmerie avait assez de preuve pour prouver l’existence du groupe de malfrats, de leurs positions et de leurs armements. A l'arrière-plan d’une photo on voyait aussi des barils d’essence qui servaient certainement à brûler la forêt. La gendarmerie a donc immédiatement prévu une intervention le jour même. Amine et Younes n'ont pu s’empêcher de suivre, sans se faire remarquer, les gendarmes pour regarder avec admiration&nbsp;l’attaque des forces de l’ordre qui était époustouflante. Après avoir neutralisé les criminels, les gendarmes ont embarqué tous les hommes à bords d’un fourgon. Mais il se trouve qu’ils n’avaient pas capturés tout le monde !

La vague se rapproche de la classe. Le bruit est beaucoup plus proche quand soudain, les élèves voient la vague arriver à leur fenêtre. Les fenêtres se brisent à cause de la puissance de la vague qui ravage la salle de classe. Les élèves sont immergés dans une eau marron et remplie de matériaux mécaniques. Ils essayent tous de s’échapper en se débattant et en nageant vers les portes mais la vague est beaucoup trop puissante. Les élèves et la professeure se noient tous. Puis, les bâtiments entourant l’université s’effondrent tous en même temps. En moins de 3 minutes, la vague a immergée l’université et tout New York sans laisser un seul survivant.

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Le reste de l’humanité ne veut pas mourir. En tout cas pas seul... Des centaines de bombes, des tirs de fusil et autres outils de destruction sous la mains on étaient lancés sur la fusée en décollage. Celle-ci s’écroule sur la terre avec derrière elle des milliers de morts. Pendant les prochaines 24h se sera décidément L’APOCALYPSE.

Leurs appels n’avaient servi à rien, les gens continuaient de vivre comme s’ils ne voyaient pas le danger que la race humaine a provoqué. Le ciel ne parait plus clair à présent et laisse place à une terre sèche et déserte. Plusieurs ont perdu la vie en raison de ce phénomène. Comment en sont-elles arrivées jusque-là&nbsp;? Claire et Taylor habitent à New York au cœur de Manhattan aux Etats-Unis, considéré comme le pays le plus productif et le plus consommateur depuis 2050. Elles sont étudiantes à l’université Columbia, Claire est en 3ème année de biologie et Taylor en 2ème année. Dans leur temps libre, elles aiment pratiquer des activités philanthropiques comme aider des enfants en difficultés ou parfois, elles aident des chercheurs en biologie de leur université dans leurs recherches. &nbsp;

Le 1er Mai 2050 nous décidâmes d’enquêter sur le projet Nexus et nous découvrîmes que l’objectif principal&nbsp; du projet était d’accroitre la production de pétrole, en particulier dans la région d'Aurorapolis, où la ville était située. Nous avons également découvert que Nexus était la principale cause de la catastrophe. La ville avait été construite sur des terres fertiles, détruisant ainsi les écosystèmes locaux. De plus l’augmentation de la production de pétrole dans la région d’Aurorapolis avait contribué à la croissance exponentielle des émissions de gaz à effet de serre, aggravant le changement climatique. Or nous avons compris suite à cette découverte que nous étions les seuls à savoir que c’était Nexus qui était la cause de la catastrophe naturelle qui avait lieu. En effet, la population mondiale pensait que cette catastrophe était due au réchauffement climatique et à la pollution causée par eux même. Nous avons directement compris que l’élite dirigeante souhaitait cacher cette information pour éviter toute révolte qui pourrait mettre un terme au marché pétrolier et aux bénéfices titanesques du projet Nexus. Avec Zahir ils nous fallaient trouver une solution qui permettrait de prouver au monde entier que Nexus était la cause de la catastrophe naturelle . Alors nous commençâmes à rédiger des articles en fournissant des preuves concrètes, tel que le véritable objectif du projet. Nous avons ensuite transmis ces articles aux médias du monde entier pour faire connaitre la cause de tout ce qui se passait. Le lendemain de cette transmission nous avons eu le droit à une perquisition policière&nbsp;des autorités compétentes, qui nous ont emmenés dans un lieu sinistre et insalubre qui faisait office de salle d’interrogatoire.

Alors que je dormais, je senti la ceinture me serrer légèrement le ventre, le camion ralentissait. En ouvrant les yeux, je découvris que la nuit était en train de tomber et que nous étions en pleine campagne. Seule une station-service se détachait du paysage. Tsuyu dormait toujours sur mon épaule. Je m’adressais alors à l’homme qui conduisait&nbsp;: «&nbsp;Monsieur, où allons-nous&nbsp;? »&nbsp; - Il n’y a plus de Monsieur qui tienne, petit, appelle-moi Aiko. Nous nous dirigeons vers le Mont Wakakusa. A la radio ils ont dit que le tsunami allait être suivi par une immense montée des eaux. Le pays risque d’être quasiment recouvert et ils ont indiqué que la population devait se réfugier dans les hauteurs.&nbsp; Ce n’était donc pas seulement ma maison que j’allais perdre mais tout mon pays. Je ne savais plus que penser et n’avait même plus la force d’être triste ou de pleurer à nouveau. Je me renfonçais dans mon siège, Tsuyu dormait toujours. J’observais Aiko qui conduisait, c’était un homme d’une trentaine d’années, plutôt bien habillé même si sa chemise avait été salie, sans doute au moment de fuir. Tout à coup, une idée me vint à l’esprit et je demandais à Aiko&nbsp;: «&nbsp;Est-ce que vous avez un téléphone&nbsp;? Nous n’avons pas pu retrouver nos parents avant de partir et je dois les prévenir que nous avons pu nous enfuir! » - Oui j’ai un téléphone mais pas moyen de capter depuis plusieurs heures. Nous allons nous arrêter à la station service là-bas pour essayer de trouver du réseau pour appeler tes parents et acheter de la nourriture. - Merci beaucoup Aiko&nbsp;!

Chalkboard

- Ma maman m’a dit que si je travaille ici, je pourrais lui payer les charges, me répond-elle. Elle est si naïve... J’en ai appris plus sur elle pendant notre discussion ; sa mère est malade et à l’hôpital. J’ai compris que son mensonge lui permettait de payer les médicaments. Est-ce que ça signifie qu’elle pourrait vivre? J’ai aussi remarqué qu’elle avait des traces sur sa peau. Elle m’a avoué qu’elle sortait la journée pour aller voir sa mère puisque c’est le seul moment où elle est libre. Je lui ai dit que c’est hyper dangereux et que si elle continue, je la confierai à une personne qui sera obligée de la surveiller. Elle me supplia de ne rien dire et je ne voulais pas non plus la priver de voir sa mère mourante. Par la suite, j’ai contacté ma mère. On a discuté puis je lui ai demandé si elle avait une patiente du nom de la mère de Lisa. Elle m’a dit qu’elle faisait partie des patients en attente. Elle doit payer d’abord les charges avant de lui donner les médicaments dont elle a besoin. Je lui ai alors expliqué que je venais de découvrir sa fille... Après une longue discussion, elle a enfin accepté de la soigner en cachette, même si elle allait enfreindre la loi.

16h30, 9 février 2035 - Joyeux anniversaire, Joyeux anniversaire, Joyeux anniversaire, Romy, Joyeux anniversaire, chantonnent-ils. Oui aujourd’hui, c’est mon anniversaire. Mais cela me plait-il ? Non, bien sûr que non. - Merci maman, mais tu n’étais pas obligée, avouai-je. - Profite seulement. Profiter ? Nous sommes forcés de vivre dans des conditions misérables. Notre vie est extrêmement difficile et je dois profiter ? Les écosystèmes sont détruits, la nourriture devient rare et l’eau est contaminée. Plus le temps avance et plus des personnes meurent. Qui sait si un jour, nous allons avoir la vie comme avant. Mes journées deviennent un peu plus intéressantes à chaque fois que j’ai l’opportunité de sortir de chez moi. J’accompagne Lisa quand elle va voir sa mère.

N'oubliez pas non plus de préserver le souvenir de ceux qui ont péri dans cette tragédie. Que leur sacrifice serve de rappel constant de la fragilité de notre existence et de l'importance de la responsabilité environnementale. Dans votre quête pour reconstruire et guider l'humanité vers une voie plus durable, rappelez-vous ces mots que j'ai forgés : Soyez les gardiens de cette vérité, les gardiens de l'équilibre entre les aspirations humaines et les limites de notre planète Aetheria. Je vous laisse maintenant, cherchant la paix dans mes derniers instants. Puissiez-vous trouver la force et la détermination nécessaire pour préserver notre héritage commun. Puissent les étoiles qui vous entourent être le rappel de l'infini potentiel de l'humanité et de la nécessité de préserver votre unique foyer, la station spatiale qui vous abrite. Et n’oubliait pas, tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir. Avec tout mon amour et mon espoir,&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; Azmar

« Le véritable progrès se mesure par la façon dont nous prenons soin de notre monde et de ses habitants les plus vulnérables. »

Je me retrouve face à un magnifique spectacle : le ciel est rougeoyant, et le soleil se lève lentement à l'horizon. Je me sens vivante, et je ressens l'énergie du soleil qui me brûle la peau. Je me laisse envahir par cette sensation, et je me sens libre. Couchée sur le toit, je contemple le lever du soleil. Je me sens enfin en paix, et je m’endors paisiblement, bercée par les rayons chauds du soleil. Elle aussi aurait aimé un «&nbsp;bonne nuit&nbsp;», mais elle ne devait compter que sur elle-même. Chacun devait protéger son propre être, seul contre le monde. Mais elle n’était pas du même avis. Un jour, un grand poète a dit «&nbsp;La vérité est comme le soleil, elle fait tout voir mais ne se laisse pas regarder&nbsp;», Victor Hugo 13h 26, 25 mars 2042 - Et tu as été la seule survivante ? me demanda-t-elle. - Non répondis-je, bien sûr que non, la période s’appelle «&nbsp;l’âge sombre du soleil&nbsp;», et elle a fait entre 75 à 200 millions de morts, soit environ 25 millions de personnes qui ont survécu. - Ça fait beaucoup, dit-elle je veux en savoir plus.

- Je sais petite, j’aurais aimé moi aussi qu’il y ait moins de morts.&nbsp;Ne soit pas si curieuse, tu vas enseigner cela à l’école. Et avant même qu’elle ne réponde, une voix annonce la fin de la discussion. - Docteur Lisa, la maman vient de se réveiller, annonça ma collègue. - Tu l’as sauvée reprit la petite fille, souriante. - Je te l’avais promis, allez, file la voir&nbsp;! Elle courut, et traversa la porte de la chambre où se trouvait sa mère. Ma collègue vient me voir joyeusement. - L’opération a été un succès, je te félicite, ajouta-t-elle. …

Que feriez-vous, vous, si votre pays était en danger ? Voudriez vous le sauver, ou le regarder s'effondrer sous vos yeux ? Claire et Taylor, deux jeunes américaines engagées, essayent de faire passer un message dans plusieurs endroits pour annoncer qu'un évènement catastrophique risquerait d'arriver si les gens ne réagissent pas maintenant. Mais le pire est déjà entrain de se produire…

Chapitre 2 Nous rentrons enfin chez nous. Après une bonne douche, il me restait environ quatre heures de repos avant d’entamer les cours en ligne. Je suis étudiante en médecine et c’est difficile de travailler dans ces conditions. Mon jeune frère est en terminale et il devait passer son bac cette année. Malheureusement, il ne le passera pas et je ne sais pas si un jour, il pourra réaliser son rêve d’être ingénieur. Chaque jour est répétitif, semblable au précédent et chaque jour, l’espoir s’amenuise jusqu’à disparaitre. Chaque soir, je ressens une peine immense à chaque fois que je vois des enfants plein de terre, en train de souffrir, avec leur sourire d’enfant. - T’as oublié ton manteau, fais-je remarquer à une enfant. - Oh merci. - Comment t’appelles-tu ? - Moi, c’est Lisa. - Et-tu as quel âge ? - 8 ans. - 8 ans ! Répétais-je étonnée - Que fais-tu ici ? chuchotais- je bêtement. Ma question est évidente, mais je connais des parents qui cachent leurs enfants à la maison. C’est risqué, mais quelques personnes y arrivent. D’autres sont pris en flagrant délit et en général, les parents paient une forte somme d’argent.

Le lendemain, les filles décident de se rendre dans les rues de Manhattan afin d’interpeler les habitants. - «&nbsp;Bonjour, avez-vous une minute à nous acc…&nbsp;» - «&nbsp;Non merci.&nbsp;» dit un passant. - «&nbsp;Excusez moi, avez-vous…&nbsp;» - «&nbsp;Je n’ai pas la temps désolé&nbsp;» réplique une passante. - « Même si on interpelle les gens personne ne nous prendra au sérieux&nbsp;» dit Claire à Taylor.&nbsp; - «&nbsp;Il faut qu’on continue et qu’on essaye d’interpeller le plus de personne.&nbsp;» lui répond Taylor. Les New Yorkais marchent très vite, ils ont tous l’air occupé et pressé. Malgré leurs prospectus, elles n’ont attiré aucune personne.

Une information apparait disant à la population de se mettre à l’abri. Une panique générale se reflète dans tout le pays, les habitants se précipitent vers les transports en communs et les taxis afin de rentrer chez eux le plus rapidement possible. C’est le chaos. La télé montre en direct des images du centre-ville de New-York où l’on peut voir des marchands qui barricadent leur magasin et des gens qui essayent de se protéger du mieux qu’ils peuvent. Soudain, un tremblement se fait entendre dans tout le pays et fait trembler la salle. Personne ne sait d’où le bruit provient. - «&nbsp;L’électricité est coupée madame, on ne peut plus communiquer avec le monde extérieur.&nbsp;» dit un élève en dessous de sa table. Claire se lève et regarde par la fenêtre la cour de l’université. - «&nbsp;Claire revient vite te mettre à l’abri je ne vais pas le répéter deux fois&nbsp;!&nbsp;Claire&nbsp;! » dit la professeure.

Lorsque je rentre chez moi, je ne dois pas montrer mon angoisse à mes enfants, je vois mon fils ainé jouer au basket dans le jardin, je lui pique la balle et fais quelques paniers. Je rentre à la maison et j’embrasse ma fille cadette qui fait ses devoirs sur la table de la cuisine, nous parlons un peu de son cours d’histoire. Ma femme sort de sa douche et me dit que le repas est encore dans le four, elle me propose d’aller dans le salon me reposer un peu en lisant mon journal. Assis par terre devant mon fauteuil il y a mon fils le petit dernier qui joue avec ses voitures, ses bateaux et son sous-marin sur le tapis. Alors je le prends dans mes bras pour lui faire un câlin car ça recharge tellement mes batteries! Et puis, je me mets dans mon fauteuil et je lis mon journal et je m’assoupie. Je me réveille d’un coup en criant : « Un sous-marin !! » Toute ma famille accourt dans le salon.

- «&nbsp;Bonjour Mr Burke, pouvons nous vous parlez&nbsp;?&nbsp;» demande Taylor. - «&nbsp;Oui bien sûr, entrez&nbsp;» Au moment où elles rentrent dans la pièce la porte se referma, le directeur les invite à s’assoir sur un fauteuil. Son bureau est très spacieux, on y trouve plusieurs étagères remplies de documents, deux fauteuils face à face et au centre, le bureau de Mr Burke et derrière lui se trouve une très grande fenêtre. - «&nbsp;Asseyez vous, je vous en prie. Alors, de quoi voulez-vous me parler&nbsp;?&nbsp;» dit Mr. Burke en s’asseyant sur son siège. - «&nbsp;Voilà, nous voulons que vous abordiez le sujet de la surproduction qui se passe actuellement dans notre pays en faisant un reportage ou un documentaire. Nous voulons vraiment que vous parliez de ce sujet qui est très important.&nbsp;» insiste Taylor.

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Quelques semaines plus tard, les filles se rendent au bâtiment où se trouve le siège social de la NBC News afin de demander si l’un des journalistes qui y travaille peut faire un reportage sur la surproduction. Le bâtiment est un gratte-ciel composé de 25 étages. Claire et Taylor entrent dans le bâtiment. Il est rempli de plusieurs ascenseurs, plusieurs escalators et de tapis roulants utilisés par les employés pour se déplacer rapidement. Il y a beaucoup d’employés qui y travaillent. Elles se dirigent vers l’accueil du siège où se trouve la réceptionniste. - «&nbsp;Bonjour, en quoi puis-je vous aider&nbsp;?&nbsp;» demande la réceptionniste. - «&nbsp;Bonjour, on voudrait proposer un sujet à traiter pour le journal. » réplique Claire. - «&nbsp;Très bien, laissez moi le temps de contacter le directeur.&nbsp;» Elle contacte Steve Burke, le directeur, au téléphone.

Après une longue session de négociation entre les pillards et Amine qui apparaissait comme un héros aux yeux de Eden, les pillards s'énervèrent et décidèrent d’emprisonner le groupe. 5min après Eden commença à se lâcher et dire ce qu'il avait sur le cœur, Amine et Younes savaient qu’il se sentait mal car il faisait la grimace. - Je suis désolé les gars je sers à rien. - Ouais, c’est ça le coupèrent les deux amis pendant qu’ils étaient en train de crocheter la porte de la cellule. - Ouais vous avez raison je suis vraiment mauvais dans tout ce que j’entreprend poursuiva Eden. Puis il se rendit compte que les deux adolescents étaient sortis à l’extérieur de la cellule. - Mais, mais... comment ? - On a fais notre stage de troisième chez mon père dit Younes. - C’est un serrurier termina Amine. - D…Da…D’accord - Bon ! On y va ? Ils se trouve que le soleil était déjà tombé. La plupart des hommes étaient allés se coucher. Ceux qui restaient étaient endormis et ne surveillaient pas correctement. - On dirait des zombies dit Amine. Younes jeta une pierre dans la direction inverse de leur position pour que le garde à la porte aille regarder ce qui se passait. Ils en ont ainsi profité pour fuir vers le camp des associations. En chemin ils croisèrent un groupe d’homme parti à leurs recherches. Parmi eux il y avait les personnes qui avaient accueilli Amine, Younes et Eden lors de leur arrivée. - C’est eux. C’est eux&nbsp;!!

Donc quand Marcus avait décroché le tableau il avait accidentellement activé une alarme contactant directement toutes les stations de police de la région. Marcus à 6h00 se fit embarquer pour aller loin de la France, dans une prison en Asie. Marcus était à ce moment là à quelques semaines du décollage des fusées dans une énorme prison entourée de gardes. Son argent, durement volé, était à plusieurs kilomètres de chez lui mais il n’abandonna pas si vite. Pendant deux semaines il fit plein d’ingénieux plans pour sortir de cette infame prison. Ce qu’il réussi brièvement même si ces talents de voleur n’auront servi à rien car il réussi à voler les clé du gardien. Puis, il réussi à s’évader en creusant des énormes trous avec ses mains en dessous des grilles et finit par s’échapper. Marcus est seul face à une énorme mer et un énorme pansement à son genou qui réduira sa capacité à nager. Mais ça le décourage pas et il nage en faisant des poses en flottant sur l’eau. Après seulement 42h de nage il échoua sur une plage totalement inconnue sans doute loin en campagne où il pleure littéralement de joie et de tristesse car certes il est sortie de prison mais maintenant &nbsp;qu’il est recherché comment va-t-il faire pour pouvoir monter dans la fusée ? Personne ne l’acceptera et il mourra sur la terre. Sans est trop pour lui. Il prit alors le caillou très pointu le plus proche de lui et se l’enfonça dans la gorge profondément et finit par mourir en se vidant de tout son sang sur une plage a 45°. Nous somme le Jour J, les fusées ont annoncé démarrer devant toutes les personnes n’ayant pas pu se permettre d’acheter leurs place. 12h00 Le soleil est censé s’écraser dans 24H ce qui a déjà fait réchauffer la terre de plus de 20°. Les fusées s’allument rassemblant à son bord&nbsp;les plus grand présidents, des ministres, des célébrités et des riches.

« Quelles scènes si on annonçait demain la fin du monde » nous disait Paul Léautau. L'imaginaire collectif ne peut qu'envisager, supposer, ce que serait ces fameuses scènes à l'approche de la fin du monde. Nos apprentis écrivains ont décidé de les coucher sur le papier. C'est dans un contexte écologique troublé qu'ils ont imaginé l'arrivée imminente de la fin de l'ère des Hommes. Tsunami, incendie, disparition de la couche d'ozone, apparition de virus, rien ne sera épargné à l'Homme qui n'a pas su écouter les avertissements. Et vous, vous y croyez à la fin du monde ?

Avec Zahir, nous avons immédiatement compris que cela avait un lien avec nos articles. Zahir fut interrogé avant moi et lorsque je m’apprêta à rentrer dans la salle d’interrogatoire pour être interrogé à mon tour j’ai senti que Zahir avait une attitude assez étrange. Je l’avais pourtant prévenu durant le trajet de ne rien dire aux policiers, et de ne surtout pas être pusillanime. Lorsque les policiers ont commencé à m’interroger j’ai alors compris qu’il ne s’agissait pas de simple policiers et qu’ils avaient beaucoup trop d’expérience. Leur façon de parler était très technique et ils étaient maitres dans l’art de la manipulation. Avec tous les films d’espionnage que j’avais vus cela ne me faisait plus aucun doute, c’était des espions&nbsp;! &nbsp; La première question que le «&nbsp;policier&nbsp;» m’avait posé était «&nbsp;Est-ce vous l’auteur de cet article?&nbsp;»&nbsp;en pointant du doigt le seul article que j’avais rédigé seul et qui dénonçait clairement le projet Nexus. Je trouvais cela d’autant plus bizarre car tous les articles étaient, pour les autres, censés avoir été rédigés par Zahir et moi. Donc comment le soi-disant policier savait que parmi tous les articles, celui qui dénonçait la face cachée et les conséquences désastreuses du projet Nexus fut rédigé par moi seul? Mes principaux soupçons se dirigèrent naturellement vers Zahir et son attitude suspecte, que j’avais remarquée suite à son interrogatoire. Une chose était sure, Zahir m’avait trahi et m’avait dénoncé aux autorités. Ces espions appliquaient sur nous les préceptes de la «&nbsp;théorie des prisonniers&nbsp;» et malheureusement, Zahir avait cédé à ce dilemme! Je fus interloqué sur le moment, et je commença à me poser des questions.

- Pas tout à fait car nos fusées sont sur le point d'être lancées mais les billets pour y accéder sont beaucoup trop chers soit 25000 euros par personne. - Nous sommes destinés à mourir ! dit-elle. - Non... je ferais tout mon possible pour vous prendre des billets. - Non nous ne pouvons pas accepter ça ! s'écria Maria. - Ne vous inquiétez pas. La planète habitable nous attends. Le premier lancement a normalement lieu dans 1 mois. Alors soyez prêtes et surtout en aucun cas vous ne devez retirer vos masques ainsi que vos combinaisons. - Demain j'irais acheter les billets chez mon supérieur. - Qui est-ce ? dit Maria d'un air intrigué. - Elon Musk, le plus grand scientifique au monde. Je travaille avec lui depuis maintenant plus de 35 ans au sein de son entreprise. C'est notamment lui qui s'occupe de la bonne fonctionnalité des ventes des billets. C'est pourquoi demain je me rendrais chez lui afin d'en acheter puis je reviendrais vous les apporter. - Impressionnant ! disent elles. - A demain s'exclama t-il.

Le lendemain de leur arrivé, ils ont décidé de faire une balade dans la forêt pour découvrir la cause des feux. Après 30min de marche ils ont découvert des allumettes consumées et des traces de pas et de tracteur. Younes, Amine et Eden se sont séparés en deux groupes : Amine et Younes d'un côté et Eden de l'autre car les traces se divisaient en deux chemins. Amine et Younes ont décidé de laisser l'adulte tout seul. Au bout de 10 minutes, ils veulent contacter Eden avec un talkie-walkie mais il ne répond pas. - Ça ne sent pas bon. Ils décidèrent donc d'aller chercher Eden qui selon eux avait disparu dans la forêt Amazonienne. Après une longue marche ils trouvent enfin des traces fraîches d'un gros groupe de personne qui allait vers le nord. Ils suivirent les traces mais à un moment ils entendirent un bruit derrière un arbre et... - АННННН !!! Un groupe d'homme sortie de nul-part se jetèrent sur eux pour les endormir et les ramener dans leur camp où Eden avait été fait prisonnier ! C'était un groupe de pillard qui maintenant les menaçait avec des armes lourdes. Ils ne parlaient pas anglais mais espagnol. Si Amine parlait couramment, Younes comprenait mais ne le parlait pas.

Il s'appelait Eden. Durant le voyage il surprit une discussion entre Younes et Amine qui portait sur la déforestation de l'Amazonie. Il se trouve qu'Eden est un chercheur qui a été envoyé pour constater les dégâts. Eden s'est interposé dans la discussion demandant s'il pouvait se joindre à eux. Amine l’interrogea : « QUI-EST-TU ? » « QUE VEUT TU ? » « D'OU VIENT TU ? » Younes l'arrêta pour le calmer. Une heure plus tard après Eden expliqua sa situation. Younes l'accepta mais Amine n'avait pas suffisamment confiance en lui. - C'est bien vous formez une bonne paire, le Ying et le Yong et l'un est naïf et l'autre est méfiant. Avoua Eden en les applaudissant. Durant le voyage ils débattirent sur les causes et la solution pour sauver l'Amazonie de la déforestation. Lors de leur arrivée ils sentirent directement la différence dans l'air qui n'était pas pur. Ils furent accueillis par les membres de plusieurs associations : Humy, WWF et Greenpeace. Ces associations sont devenues populaires grâce au sauvetage d'animaux dont des perroquets, des singes, des reptiles comme par exemple des serpents et des lézards.

Nos remerciements vont également aux intervenants qui nous ont accompagnés tout au long du projet :

MME DEBARD, Illustratrice et graphiste Merci d'avoir permis aux élèves de créer l'illustration de la première de couverture. MME GAGNANT, Médiathécaire Merci d'avoir fait découvrir aux élèves le métier d'ingénieur du son et de leur avoir permis de créer une ambiance sonore pour leurs dystopies. M. GREVET, Auteur de littérature jeunesse Merci infiniment pour vos conseils apportés à nos apprentis écrivains. MME HANTAZ, Médiathécaire Merci pour votre accueil au sein de la médiathèque et pour votre soutien sur ce beau projet. M. MARCANGELI, Assistant Ingénieur en biologie moléculaire et biogéochimie Un grand merci pour vos échanges avec les élèves sur les enjeux scientifiques liés aux questions du développement durable et de l'écologie.

Nous, les prisonniers, avons été condamnés à payer le prix de leurs actes, emprisonnés dans des cages sombres et froides, voués à une mort certaine. Mais malgré notre sort funeste, je refuse de céder à l'amertume et à la haine. Je choisis de vous écrire cette lettre dans un dernier acte de résistance, afin que vous sachiez la vérité et que vous puissiez agir en conséquence. Prenez soin de votre foyer, préservez-le comme le bien le plus précieux que vous ayez. Apprenez de nos erreurs, ne succombez pas à la tentation de l'avidité et du pouvoir. Protégez les écosystèmes fragiles, cultivez l'empathie et la solidarité entre vous. Ne répétez pas les erreurs de ceux qui vous ont précédés, mais créez un avenir où la compassion et la durabilité guident vos actions. N'oubliez pas ceux d'entre nous qui ont été abandonnés, prisonniers de cette réalité implacable. Rappelez-vous que nous étions autrefois des frères et des sœurs, liés par des rêves communs et des espoirs partagés. Ne laissez pas notre sacrifice être vain. Faites en sorte que notre mémoire soit honorée, que nos luttes et nos souffrances aient un sens. Vous avez l'opportunité de reconstruire un monde meilleur, de façonner une société qui met en valeur l'harmonie entre l'homme et la nature. Ne sous-estimez jamais le pouvoir que vous avez entre vos mains, le pouvoir de créer un avenir où chaque être vivant est respecté et où les ressources naturelles sont utilisées avec sagesse.

Ma femme et mes enfants pleurent à côté de moi, je n’arrive plus à retenir mes larmes, je n’ai plus de sous-marin, je n’ai plus de poissonnerie. Tout le monde comptait tellement sur moi, que vont devenir les pêcheurs, mon île ? Soudainement, on entend une deuxième explosion qui venait d’un bateau, et une troisième, puis une quatrième explosion ! La cause de ces nombreuses explosions étaient les débris en feu de mon sous-marin qui sont tombés sur les bateaux. Tout à coup, une énorme marée noire s’étend sur la mer. Mon Dieu, qu’ai-je -fait ? Je voulais sauver mon île, ma famille, mes amis et finalement, j’ai empiré les choses.

« ALERTE ! » « ALERTE ! » Toutes les personnes se trouvant dans l’arche doivent rejoindre leur chambre. Coupure d’oxygène dans tous les couloirs. Je dois vous expliquer comment on en est arrivé là. Tout a commencé le 8 mars 2034 quand la couche d'ozone a explosé suite à la pollution. Les téléphones, les télés du monde entier se sont allumés en même temps sur une chaine et un flash info précis. « FLASH info : la couche d'ozone va disparaitre dans exactement 2 semaines. Préparez vos valises car dans 1 à 3 jours une navette va partir dans l’espace. Le départ se fera à 8H30 »

Je me dépêcha avec mes parents de faire nos valises. Une fois arrivés sur place mes parents et moi sommes montés dans la navette qui décolla à 10h. Vue de haut, la planète Terre ne ressemblait plus à rien car tout était brûlé. Une fois arrivé dans l’espace on nous a réparti dans des chambres. Mes parents et moi avions la chambre pas loin du poste de contrôle. Après 5ans la navette a commencé à avoir des problème d’oxygène. Il fallait absolument essayer de revenir sur Terre.

Il pensait qu’il savait ce qu’il faisait... Arrivé dans un énorme salon il vit une très grande œuvre il se dit que ça pourrait forcément avoir de la valeur donc il la prise et la mise dans son énorme sac qui pesait une tonne. Il s’avance dans le dressing d’une grande chambre où il aperçut une tache sur le sol. Quand il regarda de plus près, il vit que c’était une égratignure du revêtement du sol. Mais il se dit qu'en faisant le tour de la maison il n’avait vu auparavant aucune égratignure que ça soit dans la salle ou la cuisine donc il arracha le plancher en se disant que c’était suspect. - C’est très bizarre ça par contre se dit Marcus. Il prit un pied-de-biche qu’il avait utilisé pour crocheter la serrure de la porte et arracha le parquet au sol. - Wow dit Marcus à haute voix. Il trouva non seulement beaucoup de liquide mais en plus de ça il trouva des bijoux ornés de diamant, d’émeraude et de rubis. Marcus tout content est fier de lui se dit que non seulement il va pouvoir s’acheter une place mais qu'en plus de ça il va pouvoir être surclassé en premium dans la fusée qui est un espace de la fusée beaucoup plus luxueux et sécurisé. Marcus se dirige directement vers la sortie où se trouve la porte qu'il avait crocheté en s’imaginant partir de la terre après l’explosion. Mais quand il sort : - BAM&nbsp;! Un énorme coup de feu retentit. C’était une balle tirée par un policier directement dans la cuisse de Marcus. Marcus tomba, vu flou et se demanda : - Qu’est- ce qu’il se passe&nbsp;?! Il y avait une vingtaine de gendarmes autour de lui car en fait si Arthur était en vacances donc pas là, il y avait des caméras de sécurité cachées comme par exemple derrière des tableaux.

Dans notre monde, les gouvernements sont plus préoccupés par les bénéfices à court terme que par la survie à long terme de la planète. Les émissions de gaz à effet de serre augmentent constamment, les forêts sont détruites à un rythme alarmant, et les océans sont contaminés par des déchets toxiques. Le pays le plus puissant nommé Zephyron avait lancé en 2020 un projet ambitieux appelé « Nexus » qui venait d’aboutir 30 ans après son lancement. L'objectif était de créer une ville linéaire, futuriste, autosuffisante et durable qui s'étendrait sur plus de 1000 kilomètres de longueur, et qui serait alimentée en énergie par des sources renouvelables. Les autorités avaient promis que le projet respecterait l'environnement et les populations locales, et qu'il serait un modèle de développement durable pour notre planète entière, Aetheria. C'est dans ce contexte que Zahir,mon ami, et moi avions&nbsp; commencé à nous engager dans la lutte pour l'environnement. Nous avions grandi dans un village rural nommé Alnilam, situé à proximité de Nexus, où nous avions appris à aimer la nature et à respecter les traditions locales. C’est suite à cette lutte et à cet engagement que j’ai décidé d'écrire mon histoire pour vous raconter, à vous, ce qui nous succèderont, la vérité qui vous est à tous caché et la raison pour laquelle vous vous trouvez où vous êtes actuellement. Nous étions alors, avec mon amie, en 2050, confrontés à une catastrophe écologique majeure. Les températures atteignaient des niveaux records, les océans étaient remplis de débris toxiques et augmentaient sans cesse.

Le lendemain, les Etats-Unis ne ressemblent plus qu’à un désert, le silence règne partout et laisse place à un paysage avec des bâtiments détruits, des routes remplies de détritus mécaniques. La poussière a envahit l'air. Beaucoup ont perdus la vie durant ce drame ce qui est le cas de Claire et de Taylor malgré ce qu’elles ont essayé de faire pour sauver le pays. Les Etats-Unis laissent désormais place à une terre inhabitable, sèche et apocalyptique.&nbsp;

Et Iliece répondit&nbsp;: - Regardez là-derrière le buisson. En voyant ça, Rayan et Hamid prirent peur et dirent&nbsp;: - Venez on part d’ici et on reste à l’hôtel. Cette chose va disparaitre sûrement… Après cette longue journée, ils se reposèrent tranquillement. Le lendemain, vers 7h du matin Iliece fut réveillé par d’étranges bruits, ces bruits venaient de dehors. Iliece alla voir dehors sans réveiller ses amis. Dehors, il y avait tellement de vent qu'on avait l'impression d'être en plein ouragan. Iliece alla quand même revoir la plante et là il constata que l'endroit était rempli de cette chose comme si elle avait contaminé tout ce qu’elle touché. Iliece dit&nbsp;: - Mais qu’est ce qui se passe&nbsp;? Il faut que je prévienne les autres&nbsp;! Il faut qu’on quitte cet endroit.&nbsp; Iliece retourna à l’hôtel et réveilla ses deux amis. Après la nouvelle Hamid et Rayan furent choqués et firent leurs bagages le plus vite possible. Ils prirent les billets d’avion pour rentrer en France. Arrivés à l’aéroport, ils trouvèrent que les personnes n’étaient pas stressées malgré l'invasion de la plante. Ils montèrent dans l’avion et passèrent un bon trajet en se disant qu’ils n'allaient plus revoir cette chose.

Il a dû me voir, et il a couru loin de moi pour ne pas les emmener vers moi. Assise sur le toit, je me sens coupable. Seule avec mes pensées, la culpabilité, la tristesse et la solitude m’assaillent. Vivre, à quoi bon ça servirait maintenant? Liv l’avait prédit. Certains d’entre nous mourront, d’autres survivront. C’est la règle pour chaque accident qui se déroule. Nous avons détruit la terre, je peux affirmer que sa vengeance a été un succès. Je comprends enfin la souffrance de ces animaux que nous avons commis, nous, les êtres humains. Je me sers de mon téléphone et écris un message à cette amie de ma mère pour lui expliquer que nous ne pourrons plus parler à Lisa, ni la voir. Je lui dis seulement de la protéger comme elle le doit. Il est assez tard, elle ne verra ce message que demain matin. En enlevant mon gilet, je constate mon corps plein de tâche. Ce n’est pas nouveau. Mais cela signifie que bientôt mon tour arrivera. Néanmoins, pourquoi ne pas raccourcir les choses. …

Avec les nouvelles technologies qui se trouvent partout où elles se déplacent, les habitants ne se soucient plus de rien. Les américains travaillent en majorité dans des usines industrielles qui produisent plus de 300 milliards de produits par jour en fonction des besoins de la clientèle afin que l’économie américaine fonctionne. Les Etats-Unis est le premier pays avec le plus de développement au cours de ces dernières années. Les villes se sont modernisées avec les voitures électriques, les transports en communs plus rapides, l’utilisation des robots, la multiplication des gratte-ciels, les autoroutes à plusieurs étages, l’utilisation des panneaux solaires. La majorité des maisons, des bâtiments et des entreprises sont dotés d’une intelligence artificielle afin d’aider au mieux les américains dans leur quotidien. Et enfin, les Etats-Unis ne connaissent plus de pollution.

En partant, je fis un adieu soulagé au camp que je ne reverrai jamais de ma vie. Le bateau était en avance et en apercevant sa lumière, je réalisais soudainement que ce n’était pas un rêve, que je n’étais pas devenu fou mais que l’espoir avait pu renaitre. Une fois sur le bateau, un général de la Marine nous accueillit et nous expliqua ce qui s’était passé au cours de ces 6 mois. Le Big One avait effectivement eu lieu à Tokyo. Personne ne s’attendait à un séisme d’une telle violence. La ville a été immédiatement détruite. Peu après, le tsunami que nous avions vu avait suivi et s’était abattu sur notre ville qu’il avait entièrement submergé. Le niveau des eaux était monté petit à petit à partir de là jusqu’à engloutir le pays. Seul le sommet du Mont Wakakusa était encore hors de la surface de l'eau. J’écoutais d’une oreille angoissée tout ce qu’il expliquait, en retenant la question qui me brulait les lèvres&nbsp;: y avait-il d’autres survivants de la ville d’Hamamatsu&nbsp;? Lorsque je pu enfin lui demander tremblant sous le poids de mon inquiétude, le général mit sa main sur mon épaule et me répondit&nbsp;: «&nbsp;Personne d’autre n’a survécu petit. C’est déjà un miracle que vous soyez toujours en vie. La quasi-totalité du pays est submergé et le chemin que vous avez pris est le seul qui ne se soit pas retrouvé immédiatement sous l’eau. Si vous aviez dévié de quelques kilomètres, vous ne seriez plus là. Je ne vais pas pour autant vous rassurer et vous dissimuler la vérité. Les scientifiques du monde entier s’accordent sur le fait que le Japon n’est déjà pas un cas isolé et que, petit à petit, les pays vont tous se retrouver submergés et nous ne savons toujours pas prévoir quel pays sera le prochain à être touché. Les estimations sont qu’il reste 70 ans avant que la Terre soit entièrement submergée.&nbsp;»

Je n’étais donc pas le seul à avoir compris la nature&nbsp;réelle de ce projet. C’est à ce moment précis, suite à cette déclaration, que j’avais décidé de vous partager mon histoire. J’avais compris que, étant dans cette prison, je ne pouvais dénoncer Nexus à la population mondiale. Je ne pouvais dénoncer le projet à la population présente mais je savais que je pouvais expliquer mon histoire à la population future qui aurait survécut aux conséquences désastreuses de Nexus. Mon objectif premier était donc vouait à l’échec. Je poursuivis la discussion avec mon compagnon de cellule en lui demandant qu'elle était concrètement son travail et comment avait-t-il contribué à la construction de Nexus, car le métier d’ingénieur était beaucoup trop vaste. Il me répondit&nbsp;: «&nbsp;Je suis un ingénieur spatial, je n’ai pas contribué à la construction de Nexus comme tu pourrais le croire, mais j’ai plutôt contribué à la construction d’une grande station spatiale qui permet d’accueillir des centaines de millions de personnes pour vivre dans l’espace après la fin du monde, causée par Nexus. Cette fin du monde aura malheureusement lieu dans 5 heures d’après mes camarades scientifiques présents dans la prison. Le décollage de la station spatiale aura certainement lieu dans peu de temps. Seul moi peux vous aider à aller dans cette station spatiale pour échapper à la fin du monde. Sinon tous les autres détenus et toi êtes voués à mourir.&nbsp;» Il ne me restait donc plus qu’un court instant &nbsp;pour terminer&nbsp;la lettre que je vous êtes en train de lire et la donner à l’ingénieur. Je fixai l'ingénieur spatial, sentant une boule se former dans ma gorge. Ses paroles résonnaient en moi, faisant naître un tourbillon d'émotions. J'étais à la fois en colère et déçu, mais surtout, je me sentais trahi.

Hamid tint d’abord la main de Rayan et réussi à monter. Il ne restait plus qu'Iliece mais il n’arrivait pas à monter. - Les gars... laissez-moi ici ça ne sert à rien. Soyez heureux... Hamid répondit violement : - FERME LA ET TIENT MA MAIN ! ON NE VA PAS TE LAISSER ICI MOURIR ! IL APPROCHE DONC FAIT VITE ! Iliece réussi à monter. Il a été à deux doigts de mourir. Dans les airs, tout le pays était englouti par la plante Astra. Après cet événement choquant, ils se dirigèrent vers l’Amérique sains et saufs. Après 10 ans Iliece, Rayan et Hamid sont toujours amis. Ils sont heureux dans la vie qu’ils mènent. Jusqu’au moment où un homme décida de partir en bateau pour l' Europe afin de rapporter un échantillon d'Astra... Le cauchemar allait-il recommencer ?

Les trois amis n’eurent rien compris, ils étaient encore sous le choc des informations du vieillard. Mais ils se remirent directement en route pour l’Amérique. Mais ce voyage sera un chemin long et compliqué avec beaucoup d’épreuves. Ils sortirent du bâtiment ancien et virent des taches violettes et noires au loin. Hamid constata que c’était donc la plante Astra : - Elle peut donc se propager sur un territoire à une assez grande vitesse, je vois. Les amis, regardez au loin la plante Astra. Elle se propage. Il faut vite partir à l’aéroport. Ils prirent la voiture et accélérèrent. Arrivés à l’aéroport les trois amis virent qu'il n’y avait plus de vol pour l’Amérique. Ils avaient déjà perdu espoir mais Iliece eu une idée : celle de prendre l’avion pour le Havre et continuer en bateau ou en hélicoptère. Ainsi, ils prirent leurs billets et rentrèrent dans l’avion. Les trois amis étaient stressés de savoir ou non si la plante pouvait les rattraper. Le vol fut assez long mais les pilotes ne furent pas stressés ou ne connaissaient pas la mauvaise nouvelle. Ils n’y avaient qu'eux dans l’avion et Iliece dit : - Je pense que tout le peuple a déserté le pays. L’avion se posa sur la piste d’atterrissage. Ils descendirent en étant tout stressé. Puis Hamid dit : - Les gars, je monte sur le grand poteau. Je vais voir s'il y a des personnes à l’horizon. Iliece et Rayan répondirent : - Ok mais fait attention. Ne te fait pas mal.

- Il m’a dit qu’il revenait mais je n’ai pas vu où il est allé. Commençons à sortir, on le croisera peut-être.&nbsp; Je suivais alors Tsuyu vers la sortie du supermarché, les deux hommes derrière nous toujours obsédés par leur sachet de riz s’insultaient toujours davantage. Je me demandais comment des personnes sans doute normales pouvaient en arriver là en si peu de temps. Tsuyu fit un signe sur sa droite et je pu voir Aiko nous rejoindre à la sortie avec un sac. «&nbsp;Tu as pu trouver à manger&nbsp;? » me demanda Aiko. - J’ai trouvé 5 bentos derrière la caisse. Ce n’est pas grand-chose mais ce sera déjà mieux que rien. Nous pourrons les partager et vous&nbsp;? - Rien qu’on ne puisse manger mais un réchaud, quelques réserves de gaz et une casserole. Si nous parvenons à trouver du riz, ça nous permettra de tenir longtemps. Allons voir dans le village à quelques kilomètres si nous pouvons trouver autre chose. J’aidais Tsuyu à remonter dans la voiture. Je ne m’étais pas rendu compte qu’elle était si haute tout à l’heure. Yuri était réveillé et il nous expliqua qu’il était aussi dans son collège lorsque le tsunami était arrivé. Il avait juste eu le temps de sortir de sa classe mais s’était fait une entorse en se faisant bousculer alors qu’il courait dehors. Aiko l’avait vu à ce moment-là, et l’avait fait monter dans sa voiture. Yuri lui en était très reconnaissant mais il était aussi très inquiet pour ses parents qui travaillaient sur le port. Il n’avait pas pu les contacter non plus.

Quelques mois plus tard, j’ai été obligé de vendre la maison de famille Mbizi de père en fils depuis plusieurs générations pour régler mes dettes. Je vis dans une maison plus petite avec ma femme et mes trois enfants. Les pêcheurs me demandent que faut-il faire ? As-tu une solution pour enlever le pétrole dans la mer ? Je réplique qu’il faut absolument arrêter d’utiliser les bateaux à pétrole ! Ils ont fait assez de dégâts ! Il suffit de se servir des bateaux électriques, ils polluent beaucoup moins, ce qui protègera l’environnement, la santé de la population et évitera la disparition des poissons. Grâce à ces bateaux nous pourrons retrouver une vie normale, travailler comme avant. Je reprendrais mes ouvriers. Si je vous parle de ceci, c’est que je m’y suis penché dessus depuis la vente de ma maison. J’y pense toutes les nuits car la prochaine vente sera la poissonnerie familiale et tout à coup, une larme se met à couler sur ma joue…

- «&nbsp;Eh Bien, je vois ce que vous voulez dire mais je ne peux pas demander à l’un de mes employés de traiter ce sujet. » dit le directeur. - «&nbsp;Et pourquoi donc&nbsp;?&nbsp;» demande Taylor. - «&nbsp;Ecoutez, la surproduction n’est pas un sujet pertinent à aborder. Je sais que cela vous tient à cœur, mais grâce à la production que le pays fait, cela permet d’éviter la baisse des prix. Et pour l’instant, personne n’a parlé de la surproduction, je ne vois donc pas l’intérêt d’en parler.&nbsp;» dit-il. - «&nbsp;Les gens n’achètent que ce qui n’est pas essentiel et vous le savez très bien monsieur.&nbsp;» dit Taylor. - «&nbsp;Bon et qu’est-ce que vous voulez que je fasse, les temps ont changé. La pollution et le réchauffement climatique tout cela est de l’histoire ancienne. Maintenant pouvez-vous me donner une autre idée ?&nbsp;» - «&nbsp;Monsieur écoutez, les Etats-Unis vont bientôt tomber dans une crise économique à cause de cela. Vous ne voyez pas que les gens qui travaillent dans des usines produisent déjà plus avant même que les gens ne commandent, vous ne voyez pas que la surproduction est le pire des gaspillages, vous ne voyez pas que cela peut provoquer un ralentissement&nbsp;?&nbsp;» insiste Taylor. - «&nbsp;J’apprécie vos belles paroles mais je suis navré, je ne ferai pas de reportage sur le sujet. Il n’y a pas de surproduction. Tous ce que vous me dites ne sont que des paroles en l’air. Maintenant je vous demande de sortir de mon bureau.&nbsp;» dit Mr Burke d’un air mécontent.

Le lendemain, les filles se rendent à la conférence de presse. Elles ont obtenu leurs places grâce au père de Claire qui travaille dans le journalisme mais aussi grâce aux fausses cartes qu’elles ont créées. En effet, la conférence regorge de plusieurs personnalités publiques et plusieurs caméras retranscrivent à la télévision le direct. C’est une opportunité pour les filles de faire entendre leur voix et de faire réagir les américains. Elles attendent dans un coin de la salle un représentant politique qui s’apprête à faire un discours. Au milieu du discours, les filles se dirigent vers la scène. Elles montent et collent une de leur main sur le pupitre. Très surpris, le républicain demande : - «&nbsp;Mais que faites vous&nbsp;?&nbsp;» - «&nbsp;Des millions de personnes sont mortes durant ces dernières années à cause de la surproduction et si nous ne réagissons pas face, beaucoup d’entre nous mourrons aussi d’ici les prochaines années.&nbsp;»

Pendant le cours de biologie, la directrice de l’université débarque dans leur salle et parle à l’oreille du professeur de biologie pour lui donner une information inquiétante. Très confuse, celle-ci dit aux élèves qu’elle doit regarder la chaine nationale sur le tableau. - «&nbsp;Nous sommes désolé d’interrompre votre programme mais regardez ses images en direct depuis le capitole à Washington, où l'on voit une foule de politiciens quittant le siège du congrès. D’après certains politiciens qui ont parlé à des journalistes, cela serait à cause d’une vague pour le moment inconnue qui touchera les Etats-Unis dans les prochaines heures.&nbsp;» dit la journaliste. Face à cela les élèves sont très choqués et inquiets. Claire et Taylor se regardent et réalisent que ce qu’elles redoutaient le plus est arrivé. La professeure demande aux élèves de se mettre en dessous des tables ce qu'ils font. Plus tard dans la journée vers 16h30, un bruit strident résonne dans tout Manhattan qui étonne les habitants et les touristes. C’est une sirène d’alerte.

16h, 4 août 2035 - Comment tu les as eues? c’est génial. - Je les ai volées avec Lisa, pour qu’elle aille voir sa mère avant qu’elle ne meure. Elle fronça les sourcils en entendant cette réponse. - Donc toi aussi tu me cachais des choses… - Ce n’est pas pareil, affirmais-je. Liv et moi avons passé l'après-midi à flâner dans la ville, à la recherche d'un endroit pour observer le coucher du soleil. Finalement, nous avons trouvé un petit parc en hauteur, avec une vue magnifique sur la ville. Nous avons sorti notre goûter, des petits gâteaux et des jus de fruits, et nous avons savouré ce moment de paix et de beauté. Mais lorsque le soleil a disparu derrière l'horizon, nous n'avions pas envie de rentrer. Nous avons regardé les lumières de la ville s'allumer, et nous avons eu une idée folle : escalader les bâtiments pour voir la ville d'en haut. Nous avons cherché des escaliers, des murs à grimper, des toits à sauter.

Nous avons ri, nous sommes tombées, nous nous sommes relevées. Et finalement, nous avons atteint le sommet d'un immeuble, les cheveux dans le vent, les yeux brillants d'excitation. Nous avons regardé la ville s'étendre à nos pieds, et nous avons su que ce serait un souvenir que nous garderions pour toujours. Nous avons aussi regardé les étoiles briller dans le ciel, chacune avec sa propre histoire. Nous avons cherché les constellations et raconté des histoires. C’est cette après-midi qui nous a servi à oublier les soucis du quotidien. Nous sommes rentrées chez nous tard dans la nuit, fatiguées mais heureuses. Cela devint alors une drogue, chaque jour nous sortons et demeurons impassibles face aux risques. Jusqu’au jour dramatique, qui me sortit de mon indifférence. 14h, 24 décembre 2035 Ce jour devait arriver et nous le savions. Liv est tombée extrêmement malade. Ma mère l’a consultée et nous a annoncé qu’elle avait un cancer de la peau extrêmement brutal. Sûrement parce que cela faisait bien longtemps qu’elle l’avait.

Un ancien ami de l’orphelinat, John s'est fait très vite adopté par des multimilliardaire qui possèdent de nombreuses entreprises connues pour avoir fait d'importants chiffres d'affaires. Il décide le 9 Mars 2003 de sortir en secret pour aller leur voler de l’argent. Il savait que ce jour-là la famille de John serait absente car son ami lui avait dit qu'ils allaient l'emmener découvrir le monde pour la dernière fois avant de rentrer dans les fusée en 2006. Donc il chercha leur adresse grâce a une carte de la ville qu’il trouva à la cafétéria de l’orphelinat. Il sort en pleine nuit après que les surveillants aillent se coucher vers 3 heures du matin. Il trouva rapidement la maison, força la serrure et réussi à trouver en dessous d'un livre 3000 euros en liquide. Il prit tout ça dans un sac et revient très vite à l’orphelinat vers 6 heure du matin et cacha son précieux argent dans un puit abandonné depuis plus de 10 ans. C’est comme ça que Marcus garda l’équivalent de 17 750 euros en liquide jusqu’à ces 18 ans. Il était tellement malin que jamais il ne se fit prendre en 5 ans de vol. Il lui resta seulement 1000 euros pour pouvoir acheter une place dans la fusée&nbsp; et 1an pour récolter cet argent avant le début des voyages. Marcus ne voulait plus voler chez des riches plusieurs fois dans la journée et avoir constamment peur de se faire prendre sur le fait. Il décide alors de voler chez Arthur qui est l’un des écrivains les plus connu et célèbre de France. Il sorti de l’orphelinat le 7 Juin (sachant qu’il a quitté officiellement l’orphelinat au mois de Février, donc un mois avant le décollage des premières fusées.

De l’espoir, il y avait encore de l’espoir&nbsp;! Avec un peu de chance, j’allais bientôt entendre la voix de mes parents et peut-être les retrouver. Je sentis une heureuse impatience me gagner pendant que le camion entrait dans la station service. Aiko descendit de la voiture et je secoua Tsuyu pour la réveiller. «&nbsp;Qu’est-ce qui se passe&nbsp;? Où sommes-nous&nbsp;? demanda-t-elle encore endormie. » - Tsuyu&nbsp;! Le conducteur a un téléphone, on va pouvoir appeler Papa et Maman&nbsp;!&nbsp; Les yeux de Tsuyu s’éclairèrent d’un seul coup et un grand sourire se dessina sur son visage. J’ouvris la porte avec précipitation et Tsuyu me poussa pour sortir. Je tombais nez à nez avec une station service délabrée. On pouvait constater que le supermarché qui s’y trouvait avait été dévalisé. Les rayons étaient sans dessus dessous et quelques personnes à l’intérieur tentaient tant bien que mal de récupérer de la nourriture. Aiko revint vers nous avec un air désolé. «&nbsp;Excusez-moi les enfants, j’ai fait le tour de la station service mais impossible de trouver du réseau.&nbsp;» Je sentis la main de Tsuyu serrer la mienne et je ne pu que comprendre son sentiment alors que notre espoir était encore une fois balayé. «&nbsp;Nous aurons peut-être plus de chance au Mont Wakakusa. Quoi qu’il en soit, nous devons récupérer de la nourriture au supermarché, je n’ai rien dans la voiture.&nbsp;» poursuivit Aiko.

- «&nbsp;Que veux-tu dire par là&nbsp;?&nbsp;» - «&nbsp;Ce que je veux dire par là c’est que je veux qu’on sensibilise les habitants afin qu’ils ouvrent un peu les yeux sur ce qu’il se passe. Et le seul moyen c’est d’aller dans la rue avec des prospectus pour inciter les gens à commander moins. » rétorque Taylor. - «&nbsp;Je vois, mais tu sais que les gens ne veulent plus entendre ce genre d’histoire. Je ne sais pas si cela va fonctionner.&nbsp;» dit Claire. - «&nbsp;On n'a qu’à essayer.&nbsp;» - «&nbsp;As-tu fait des recherches sur le sujet&nbsp;?&nbsp;» demande Claire. - «&nbsp;J’ai étudié le sujet du gaspillage au lycée et la surproduction fait partie des pires sources de gaspillages. Si l’on ne réagi pas rapidement face à la surproduction, il y aura beaucoup de conséquences dans les années à venir avait dit mon professeur de science. Maintenant cela est réel. C’est pour cela que ça me tient à cœur, je veux que les gens puissent vivre sans problèmes.&nbsp;» dit Taylor. - «&nbsp;C’est très intéressant ce que tu dis, quand est-ce qu’on va dans la rue&nbsp;?&nbsp;» - «&nbsp;Demain, on n’a pas beaucoup de cours et puis, on finit tôt&nbsp;» répond Taylor.

Chapitre 4&nbsp;: Le soleil était à son zénith, et la chaleur était accablante. Je travaillais sans relâche, essayant de m'occuper de ces cultures malgré la chaleur écrasante. Les gouttes de sueur coulaient le long de mon visage, et ma peau était brûlante au toucher. J’avais beau boire de l'eau, j’avais toujours soif. Le travail était devenu difficile, nos combinaisons avaient disparu, et les informations prétendaient que des voleurs se cachaient parmi nous. Dont nous. Les jours étaient des refrains et les semaines devenaient lourdes. Je travaillais sans cesse jusqu’à ce que la fatigue me déstabilise. Mes études n’importaient plus. Mais les jours passèrent et je me sentis submergée par la solitude. Le lien avec ma famille s’est perdu, chacun seul à se battre pour soi-même. &nbsp;Je ne pouvais compter que sur moi-même, bien que Lisa fût un échappatoire des problèmes malgré que je ne lui donne pas les soins que je lui dois.&nbsp; Chaque soir je profite de ces pleines heures pour sortir malgré les circonstances, j’ai compris la façon de penser de Liv.

Il n’y aura aucune solution pour sortir de cette boucle infernale. Je n’arrêterai plus ma passion pour quoi-que-ce soit surtout pour contempler mon étoile. Les derniers mots de Liv retentissent dans mes oreilles&nbsp;: Ne pleure pas parce que c’est fini, souris parce que c’est arrivé [...], continue à vivre pour notre passion, pour moi, pour nous. Vis seulement. Bonne nuit Romy. 21h30, 13 janvier 2036 Je suis dans la cuisine, le silence règne pendant que nous sommes en train de manger. Tout est calme, beaucoup trop à mon goût. Et je n’avais pas tort. Le soir où tout semble être normal : mon frère qui décide enfin de pas s'enfermer dans sa chambre, ma mère qui a une soirée détente, Lisa qui est présente. Tout s’écroule. Je peux entendre des bruits à l’extérieur de la porte, des pas, puis des murmures. Que se passe-t-il&nbsp;? Sans même poser la question, des paroles se font entendre. - Ouvrez la porte, nous devons perquisitionner votre domicile&nbsp;! s’écrie une personne après avoir tambouriné sur la porte. Ma mère me regarde étonnée, presque effrayée.

Les ténèbres de ma cellule de prison m'entouraient, tandis que je contemplais le destin qui m'attendait. J'étais parmi les détenus condamnés à rester sur Terre, alors que l'élite dirigeante s'échappait vers les étoiles, cherchant refuge dans l'espace. Nous étions laissés pour compte, abandonnés à notre sort dans ce cauchemar qui avait été crée. Le poids de cette réalité m'écrasait, mais je refusais de succomber au désespoir. J'avais une dernière mission, un dernier devoir envers ceux qui étaient partis. Avant que la fin ultime ne me parvienne, je voulais écrire cette lettre, une lettre destinée à ceux qui avaient réussi à s'échapper. Chers survivants de l'espace, Je vous écris dans l'ombre de notre monde agonisant, un monde qui a été dévasté par les conséquences du projet Nexus. Le désastre écologique causé par ce projet irresponsable a entraîné la destruction de notre environnement, mettant en péril l'existence même de notre espèce sur Aetheria. Je tenais&nbsp;à vous raconter mon histoire pour vous expliquer la vérité sur ce qui s'est passé car vous avez le droit de savoir. Nexus, qui était censé être un projet visionnaire pour créer une société durable et autosuffisante, s'est transformé en une aberration de cupidité et de pouvoir. Les dirigeants de ce projet ont manipulé les ressources naturelles, épuisant nos écosystèmes fragiles au nom du profit et du progrès. Leur soif insatiable de richesse et de pouvoir les a aveuglée, les poussant à sacrifier notre planète et notre humanité au nom de leurs ambitions égoïstes. Ils ont construit leur utopie artificielle, abandonnant le reste d'entre nous à un destin tragique, le laissant se consumer dans son agonie.

- «&nbsp;Toutes les choses que nous aurons gaspillées envahiront les autres continents. Alors, voulez-vous vivre ou non&nbsp;? Changeons nos habitudes, consommons moins, commandons moins, le changement nous pouvons y croire.&nbsp;» dit Taylor à voix haute. Les caméras et les téléphones sont braquées sur elles, beaucoup les hue. Les hommes de la sécurité décident d’intervenir afin de les faire sortir de la salle. Ils essayent de décoller leurs mains du pupitre. - «&nbsp;Vous n’avez rien à faire là&nbsp;» - «&nbsp;Ce ne sont que des enfants, elles ne savent pas de quoi elles parlent. Elles font tout ça pour attirer l’attention. La surproduction n'existe pas» disent les représentants alors que Claire et Taylor se font emmener de force par la sécurité. L’organisatrice monte sur scène afin de calmer le public. - «&nbsp;Bon après cet incident, nous pouvons reprendre.&nbsp;» dit-elle.

Pour expliquer cette cause à tous les pêcheurs, je leur parle de la chaine alimentaire : « Lorsque le pétrole des bateaux est rejeté dans la mer, les plus gros poissons mangent les petits poissons contaminés, ils sont donc aussi infectés. Je vends ces poissons pollués qui sont mangés, ce qui est très grave pour la santé, nous pouvons développer des maladies très importantes, parfois mortelles. » Une semaine plus tard, j’ai dû me séparer de mes ouvriers à contrecœur. Philipe qui a 5 enfants se retrouve sans travail, José qui vit seul avec sa maman gravement malade ne va plus pouvoir payer ses soins sans son emploi… Mais je n’ai pas le choix, il n’y a plus assez d’argent pour les payer. Les temps sont très durs, avant je pouvais nourrir ma famille, aujourd’hui il faut augmenter le prix du poisson.

Elles décident donc de rentrer et de réfléchir à une autre façon d’interpeler les gens. De retour chez Taylor, cette dernière trouve une idée. - «&nbsp;Je crois que j’ai une idée de comment on va pouvoir interpeler les gens.&nbsp;» - «&nbsp;Je t’écoute.&nbsp;» lui répond Claire. - « On se rend dans le siège social d’une grande production de télévision et on demande au directeur s’il veut bien que l’un de ses employés fasse un reportage sur la surproduction. Cela aura plus de visibilité.&nbsp;» - «&nbsp;Pas mal comme idée, je te suis.&nbsp;» dit Claire . - «&nbsp;Bon après il faut que l’on s’organise. Faisons cela dans deux semaines.&nbsp;» - «&nbsp;Ok très bien, il faut que je te laisse je dois rentrer chez moi. A demain.&nbsp;» dit Claire en s’en allant. - «&nbsp;A demain&nbsp;»

Un jour, je prends mon bateau pour aller pêcher. Une fois la remontée du filet de pêche, je remarque que mes poissons sont tous morts, lorsque j’en saisie un, dans mes mains, je sens une forte odeur de pétrole !! Je rentre au port avec mon bateau, j’étais très en colère, je m’approche des poissonniers et les accuses d’utiliser du pétrole pour leurs bateaux. Une fois calmé, je décide de faire une réunion avec mes amis les pêcheurs. Je leur explique que les poissons sont tous en train de mourir. Issac mon ami d’enfance me demande quelles sont les causes de cet évènement. Je leur réponds : « je vais vous dire la cause principale de la disparition des poissons. La pollution !! Et oui, le pétrole des bateaux rejeté dans la mer ! la situation est dramatique les amis !! »

Il restait un homme prêt a tout pour éliminer les gendarmes !! Cet homme courra jusqu’à la cargaison de barils d’essence pour jeter un briquet dans l'un des barils. Cela explosa et provoqua une réaction en chaîne qui détruisît le camp et tua l'ensemble des hommes présents. Heureusement, les deux amis étaient suffisamment loin mais cette explosion entraina la disparition totale du reste de la forêt de l’Amazonie et des espèces vivantes.

En vérité Alexandre est un homme d'affaire c'est pourquoi il possède plein de biens mobiliers. Quelques jours passèrent avant le soir du décollement de la fusée. Les affaires d'Alexandre, de Maria ainsi que de sa mère étaient posés devant la porte. La nuit tomba et ils se mirent tous à aller se coucher. - Bonne nuit ma fille. - Bonne nuit maman à demain pour le décollage !	 Le soleil se levait quand Alexandre arriva dans la chambre afin d'y réveiller Maria et sa mère. - Levez vous il est six heure du matin il est l'heure de prendre la route nous en avons pour un peu plus de deux heures dit Alex. - Oui je finis mon sac puis nous serons prêts pour y aller. La porte claqua. Les masques d'oxygène remontèrent sur leurs nez quand soudain ils se mirent à réaliser ce qu'il se passait. - Aucune inquiétude la fusée est prête et elle est la plus performante de l'histoire de l'aéronautique dit-il d'un air rassuré. La voiture s'arrêta puis ils descendirent tous.

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Chacun a eu le destin qui lui était attribué. La chance est une opportunité qui n’est pas offerte à tout le monde. Mais peut-on dire que cela est réellement de la chance&nbsp;? Cela aurait pu finir autrement. Cela est vrai si je vous le dis, alors quelle a été l’erreur qui a donné l’illusion du bon chemin&nbsp;? Pendant que vous tourniez les pages du livre, l’écriture a évolué au fil du temps, et l’histoire perd vie peu à peu. Que voulez-vous que je vous dise maintenant, elle avait tellement de choses à dire, mais qui l’aurait écoutée&nbsp;? Ils dorment tous. Tout le monde va mourir un jour, mais certains plus rapidement que d’autres. Alors pourquoi s’obstiner à écrire une fin heureuse&nbsp;? La fin n’a jamais été pour être heureuse. Pour finir, je voudrais seulement dire «&nbsp;Bonne nuit Romy&nbsp;».

Mais lorsqu’elle remarqua que ce n’était pas la bonne route, elle me le fit remarquer. «&nbsp;Avance&nbsp;» était le seul mot que je pouvais lui dire. Je réfléchissais à comment lui annoncer, mais c’était trop tard. Nous aperçûmes la jeune dame, à la chevelure blonde, qui attendait devant la porte de son pavillon. Lorsqu’elle nous vit, elle courut vers nous et nous embrassa. - Je suis si heureuse de m’occuper de toi Lisa, comme tu ne peux pas l’imaginer, dit-elle. Une douleur à la poitrine me fit succomber. Lisa se retourna vers moi, m’interrogeant du regard. - Je suis désolée Lisa, nous devons nous enfuir, et je ne peux pas te mettre dans un tel danger. Je te promets que tu te sentiras bien chez elle, annonçais-je peinée. Elle eut le regard triste, me suppliant de ne pas l’abandonner. Je n’avais pas le temps de lui expliquer, je lui annonçai simplement que je pourrais lui téléphoner souvent. Je pu percevoir ses larmes mais elle rentra sans dire un mot. La dame me rassura en me disant qu’elle lui expliquerait ma décision puisque je n’avais pas pu le faire moi-même. Je m’éloignai de la maison en signe d’au-revoir.

Cette dame était une des amies de ma mère, et elle voulait tant avoir un enfant. Malheureusement, elle était stérile, puis son mari était décédé lors d’une mission militaire. J’ai eu de la chance qu’elle ait répondu à mon coup de fil, et surtout qu’elle ait accepté. Je n’avais aucun doute, et maintenant je n’ai plus rien à craindre. Je poursuis mon chemin et me faufile vers la forêt, en toute discrétion. Bientôt je peux entendre les sirènes de police, ils ont l’air nombreux considérant le volume des sons. Il me manque quelques marches avant d’arriver au point de rencontre. Quand tout à coup, mon téléphone sonne. C’est mon frère, je décroche. - Allo ? dis-je. Rien. - Allo&nbsp;? répétais-je, Nathan c’est toi&nbsp;? Aucune voix. Seulement du bruit, très fort. J’imagine que son téléphone a appelé sans le vouloir. Je m’apprête à raccrocher quand une voix s’interpose. - Romy, Romy, tu m’entends, chuchote-t-il&nbsp;?

L'arche The end La dernière ligne du Nexus Le cri autour du masque Apocalyptique L'âge sombre du soleil Radioactivité L'aventure de Lee et Tsuyu Le quotidien de Joseph Dystopie								 Bibliographie et iconographie Participants et remerciements Partenaires de Lecture Jeunesse

- «&nbsp;Malheureusement si, et dès demain j’ai entendu dire qu’ils vont commencer à jeter tous les déchets mécaniques qu’on a usé sur le 7ème continent.&nbsp;Ils avaient déjà fait cela avec le plastique avant.&nbsp;» dit Claire. - «&nbsp;Avant ou pas les américains continuent de mettre des tonnes de déchets dans le 7ème continent. Ils ne pensent qu’à eux et pas à la planète.&nbsp;» rétorque Taylor. - «&nbsp;On ne peut plus rien faire, on verra bien ce qu’il se passera demain.&nbsp;» dit Claire.

Le grand jour est arrivé, tout le village est près de la plage, les habitants, les pêcheurs, les journalistes attendent tous l’évènement. Je suis très stressé, je mets à l’eau le sous-marin, je place les cuves qui vont récupérer le pétrole. Ma femme et mes enfants sont près de moi, le sous-marin va sous l’eau, j’ai une petite camera à coté de moi qui montre le devant de mon projet. Je suis tellement heureux, les filtres se mettent en marchent dès que le sous-marin arrive dans le fond de la mer, sur la camera on voit les filtres se remplir de pétrole. Le moment le plus compliqué arrive, la remonté de l’appareil, je croise les doigts. Le sous-marin, remonte petit à petit, d’un coup on entend un sifflement, le devant de l’appareil sort de l’eau, on voit de la fumée sortir suivi d’un énorme bruit d’explosion. Le sous-marin se retrouve en mille morceaux… mon rêve s’écroule…

- «&nbsp;Sans vous manquez de respect monsieur, je trouve que vous réagissez un peu trop vite. Nous avons plusieurs arguments sur le sujet suite à des recherches » dit Claire en lui donnant une feuille parlant de la surproduction. Le directeur lit la feuille et la redonne à Claire. - «&nbsp;Je regrette, je ne vais pas accepter votre proposition. Maintenant sortez de mon bureau.&nbsp;» dit Mr Burke. - «&nbsp;Mais monsieur&nbsp;» - «&nbsp;Sortez vous ai-je dit&nbsp;!&nbsp;» dit-il aux filles sous le coup de la colère. Les deux quittent le bureau du directeur et se rendent vers l’ascenseur. - «&nbsp;Ce n’est pas fini faut qu’on continue. » dit Taylor d’un air déterminé. - «&nbsp;Taylor, tu vois bien que la surproduction n’est plus d’actualité. » dit Claire. - « J’ai vu que demain il y aura une grande conférence de presse où se tiendra plusieurs personnalités publiques. Elle sera regardée par beaucoup de monde. Je sais que ton père travaille dans le journalisme, pourrais tu lui demander des places&nbsp;?&nbsp;» dit Taylor en ignorant ce qu’a dit Claire juste avant. - «&nbsp;Mon père est en congé et pour les places oui, je peux lui demander mais il faut avoir une carte spéciale pour y accéder.&nbsp;»

Un soir, environ 6 mois après notre arrivée, un bruit inhabituel retentit dans notre camp. C’était le téléphone d’Aiko qu’il venait de rallumer comme chaque semaine depuis que nous étions arrivés, pour 5 minutes juste pour vérifier le réseau. Aiko se précipita dessus et tout en le tenant très précautionneusement pour ne pas risquer de perdre cette barre de réseau tant attendue, il déclara&nbsp;l’air anxieux&nbsp;: «&nbsp;Je capte mais il ne me reste que 3% de batterie. C’est un appel de la dernière chance car nous ne pourrons pas le recharger après.&nbsp;Je suis désolée les enfants, mais nous ne pouvons pas perdre cet appel pour appeler vos parents.&nbsp;» Mon cœur se serra en entendant ses mots même si je savais qu’il avait raison. «&nbsp;Qui alors&nbsp;? » demanda Tsuyu. - J’ai un ami qui est gradé dans la Marine. Si je parviens à le joindre, c’est le plus à même de nous envoyer des secours.&nbsp; Nous laissons donc Aiko passer son appel et au bout de quelques minutes, je pu voir ses yeux s’illuminer et s’humidifier alors qu’il s’exclama&nbsp;: «&nbsp;Merci, merci. Tu as bien pu me géolocaliser ? Nous ne bougeons pas, nous t’attendons. Merci infiniment.&nbsp;» Il nous expliqua qu’un bateau quittait ce qui était auparavant Osaka pour Shanghai et allait pouvoir venir nous chercher sur le Mont dans 2 heures. J’étais tellement choqué par cette incroyable nouvelle que j’en eu le vertige et tombais à la renverse dans les bras de ma sœur qui, me serrant dans ses bras, me murmurait que c’était bientôt fini.

Comment Zahir avait-il pu me trahir de cette manière ? Nous avions partagé tant de moments forts ensemble, construit des souvenirs inoubliables. Et pourtant, il avait tout gâché en me balançant aux autorités. Mais peut-être que j'avais été naïf de croire que notre amitié était indestructible. Après tout, les relations sont comme des ponts : si on ne les entretient pas, elles finissent par s'effondrer. Cette trahison m'avait fait prendre conscience de l'importance de la loyauté et de la confiance envers nos proches. «&nbsp;La trahison est un feu dévorant qui consume non seulement l’amitié, mais aussi les fondements même de la confiance. »&nbsp; La confiance se gagne lentement et se perd rapidement. La loyauté est une valeur essentielle qui doit être respectée dans toutes nos relations, qu'elles soient amicales ou professionnelles. Cependant, malgré cette trahison, je refusais de perdre espoir en l'humanité. La confiance est un choix, pas une obligation.&nbsp; En fin de compte, cette trahison m'a permis de grandir et de devenir plus fort. Comme je l'ai toujours dit, «&nbsp;les épreuves sont des opportunités pour grandir et pour devenir meilleur ». Suite à cette interrogatoire et cette trahison, je fus transporté dans une prison. Ma cellule était totalement insalubre. Mon compagnon de cellule était un ingénieur qui avait travaillé pour le projet Nexus. Il m’expliqua que la prison où je me trouvais était secrètement réservée aux personnes en rapport avec Nexus et à ceux ayant compris que le projet était le problème écologique qui causait la fin du Monde telle que nous la connaissions.

- Voilà la fusée dit Alex. - Ne perdons pas de temps, allons y. A cet instant précis ils ne se doutaient pas une seconde que la fusée n'allait jamais décoller. - Décollage dans trois deux.. Quand soudain la fusée ne bougea pas. - Que ce passe-t-il ? dit Alex d'un air surpris. Quand tout à coup Elon Musk prit la parole en annonçant l'effroyable nouvelle. - Bonjour à tous, tout d'abord je tenais à m'excuser, tout cela est de ma faute à aucun moment je mettais posé la question de bien vérifier nos données numériques. En vérité, la planète habitable ne se trouve pas à 9000km mais bien à 9 années lumières. - Comment cela est poss.. Plus aucun bruit quand soudain tout se mit à s'écrouler. A cet instant là l'oxygène se mit à disparaitre à jamais. La couche d'ozone s'était complètement ouverte comme l'avez dit les scientifiques auparavant. Ils n'ont pu trouver de planète habitable ni pu décoller à bord de la fusée. Tout sur Terre s'en alla y compris Alexandre, Maria ainsi que Martine.

Deux mois plus tard, je travaille pour un ami, je gagne tout juste ma vie pour nourrir ma famille. Il y a de moins en moins de poissons, et de plus en plus de pétrole dans la mer.

Prologue Un bruit sourd résonne dans la ville, ce bruit sourd que l’on a l’habitude d’entendre depuis plus de deux ans maintenant. Puis une voix se fait entendre : - A tous les habitants de la ville, il est temps de rentrer dans vos habitations respectives, je répète, à tous les habitants de la ville, il est temps de rentrer dans vos habitations respectives, message suivi du même bruit avant que les rues ne retrouvent leur silence pour le reste de la journée. … J’ignore ce qui peut arriver si personne n’intervient. Nous vivons dans un monde où nous ignorons les problèmes les plus atroces et leurs solutions pour ne pas y faire face. Le temps ne nous a pas achevé, il suffirait seulement de nous priver de nos habitudes quotidiennes pour ne pas davantage aggraver les dégâts. «&nbsp;C’est plus facile à dire qu’à faire ». Je comprends enfin le sens de cette phrase… Les adultes se détournent de leurs responsabilités. Ils laissent derrière eux ce problème afin de ne pas compliquer leur vie, ne se souciant même pas que leurs enfants prendront un jour leur place et subiront une misère totale…

Elle s’avance lentement vers la porte, puis patiente quelques instants avant d’ouvrir la porte. Après une longue altercation, ils nous annoncent que ma mère sera prise en charge par la police pour faute grave au travail. Elle me regarde alors désespérée et je comprends. Mon frère doit aller lui aussi en garde à vue et je m’interpose. Sans preuve, il ne leur doit rien.&nbsp; Les policiers ont surtout cédé par peine. Lisa ne comprenait rien et je lui ai uniquement demandé de monter dans sa chambre. La soirée sera cependant longue. Après cela, la tristesse m’accabla. Notamment lorsque mon frère m’annonça qu’il était l’un des voleurs. Il me raconta qu’ils avaient volé des combinaisons avec son groupe d’amis pour pouvoir sortir. Il n’en pouvait plus. En parlant, il m’apprit qu’il ne doit pas être présent ce soir, et qu’il doit quitter la maison avant que la police revienne. Je lui fais de même part de mon crime avec Lisa. Il n’était pas surpris par cette annonce, il a seulement souri. - Quoi&nbsp;? lui fis-je remarquer. Il émit un rire avant de rétorquer, je le sais Romy.

Etonnée de cette annonce, je lui demande comment a-t-il pu savoir, surtout que j’avais été discrète. - En fouillant ta chambre, pour essayer de retrouver le CD d’un film, j’ai trouvé les combinaisons. Pas assez bien cachées surtout, j’en ai profité pour te les emprunter. J’ai bien fait de perdre ce CD finalement. - Empruntées ? dis-je, tu me les as volées&nbsp;! - Alors comme ça le voleur se fait voler&nbsp;? dit-il ironiquement.&nbsp; Je ris bêtement. Après cela, il m’expliqua le plan que j’écoutai attentivement. C’est maintenant la fin de nos aventures, nous devons être vigilants. Nous commençons à ranger nos affaires dans nos sacs. Cela ne doit pas être trop lourd, et devra contenir tout le nécessaire en même temps. Nous nous faisons un au revoir, et je profite du départ de Nathan pour passer un coupe de fil. Être séparés est le meilleur moyen pour survivre. Et puis, je me devais de faire quelque chose. Je réveillais Lisa, qui s’habilla, déjeuna, puis nous prîmes la route. Naïvement, elle pensait que nous allions travailler.

Arrivé devant eux, il leurs dit : - Allez au 21 avenue Louis Pasteur, un sage vous parlera pour sortir d’ici au plus vite avant de mourir. Et il repartit aussi vite, donc les trois amis se dirigèrent vers cette adresse. Ils virent un bâtiment en ruine et abandonné. Hamid mit un pied en avant et rentra dans le sous-sol du bâtiment. Il cria pour dire à ses amis de venir. Et un grand sage avec une énorme barbe apparut vêtu d'une tenue très sombre qui recouvrait tout son corps. Il leurs dit : - Pourquoi vous êtes là ? Partez ! Vous allez mourir si vous resté ici ! Rayan répondit : - Non-monsieur ! On est là parce qu'un jeune homme nous a dit de venir ici au sujet de la plante appelée « Mordivuse ». Et le vieux monsieur rigola : - Hahaha... Cette plante ne s’appelle pas Mordivuse c’est un mensonge de la part de l’état. En effet elle s’appelle Astra et a été découverte il y a 1000 ans. Elle a donc réapparu hahaha... Courrez avant qu’elle vous tue vif... allez du côté de l'Amérique avant qu’il ne soit trop tard hahaha... Et le vieux monsieur disparu.

Je m’appelle Joseph Mbizi, j’ai 57 ans. J’habite au Congo et je suis pêcheur. Cela fait maintenant vingt-sept ans que j’ai repris seul la poissonnerie familiale qui était à mon arrière grand-père, puis à mon grand-père et par la suite à mon père, jusqu’au jour où il nous a quitté. J’ai donc à mon tour repris les rênes. Plus les jours passent, plus les bancs de poissons disparaissent. Dans les années 2000, nous arrivions à pêcher toutes sortes de poissons. C’était 89% de notre chiffre d’affaires avec la pêche.

Son souffle est saccadé. - Oui, Nathan, que se passe-t-il&nbsp;? - Romy tu vas m’écouter attentivement précise-t-il, puis un son lourd et fort me fige. La peur commence à monter, le bruit venait du téléphone et j’avais l’impression que c’était chez moi. Sans me laisser parler, il reprend.&nbsp; - Ils m’ont visé Romy, ils m’ont visé, ils deviennent fous ces gens&nbsp;!&nbsp; - De quoi tu parles, il se passe quoi, où es-tu&nbsp;?! - Non Romy, enfuis-toi. Je ne peux plus marcher et je n’en ai pas pour longtemps. - Non je ne peux pas te laisser, où es-tu&nbsp;? criais-je. - S’il te plaît, Romy, prends le chemin opposé. Ne viens pas, ils arrivent. Je commence à changer le rythme de ma marche sans savoir où il peut se trouver.

- Romy, pars&nbsp;! s’écrie-t-il. Puis des paroles lointaines surgissent. - Il est là, courez&nbsp;! Je peux entendre des pas courir au bout du téléphone puis des sons retentissent. Les mêmes que ceux d’auparavant. Je m’écroule, et reste là figée, en écoutant le moindre bruit. Des larmes me montent aux yeux et avant de raccrocher l’appel, j’annonce d’une voix tremblante - Bonne nuit, petit frère. Sans réfléchir, je cours vers le chemin inverse. Je cours sans m’arrêter quand soudain je découvre un bâtiment abandonné, et décide de l'explorer. Je grimpe sur les murs et les fenêtres, je me fraye un chemin vers l'intérieur. Une fois à l'intérieur, je monte les escaliers, et j’arrive sur le toit. Je peux observer au loin ces personnes impitoyables, entraînant mon frère. Je me rends enfin compte que j’étais à trois minutes de lui.

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Quelques unes de nos sources d'inspiration :

Fictions Documentaires

Les images et les photos proviennent de banques d'images libres de droits. Les ambiances sonores sont issues des sites suivants : https://lasonotheque.org (Creative Commons, artiste : Joseph Sardin) https://universal-soundbank.com ((licence et artistes non précisés) L'illustration de la première de couverture est une création des élèves effectuées lors de la rencontre avec l'illustratrice. Tout contenu publié pourra être retiré à la demande de l'auteur.

ALHINHO, Marie et al. Elle est le vent furieux. Flammarion. 2021. BORDAGE, Pierre et al. Nouvelles vertes. Thierry Magnier. 2021. GREVET, Yves. Sable bleu. Syros. 2021. PAVLENKO, Marie. Et le désert disparaîtra. Flammarion. 2020. CHAUVEAU, Loïc. Petit atlas des risques écologiques. Larousse. 2008. PICHON, Jérémy. Famille en transition écologique. Thierry Souccar. 2019. SCIAMA, Yves. Le changement climatique. Larousse. 2010.

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Puis Iliece dit : - On va bien se reposer à la maison, on va pouvoir jouer tranquillement ! Arrivés en France, dans leur maison, Iliece et Hamid jouaient à la console pendant que Rayan regardait la télé. Trois jours passèrent et les trois amis furent heureux, dans la tranquillité absolue et sans penser à leur fameux traumatisme. Puis, un après-midi Iliece décida de sortir prendre l’air. Il alla dans une ruelle sombre et cachée. Et... vu la même chose qu’il y avait en Turquie ! Il cria de peur : - AHHHHHHHH !! ENCORE CETTE CHOSE, POURQUOI ?!! Et il courut aussi vite qu’il put pour rejoindre ses deux compagnons sans voir personne aux alentour. Il rentra chez lui et ouvrit la porte... et là ses deux amis qui regardaient la télé semblaient paralyser par ce qu’il voyait. Il se décida alors d’écouter ce que disait BFM sur cette chose. - Mesdames et Messieurs comme vous le savez maintenant cette plante appelée “Mordivuse” a fait 300 000 morts en l’espace d'une semaine. Ne vous inquiétez pas. Mettez-vous à l’abri. Les forces de l’ordre réglerons ce problème. Après ce message les trois amis décidèrent malgré les recommandations de sortir pour trouver de l’aide mais personne dehors : la ville était déserte. Mais tout d’un coup un jeune monsieur courut à pleine vitesse sur les trois compagnons.

« Chérie, j’ai la solution à tous nos problèmes ! Un sous-marin ! Il faut que j’invente un sous- marin avec de gros filtres devant, sur les côtés et derrière. » Je me lève et je prends des feuilles pour faire des plans, mes enfants, ma femme se mettent autour de la table et regardent mes dessins. J’ai recommencé une dizaine de fois les plans, sous les regards de ma famille. Le lendemain, j’apporte les plans du sous-marin à mes amis les pêcheurs, et leur explique le fonctionnement. Je me rends à la banque pour demander de l’aide pour acheter les matériaux pour la fabrication du sous-marin. Le banquier m’accorde une avance. En échange je devrais lui donner soit le double de la somme une fois mon expérience réussie, soit la poissonnerie familiale. Durant deux mois après mon travail, je file dans mon atelier fabriquer mon projet.

- «&nbsp;Monsieur deux jeunes femmes souhaitent discuter avec vous à propos d’une de leurs idées pour le journal.&nbsp;» dit-elle en laissant un blanc afin d’écouter la réponse du directeur. - «&nbsp;Ok, très bien je vais les en informer merci. Vous pouvez directement aller dans le bureau de Mr. Burke au 20ème étage.&nbsp;» leur dit la réceptionniste. - «&nbsp;Merci beaucoup.&nbsp;» répondent les filles. Claire et Taylor prennent l’ascenseur pour se rendre au 20ème étage, trois autres personnes travaillant dans le bâtiment les rejoignent et les salut. Au 20ème étage, elles cherchent le bureau du directeur dans un grand couloir. Elles le trouvent et toquent à sa porte en attendant une réponse. La porte automatique s’ouvre et le directeur apparait. - «&nbsp;Bonjour, en quoi puis-je vous aider&nbsp;?&nbsp;» demande le directeur.

Ces gens qui raffolent de l’eau et plongent lorsqu’ils en ont l’occasion, est-ce normal en plein hiver ? Ces gens se baignant dans le lac au coin de la rue, est-ce normal ? Je pense sûrement beaucoup, et les gens diront que cela ne nous concerne pas, mais je pourrais facilement les contredire. Nous, les jeunes étudiants, les enfants, c'est notre avenir qui en dépend, pas les adultes ! Pourquoi est-ce toujours les adultes qui doivent nous obliger à penser ce qui est bien pour nous ou non ? Pourquoi nous ne pouvons pas prendre de décisions seuls et être indépendants ? Je suis étonnée que personne ne parle de ce que nous vivons à cet instant. Je ne comprends pas. Est-ce moi qui hallucine ? Est-ce moi le problème ? Mon existence se remet en question !

Chapitre 1 17h49, 7 juillet 2034 Notre ville a été vidée. Paris est invivable. L’air qui s’élève de ces rues est grisâtre. Six mois se sont écoulés. Et en si peu de temps, toutes nos vies se sont effondrées. On me disait souvent que la jeunesse était la meilleure période de la vie et qu’il fallait en profiter à fond. Je ris sarcastiquement à l’entendre, cette phrase, désormais. Que s’est-il passé en six mois&nbsp;? A vrai dire, tout s’est vraiment passé très vite. Mes doutes étaient fondés. Après deux semaines de soupçons, ces hommes politiques ont enfin décidé de monter sur le plateau. Malheureusement, c’était vraiment abstrait. Ils ne sont pas allés droit au but. La température commençait à s’élever au fil du temps. Après quatre mois, on a enfin décidé d’en parler. Des gestes se sont enfin installés.

- «&nbsp;2 activistes américaines ont débarqué dans une conférence de presse afin de faire passer un message humanitaire aux américains. Regardez ces images.&nbsp;» La chaine nationale fait passer le moment où Claire et Taylor se collent les mains et où cette dernière prononce son discours le soir même. - « Ce n’est pas vrai…&nbsp;» dit Taylor en préparant son diner. Elle éteint sa télé car elle en a assez vu, quand 10 minutes plus tard, elle reçoit un appel de Claire. Elle décroche. - «&nbsp;Claire&nbsp;?&nbsp;» - «&nbsp;Taylor allume vite ta télévision dépêche toi&nbsp;» dit Claire. - «&nbsp;Ok ce n’est pas la peine de m’agresser, Alexa allume la télé et met la chaine nationale&nbsp;» dit Taylor à son enceinte connectée. La télé s’allume et la journaliste apparait. &nbsp; - « La secrétaire au trésor Janet Yellen vient d’annoncer il y a un instant que les Etats-Unis sont en pleine crise financière due à une chute de l’activité économique dans tout le pays. La situation ne risque pas de s’améliorer d’ici quelques semaines. » annonce la journaliste. - «&nbsp;Mais ce n’est pas à cause de la surproduction&nbsp;?&nbsp;» dit Taylor à Claire.

La jeune Maria s’empressa de courir afin d’arriver le plus vite possible à la maison. - Maman&nbsp;! s’écria-t-elle. - Maria c’est toi&nbsp;? Où étais-tu passée&nbsp;! - Maman tu as vu les informations&nbsp;! - Non du tout. Allume la télévision&nbsp;dit sa mère d’un air curieux. " A tous les habitants de New-York, en ce jeudi 16 novembre 3037, je vous ordonne de rester chez vous et d'appliquer toutes les mesures de sécurité possible. En aucun cas vous ne devez retirer vos masques." - Maria, ferme toutes les portes possibles de la maison. En aucun cas tu ne dois sortir. La mère la rappela à l’ordre puisqu’elle se rendit vite compte de la gravité du danger. - Maman qu’allons nous faire&nbsp;? - Il faut que j’aille nous acheter des combinaisons ainsi que des masques respiratoires. Maria écoute moi en aucun cas tu ne dois sortir&nbsp;! Je reviens dans moins d’une heure. - Maman promets moi de faire attention.&nbsp;

Le lendemain comme prévu Alexandre se rendit chez Martine afin de lui apporter les deux billets. La date du lancement de la fusée s'approchait à grand pas c'est pourquoi la mère et la fille se mirent rapidement à faire leurs sacs mais seulement avec le stricte nécessaire. Par la suite Alexandre proposa à Martine de venir s'installer chez lui quelques semaines avant qu'ils ne se rendent sur la planète habitable. - Bonjour Martine. - Bonjour Alex, merci de m'accueillir chez toi cela me touche énormément. - Aucun problème ! Martine n'est pas avec toi ? - Martine si elle est là ! Puis la mère se tourna et découvrit que sa fille n'était pas à côté d'elle - Martine ? s'écria la mère. - Formidable la maison maman tu ne trouves pas ! dit Maria d'un air éblouit. - Toujours à me faire des frayeurs ! s'écria Martine. - Bon bah je vois que ma maison vous plait c'est vrai qu'elle est spacieuse.

Quelques semaines après cet évènement qui a bousculé les Etats-Unis, la vie a reprit son cours. Les filles se rendent à leur cours de biologie. En entrant dans la salle, elles remarquent que la professeure n’a pas l’air joyeuse depuis son bureau. Claire et Taylor s’assoient à leur place respective. - « Que se passe-t-il avec Mme Wright&nbsp;?&nbsp;» demande Claire à Julian, l’un de ses camarades. - «&nbsp;Tu vois depuis la crise économique, plusieurs ont vu leurs impôts augmenter durant ces derniers jours et c’est le cas pour beaucoup de professeurs.&nbsp;» dit Julian. - « Et alors&nbsp;? » - «&nbsp;Alors, l’état demande plus d’argent auprès des habitants afin de protéger le pays en construisant des clôtures vers la côte de la Californie.

Claire ne bougea pas. Elle fixa longtemps la cour de la fenêtre avec inquiétude. - «&nbsp;Claire…&nbsp;? Que se passe-t-il&nbsp;?&nbsp;C’est quoi ce bruit d’eau&nbsp;? » demande Taylor. - «&nbsp;Oh non…&nbsp;» Claire se précipita sous sa table. - «&nbsp;Il y a une vague là dans la cour à quelque mètre de la classe. » - « Gardez votre calme les élèves s’il vous plait&nbsp;» dit la professeure aux élèves tous en paniques. - «&nbsp;Comment est-elle&nbsp;?&nbsp;» demande une élève à Claire. - « Gigantesque&nbsp;» lui répond Claire. - «&nbsp;Protégez vous bien, ne vous inquiétez pas tout ira bien je vous l’assure, on va tous s’en sortir.&nbsp;» dit la professeure à voix haute. - «&nbsp;Enfin je l’espère…&nbsp;» dit-elle à voix basse. Claire et Taylor se jettent un dernier regard de désespoir car elles sentent que tout le monde ne va pas survivre. &nbsp;

Nous tenons à remercier Les auteurs :

BACHIRI Marwa, BEKHOUCHE Tesnime, BRAHMI Younes, CHEMALI Anes, DUBOIS Tsiky, EL HAOUDI Sarah, FONTAINE Lola, FREIXO FERNANDES Sergio, GONCALVES LOURENCO-GUINET Julia, JAMRY Milosz, LA PLACA Angelo, MAMMOU Iliece, MAUNOURY Benoît, MLAL Sofiane, MOREL--AGAOUA Manon, MWAMBA LEZA Valérie, N'DIAYE Maymuna, PRE Camille, RACHID Sabrine, RITTLING Wendy, SAGHIR Mohamed, TAB Farah, TAMBWE BADIBANGA Axel.

MME BELLOUCHE, enseignante de SVT MME D'HENNECOURT, enseignante de Lettres MME DUDOUIT, enseignante Documentaliste

L'équipe de la médiathèque Louis Aragon de Bagneux pour son aide précieuse. L'association Lecture Jeunesse qui nous a guidé tout au long du projet. Le direction de l'établissement qui nous a permis de participer à cette belle aventure.

Après qu’Aiko ait fait le plein, la voiture se remit en route et nous reprîmes notre trajet vers le Mont Wakakusa. Nous passions par plusieurs villages délabrés mais où il fut possible de trouver du riz ou d’autres aliments à cuire le soir dans la casserole. Au fil du voyage, je pu faire la connaissance de tous nos compagnons de fortune. Ils étaient plus âgés que nous puisqu’ils étaient tous déjà au lycée. Ils faisaient un stage dans l’entreprise d’Aiko où ils l’avaient rencontré. Tsuyu était plus timide que moi et rencontrait donc des difficultés à parler avec les autres mais, pour ma part, je m’entendais plutôt bien avec eux. J’avais seulement un peu honte et tentais de me cacher le soir quand, en dormant, je ne pouvais plus retenir mes larmes en pensant à mes parents. Nous n’avions toujours pas trouvé de réseaux après plusieurs jours de voyage et je n’avais aucune idée de là où ils étaient ou de s’ils allaient bien mais j’espérais toujours. Un matin, après avoir zigzagué pendant des heures sur des chemins escarpés et en partie effondrés. Notre camion parvint enfin en haut du Mont Wakakusa. Cependant, notre réjouissance fut de très courte durée lorsque nous découvrîmes que nous étions les seuls à y être parvenus et surtout, que nous ne captions toujours pas la moindre barre de réseau. 	Plusieurs mois s’écoulèrent ainsi durant lesquels je devins un robot s’occupant uniquement de la survie du camp&nbsp;: faire du feu, trouver à manger, construire une cabane ou laver les vêtements. Tsuyu et les autres tentaient du mieux qu’ils pouvaient de me réconforter mais rien n’y faisait, je ne voyais plus d’espoir. L’eau était montée autour du Mont où nous étions désormais bloqués, jusqu’à ce qu’elle nous engloutisse tout à fait.

Après 4 jours de marche nous voyons une forêt au loin, nous pensions tous que cela était un mirage. Donc personne n'était heureux. Mais après avoir constaté que cela n'était pas un mirage, nous avons tous couru pour aller voir les arbres, boire de l’eau et manger des fruits. Nous étions tous heureux de pouvoir voir la vie après 11ans sans voir un arbre ni manger de fruits ou boire de l'eau naturelle.

Une fois dans la forêt on a décidé de faire des groupes de 4 à 5 personnes pour récolter des fruits, prendre à boire et aller chercher du bois pour faire un feu de camp. Une fois que tout le monde ramena ce qu'il fallu pour manger, nous avons réalisé un vrai festin. Mais celui-ci fût le dernier ... Aucun membres du groupe ne survécut à l'intoxication alimentaire. Les ressources de la terre avaient été totalement polluées.

3 heure 45 du matin, les alarmes retentissent et les habitants de New-York s’empressent d’allumer leurs télés afin de mettre les informations. - A tous les habitants de New-York, en ce jeudi 16 novembre 3037, je vous ordonne de rester chez vous et d'appliquer toutes les mesures de sécurité possible. En aucun cas vous ne devez retirer vos masques. Voilà comment en une fraction de seconde, tout s’écroula. Mais avant d’en arriver là&nbsp;? Voici comment tout commença… Tout fût la cause d’une simple couche mais pas n’importe laquelle, celle qui se trouve au centre de la Terre. Quelques années auparavant, les scientifiques ont découvert que la couche d’ozone s’agrandissait mais malgré cela, ils affirmèrent que la vie sur Terre ne serait ni impactée ni menacée. Tout était totalement faux puisque 17 années plus tard, la vie sur terre aura disparu. - Maman je vais à l’école, à ce soir&nbsp;! - Au revoir ma fille, travaille bien&nbsp;! A cet instant là, la mère de Maria ne se douta pas une seconde que sa fille ne rentrerait pas après l’école. A la sortie de l’école, la jeune fille avait pour habitude de rentrer seule et emprunter un chemin qu’elle fréquentée régulièrement. Soudain le téléphone de la jeune fille se mit à ne plus marcher quand elle vit écrit dessus&nbsp;«&nbsp;Alerte aux habitants. Veuillez tous rester chez vous&nbsp;!&nbsp;».

ファラ * 																				* Farah

Chapitre 3 &nbsp;18h, 3 août 2035 Je suis encore en vie, nous sommes encore en vie. A moins qu’on oublie la mère de Lisa. Malheureusement, elle est décédée le mois dernier. Ma mère a tout fait pour la sauver, mais cela n’a pas suffi. C’était horrible d’annoncer cela à Lisa. Elle a seulement souri et a rétorqué d’une voix décidée :&nbsp;«&nbsp;je continuerai à travailler pour sauver d’autres personnes, car c’est ce que ma mère voudrait que je fasse. Plus tard, je voudrais devenir médecin.» Mais une mélancolie accablante s'empara d'elle. Après tout, « les émotions non exprimées ne meurent jamais. Elles sont enterrées vivantes et libérées plus tard de façon plus laide » expliquait Freud. Ma mère a décidé de la garder pendant un temps. Et elle s’est promis de sauver les personnes en attente. Lisa lui a donné une vraie raison après qu’elle a perdu sa mère. 7h30 s’écroule et nous sommes sur le point de commencer encore une soirée abominable. Les toux commencent à s’entendre, la fatigue prend le dessus.

Je discute avec Liv quand soudain, je déchire la manche de Liv sans faire attention. Je m’excuse alors plusieurs fois, elle me répond que ce n’est rien. Jusqu’à que je remarque une tache sur le bras, puis deux. Sans attendre, je remonte la manche de Liv. Les taches sont nombreuses. - C’est quoi ? Tu sors ? Tu sais très bien que tu n’as pas le droit Liv, tu les as depuis combien de temps ? Questionnais-je en haussant le ton à chacune de mes questions. - Chut, on va nous entendre, je te le dirai plus tard, chuchote-t-elle précipitamment. Après notre discussion, nous prenons la route pour rentrer. - Alors tu as quelque chose à m’avouer ? fis-je remarquer. - Je voulais seulement sortir, voir le coucher de soleil, escalader les bâtiments. Ma passion ne s’est pas achevée malgré ces conditions. Tu n’en as pas marre, Romy, d’être toute la journée dans le même endroit. Parce que moi, oui, j’en peux plus de vivre de cette sorte.

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Un lundi matin vers 10h en Turquie, Iliece accompagné de Rayan et Hamid mangèrent dans leur hôtel. Puis, Iliece se décida d’aller jouer au foot à côté de la plage&nbsp;: -&nbsp;Les amis, je parts jouer au foot. Alors qu'Iliece jouait au foot et qu'on l'entendait crier&nbsp;: - Un jongle&nbsp;! - Deux jongle&nbsp;! - Troiisss jongle&nbsp;! - Mince... j’ai fait tomber la balle derrière l’arbre. Iliece vu à cet instant une plante violette et noire remplie de radioactivité. Il cria de peur&nbsp;: - AH&nbsp;!? C’est quoi ça&nbsp;! Les amis venez&nbsp;! Ses deux amis coururent et dirent&nbsp;: - Qu’est-ce qu’il y a&nbsp;!?

Tu penses vraiment que cela va se résoudre. Je n’ai plus d’espoir en ce monde. Je préfère voir le monde avant de mourir. Ces personnes qui meurent chaque jour sans avoir pu regarder le monde. Je ne veux pas avoir ce malheur. Tu t’en souviens quand on escaladait les bâtiments pour regarder le coucher du soleil ? C’était incroyable, et j’ai pu assister à cela encore. - Pourquoi ne m’as-tu rien dit&nbsp;? - Je pensais que tu n’allais pas accepter et que t’allais vouloir m’en empêcher. - As-tu volé une combinaison ? - Oui, mais on me l’a volée par la suite. - Tu veux qu’on le fasse ? demandais-je. - C'est toi qui me demandes cela ? dit-elle étonnée. Bien sûr que oui, mais comment va-t-on faire&nbsp;? Toutes les combinaisons ont été volées&nbsp;! - J’ai déjà la solution, je te rejoins demain devant ta porte à 16h.

Ma mère essayait de la soigner mais elle me dit qu’il ne lui restait plus longtemps à vivre. C’est de ma faute, je sens la culpabilité monter en moi. Si je lui avais dit de consulter lorsque je l’ai su, peut-être que ce ne se serait pas aggravé autant. Mais après tout, c’est ce qu’elle voulait. Nul ne pouvait l’empêcher, pas même moi. Alors pour une dernière faveur, j’ai fait ce qu’elle voulut. Une dernière nuit dans la pleine nuit. Après tout, c’est ce qu’elle désirait. La nuit était tombée sur la ville, et les rues étaient désertes. Nous nous sommes lancées dans une dernière aventure nocturne, escaladant les bâtiments les plus hauts de la ville. Nous avons atteint le sommet d’un gratte-ciel, et étions stupéfaites par la vue qui s’offrait à nous. Le ciel était clair, et les étoiles brillaient comme des diamants dans l’obscurité.&nbsp;Nous nous sommes allongées sur le toit, admirant les constellations, et elle en profitait pour me raconter ses histoires liées à nos passions. Liv n’aime pas parler d’elle, elle préfère en profiter et ne pas gâcher du temps. Mais je peux constater que les marques se voient davantage, ses toux s’entendent de plus en plus, son souffle ralentit, ses yeux se referment et elle finit par s’endormir, bercée par la beauté de la nuit. Ce soir-là, elle deviendra l’éclat de cette étoile dans le ciel, qui reflétera pour toujours la lumière de notre amitié.

Tsuyu fit comme moi, sa voix aigüe semblant résonner au-delà de la foule qui nous bousculait toujours davantage. Mais le vent et les hurlements des autres ne nous apportaient aucune réponse. Il me sembla s’écouler une éternité avant d’obtenir une réponse. C’était une voix que nous connaissions bien&nbsp;: «&nbsp;Tsuyu, Lee, ne restez pas là&nbsp;! Venez avec nous si vous ne voulez pas finir noyer&nbsp;!&nbsp;» C’était Yuri, notre voisin, qui nous tendait la main depuis un camion pour nous faire monter. Comprenant que nous n’avions pas d’autre choix et que nous ne savions même pas si nos parents étaient toujours là, je choisis de pousser Tsuyu pour qu’elle attrape sa main alors que je sautais dans le camion. Yuri nous installa sur les sièges tandis que la porte claquait derrière nous et que le moteur du véhicule se remettait en route. Je découvrais les visages affligés des six autres passagers qui ne disaient pas un mot. Un lourd silence régnait, chacun étant anéanti par ce qu’il venait de vivre. Tsuyu se blottit contre moi en murmurant&nbsp;: «&nbsp;Est-ce que tu penses qu’on les retrouvera&nbsp;?&nbsp;» Je ne parvins pas à trouver une autre réponse que la seule évidence qui s’imposait à cet instant&nbsp;: «&nbsp;Je ne sais pas&nbsp;» lui répondis-je. Epuisés, aussi bien physiquement qu’émotionnellement, nous nous endormions en pleurant doucement l’un contre l’autre, bercés par les secousses du camion qui filait à toute allure sur la route.

Nous étions en classe quand tout à coup l'alarme incendie retentit dans le collège, nous avertissant que nous devions évacuer l'établissement. Les élèves autour de moi commencèrent à paniquer et se précipitèrent tous à l’extérieur de la classe. Je me tournai vers la fenêtre et aperçu une énorme vague s’approchant de la ville&nbsp;:&nbsp; un tsunami&nbsp;! Je sentis la peur me tordre le ventre alors que le sol résonnait sous le bruit des pas effrayés des élèves. Ma sœur, Tsuyu, m’attrapa le bras et me hurla quelque chose que je n’entendis qu’à moitié&nbsp;: «&nbsp;Réveille-toi Lee&nbsp;! Il faut qu’on parte d’ici et qu’on retrouve les parents&nbsp;!&nbsp;» Je la suivis en courant tandis qu’elle me tirait par le bras. J’étais sous le choc. Le Big One avait dû se produire à Tokyo et engendrer le monstre qui se jetait sur notre ville. C’était quasiment devenu une légende puisque tout le monde l’attendait en 2030. Vingt ans étaient passés depuis l’année fatidique et chacun pensait qu’on ne le verrait plus jamais. Mais il était bien là, s’apprêtant à engloutir notre ville. Tsuyu s’arrêta soudainement de courir. Nous étions en face du bureau de nos parents d’où sortaient des centaines de personnes affolées. Nous étions secoués dans tous les sens par la foule qui tentait de s’éloigner le plus possible de la côte. Je réalisai alors la débâcle à laquelle nous faisions face et compris que si nous voulions retrouver nos parents je devais hurler en espérant qu’ils m’entendent quelque part dans la foule. «&nbsp;Papa&nbsp;! Maman&nbsp;! On est là&nbsp;!&nbsp;» criais-je à m’en fendre les poumons.

Bonjour à tous les habitants. Dans 5 jours, 100 personnes seront envoyées sur Terre. Voici la liste des noms des personnes qui seront à bord de la navette. Je fus parti des 100 personnes envoyées sur terre. Parmi les autres personnes devant aller sur terre, quelques unes se sont suicidées pour ne pas aller sur Terre.

Les 5 jours sont passés à une vitesse folle et me voici aujourd'hui devant la navette. Après une journée entière, nous avons vu un paysage. Nous en avons donc conclu qu'ont été arrivé sur Terre. Malheureusement, 5 personnes sont mortes&nbsp;avant l’atterrissage de la navette car elles avaient enlevé leurs ceintures. - On ouvre la porte&nbsp;? - OUI&nbsp;! Une fois la porte ouverte tout le monde était choqué car on avait atterri dans un désert. On a dû marcher pendant plusieurs jours sans manger et certain d’entre nous n'ont pas survécu.

«&nbsp;Dans 30 ans jour pour jour la forêt de l'Amazonie va disparaitre ce qui va causer un gros manque d'oxygène qui commence déjà, voilà pourquoi nous vous appelons à l'aide&nbsp;». En regardant la télé Amine et Younes, deux amis, ont découvert l'information comme quoi l'Amazonie a été touchée par de violents feux de forêt, en plus de la déforestation causée par l'homme. Choqués par l'information les deux amis se sont mis d'accord pour y aller et soutenir les associations sur place. - Du coup on y va quand ? se questionna Younes. - Dans deux jours. Affirma Amine. - D'accord prépare tes valises. Dis Younes. Ils se préparèrent au départ, et se rejoignirent à l'Aéroport. Lorsqu'ils embarquèrent dans l'avion, ils étaient ensemble avec un homme qui avait un casque audio et le dernière iPhone.

- «&nbsp;Ils n’ont pas révélé la raison à la télé. Donc, l’argent qu’ils donnent ne reviendra pas à leurs impôts mais à l’état. Et au fait, je trouve que votre discours était pas mal. » dit Julian. - «&nbsp;Merci&nbsp;» dit Claire surprise. Claire se retourne vers son amie. Et lui dit&nbsp;: - «&nbsp;Taylor tu as entendu ce que Julian vient de dire&nbsp;?&nbsp;» - «&nbsp;Oui la situation qui se passe dans notre pays est très inquiétante&nbsp;» dit Taylor. - « Les élèves je vous demande un peu de silence s’il vous plait, regagnez vos places. Le cours va commencer&nbsp;» dit Mme Wright.

Le 7 juin à 4 Heures 06, il sort. Il n’a jamais été aussi discret pour sortir de son orphelinat. Il marcha 1H30 dans la pluie pour se diriger vers une maison de disque où il travaille également pour essayer de trouver des infos sur Arthur ou son adresse, car comme chaque célébrité son adresse est très bien cachée, mais Marcus n’est pas bête, ce n’est pas son premier cambriolage il c’est ce qu'il fait. Enfin, il croit. Il rentre dans le bâtiment par la porte des concierges et tombe sur une carte avec écrit dessus l'adresse de la maison. - Facile, dit Marcus. Il alla vite vers la villa, car elle était à 1 heure à pied . Il crocheta la serrure et se dirigea directement vers le dressing où la plupart des riches cachent leur argent en liquide. Il avait bien pris en même temps le temps de désactiver toutes les caméras.

14h30, 19 janvier 2034 De mon allée, je marche en direction de chez moi. Ce qui me sert de portable a perdu vie il y a quelques minutes. Mes yeux balaient l’horizon et j’observe attentivement chaque personne. Clé en main, je passe la porte avant d’arriver dans le salon. Je salue ma mère qui se trouve dans la cuisine à ma droite. Celle-ci ne me répond pas mais je peux deviner par l’expression de son visage ce qu’elle va me reprocher, comme elle le fait si bien depuis quelques temps. - Romy…souffla-elle, tu vas attraper la grippe si tu continues à te vêtir de la sorte. - Mais mam’…. Et avant même que je puisse rétorquer, le son de la télé augmente.

- Les prévisions de la météo annoncent 13 degrés et la température va augmenter. Il se peut qu’en ce mois d’hiver, nous ne goûtions pas au froid…&nbsp; Cela est tout ce que j’ai retenu. - Ça s’annonce mal, dit mon frère, la télécommande à la main. - Tu vois maman, je ne risque pas de tomber malade. - Nathan, je te l’ai répété combien de fois, tu arrêtes d’augmenter le son à ce niveau, je vais vraiment finir pas t’emmener chez un Oto-rhino-laryngologiste ! … On annonce cela normalement. Et moi qui suis une jeune étudiante, je dois continuer ma vie entre les mains de ces hommes politiques. Une chose me tracasse mais j’ignore la nature exacte de cette angoisse. Ces gens dans les rues vêtus en tee-shirt en plein hiver sont-ils normaux ?

Dystopie

Que feriez-vous si vous veniez à apprendre que vous êtes épargné d'une catastrophe naturelle , mais qu'en une fraction de seconde tout disparait ? Pauvres habitants de New-York, Maria ainsi que sa mère seront amenées à faire différents choix sans se douter une seconde qu'eux aussi allez y passer...

- Nous vous tiendrons informés. Je finirais ce discours en vous disant que je suis désolé pour vous, les plus jeunes, d’avoir à subir cela, déclare t-il enfin. A la fin de l’émission, je téléphone à ma mère en lui expliquant ce qu’elle vient de louper. Elle me rassure et m’annonce qu’ils ne nous donneront pas énormément de travail. Dans une semaine, tout le monde pratiquera ce métier d’agriculteur, hors jeunes de moins de sept ans, vieillards ou malades graves. Nous, les étudiants, nous devrons faire maintenant des cours en ligne le jour. 21h, 14 juillet 2034 Cinq heures, je suis en train de revoir les manipulations qu’ils nous ont envoyées. L’état a adopté trois méthodes pour réduire les émissions de gaz à effet de serre. Ces trois étapes sont l’agriculture de conservation, l’agroforesterie et la gestion des nutriments. Le réveil sonne. Je me prépare, prends mon déjeuner et sors de chez moi. Je rejoins la maison de mon amie d’enfance. Je sonne à la porte, mais pas de réponse.

- Liv, on va être en retard, criais-je. - J’arrive, bafouille-t-elle, en me faisant signe de la main par la fenêtre, une brosse à dents à la bouche. Elle descend précipitamment et nous prenons la route vers l’adresse demandée. Le chemin est long mais nos discussions nous font oublier le temps. Liv est une personne plutôt calme. Elle aime faire les choses à sa façon même si cela signifie aller à contre-courant. Elle n’aime pas avoir tort, et si elle sait qu’elle a tort, elle cherche tout le temps une échappatoire. Nous sommes arrivées quand une voix nous oblige à couper notre discussion. - Jeunes filles, vous avez un retard de quinze minutes, alors cessez de discuter et mettez- vous au travail&nbsp;! On nous donne nos combinaisons avant de commencer à creuser la terre. Toute la nuit, nous avons travaillé dans toutes les parties de la ville. C’était extrêmement épuisant. Les terres agricoles ont été cachées sous une sorte de vitre noire. Sûrement pour égaliser le besoin de lumière. Il est maintenant 5h du matin, et on nous laisse enfin partir.

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